Invité Invité
| Sujet: Buster D. Keel Dim 7 Juil 2013 - 17:47 | |
| In general... I'm awesome. Nom : Buster D. Prénom : Keel Un prénom qui signifie que je suis plutôt un mec Badass.. Non? Surnom : Akagami. Age : 18 ans. Ouais, je suis jeune, mais à ne pas sous-estimer. Race : Humain. Et fier de l'être. Lieu de Naissance : West Blue, sur Jounta . Camp : Pirates Fruit du Démon & Arme : Janpu Janpu & un bâton en or massif Profession : Bon navigateur But : Foutre la merde Autres :
I've even got a badass attitude. Tout d'abord, Keel est quelqu'un d'assez grand, en effet, je pense qu'il doit atteindre le mètre 70 sans difficulté ! Les gens que notre protagoniste rencontre sont toujours plus petit, or-mis les géant ou autres race toutes aussi bizarres. C'est un jeune homme possédant une très bonne musculature, sans cela, il ne pourrait pas tenir, voir manié son bâton en or massif. Ne soyez pas étonnez, un bâton de cette envergure, pour lui c'est un peu l'équivalent d'une plume, pour porter ce bâton il ne faut pas que de la force, mais une très grande maniabilité ainsi que plusieurs années d'entraînement. C'est un pirate ayant une corpulence des plus normales, cependant, son poids est très élevée, seriez vous étonnez si je vous dit qu'il pèse beaucoup plus d'une centaine de kilos ? Je ne sais pas... Mais le regardant on ne dirais pas que c'est quelqu'un pesant autant, tout cela c'est le poids du muscle, mais je ne dis pas qu'il y que ça... Ses cheveux ? Ils sont bizarrement hérisser vers le haut, luisant, souvent assez mal coiffé et un peu en pagaille. Mais il y a un avantage, c'est la couleur, quand il fait sombre il sont d'un roux cassé faisant pensé à... Rien, mais au soleil, il sont bruns-roux faisant penser au soleil, cela est bizarre et personne ne sait encore qu'explique cela. Les yeux de Keel sont d'un rouge sang des plus sombres qu'ils soient ! C'est pas vraiment le genre de gars qu'on regarde dans les yeux très longtemps au risque de se manger un bon coup de bâton. Ah oui, en parlant de bâton, le pirate ne le range nul part, il le garde à la main et se balade, ce qui peut parfois faire peur au monde autour. Keel porte une veste blanche, en dessous un t-shirt rouge. Pour le bas, il porte un pantalon noir, ainsi que des chaussures noire, un très bel ensemble pour une brute pareille quand même. Derrière ce costume se cache un corps pas très imposant et musclé, quand il enlève ses hauts on peut admirer ses pectoraux et ses abdominaux intensément développée, tout cela est du à un entraînement de fer, des épreuves des plus rudes et des bains très glacials que l'jeunot à pu se dessiner un corps pareille, et maintenant, il peut en profiter tant qu'il veut, on à jamais rien sans rien de toute façon ! Guess what, I'm too sexy for my shirt. Et bien pour commencer, voyons ses qualités. Keel est un bon vivant, il reste toujours souriant sociable, bavard et drôle. Le jeune homme avait beau avoir vécu seul pendant un moment, cela ne fait pas de lui un solitaire. Il arrive très facilement à s’ouvrir aux gens et sa bonne humeur habituelle en est pour quelque chose. Il peut sans le moindre problème faire la fête avec un inconnu, car en effet, c’est un sacré fêtard. Lorsqu’il arrive dans une taverne, ça ne lui suffit pas de boire du saké ou du rhum, il faut toujours qu’il monte sur la table pour se mettre à chanter toutes sortes de chants de marins, d’aventuriers ou de pirates. Et entre nous… Il chante comme une casserole, mais cela a le mérite de donner de l’ambiance. Il a le don de communiquer sa bonne humeur. Le jeune homme est un grand optimiste, certains pourraient traduire ça comme de la folie. En effet, pour lui rien n’est impossible si on y met les moyens et c’est pour cela qu’il croit fermement pouvoir entrer dans la légende en devenant seigneur des pirates. Et comme tout le monde à des défauts, il en a aussi. Tout d’abord, le jeune homme n’est pas l’intelligence incarnée. Il ne faut surtout vous attendre à des plans ciselés de sa part. En fait, il ne faut pas lui demander de réfléchir, il trouve ça si fastidieux et inutile. Mais si par miracle il lui arrivait de réfléchir et je dis bien par miracle. Il pourrait vous sortir une idée lumineuse que, je suis sûr, vous jetteriez à la poubelle. C’est un homme d’action et non de réflexion. On dit souvent que le franc-parler est une qualité…Non, pas chez notre protagoniste. Il ne ment jamais. Quand quelque chose ne lui plait pas, il le dit directement. Quand une personne ne lui plait pas, il va le lui dire aussi. Et cela a le don d’engendrer de nombreuses bagarres et pas mal de problèmes. Autre défaut récurent chez lui est que c’est un homme impulsif. Il peut démarrer au quart de tour et cela fait de lui une personne très imprévisible. Mais ce qui caractérise le plus le jeune Keel, c'est cette constante volonté de toujours vouloir tester ses limites, pour cela, il peut sans le moindre problème mettre sa vie en péril. Mais à part tous ses défauts, ça reste un bon type. Code Fiche reprise, adresse : Code de présentation :
Once upon a time, like a boss. Si vous cherchez une histoire joyeuse, avec une famille unis, des amis s’aidant tous chacun, des rires et des sourires, des vies débordantes de joie, alors passez votre chemin. Mon histoire ne comporte rien de cela. Elle va plutôt être composée de solitude, chagrin, désillusion et autre attitude négative. Mais comme je me dois de la raconter et vous de la lire pour la noter, alors nous allons pouvoir débuter.
Le lieu où je suis né, se situe sur l’une des quatre mers principales. Je ne tiens pas à préciser d’où je viens car je préfère oublier cette partie-là de ma vie. Vraiment. Je n’ai jamais connu mes parents. Soit ils m’ont abandonné à la naissance, soit ils sont morts avant que j’ai eu des souvenirs d’eux. Quoi qui l'en soit, j’ai vécu dans la rue et la misère pendant toute ma vie d’avant. J’ai été recueilli par d’innombrables personnes que j’ai considéré comme ma famille pendant de très nombreuses années. Ils m’ont appris à me débrouiller seul, à n’avoir confiance uniquement en moi-même et en mes capacités. Et c’est ce que j’ai toujours fais. Du moins, en partie. Pour survivre dans ce milieu, nous devions récupérer tous ce que nous pouvions. Chaque matériau trouvé permet de s’acheter le repas de la journée. Voire deux, si on a de la chance. J’ai développé des aptitudes assez singulières pour me faufiler un peu partout et surtout, pour la vitesse dont mes mains arrivaient à dépouiller les poches des passants, touristes, commerçants passant à proximité de ma personne. Le nombre de Berrys que j’ai pu amasser grâce à cela. Bon évidemment, je partageais toujours mon butin avec les autres, pour les remercier de ce qu’ils avaient fait pour moi jusqu’à aujourd’hui. Ils m’ont protégé, trouvé de la nourriture et m’ont offert un toit quand j’en avais le plus besoin. Et c’était à moi de leur rendre la pareille.
Ma douzième année fut assez décisive dans mon orientation. Il y eut une razzia de la Marine dans l’endroit où les sans-abris se trouvaient, afin de les chasser pour que nous cessions d’importuné les ‘’bonnes’’ gens ainsi que les nobles. Je me trouvais là à ce moment. Je fus ramené dans leur base qui se situait plus loin en dehors de la ville. Ils m’alimentèrent de manière convenable et me mirent dans une chambre. Je ne savais pas ce qu’ils voulaient de moi mais quoi qu’il en soit, ils ne semblaient pas qu’ils me jugent dangereux vu qu’ils avaient laissé la porte de ma chambre ouverte. Je me faufilais souvent à l’extérieur quand les gardes faisaient un changement. Ils laissent toujours cinq minutes de libre. Je tentais toujours de m’aventurer plus loin et si jamais je rentrais après le délai, j’arrivais toujours à trouver un moyen de détourner leur attention pour que je puisse rentrer sans me faire remarquer. Et j’arrivais même à faire les poches des soldats. Je me constituais un petit pécule relativement honnête. Mais un jour, mon petit butin avait disparu et on m’emmena devant le plus haut gradé de la base. Je savais que la Marine était toute puissante et possédait la plus puissante armée du monde. Il n’y a pas grand monde qui pouvait s’y opposer sauf peut-être les Pirates et encore, ils offraient une maigre résistance face à cette puissance dévastatrice. Ils n’étaient pas aussi puissants que la Marine. D’ailleurs, je voulais rentrer dans leurs rangs pour avoir enfin une véritable maison ainsi qu’une famille. Mais l’expérience pendant de nombreuses années dans cette base m’en dégoûta totalement. On me confia la tâche de m’infiltrer dans une bande de brigands qui pillaient les environs. Ma petite taille et ma jeunesse me permettraient de passer inaperçu en leur sein. La Marine savait où se trouvait la base et ils m’y envoyèrent. J’eus du mal à m’intégrer du fait de mon jeune âge. Je fus convié aux tâches les plus ingrates, me faisant frapper. Je glanais des informations mais quand la Marine me les demandait, je ne leur délivrais pas. Alors ils me forçaient et cela finissaient en coup aussi. Bref, je n’étais pas mieux loti dans les deux camps.
Je restais deux ans dans la bande avant qu’elle ne finisse par se faire démanteler par la Marine. Je retrouvais mes quartiers dans la base. Mes facultés de voleur et de déplacements silencieux s’étaient considérablement accrues et cette fois-ci, je fus employé à tout autre chose. Il y avait un petit groupe de pirates qui s’était installé dans les environs. Ma mission était de les trouver et d’en éliminer leur capitaine. Je n’avais que 14 ans et je me demandais comment j’allais m’en sortir. Pourquoi moi… ? Parce que cela était plus simple pour eux. Ils ne se salissaient pas les mains comme ils disaient. Et que si je tentais de m’échapper, ils me retrouveraient et me ramèneraient. Que ce que je faisais était pour le bien de tous. Les larmes roulantes sur mes joues, je partis sans aucun vivre sur la route. Je mis une semaine à les localiser. Je n’avais cessé de pleurer depuis sept jours et mes yeux n’arrivaient plus à produire de larmes. Une fois cela fait, j’attendis que la nuit tombe et fis un léger repérage des lieux. La première chose que je fis, fus de repérer le garde qui faisait sa ronde et de l’assommer avec une très grosse pierre et en m’excusant. Je traînais difficilement son corps en dehors du camp et sortis une arme de fortune que je m’étais faite. Une seule tente était dressée au centre du camp. Une dizaine de pirates dormaient autour. En toute logique, j'en déduisis que c’était la tente du chef. Je m’y avançais sans un bruit et pénétrai à l’intérieur. L’homme qui dormait sur le lit approchait de la soixantaine. Je me demandais comment un tel homme pouvait être capitaine d’un équipage pirate. A côté du lit se trouvait une table de chevet où un coffret trônait dessus. Piqué par la curiosité plutôt que par ma pseudo-mission, je m’approchai doucement et je pus le soulever. A l’intérieur se trouvait un fruit à l’aspect et aux couleurs très étrange. Au moment où j’allais porter la main dessus, celle du vieil homme m’agrippa et je sursautai fortement, émettant un cri. Des yeux bleu océan me fixaient. Malgré leur couleur, j’avais l’impression qu’ils brûlaient d’un flamboiement infini.
- Que fais-tu ici, jeune homme ?
Mon cri avait rameuté les autres pirates qui étaient maintenant autour de moi, toutes armes dehors. Ils me regardaient avec surprise et incrédulité. Certains commençaient même à ranger leurs armes en voyant que je n’étais qu’un gosse. C’est dans un silence complet que je me mis à pleurer. Complètement décontenancé par mon attitude, ils échangèrent tous des regards gênés et se détournèrent, me laissant ainsi seul avec le capitaine. Lui-même ne savait pas comment réagir. Maladroitement, il me tapota le dos, ce qui me donna une raison de me jeter dans ses bras. Je me mis à déballer toute mon histoire à cet homme que je ne connaissais absolument pas. Il m’écouta et ne m’interrompit pas. J’entendis les hommes autour de la tente. Eux aussi m’écoutaient avec grande attention. Quand j’eus terminé, je vis un large sourire fendre le visage du vieil homme.
- Et bien, quel drôle de petit gars nous avons là. Si tout ce que tu me racontes est vrai, alors tu n’as ni famille, ni endroit où aller. Alors, que dirais-tu de rester ici, cela te conviendrait ?
Je me remis à pleurer mais de joie cette fois-ci. J’entendis quelques applaudissements dehors mais personne ne pénétra à l’intérieur. Je m’en fichais. Je venais de trouver ce qui ressemblait à une famille. Et pour rien au monde, je n’aurais voulu, en aucun cas, la perdre. Au fil des années qui passèrent, je réappris à sourire, à rire, à comprendre et interpréter le mot camaraderie. Je ne m’étais jamais senti aussi bien que pendant ces quatre années passées à leurs côtés. Mes compétences de combattant s’améliorèrent encore et j’appris à me battre discrètement. Il est vrai que ma taille et ma corpulence ne me permettaient pas un affrontement direct sous peine de me faire démolir misérablement mais quand même, je ne pensais pas que je devrais faire ce que je ne voulais pas à la base. Bon, le point positif, c’est que je n’ai jamais tué. Mon entraînement consistait juste à parvenir à placer un coup de poing sur la trogne d’un de mes compagnons. J’ai longtemps rechigné à le faire, ne trouvant pas cela juste.
- Nous ne te demandons pas de faire ce qui est juste, Keel, nous voulons simplement que tu trouves ta place parmi nous, que tu puisses nous protéger d’une quelconque manière qui soit. Et surtout, que tu ne penses pas que tu sois un poids pour nous.
Ces paroles me sont allées droit au cœur et depuis, je m’entraîne à cela. Et je suis plutôt bon pour ce genre de besogne. Mais je n’ai jamais tué, du moins, pas encore. On m’avait donné une batte de combat que j'apprenais à manier petit à petit. Et pendant pas mal de temps, je crus que j’allais rester dans cette équipage jusqu’à la fin de ma vie. Mais voilà, à l’aube de ma dix-huitième année, il y eut comme un hic. Et même un putain de gros couac. Les explosions… Les tirs de balles… Les chocs métalliques des sabres et des épées s’entrechoquant entre elles... Que se passait-il… ? Je me relevai péniblement de l’intérieur d’une tente de fortune. Un liquide chaud et légèrement poisseux me coulait le long de la tempe. Je ne me souvenais plus… Portant ma main à mon visage, j’en retirai le sang qui avait atteint ma mâchoire. Et ce fut le déclic. On se faisait attaquer ! Les Marines nous avaient finalement retrouvées après des années de recherche pour eux et de mouvements pour nous ! Me levant maladroitement, je récupérai ma batte dont j’en avais fait mon arme de prédilection. J’ouvris la tente et sortis. L’air était imprégné d’une odeur de poudre et de sang. Des cris et des plaintes se faisaient entendre partout sur le champ de bataille. L’assaut avait été éclair mais nous avions réagis rapidement. Le problème était qu’ils étaient deux à trois fois plus nombreux que nous. Mais nous étions plus confiants et notre volonté de vaincre était plus puissante que toutes les leurs réunis. Un premier adversaire me fit face, surpris par mon arrivée. Apparemment, je ne semblais pas dangereux. Plus le combat s’éterniserait et plus j’avais des chances de me faire détruire. Je me suis spécialisé dans les attaques rapides, nettes et précises. Et c’est donc un léger sourire aux lèvres que je me jetai dans la cohorte qui s’était formée dans notre camp. Le premier de mes adversaires n’était armé que d’un simple sabre. Je tenais alors ma batte fermement de manière à ce qu'elle ne tombe pas. Mon assaillant me fonça dessus avec une vitesse moyenne. Il abattit le sabre de haut en bas, droit sur mon épaule. Je parai avec mon bâton droit sur son sabre, ce qui le surprit. Il tourna la tête une légère seconde vers les deux fers croisés, suffisamment pour que je retourne ma batte et que je brise ses os. L’émotion de surprise fut celle qui se figea sur son visage. Fier de moi, je regardai autour du champ de bataille. Deux de mes compagnons étaient tombés, les autres bataillaient pour leur survie. Et je me devais de les aider. Et c’est à corps perdu que je me lançai dans la mêlée.Une heure finit par passer. Nous n’étions plus que trois debout et Zed, le capitaine, était à terre, ayant subi une blessure mortelle au torse. Les soldats restants, très peu, s’étaient enfuis, laissant les corps de leurs camarades sur place. Mais sur le coup, je m’en fichais pas mal. J’étais agenouillé près de notre capitaine, lui tenant la main, me voulant réconfortant. Son regard océan se tourna vers moi et me fixa. Sa main se porta à mon épaule et c’est d’une voix faible qu’il s’adressa à moi.
- Keel… J’aimerais t’offrir… Le Fruit du Démon qui se trouve dans le coffret que tu as vu la première fois que tu es venu à nous… *toussotement* Fais en ce que tu veux… Mange-le, vends-le… Fais ce que tu veux… Du moment que tu me promets de prendre la mer et que tu vogues à la recherche d’une nouvelle famille… Porte notre nom à travers les mers… S’il te plait…
Et il s’éteignit paisiblement. Les survivants firent leur deuil en se recueillant auprès du corps. Puis ils partirent. Ils m’adressèrent un bref signe de tête et se détournèrent, semblant rejeter leurs anciennes vies, marchant vers une nouvelle. Je fermai les yeux de Horn et entreprit de creuser une tombe pour lui. Cela me prit deux bonnes heures pour faire cela, voulant que cela soit propre. Puis j’allai récupérer le coffret, jetant un bref coup d’œil à l’intérieur pour vérifier qu’il contenait bien le fruit légendaire. Le coffret sous le bras, je tournai les talons à mon tour. Des larmes coulèrent mais je m’empressais de les sécher. Mon nom est Buster D. Keel, je suis un nouveau Capitaine Pirate. Et je vais porter haut la bannière et les couleurs de mon nouvel équipage ‘’Les Akagami !’’ Pendant un moment mon nom c'était effacer des mers, ce n'est qu'à mes 24 ans que j'étais revenus d'un entraînement intensif, car j'avais avalé le fruit du démon. Désormais, j'étais en route vers Grand Line, mais avant il me fallait des nakama's, l'aventure m'ouvrait ses portes !
- Exemple de test Rp !:
Sur sa petite barque de mauvaise qualité notre jeune protagoniste se dirigeait vers Shell Town. Il naviguait sur East Blue depuis un moment à la recherche de nakama's, une fois cela fait lui et son équipage n'aurait plus qu'à se diriger vers la mer de tous les périls, Grand Line. Keel se dirigeait de plus en plus vers l'île de Shell Town, une île possédant une très grande garnisons de marines, donc normalement assez dangereux pour un pirate en recherche d'aventure, mais bon, notre blond n'était pas encore primé, donc il ne risquait pas grands choses s'il n'attirait pas les regards sur lui, encore une fois. Une fois arrivé sur Shell Town, Keel se dirigeait vers la taverne la plus proche, cela faisait pas mal de temps qu'il n'avait pas bu d'alcool, ça lui manquait énormément. Le capitaine pirate alluma une de ses clopes et fuma en marchant tranquillement. Une fois arrivé dans la taverne il commanda un bol de riz et une bouteille de saké histoire de se requinquer un peu avant d'effectuer ses recherches de nakama's.
Mais alors qu'Akagami se fondait dans l'ambiance, chantant, dansant, buvant, draguant... une dizaine d'officiers de la marines entrèrent dans la taverne, ils avaient cassés l'ambiance ces bâtards ! Personne n'avait osé en placer une, sauf... Keel ! Il était bourré, il avait complètement oublié qu'ici à la moindre erreurs, t'es dans la merde. Le roux c'était levé de son tabouret en bois et commença à boire sa bouteille de saké tout en laissant quelques goûtes parcourir sa gorge, puis petit à petit son torse. Il regardait la bande de pirate avec froideur, on aurait dit qu'il voulait tuer ! Le groupe de marine continuèrent leurs chemins comme si de rien n'était, ils prirent place et commandèrent tranquillement à manger. Sur le visage de Keel s'affichait un sourire démoniaque, un sourire de Titan ! Notre protagoniste attrapa fermement sa batte et exhiba ces paroles, loin d'être douce.
" Bande de vilains puceaux ! Vous débarquez, vous gâchez l'ambiance et même pas ne serait-ce qu'un petit mot d'excuse ?! Bah ça mérite un bon châtiment ça ! Allez au galop les marins ! Vous n'êtes qu'une bande d'idiots !"
Avec vitesse, Keel frappa un officier, celui-ci fut projeté sur un mur de la taverne, désormais évanoui... Le capitaine pirate était ivre, ses joues étaient rouges, il ne pouvait s'empêcher de bouger comme un con. En voyant ce scénarios les autres marines furent surpris, il devait se demander pourquoi, ou plutôt comment un homme pouvait faire de tels conneries sur Shell Town. Les marines reprirent rapidement leurs esprits, un d'eux avait tenté de trancher Keel vers l'épaule, mais sans résultat grâce à une esquive plutôt stylé ! Le pirate ne comptait pas utilisé son pouvoir dans de tels conditions, il préférait utiliser son énergie dans d'autres choses. Bref, revenons à notre petit combat opposant le roux à quelques officiers de la marine sans danger. Akagami avait donc esquivé l'attaque de son assaillant, il contre attaquait avec rapidité d'un coup de poing vif et puissant placé sur le ventre de sa pauvre victime, il enchaîna avec un coup de bâton sur la côte d'un autre marin. Ils étaient presque tous à terre, il n'en restait que deux.
Tous les regards étaient flanchés sur Buster D. Keel et le reste des officiers, notre protagoniste à la base ne comptait pas utiliser le pouvoir de son fruit du démon à la base, mais pour épater un peu la galerie il transforma le sol en trampoline avec ses pieds, puis il commençait à bondir sur tous les coins de la taverne, pour terminer en s'arrêtant net devant un marin et lui infliger un coup dévastateur, le marine tomba sur le coup. Voyant son compagnon au sol, un officier (le seul restant) administrait un coup de poing d'une puissance phénoménale sur la joue de Keel, Mais d'où pouvait lui provenir cette soudaine force ? Le capitaine avait été propulsé contre une table, saignant quelques peu au crâne, rien de trop grave pour lui. L'orphelin se releva en choppant avec vitesse son bâton en or massif, il commençait enfin un peu à se marrer, ce marin était-il le plus puissant ?
" Yare, yare... Pas *hic* mal ! Tu vas pouvoir avoir l'honneur de découvrir plus de ma puissance, p'tit con ! "
Dernière édition par Buster D. Keel le Dim 11 Aoû 2013 - 19:21, édité 13 fois | |
|