- Présentation du joueur IRL -
Prénom : Chloé
Age : 19 ans
Homme/Femme/Okama : Femme
Comment avez vous connu le forum : Par Fujimi Fukami.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Hum on verra bien x), mais normalement je passe souvent.
Tes Mangas préférés : Heu…. J’en ai pas vraiment ^^
Ton personnage préféré dans One Piece : Zorro.
Ce qui t'a motivé à venir : Fu’ a fait de très bon commentaire sur le forum.
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Plusieurs années (6 ans). J’ai débuté dans des univers médiévaux-fantastique, puis j’ai poursuivi sur One piece alors que je ne l'avais jamais regardé ou lu. Je suis aussi Admin sur deux autres forums.
Hobbys : Je suis une Geek! Donc j’aime bien jouer aux jeux vidéo (pc) et écouter de la musique.
Autre(s) : J’aime les chats!
- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Adams Faith
• Surnom: Je laisse le plaisir aux autres de m’en donner un!
• Âge : 25 ans
• Race:Humaine
• Camp: Civile
•Prime : ///
• Orientation psychologique : Indifférente
• Métier/Spécialité : Ingénieur/Mécanicienne robotique de spécialité.
Charpentière
• Pouvoir demandé :Zoan du Neko modèle chat (Rang 2~ Création). Permet à l’utilisateur de prendre l’apparence hybride d’un chat. Le mode hybride constitue une apparence humaine avec des oreilles, queue, griffes et yeux de chat, mais le corps n’est pas recouvert de poils. L’agilité, la vision et sa mobilité sont grandement augmentés. Pour ce qui est de la forme total, il s’agit d’un simple chat balinais au pelage complètement blanc, mais au museau foncé. C’est un fruit purement rpéesque et peu basé sur le combat.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Ouvrir sa propre entreprise et être connu mondialement pour ses capacités d’ingénieur/mécanicienne.
• Code présentation :
◘ Description Physique :Vous l’aurez sûrement remarqué, mais je suis une humaine! On pourrait croire le contraire vu mon apparence particulière, mais cela m’est dû à un petit accident du passé. Rien de bien grave, rassurez-vous jeune admirateur de neko. D’ailleurs, je tiens à souligner qu’il n’y a eu aucune cruauté animale dans cette présentation ni même lors de son écriture.
Il serait peut-être temps que je commence cette description avant que quelqu’un ne me jette une première pierre. Comme toute présentation, je débuterai par le bas! Ha? Ce n’est pas ce que vous faites normalement? Et bien tant pis! Moi je ferai différemment. Je ne m’attarderai pas sur mes pieds, car je déteste cette partie de mon corps comme nombreux d’entre nous. Il s’en suit alors deux longues et fines jambes. Aucun muscle n’est apparent. Je ne peux pas dire que je ne suis pas dotée de graisse, car c’est faux et d’ailleurs j’en suis bien heureuse. Mes cuisses ne sont pas disproportionnées au reste de mon corps. J’ai de bonnes hanches et certaines personnes s’amusent à me dire que je suis faite pour avoir des enfants. Haha quelle bonne blague! J’arrive à peine à me nourrir moi-même et il me faudrait nourrir une seconde bouche! À vrai dire, cela ne me choque pas lorsqu’on me le dit, car je sais qu’au fond de moi il y a ce désir de fonder une famille. Et puis, je suis sûre que mes parents rêvent de devenir grands-parents, mais ce ne sera pas pour tout de suite!
Bon pardon, je me suis un peu égarée du sujet initial. Au même niveau que mes hanches, il a mon arrière-train. Mes fesses sont bombées et ferme! Cela me créer une courbe au creux de mes reins et cela m’occasionne parfois des maux de dos lorsque je me couche sur le ventre, mais ce n’est pas bien grave. On m’a déjà dit que je souffrais de lordose et qu’il me suffisait de travailler mes abdominaux profonds ainsi que ma posture et tout serait réglé, mais je n’ai pas le temps. Entre dormir et travailler, il y a peu de temps libre. Juste un peu plus haut, au niveau du coccyx, se trouve une queue blanche!
Il s’en suit alors une petite taille ainsi qu’un ventre plat sans abdominaux. Non je ne fais pas partie de ces filles qui aiment bien les muscles féminins. J’aime mes rondeurs! Si l’on continue notre ascension, nous nous retrouvons à cette petite poitrine; bonnet B, rien de trop gros. Il y a ensuite mes bras. Malheureusement, à cause de mon travail, je suis obligée de travailler mes muscles. Ce n’est rien de trop voyant, mais tous les muscles de mes épaules jusqu’à la pointe de mes doigts sont travaillés et découpés.
Passons maintenant à ma tête! Oh oui! Cette jolie frimousse. Menton pointu, petit nez et lèvres minces. Mon visage est plutôt rond et cela me donne un air enfantin. D’ailleurs, on me rajeunit toujours! Je possède de grands yeux bleus à la pupille fendue ainsi que de longs cils. J’ai les cheveux blancs et assez courts à l’arrière et à l’avant, je les attache en natte. Au sommet de mon crâne se trouvent deux oreilles pointues et de la même couleur que mes cheveux. Non, je n’ai pas d’oreilles humaines sous ma forme hybride.
Passons maintenant aux signes particuliers sur mon corps. J’ai la peau naturellement foncée. Ce qui veut dire pas de soleil l’été et moins de risque de cancer de la peau! Sinon, de chaque côté des mes joues se trouvent des tatouages tigrés. Il y en a aussi un faisant toute mon épaule droite remontant dans mon cou.
Je n’ai pas de style vestimentaire particulier. Je mets ce qui me va bien et ce qui est confortable. Par contre, il est possible de me voir dans une combinaison de garagiste noir. Normalement, je ne mets pas le haut que je laisse trainer sur mes fesses et je reste en camisole. Je porte de grosses bottes noires à cap d’acier. Sinon, je peux porter des pantalons bleus, ainsi qu’un chandail col roulé brun et un chandail de laine blanc à col ouvert.
◘ Caractère & morale : On peut dire que je suis quelqu’un de particulier. Comme toute chose, il y a deux côtés à une médaille. Je vais donc commencer par le bon côté de moi. Celui dans lequel je me trouve 90% de mon temps. Je suis quelqu’un de très joyeux et je n’ai pas peur de le communiquer. Je suis le genre de personne qui adore apporté de la joie à son entourage. Les membres de ma famille sont les premières victimes de ma bonne humeur. Dès le matin, j’illumine leur journée de mon magnifique sourire. Ma présence leur donne de l’énergie. Je suis très drôle. Oh oui! Enfin, je me trouve drôle. Je suis toujours la première à rire de mes propres blagues comme celle des autres. J’ai un sens de l’humour plutôt développé et n’importe quoi peut me faire rire. Par contre, je suis assez têtue. Quand je veux obtenir quelque chose, je ferai tout pour l’avoir. Il me manque de l’argent pour un objet? Alors je vais travailler encore plus pour pouvoir l’obtenir. Surtout quand il s’agit de mes outils! Mes outils, mes précieux outils! On me considère parfois d’obsédé, mais c’est faux! Je suis une passionnée! Je ne suis pas du genre à bouder si l'on ne me donne pas quelque chose ou si l'on ne me choisit pas. Je ne suis pas rancunière, mais je n’oublie pas. J’ai une très bonne mémoire des visages, mais pas des noms. J’aime partager. Si je mange des friandises, je ne vais pas les garder pour moi. Le sens du partage est quelque chose d’important pour moi. D’ailleurs, le travaille d’équipe est quelque chose de très important pour moi! En fait, c’est l’une des bases que l’on m’a appris petite.
Je suis quelqu’un remplie d’ambitions. J’ai des rêves et des objectifs et je dois à tout prix les réussir. Ce qui fait aussi de moi quelqu’un de très dévoué à son travaille. Quand j’échoue une première fois, je ne m’arrête pas là. Je recommence et s’il me faut recommençai cent fois, alors je le ferai! Je suis aussi autonome. Je sais me débrouiller seule. D’ailleurs, je sais aussi m’avouer vaincue dans les moments périls. Je ne suis pas du genre suicidaire. J’aime aussi observer avant d’agir afin d’étudier le comportement des autres et je garde toujours une grande ouverture d’esprit.
Les 10 autres pour cent de moi sont associés à mon fruit. Je ne retourne que très rarement sous ma forme humaine, car cela me permet de travailler plus rapidement et de voir beaucoup plus de choses. Je suis hyperactive à cause de cela. Les moindres bruits ou mouvements me font arrêter et je dois absolument trouver son origine. Je suis devenue beaucoup plus curieuse. J’aime découvrir de nouvelles choses. J’aime qu’on me gratte derrière les oreilles. Je dors beaucoup. Quand je ne travaille pas et que je m’accorde finalement une journée de congé, je dors, je mange et je dors. Oui, bon, est-ce que j’ai dit que je dormais?
Étrangement, je ne déteste pas les marines tout comme les pirates. Je suis plutôt indifférente à tout cela et ça ne m’intéresse pas. Je ne suis pas du genre à me renseigner sur les nouvelles en dehors de mon île natale. Tout ce qui m’importe c’est mon atelier!
Oh oui! Gros détails! Je suis sensible aux charmes masculins. Pire encore depuis le développement de mon odorat. Leur odeur m’attire, leurs muscles m’attirent, leur grandeur m’attire. Enfin, je ne suis pas accro ou quoi que ce soit. J’essaie même de les éviter histoire de ne pas causer d’accidents quelconques et de ne pas paraître pour une folle, mais oui, j’ai peur des jolis garçons à cause de cela.
◘ Histoire :À l’époque où je n’étais pas née, mes parents étaient tout autre chose. Mon père était un simple inventeur. Ça n’avait pas vraiment changé avec le temps aussi. Ses inventions n’étaient pas vraiment, comment dire sans être méchante, fonctionnelles. Il lui manquait d’argent pour subvenir à ses besoins et parvenir à compléter une seule de ses inventions. Déterminé à réussir, il tenta sa chance chez un prêteur bourgeois afin d’être commandité, mais il fut refusé dès la première tentative, mais il ne lâcha pas! Non, il revint, puis revint jusqu’à ce qu’une invention plaise bien à notre grand bourgeois qui se trouve à être, aujourd’hui, mon grand-père maternel. C’est justement lors de leur premier dîner qu’il fit la rencontre d’Abigaëlle. Dès le premier regard, il en tomba amoureux, mais ce ne fut pas la même chose pour elle. Il dut se faire remarquer à mainte reprise afin qu’elle ne daigne jeter un regard sur lui. Ce n’est qu’au bout de quelques mois acharner qu’il réussit à obtenir un premier rendez-vous. Puis un deuxième, un troisième et ainsi de suite jusqu’à ce qu’elle tombe amoureuse de lui. Mon grand-père, voyant sa fille s’approcher d’un simple civil, décida de couper court, tout lien, avec mon père, Arthur. Ma mère ne pouvant accepter cela décida de prendre tous ses biens et de partir. Son père ne la retint pas, car il savait qu’une fois qu’elle s’était décidée, plus rien ne pouvait se mettre au travers de sa route. Par contre, il n’allait pas l’accueillir de sitôt chez lui.
C’est ainsi que mes parents s’installèrent dans la maison paternelle de mon père. Heureusement, il n’y avait que mon grand-père qui y vivait. Il y avait donc assez de place pour une femme de plus. Ça ne lui prit que très peu de temps d’adaptation pour son nouveau mode de vie et elle réalisa bien vite que la passion de mon père ne venait pas de bien de loin. C’était de famille! Mais bon comme ce dernier était vieux et malade, il avait arrêté toute pratique.
Peu de temps après, ma mère apprit qu’elle était enceinte et, quelques mois plus tard, je vins au monde. Mon grand-père laissa échapper son dernier souffle une semaine plus tard. Il avait légué tous ses biens à son fils unique ainsi qu’à sa femme. Arthur utilisa l’argent qui lui avait été légué pour ouvrir son petit commerce, mais celui-ci prit un peu de temps avant de fleurir. N’étant pas très riches, ils n’avaient pas les moyens de me payer des jouets pour enfant. Mon père me laissa donc jouer avec ses outils. Bien vite, la passion me fut transmise à force d’observer ce que mon père faisait. Même si je ne comprenais pas, j’aimais bien! Enfin, quelques années plus tard, ma mère tomba gravement malade. N’ayant pas les moyens de payer un médecin de compétence, mon père vendit son petit garage et utilisa une partie afin de soigner ma mère. La seconde, puisque j’étais maintenant en âge d’aller à l’école, fut utilisée pour m’y envoyer. On ne me souhaitait pas la même vie qu’eux, mais j’étais bien moi.
Comme je ne souhaitais pas les décevoir, j’étudiais comme si ma vie en dépendait. Je voulais qu’ils soient fiers de moi, mais je savais qu’au fond de moi j’allais en décevoir une. Oui, j’avais un rêve. C’était de poursuivre celui de mon père. Devenir une vraie ingénieure-mécanicienne. Inventer de nouvelles choses et offrir mes services aux plus offrants. Voilà quels étaient mon rêve et mon objectif. Je n’en parlai que très tard à mes parents. Il s’en suivit alors plusieurs querelles familiales, puis ma mère céda. Je fis alors mes valises et je partis étudier.
Je ne revins que vers l’âge de vingt ans à la maison. Les cinq ans, sans voir mes parents, furent très longs. D’ailleurs, ils ne furent pas deux à m’accueillir, mais trois. Mes parents avaient omis de me dire que ma mère était enceinte avant que je ne parte et me voilà maintenant grande sœur d’un gamin de 4 ans. J’étais plutôt surprise. Je ne savais pas si je devais être heureuse ou fâchée. Enfin, je m’enfermai dans ma chambre quelques jours ne sortant que pour aller à la salle de bain et chercher à manger. Oui, je pouvais maintenant dire que j’étais en colère contre mes parents. Pourquoi ne m’avaient-ils rien dit? Ce ne fut qu’au but du troisième jour que mon père entra dans ma chambre. Il s’assied sur une chaise tout près de moi et m’observa un long moment avant de prendre la parole.
- Tu as aimé?
- Oui.
- Tu n’as pas eu trop de problèmes?
- Non.
- Tu sais… ma chérie, nous ne voulions pas te le cacher, mais nous ne souhaitions pas que cela affecte tes études et ton travail.
- Ça n’aurait rien changé.
- Te connaissant, je suis sûre que tu aurais pu changer d’idée et revenir à la maison puisque nous devions tout payer.
- …
Il n’avait pas tort ce bougre de père! Il me connaissait bien en fait. Je m’assieds donc dans mon lit et le regardai un instant. Il se mit à me sourire.
- D’ailleurs nous avons une surprise pour toi! Un cadeau de retour et de félicitation!
- Ha?
La curiosité m’avait gagnée à ce moment puis il me prit par la main et m’obligea à le suivre dans la cuisine. Ma mère et mon frère s’y tenaient déjà debout les mains sur les hanches et le sourire aux lèvres.
- Ta mère a renoué avec son père avant qu’il ne décède. Comme il n’avait jamais changé son testament par le passé, nous avons fait une découverte étrange. J’ai fait mes petites recherches.
Ma mère poussa un coffre vers moi et je l’ouvris. Il y avait là un drôle de fruit…
- Heu...et ça se mange? dis-je un peu perturbé.
- Oui! C’est un fruit du démon, ajouta ma mère.
Un fruit du démon? Je ne savais pas ce que cela pouvait être à cette époque, mais je hochai les épaules. Qu’avais-je à perdre? À ce moment, je pris le fruit et ouvrit la bouche pour le manger, mais je m’abstins un instant.
- Et l'argent? demandais-je alors plutôt curieuse.
Mon père me sourit et déposa sa grande main sur mon crâne.
- Nous avions toujours bien vécu sans celle-ci. Nous avons utilisé une partie pour rembourser nos dettes pour tes études, et nous avons déposé le reste. L'argent sera utilisable qu'en cas de force majeur.
Satisfaite avec cette réponse, je mordis finalement à pleine dent dans leur cadeau. Beurk! Mais qu’est-ce que c’était mauvais! Et ce goût! Je les voyais m’observer avec leur grand sourire comme s’ils me cachaient quelque chose. Oh non! Ça y est, il venait de m’empoisonner et bête comme j’étais, je continuais de le manger. Quand j’eus terminé, je ne me sentis pas très bien et je les laissai pour mon lit.
Trois jours passèrent alors qu'à aucun moment je ne fus consciente de ce qui m'arrivait. Lorsque je me réveillai, enfin, je ne me sentais pas du tout comme avant. Les sons, les mouvements, les jeux de lumière; tout était très étrange pour moi. Quand je me levai finalement, je faillis tomber, mais je me retins de justesse à mon matelas. Je vis, ce qui me semblait être l'acte d'un démon, mes draps complètement déchirés de toute part. Qu'est-ce qui s’était passé?? Je sortis finalement de ma chambre et mes parents m'accueillirent à bras ouverts. Enfin, je n'avais rien de spécial pour l'instant.
N'étant pas dans la capacité de démarrer ma propre entreprise, par manque de fond, je me devais de travailler. Intéressé par mes quelques capacités, un charpentier m'engagea sur le champ! Un ingénieur n'était jamais de trop. Je travaillai pour lui deux ans! Et je me souviendrai toujours de cet accident qui faillit me coûter la vie. C'est aussi à ce moment que je pus connaître l'existence de mes pouvoirs plutôt particuliers. Alors que je travaillais sur le toit d'une maison, mes pieds avaient tous les deux glissé. Ma chute fut rapide, mais j'avais senti cet instinct de survie surgir de moi. Des griffes avaient pris la place de mes ongles et je m'étais accrochée au bardeau du toit. Tranquillement, je ralentis juste avant de tomber. J'étais maintenant suspendue dans le vide, mais déterminée comme je l'étais, je me soulevai avec la force de mes bras puis je bondis sur le toit. Un gros soupir s'échappa de ma bouche. Je ne fus pas gravement blessée, mais je ne tentai pas la chance et je me dépêchai de rejoindre la terre ferme. On me fixa drôlement jusqu'à ce que je réalise l'appendice derrière moi complètement blanche. C'est à ce moment que je réalisai que le fruit que j'avais mangé était tout sauf ordinaire! Puis je me souvins de mes draps qui avaient terminé leur vie en lambeaux et je pus finalement faire le lien. Heureusement que je ne m'étais pas autogriffée.
Peu à peu, j'appris à contrôler mon pouvoir, même s'il ne m'était pas bien utile pour le moment. Enfin c'était plutôt le cadet de mes soucis et comme ma forme hybride me plaisait bien, je l'avais gardé. Un jour peut-être trouverais-je une utilité plus que pratique à mes pouvoirs. D'ailleurs, j'étais comme une bête de cirque. Les gens adoraient venir me voir travailler et c'est toujours le cas aujourd'hui, mais je m'y suis habituée.
J’ai maintenant 25 ans et je n’ai toujours rien vécu d’extraordinaire. Je rêve toujours qu’on me reconnaisse pour mes compétences, pour mon rêve. Ma passion est tout ce qui compte pour moi et je ne souhaite que l’exercer.
• Exemple de post RP :Aujourd’hui, c’était un jour quelque peu particulier. Un jour que je ne souhaitais me souvenir. Chaque année, je redoutais cette même date, car celle-ci me faisait vieillir d’un an et tout ça de façon officielle. Oui je parlais de mon anniversaire. Tout spécialement mon 25ième anniversaire. Je pouvais maintenant dire que j’avais atteint mon quart de siècle. Enfin! Par chance que je ne les faisais pas! C’était tout de même cela l’avantage de faire plus jeune, mais il n’y avait pas que cela! Oh non! Je me sentais toujours coupable de voir mes parents, qui n’avaient pas beaucoup d’argent, essayer de me préparer un anniversaire. J’étais plutôt triste de les voir dépenser une partie de leur économie pour cela.
Bref, je m’étais levée de bonne heure, soit vers 10 ou 11 heures. Quoi? Comment cela, n'est-ce pas tôt? Mais si ce l’est! Oh! Ça suffit! Je vous vois venir avec vos commentaires. Je ne suis pas une fainéante! Bref, je m’étais donc levée tôt ce jour-là. Je ne souhaitais qu’une chose; ne pas voir de décoration quelconque dans la maison. Je descendis donc à pas de loup au rez-de-chaussée, mais je ne vis personne.
*Étrange, très étrange*Je poussai mes recherches, un peu plus, regardant dans les chambres de chacun, mais il n’y avait toujours pas un seul chat. Ne pas voir de décoration ne me choquait pas, mais ne pas voir qui que ce soit se lancer sur moi pour me chanter mon bonne fête était plus qu’inquiétant. Où pouvaient-ils bien être? Je décidai donc de me vêtir convenablement et non pas d’un simple pyjama, puis je me dirigeai à la cuisine pour y casser la croûte. Malgré le fait que je n’aimais pas souligner de façon extravagante ma fête, j’étais plutôt déçue de ne retrouver personne.
Je quittai finalement la maison familiale afin de me diriger vers le centre-ville. Il faisait beau, aujourd’hui, et je sentis mes petites oreilles gigoter dans tous les sens en quête d’un bruit quelconque, mais il n’y avait rien d’autre que le silence. Il y avait toujours ces sales bêtes à plume pour déranger celui-ci. Le soleil était plutôt fort. Peut-être aurai-je dû amener avec moi un chapeau? Haaa, mais non! Pas de besoin! Je fis quelques pas puis lorsque je passai entre les deux arbres qui se trouvaient de chaque côté du petit chemin de pierre qui nous menait de la rue jusqu’à la porte de notre maison, j’entendis un petit grelot. Vivement et rapidement, je m’étais retournée vers l’origine du bruit. Ouhhh!! C’était excitant tout cela. Je me déplaçai silencieusement puis quand je regardai derrière l’arbre, il y avait là un bout de ficelle. Ficelle??! Un sourire illumina mon visage faisant au passage gonfler mes deux joues. Oh oui!! Ficelle!! Je bondis tel un chat sur ma proie déjà morte, mais celle-ci m’échappa. Quoi?! Oh non! Je ne te laisserai pas m’échapper. Plus j’essayais de l’attraper et plus le fil s’échappait de moi. Mais qu’est-ce qu’il pouvait bien se passer?! D’ailleurs, à aucun moment je ne pensais que c’était peut-être quelqu’un qui me jouait un mauvais tour.
Au bout de cinq minutes, je tombai nez à nez avec une petite tête blonde qui riait à cœur joie. C’était mon petit frère. À ce moment, je sentis une envie de meurtre monter en moi, mais je ne pus que lui offrir un sourire qui voulait tout dire. Quand il le remarqua, il détala comme un lapin et je le poursuivis tel son prédateur.
- Attends un peu que je t’attrape!! - Jamais!! Et c’est ainsi que je poursuivis mon jeune frère dans toute la ville. Il était plutôt agile le bougre. Enfin, peut-être était-ce aussi parce que je m’amusais bien ainsi et que je lui laissais une chance. Nous finîmes par nous rendre au centre-ville, là où je voulais aller de base, puis dès que je traversai la dernière ruelle, ce fut la fin pour moi.
« SURPRISE!! » hurlèrent en cœur tous mes amis et connaissances.
Je bondis dans les airs, effrayée, et je retombai sur mes pieds. J’avais la chair de poule. Tous mes poils s’étaient hérissés et mon cœur battait la chamade. Mon frère m’attrapa par la main puis m’entraîna vers le groupe. L’une de mes amies m’attrapa par le bras et me tendit une chope de bière.
« Tiens! Ne fais pas la tête et bois! » Je secouai la tête et la pris en main, puis je fermai les yeux. Mes parents avaient fait bien plus de ce que je ne voulais pas. Un profond soupir s’échappa de ma bouche, puis je pris une grande gorgée de bière.
« Haaaaaa! Ça fait du bien! »Je saluai tout le monde et les remerciai. Mes parents me dirent à leur tour de ne pas faire la tête. Je dus bien admettre que tout ceci me faisait bien plaisir au final. Mon anniversaire se termina bien tard et j’avais pris le soin de boire raisonnablement. Je ne vomis à aucun moment donc c’était tout à fait raisonnable pour moi!
Le lendemain, quand je me réveillai, il ne restait que moi et quelques amis allongés sur les tables où nous avions mangé. J’étais complètement lessivée et j’avais l’un de ces maux de crâne! C’était horrible.
Plus jamais! Plus jamais!