Misaki D. Yata [En attente de validation]

- Présentation du joueur IRL -

C'est Hanran Bushi

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom : Misaki D. Yata

• Surnom (facultatif) : Beats

• Age : 18

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate

•Prime :Prime accordée selon mon rang.

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Indifférent

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Capitaine, vigie

• Pouvoir demandé : Boom Boom No Mie : (Paramécia des explosifs) Rend le corps explosif.

• Rêve(s)/But(s) du personnage : It's complicated


◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]

Bonjours Misaki ! Parlez-nous un peu de vous, de votre physique par exemple !? Genre, que j'me décrive ?! Mais t'es aveugle ou quoi ?!!!!! ….Oui ! ..Ah merde mec excuse moi, hum je dis ce que je porte et tout ? Oui si tu veux, sniff... Ouaaa, bah hum, je..hum.. J'ai dix-huit piges, je fais genre un mètre soixante-dix, un truc comme genre soixante kilos. Je continue ? Oui vas-y continue Misaki, pour nos lecteurs. Okay, donc j'ai les cheveux brun genre mi-long, des yeux vert pomme, d'ailleurs ma mère elle les aimais bien, mes yeux..maman.. OH GAMIN, reprends toi un peu. Hein ? Ah oui, j'ai genre des ratiches en bon état, un nez minuscule, j'suis genre pas trop musclé mais je me débrouille quand même en baston comme j'connais certains trucs. Enfin, genre pour ce qui est des vêtements, je porte un bonnet noir, il me suit partout. Pourquoi il vous suit partout ? Bah j'sais pas, parce qu'il a envie p'tete. Non mais tu le dis à personne mais je crois j'ai genre un début de calvitie, c'est pour ça, genre sur le haut du crâne. Hum, on va dire que personne ne le saura hein. Et ensuite ? Bah hum j'ai genre un casque pour écouter ma musique, une montre qui marche pas, pas de questions là-dessus c'est une longue histoire. Bref, j'ai genre un t-shirt blanc, 'fin c'est une espèce de pull, mixé en t-shirt c'est assez bizarre. Hum pour le froc, bah tout simple, un short bleu marine très foncé, des baskets et des chaussettes bleues. Ah oui et j'allais oublier, j'adore ma batte de base-ball, hihi !

Misaki parlez nous un peu de votre tatouage, celui qui se trouve sur votre torse. QUOI ?! Hum quel tatouage ? Mec qui t'as raconté ça ? Dit-il en chuchotant. A ce qu'il paraît ce tatouage représente un … STOP !!! Arrêtes de jouer à ça là, salaud là. C'est juste qu'un jour je me suis réveillé avec un tatouage sur le torse, c'est mon ami qui m'avait fait une blague, il m'a..il a...fait un penis...HAHAHAHA !!! TA GOULE ESPECE DE... Je savais que j'aurais pas du le dire. MERDE! On était un peu fait ce soir là, c'est pas de ma faute, c'est tout ce que j'ai a dire. Ah oui et j'ai essayé de l'arranger un peu, il ressemble à un revolver maintenant. Un revolver ? Proff,HAHAHAHA, mais il l'a fait de profil ? Oui... HAHAHAHA, en tout cas merci Misaki pour toutes ces alléchantes informations et bonsoir mesdames et messieurs.

◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]

Ohh ! Vous faites pas passer la pub ? Hein ?! OKAY ! Bon et bien Misaki, on va continuer sur notre lancée et en venir à ce que tu es dans ton moi intérieur. Ok JB, donc, genre, d'après mon entourage, je suis assez vantard dans le sens où j'aime que l'on voit ce que je fait ou plutôt ce que je réussie à faire. Genre j'ai pas vraiment de tic, comme des gens avec leurs mimiques ou genre leurs expressions chelou. Ah bon ?! Bah oui oui. Vous en êtes sur Misaki ? Genre comment ça j'en suis sur? J'vous dis que j'ai pas de tic. OKAY si vous l'dîtes, continuez. Ok, donc merci de m'avoir coupé, j'suis perdu maintenant. Ah oui, vantard n'est pas genre la seule caractéristique que l'on peut m'attribuer, je suis calme sauf exception bien entendu, comme quand on me frappe, qu'on me parle de mon père, de mon ami, des animaux, des mouches, des riches. C'est tout ?! Oui a peu près je doit en oublier quelques uns c'est tout. On peut dire que vous êtes quelqu'un de calme Misaki dans ce cas. Oui très JB, très. Ensuite, je suis genre assez fort niveau baston, je pratique le kung fu depuis que je suis tout petit, comme vous le voyez je suis assez mince...Non je ne le vois pas... Ah oui merde t'es aveugle excuse. Bah maintenant tu le sais, je suis assez maigre, mais c'est pas pour ça que je n'ai pas de force, et surtout, je suis agile. Attends mais genre, je m'égare là, on est dans la partie caractère là. Vas-y là, ça m'énerve là. J'continue..mais j...NON, j'continue j'ai dis. Je suis gentil, poli avec les gens que je respecte et très souvent puéril. Je devient sérieux dés lors que la conversation touche à genre des choses qui me tiennent à cœur. Et si je vous parlais de mon rêve ? Oui ! Depuis l'incident avec mon père, je recherche des hommes hauts placés, vous pensez que je devrais emprunter quelle voie ? La voie du pardon mon enfant. Oh allé, arrête avec ton blabla, j'ai choisis d'être genre, un pirate. Je vais devenir si puissants qu'ils ne pourront que s'agenouiller ! MOUAHAHAHAHA ! Petit...PETIT !! Enlève ton casque. Ah oui pardon excusez-moi, j'étais entraîner par la musique. Bon on a fini ? Sur ce, j'me tire, salut JB, bonne continuation ! Eh, attends gamin, tu vas où ?


LA OU LA MER ME PORTERA, ET MERCI POUR LE FRUIT DANS TA SACCOCHE, J'AVAIS LA GROSSE DALLE.

..il l'a prit ce c**... BONNE CHANCE GAMIN !!!

◘ Histoire :

One upon a time...

Moi Misaki, vais vous compter l'histoire de mon enfance. Enfin pas tout quand même, je vais passer les choses gênantes...

Bon alors, commençons par le commencement si vous le voulez bien. Ma conception... non j'déconne, pervers... Mon père avait une compagne, ma mère, jusque là c'est pas trop compliqué. Je n'étais pas encore né qu'ils habitaient North Blue, avec le père de mon père, mon grand père donc. Malheureusement mon grand père, était un homme méprisable et dépourvu d'honneur. Si si. Pourquoi ? Il tapait sur ma grand mère, et mon père en passant. L'élément déclencheur de l'histoire, c'est moi. Oui, mon père était à l'enterrement de ma défunte grand-mère quand il appris que Nora, sa femme, attendait un enfant, son enfant. Il l'apprit au moment même où son père déblatérait des absurdités sur la femme qu'il avait un jour soit disant aimé. Pour eux, l'idée de vivre en compagnie de cet homme avec leur propre enfant leur était insoutenable. Ils prirent donc leur courage à deux mains et partirent loin, loin de cette vie, loin du nord, loin d'ici.

Ils optèrent pour Logue Town, une île prospère d'East Blue. Ce fut le début du bonheur. Sasaki, mon père, trouva un travail, tandis que ma mère,elle, s'occupait de moi. Nora était une femme au foyer extraordinaire, incomparable tant elle était aimante et passionnée. Nous menions une vie si belle que s'en était indécent. Mais, comme un chacun sait, rien ne dure, à mon plus grand regret. Ma mère fut un jour prise de douleur, elle était tombée malade. Malheureusement une chose en entraînant une autre, elle décéda. Contre toute attente, ma réaction ne fut pas excessive, au contraire, je restais calme. Ma mère avait quitté cette vie avec le sourire, et je la reverrais dans l'autre. Nous avions bien vécu, et nous le savions. Mon père, lui, ne voyait pas ça comme ça. Il le prit très mal et se noya dans le travail. Il avait donné énormément pour passer ses vieux jours avec elle tandis que les moments présents, c'était avec moi qu'elle les passait. Je ne me rendis compte que trop tard de ce qu'il pouvait ressentir. Jours après jours, mois après mois, je le vis crouler sous une tonne de travail. Il avait perdu une partie de lui même.

Un an consécutif de travail lui permit de grimper la hiérarchie et de se hisser au rang de cadre. Il s'était fait une réputation de forçat.

Parlons un peu de ses employeurs, ces hommes dont je ne connais pas le nom. Ces hommes qui...vous le saurez bien assez tôt, m'ont tout pris.

Mon père apprit, après être arrivé au poste de cadre supérieur de l'entreprise, que les activités qui faisaient la richesse de celle-ci n'étaient qu'une façade. Ils blanchissaient de l'argent, tout simplement. Et puis, quelques jours après, un incident foudroya Logue Town, le lieu où le blanchiment d'argent s'effectuait avait explosé, faisant d'innombrable victimes. Des pères, des frères, des maris et des fils. Une investigation s'en suivit, les autorités trouvèrent alors des papiers compromettant, qui prouvait certaines choses, entre autres, la soit disant culpabilité de mon père dans cette affaire. Il fut donc emprisonné en tant que ponte du crime, meurtrier, escroc et tout ce que ses employeurs avaient pu faire au cour de leur vie.

La condamnation à mort du père, est quelque chose d'abominable. J'allais perdre le seul parent qu'il me restait, et je ne pouvais rien y faire. Tout cela, je l'ai appris en trouvant dans les affaires de mon père un coffre, un coffre qu'il avait laissé à mon intention. En tant que pirate, aucun autre trésor ne m'a apporter tant. L'innocence de mon père, l'honneur de ma famille et la Vengeance.

Je les retrouverais, je le jure...

C'est ainsi que commença l'histoire d'un homme, qui un jour, fera trembler de peur, les hommes mêmes qui ont fait trembler son cœur.

◘ Post RP :

Bordel, t'es vraiment trop pourri ! Comment tu veux qu'on arrive à tuer des contre-amiraux alors que t'es même pas capable de tenir sur tes foutues jambes ?! Nan mais sans dec' ... Bon aller, debout. J'vais t'expliquer le plan pour abattre les gradés. Aller hop ! Debout !

Je me relevai alors doucement, tout en faisant attention de ne pas trébucher une nouvelle fois. Ceci fait, Iwa m’expliqua en détails les étapes visant à tuer les si puissant contre-amiraux. Son idée était,comment le dire, génialissime !

Nous faisions la liste des armes et munitions encore en notre possession quand au loin, des troupes se firent entendre. Le hangar encore en flammes les avaient rameutés naturellement par ici, le plan pouvait commencer.

Attentif à notre sécurité, nous décidâmes de les prendre de haut, par le toit pour ainsi dire. Nous escaladions donc les murs gelés de la ville polaire afin d'atteindre ses toits glissant. Arrivé là-haut, nous commencions a courir, courir, avec une certaine finesse je doit dire, et un style plus que certain.

A présent sur le lieu dit, nous examinions la situation. Les ennemis se comptaient au nombre de dix. Neuf d'entre eux paraissait inoffensif en vue du dernier et dixième homme. Il se tenait à l'écart des autres et ne bougeait pas. Il restait là, impassible, sans expressions, sans vie. Iwa me redonna les consignes en ce qui me concernait. Je m’exécutais alors à vive allure.

Je sautai donc du toit où nous nous trouvions, mon manteau noir flottait avec classe durant la chute. J’atterris lentement derrière le groupe de neuf marines et scindai le tronc de l'un d'eux avec mon sabre. Tout en sortant mon pistolet, je pris un couteau de lancer et exécutais un autre homme. Puis un autre, et encore un autre. Le suivant sur la liste se pris de plein fouet un glaive dans le thorax, de même pour son proche camarade. Pour les derniers, les poings suffirent...

Je venais de détruire la totalité du convoi à une exception près, le contre-amiral ! Je me retournai alors vers lui, mon regard enfoncé dans le sien. Et sans rien dire, je tirai un dernier coup de feu en direction de son visage. A mon grand regret, mais par la logique des choses, il l'esquiva.

Mes yeux s'écarquillèrent quand je le vis à son tour sortir de son manteau un revolver. Il tira trois balles en ma direction, que j'esquivai, sauf bien entendu la dernière qui me percuta l'épaule. Fou de rage, je compris qu'il voulait faire un duel d'arme.

Ah ouais ?!

Je sortis donc mon 357 magnum et le pointai vers lui. Il n'en revenait pas je crois, ses yeux n'avaient jamais eu l'occasion de voir un si gros engin. Et c'est donc de mes deux mètres vingt que je tirai cette monstrueuse balle pleine de haine.


La balle venait de faire la moitié du chemin quand l'individu me faisant face tenta une esquive. Mais, la puissance phénoménale déployée dans un si petit objet ne pouvait pas finir dans un mur...un tel gachi...

Heureusement pour mon égaux, la balle lui érafla le bout du nez, en le défigurant au passage.
Furieux de la situation dans laquelle je l'avait mis, il m’agrippa le cou, malgré la distance nous séparant. Sa monstrueuse vitesse venait de me couper le souffle, sans parler de sa main !