Rindo Hyûga entre dans la Marine [FINI]

Prénom :
Thomas
Age :
19 ans
Homme/Femme/Okama :
Homme
Comment avez vous connu le forum :
Google
Combien d'heures vous vous connectez par jour :
Tout dépend de mon travail, quelques heures
Tes Mangas préférés :
Nabari no Ou, Air Gear
Ton personnage préféré dans One Piece :
Sanji *coupain cuisinier!*
Ce qui t'a motivé à venir :
La graphisme et l'envie de découvrir le rp One Piece
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR :
Euh 4 ans maintenant que je rp. Fofo et guilde rp sur jeu.
Hobbys :
Parkour, Kayak, Graph et Cuisine
Autre(s) :
N/A



• Nom & Prenom :
Hyûga Rindo

• Surnom (facultatif) :
Rin'

• Age :
19 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) :
Humain

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) :
Marine

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) :
Mauvais

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) :

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) :
Ribon Ribon No Mie: (Paramécia des rubans) L'utilisateur se voit dans la capacité de créer des rubans sortant de n'importe quelle partie de son corps. Ils sont de la même couleur que ses cheveux.

Un ruban excède rarement les trois mètres de long, pour quelques centimètres de large.
Ce pouvoir est cependant faible face à l'eau, le granit marin et tout objet tranchant, sans oublier un feu assez puissant pour brûler le tissus.
[Grade 3]

• Rêve(s)/But(s) du personnage :
Nettoyer le monde de la piraterie, et établir une véritable paix durable.

•  Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] :


◘ Description Physique :  
Comment décrire ce jeune homme… Disons qu’il est jeune, physiquement il semble à peine sortit de l’adolescence. Rindo n’est en effet pas épais, il mesure un mètre soixante-dix-huit, pour un corps relativement fin. Sa carrure est tellement discrète qu’il passe souvent inaperçu. Il serait pourtant extrêmement idiot de ne pas reconnaître sa démarche souple et fluide, ses gestes parfaitement assurés. Une puissance meurtrière calculée. Ses muscles ont beau être fins, ils n’en restent pas moins présent, parfaitement présent dans l’élégance de la finesse.
Il est simple de le reconnaître également, fin, de taille moyenne, comme il y en a peu dans la marine. Des cheveux mi-longs bleus. Couleur quelque peu étrange le caractérise, et lui permet d’être reconnaissable de loin. Il y aussi un autre détail qui ne trompe pas sur lui, ce sont ses vêtements usés, déchirés comme s’il sortait d’un combat particulièrement éreintant.  
Pourtant son visage n’affiche pas un air fatigué, mais plutôt un air profondément carnassier. Un regard haineux, rude et froid. Presque calculateur… D'ailleurs en parlant de son regard, il est noir, avec une étrange pupille, une croix jaune.  Sa pupille ne prend cette forme que sous le coup d’une énorme colère, que lorsqu’il ne se laisse plus que guider par son instinct.
Le jeune maître des rubans ne porte pas d’arme à proprement parler, pas de sabre, pas de matraque, mais des rubans attachés un peu partout sur lui, avec des crochets en granit marin.
Il ne porte presque jamais sa tenue d’officier, hormis pour les cérémonies et les rendez-vous officiels. Il porte un t-shirt trop usé par les combats, mais en réalité il s’agit de toute sa garde-robe qui a subi ce traitement. Il porte un pantalon noir, ce pantalon semble en bon état relatif.
Il possède également une tenue alternative, une veste sous laquelle il ne porte rien.
Le tout étant agrémenté de mitaines blanches.
Il n’est pas rare de le voir un bandeau à l’œil, cet accessoire étant uniquement un handicap physique qu’il semble s’imposer.


◘ Caractère & morale :
Rindo est une personne qui semble être très instinctive, animale presque. Il est au premier abord agressif et sauvage. Il ne semble absolument pas patient, et a vite tendance à s’enfermer dans un mutisme.
En réalité le jeune garçon n’est pas comme ça. Il l’est bien sûre, en partie, mais pas complètement.
La vérité est qu’il est quelqu’un d’un minimum réfléchis, il calcule au mieux la situation. Il pense toujours à la meilleure façon d’agir, de protéger son équipage, lorsqu’il le peut. En revanche, tous le savent, et n’en doutent pas, c’est sa détermination à détruire les pirates.
En réalité Rindo est un homme de peu de mot lorsque la situation demande de la réflexion, en dehors de ça, il parle, jamais à outrance, mais il communique avec n’importe qui. Il ne semble pas particulièrement amical, et pourtant il porte une grande affection à l’ensemble de la Marine à laquelle il doit tout.
Lorsque le jeune homme combat, il vaut mieux se tenir à l’écart. Il ne reculera devant rien pour stopper la malfaisance d’un pirate.
Il n’est pas rare de le voir devenir totalement fou, de voir son air carnassier de changer en un air prédateur. Cela se produit lorsqu’il est sujet à une forte stimulation au combat, luttant contre des ennemis qu’il juge de valeur.

En bref, le jeune marin n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît au premier regard. Et pourtant il semble se cacher sous l’apparence qu’il laisse paraître.


◘ Histoire :
Rindo… Une histoire qui commence à North Blue, sur une petite île perdue, au premier regard tout à fait banale et ennuyante à mourir. Il serait extrêmement simple de commencer son histoire avec un « Il était une fois », mais les codes des contes doivent rester aux contes. Son histoire ne contient aucune valeur morale qui devrait se transmettre. Elle est triste, saisissante et authentique… Mais aussi tellement banale. North Blue… Sur une île perdu sur la mer, un lieu totalement isolé, voyant rarement passer un navire de la Marine, commerçante plus que guerrière. Un relai, un simple relai, sans atout particulier. Sur cette île vivait nombre de famille, mais une seule nous intéresse, celle des Hyûgas. Le nom est inconnu, proprement inconnu, rien ne se profile, rien n’est particulièrement écrit. Le jour de la naissance de l’enfant, le père était absent, parti en mer pour pécher, activité principale de l’île pour se nourrir. Un accouchement comme il s’en passe rarement, sans complication, un enfant en bonne santé. L’enfant n’avait pas de nom… Pas encore, sa mère le regardait avec tendresse alors qu’il récupérait de l’immense effort que lui avait coûté sa sortie de l’organe maternel.
Le père rentra au soir, et jusqu’à cet instant l’enfant n’avait pas de nom, il n’était qu’un enfant parmi les autres. Son père le fixa, le regardant dormir, avec la même tendresse dans le regard que sa femme. Puis tous deux se décidèrent pour un nom plein d’amour et de grâce, et Rindo fut décidé. Rindo, le nom d’une fleur bien connue. Un nom plein de symbolique, malheureusement si ses parents l’avaient su, jamais ils ne lui auraient offert ce nom… symbole de la douleur, mais aussi de deux phrases directrices : « J’ai la passion de la vérité. » « En me fuyant, vous me faites souffrir. »
Le mal étant fait, à l’insu de tous, la vie continua.

L’enfant grandissait à son rythme, comme tous les enfants. Il était éveillé, s’amusait avec les autres. Avec le temps ses cheveux s’étaient fixés dans une jolie teinte bleue, et ses yeux dans un noir profond. Ses pupilles étaient plus dérangeante, moins naturelles, une croix. Mais les autres enfants, qui le côtoyaient depuis tout petit n’y prêtaient plus attention. Les adultes non plus, mais il fallut un certain temps pour que les rumeurs ne cessent. Depuis la naissance de ce village, il y a maintenant très longtemps, il n’avait connu que trois attaques de pirates, toutes s’étaient produites vingt ans avant. Aucune n’était survenue depuis. Le lieu était donc plaisant à vivre.
Il n’y a rien à ajouter, ce lieu était plaisant à vivre. Authentique, bien qu’un peu rustique. Un village parmi tant d’autres sur les océans.

Rindô avait cinq ans lorsqu’il se promenait sur l’île avec ses parents, profitant du temps clément qu’accordait le printemps à ce lieu. Marchant sur la plage, l’enfant courant dans tous les sens, s’émerveillant du bruit de la mer, du vent fouettant son visage. Son pied buta sur un bout de bois, il tomba, l’espace d’une seconde il pensa à pleurer, mais ça ne lui apporterait rien, ses parents ne viendraient pas plus vite, il le savait bien.

Des mois passèrent, douze… Une année, et le drame survint ce jour-là. Des pirates arrivèrent, mirent le village à sac, puis finalement à feu et à sang. Ils ne laissèrent derrière eux que désolation, seuls quelques enfants avaient été épargné, et Rindo en faisait partie. Durant des jours il pleura sur le sort de ses parents. Il se nourrissait à peine, mangeant simplement ce qu’il trouvait sur son chemin. Dans son cœur une haine nouvelle grandissait… Il haïssait les pirates… Il les tuerait, tous. La Marine ne tarda pas à entendre la rumeur, et par acquis de conscience elle dépêcha un navire. Ce navire fut salvateur pour l’enfant, il lui ouvrit les portes d’une nouvelle vie. Il fut recueilli avec les autres sur le navire, mais lui, contrairement à beaucoup, il demanda à rester avec les soldats, à s’entraîner à apprendre à combattre.
Trouvant cela drôle le Capitaine autorisa cette folie, et il apprit sous sa tutelle jusqu’à ce qu’il soit en âge d’entrer de lui-même dans la Marine.

Il postula, et lorsqu’il entra à l’école militaire il brilla. Fin et souple, il semblait déjà tout savoir du combat rapproché, le maniement du sabre ne l’intéressait pas le moins du monde, mais il savait utiliser un sabre sans être un danger pour lui-même. Et fait fort remarquable, il arrivait toujours à faire abandonner son adversaire en le faisant s’étouffer lorsque le combat devenait trop long. Il n’était pas aimé de ses camarades, et il ne faisait rien pour. Depuis qu’il avait quitté le navire de son tuteur il arborait un sourire carnassier, un regard froid totalement perdu dans les combats. Il ne semblait vivre que pour cela. Mais par moment, rapidement on voyait son sourire s’effacer, faisant place à un sérieux proprement affolant. Généralement la peur s’engouffrait dans les cœurs, comme un simple courant d’air dans une brèche. Beaucoup le craignait, parce qu’il avait été sur un navire avant d’être soldat.






• Exemple de post RP :
J’entrais dans le bureau du Colonel, ne prenant même pas la peine de frapper, ce vieux croûton ne comprenait visiblement rien. Je n’avais pas de temps à perdre à terre en vaine paperasse alors qu’il avait nombre d’officiers sous ses ordres. Je ne permettrais pas que l’on me mette encore des bâtons dans les roues, j’en avais plus que marre. Je n’étais pas là pour me dorer la pilule et passer mes journées dans un fauteuil. Mon regard rivé dans le sien, mes mains appuyées sur son bureau, un air froid sur le visage, j’attendais, mais il ne semblait pas décider à parler.

« Demain, sur un navire. C’est tout ce que j’ai à vous dire. Demain, je serais sur un navire. »

« Non, tu seras sur un navire lorsque je le déciderais. Alors tu disposes et tu te plis aux ordres. »

La réponse avait coulé naturellement. Elle me tomba sur le cœur, me faisant grincer des temps. Il ne comprenait vraiment rien cet abruti ! Je n’avais pas de temps à perdre… Je devais aller sur le terrain.

« Vous vous opposez à moi de peur que je sois plus puissant que vous. Vous craignez pour votre place. Vous le savez, vous avez fait votre temps, mais vous vous cramponnez à votre titre par fierté. Vous n’êtes qu’un pleutre… Vous n’avez rien des grands héros de la Marine. J’ai l’étoffe d’un héros, vous n’êtes rien. Ne faites pas l’erreur de m’empêcher d’embarquer. Qu’importe mon Capitaine, je brillerais plus que lui, je le surpasserais. Si la Marine est faite de personnes de votre trempe alors que j’en prendrais la direction. Colonel, je vous souhaite la bonne soirée. »

Je sortais du bureau en trombe, ne lui laissant pas le temps de répondre. J’aurais le droit tôt ou tard à mes remontrances, à mes sanctions. Mais pour l’heure j’avais encore le temps pour aller préparer mon embarquement, car je n’ignorais pas que pour avoir la paix et ne pas risquer un gros trouble dans la caserne qu’il m’affecterait sur un navire. S’il le fallait je serais juste là pour ne rien faire, mais je souhaitais une véritable place.
Sur les quais, je montais sur le pont de l’un des navires, et allait directement trouver le capitaine, le quai numéro trois. Il appareillait le lendemain. Je mentais, rapidement, simplement. J’étais affecté à son navire, les ordres suivraient.

Je le quittais après un salut. Il était temps que j’aille me reposer, le lendemain je quitterais enfin cette base…
Dans mon lit je ne cessais de m’imaginer sur les mers, enfin à la rencontre d’une frégate pirate… L’abordage, ou la canonnade. Je préférais l’abordage personnellement, c’était un bon défouloir et nous pouvions faire des captifs. Les captifs, cela nous permettait de faire pression sur d’autres pirates, mais aussi d’avoir des informations utiles.

Bon nombres de ces crétins nous pensaient incapable de torturer pour obtenir une information. L’erreur était là, je n’hésiterais pas à les mettre tellement à mal qu’ils avoueraient tout, jusqu’au plus petit et insignifiant crime.

Finalement je m’endormais, laissant le flot de mes pensées me guider dans la nuit. Profitant de ce temps de calme qui ne durerait pas, pour mon plus grand bonheur.

Le réveil fut plus rude que je me l’étais figuré, peut-être était-ce lié au fait que quelqu’un frappait à ma porte comme un malade. J’ouvrais, déjà irrité au réveil. Mais il ne s’agissait que de ma commande. J’enfilais le pantalon, puis ma veste. Des rubans y étaient cousus, de façon à ce qu’ils fassent partie intégrante du vêtement. C’était plutôt pratique. Au bout, je notais les crochets, en en touchant un, je me rendis vite compte qu’il s’agissait de granit marin.

Finalement j’étais enfin prêt pour mon voyage.

Sergent Rang 2.

Pour le fruit, quel type de ruban utilises tu ? Ça me fait un peu penser au fruit de la momie avec ses bandelettes, en beaucoup moins puissant. Mais bon, ça me gène pas trop (personne n'ayant le fruit de la momie entre autre)
Fruit niveau 3 ?

Bla blabla, pas de granit marin avec le fruit. Tu peux y mettre des crochets, mais acier normal. (pour l'instant du moins)

Soit acier. Pour le moment (Je me suis inspiré de l'épée que Smoker se trimbale^^)

Les fruits ont pour la plupart un lien avec le corps.

ça serait plus dans le thème si ton perso pouvait contrôler des rubans qu'il génère lui même. (rubans qui sortent des mains et qu'il contrôle ensuite par exemple).

Bien vue. Dans ce cas, l'idée est plutôt séduisante. Il sécrète donc des rubans.
Tissu, adhésif, et plus tard avec assez de maîtrise des imifugènes. (Si autorisation)

Euh c'est pas un couteau suisse non plus.

Il fait des rubans point. Y a pas de raison qu'un fruit des rubans te file de l'adhésif ou des fumigènes oO.

Imifugène= qui ne brûle pas. ^^ Pas fumigène, je vois pas le rapport entre fumigène et ruban

Enfin bref, si c'est refusé c'est refusé. Passons. Du coup je génère mes rubans.

EDITO: Ignifuge et non Imifugène, comme me l'a gentillement expliqué Admin-sama xD Pardonné mon nain culture (Jeu de mot pourris!!!!!)

Oki on verra ça ^^.

Validé rang 2.