- Présentation du joueur IRL -
Prénom : Mathieu
Age :31 ans
Homme/Femme/Okama :Homme
Comment avez vous connu le forum : En cherchant un forum sur le net.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : 1h
Tes Mangas préférés : En cherchant un forum sur le net.
Tes personnage préféré dans One Piece : Ussop, Don quichotte
Ce qui t'a motivé à venir :Travailler mon écriture
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Disons que je risque d'être rouillé
Hobbys : Tuer des zombies
Autre(s) :- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Van Grugen, Hans
• Surnom (facultatif) :• Age : 35 ans
• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain
• Camp :Marine
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Mauvais
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Stratège
• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le ramen kempo ou le Fishman Karaté) :Siren Siren No Mie (Paramécia de la télépathie) (Niveau 3) [avec modification]
Permet de communiquer par télépathie dans l’esprit des gens. On peut transmettre
et recevoir des informations sans rien dire ou faire entendre des sons qui n’existent pas. On peut, par exemple fait croire à l’adversaire qu’une bombe explose derrière lui avec le son dans sa tête et ainsi le contraindre à se retourner et le déstabiliser. L’utilisateur peut également faire passer des bruits forts qui peuvent gêner l’ennemi. Il est également possible de faire confondre ses paroles avec les pensées de l’ennemi et ainsi partiellement influencer sa manière de pensée. Il est également possible de forcer les esprits très faibles mentalement à faire des actions basiques qui peuvent parfois être normal. Cela demande évidement une bonne dose de charisme de la part de l’utilisateur.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Voir le monde brulé
• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] :
◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]Notre antihéros est de taille moyenne soit 1.8 mètre et est plutôt maigre. Détestant toute activité physique, on peut en déduire qu’il n’est pas du genre à courir le 100 mètres et même à pouvoir le finir sans être essoufflé à la marche. Incapable de manier l’épée ou le pistolet comme il se doit. Il ne porte que sur lui qu’une dague qui semble être plus décorative qu’utile. Rien de bien méchant, car notre ami à des difficultés avec la dextérité de ses mains. Alors, tout ce qui est épée ou pistolet, il n’arrivera pas à les manier correctement. Du moins, s’il y arrive un membre de son équipe sera gravement blessé automatiquement. Un accident est si vite arrivé. Malgré tout pour faire des signes, il est plutôt habille avec son expérience dans la Death Squat.
Sinon notre ami porte le grand manteau blanc de la marine démontrant qu’il est un officier. Il a 4 grandes piques qui sortent de son épaule droite. Ces piques sont directement plantées dans on épaule ce qui l’empêche de lever la main droite très haut, mais lui donne en revanche plus d’amplitude pour son pouvoir. Sur son coude gauche, il porte le crane de Fritz son meilleur ami. Plutôt glauque, mais celui-ci vous convaincra que porter le crâne d'un ennemis, soit un pirate, peut porter chance dans certaine religion.
Hans a des cheveux noirs et longs qui cachent une partie de son visage, car c’est une manière pour lui de cacher ces véritables intentions. Sur son corps, on peut voir quelques cicatrices, car détestant l’humanité, c’est un réflexe pour lui de ce détester lui-même ce qui le pousse à s’automutiler. Dans la douche, il vous dira que c’est à cause de tous les hommes qu’il a perdu dans ces stratèges. Un homme perdu égale une cicatrice. Mais vous ne pourrez deviner qu’il vous ment en plein visage.
Il a toujours une gourde sur lui dans laquelle il y boit de l’eau. C’est un truc qu’un collègue lui a donné contre le mal de mer. Il en a gardé l’habitude même rendue au sol. Selon lui c’est bien de s’hydrater cela garde la matière grise des surchauffes.
◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]Hans comme vous vous en doutez est une personne très intelligente et peut-être même trop pour son propre bien. Il n’apprécie pas les relations humaines. Il a tout de même un ami avec qui il partage une même idéologie soit qu’il y a trop d’êtres vivant sur cette terre et qu’il serait grand temps de faire le ménage. S’il se tient avec vous, ne pensez pas que cela lui fasse plaisir. Vous faites partie de son plan ou qu’il essaie de trouver un moyen pour vous tuer.
Ayant vu un Buster Call de ces propres yeux, il a pu évaluer l’ampleur de la force du gouvernement mondial. Une puissance que pirate et révolutionnaire n’égaleront jamais selon lui. Manipuler cette force peut lui apporter beaucoup de moyen afin d’accomplir son but, mais attention pas question de se faire prendre.
Côté relation amoureuse, il n’a jamais ressenti quelque chose de tel et l’acte de reproduction va à l’encontre de son réel désir. La gente féminine sera déçue d’apprendre qu’elles n’auront aucune chance avec leurs charmes sur ce tueur né.
Avec une allure de tout ce qu’il y a de plus normal, vous ne pourrez pas croire qu’une personne aussi mauvaise habite ce corps. La rumeur vous dira qu’il est une des personnes des plus intelligentes qui travaillent au sein de la marine et lorsque vous le verrez pour la première fois, il vous semblera normal et calme. Il gardera toujours une distance que vous ne pourrez pas comprendre. Dans les fêtes, c’est toujours lui qui part le premier, car il n’en a rien à foutre des gens heureux.
Han n’est pas vraiment ce que l’on peut appeler un leader, mais son intelligence le place souvent à ce poste ce qui ne lui déplait pas. Il n’est pas du genre à se battre pour cette place, mais il trouve que c’est mieux que d’aller combattre. Chose dont il n’est vraiment pas habille. Sinon une chose qu’il aime c’est les parties d’échecs, mais vous avez intérêt à être un joueur de qualité.
Physiquement, incapable de tenir une épée ou un pistolet, il sait que son combat se mène autre part. Si un haut commandant l’envoie au combat, il préfère l’éviter ou simplement laisser l’autre partie gagnée tout en essayant de gagner une faveur en retour.
Pour ce qui est de ce Thule, Hans pense qu’il en sait un peu trop sur lui et qu’il doit faire attention. Il doit le trouver et l’éliminer à tout prix. Par contre, il devra le chercher et il se rendra vite compte qu’il y plus d’un Thule qui navigue sur les blues.
Manipulateur et mauvais, il sait comment marchent la plupart des humains. Il sait comment faire sortir le côté mauvais d’une personne et le pousser à faire ce qu’il n’aurait jamais pensé faire.
En gros, vous n’y verrez que du feu. Ce dangereux sociopathe n’a pas envie d’être votre ami, mais n’aura pas le choix que de vous sembler normal afin de cacher sa véritable envie de placer votre tête sur une pique tout en admirant le scintillement d’un monde en feu. Alors, faites attention à vous, je vous aurai prévenu.
◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]En voyant mon but, vous pensez surement que j’ai eu une enfance difficile ou terrible……. Non. Difficile de croire que je déteste l’humanité tout entière même si je suis moi-même humain. Mais pourquoi un rêve aussi terrible? À vrai dire est assez simple. On m’a demandé ce que je voulais faire dans la vie?
5 ansOn apprend au parent que Hans vient de passer un test cognitif. Les résultats bluffaient encore le professeur qui n’avait jamais vu un enfant aussi brillant. Hans avait arrêté de jouer un peu plus tôt dans l’année pour se lancer dans la lecture. Ces parents pensaient que c’était une manière de dire : « Je m’amuse à lire un livre comme font les grands ». Mais les parents n’avaient pas remarqué que celui-ci prenait des livres différents à chaque fois. Non pas de la grande lecture, mais tout de même, ces livres n’étaient pas faits pour un enfant de cet âge. Il lisait tellement qu’une pile commençait à grandir. Au fil des mois et que peu à peu la bibliothèque de la maison ne suffisait plus au jeune enfant. Hans les avait déjà tous lu.
Les parents heureux d’apprendre qu’ils avaient un petit génie avaient commencé à amener le petit Hans à la bibliothèque. Il dévorait et dévorait des livres tellement que les parents commençaient à s’inquiéter. Les livres étaient un bon apprentissage, mais apprendre à connaitre les gens ça ne s’apprenait pas dans les livres.
Hans devait pour chaque jour passé à la bibliothèque aller se faire des amis. Se faire des amis n’était pas son fort. Ils étaient tous aux stats primaires du bac à sable. Impossible de les sortir de là. En se comparent avec à eux, il prit conscience qu’il y avait une bonne différence. Il y avait un petit quelque chose de plus que les autres enfants n’eussent pas. Voulant être redevenir normal, ayant peur de ne pas être comme tout le monde. Il jouait dans le sable avec les autres enfants, essayant de se conformer, mais il en était incapable. Tout ce qu’il arrivait à faire dans le bac à sable s’effondrait en miette. Château, pont, mur tout ce qui était simple, il n’arrivait pas à tenir et s’effondrait sans prévenir.
C’est alors que le jeune écœurer de se faire semblant se tourna vers un vieil homme dans le parc. Celui-ci était devant un jeu d’échecs sans adversaire. Le vieil homme fixait le jeu d’un regard vide. Han se plaça en face de lui avec l’intention de jouer. Le vieil homme rit en voyant le petit enfant analyser le jeu, mais eu tout de même la gentillesse jouer avec lui. Les premières parties étaient simples et le vieil homme gagna facilement. Mais au fil des parties, il comprit que l’analyse du petit était basée sur des choix logiques. Plus que les parties avançaient, le vieil homme comprit que le petit Grugen était à la hauteur de pouvoir joué avec lui. Il dit au jeune Hans :
Bien jouer, je ne m’attendais pas à cela d’un jeune morveux de ton genre. Reviens demain pour une autre partie. Le vieil homme le prit sous son aile et lui mentionna que son nom Fritz Schmidt. Remerciant le ciel de lui avoir apporté un joueur de taille. Il fut présenté à la famille de Hans et celui-ci était devenu comme un second professeur pour le jeune garçon avide de connaissance.
10 ansÉtant le plus avancé de sa classe en y comprenant son professeur. Hans voulait débuter les études avancées. Son professeur et ces parents lui demandaient ce qu’il voulait bien faire de sa vie, car avec son savoir un univers tout entier se proposait au jeune garçon. Le problème était que même le jeune enfant ne savait pas ce qu’il voulait faire avec toutes ces connaissances. C’était pour lui tout un mystère. Voulant jouer sur sa force, la connaissance, le jeune ciblait des carrières à sa hauteur. Soit Médecine, avocat ou ingénieur.
Il commençait avec la médecine. Il dévora les livres et pouvait pratiquement les réciter par cœur. Ce qui prenait plusieurs années, lui le fit en 1 an. Durant les travaux pratiques d’opération, le petit n’arrivait pas à faire des incisions propres et nettes. Il avait un tic dans les mains lorsque celle-ci lui demandait de la précision l’empêchant de faire son travail correctement durant les opérations. Quoique rien n’était perdu pour ce domaine prometteur, il se lança dans la psychologie. Il continua à nouveau à lire tout ce qu’il pouvait sur le sujet. Mais rendu au niveau pratique, le jeune homme n’avait aucune crédibilité dans la jeune forme d’enfant qui donnait des conseils au plus vieux. Il lui aurait fallu attendre quelques années encore, mais Hans n’avait pas de temps à perdre. Il lui fallait trouver sa voie et vite, car il voulait exceller dans celle-ci et ainsi impressionner le monde entier. Il débuta les études afin de passer son barreau.
Ce n’est qu’à l’âge de 12 ans que Hans commença son travail d’avocat. Le métier d’avocat le passionnait. Lorsqu’il arriva à la cour pour défendre ces premiers clients. Il eut à faire la défense de dangereux criminel récidiviste. Grâce à des petits détails oublié durant les opérations de la marine. Pratiquement tous les clients du petit Hans avaient été acquittés parce que des exceptions ainsi que de vieilles réglementations n’avaient pas été suivies à la lettre. Son taux de réussite était tellement élevé que quelques malfrats de la ville voulaient que le jeune Hans traite leur affaire peu recommandable devant la cour. Voyant ce qui s’en advenait le jeune comprit que la justice n’a aucun sens si elle est ainsi faite. Il démissionna de son poste qui était pourtant prometteur.
C’est alors qu’il commença ces études en ingénierie, mais décourager de voir autant d’échecs, il ne poursuivit pas cette voie très longtemps. Il fit une pause pour réfléchir à tout cela.
Pendant une traditionnel parti d’échec avec Fritz. Hans perdait ces parties. Fritz était en train de penser que le jeune avait perdu tout son talent et tout son intérêt. C’est alors que la partie vira autrement. Les règlements avaient changé. Hans vu qu’une pièce n’avait pas été déplacée selon le pouvoir qu’elle lui était conféré. Il regarda Fritz dans les yeux essayant d’analyser et de comprendre. Il bougea une pièce à son tour de manière illégale. Il continua à analyser encore et encore. Il comprit ce que le puissant joueur d’échecs voulait faire. Il déplaça une pièce et puis il en ramena une autre. Il continua son analyse. Ce n’était plus une partie d’échecs. Au fil des mouvements Hans en déduit qu’il s’agissait d’un mode de communication. Cela prit quelques années pour Hans et Fritz pour se comprendre, mais au final il pouvait pratiquement savoir à quoi il pensait sans se dire un mot. Ils le pouvaient, car d’une certaine manière ils étaient pareil, deux génies devant un jeu d'échec.
15 ansL’ile voisine avait déclaré leur indépendance au gouvernement mondial, il y avait peu. Ils étaient franchement décidés à tout faire pour empêcher l’expansion du gouvernement. Ceux-ci nous menaçaient même, car nous n’avions pas répondu à leur demande d’alliances contre le géant bleu. Ils avaient commencé à produire de l’armement pour donner des moyens à la révolution. Le gouvernement avait eu vent de la situation et avait décidé de trancher.
C’était un jour d’été pendant que le jeune Hans était sous un arbre en train de lire. Qu’un premier boom se fit sentir et puis un second. L’adolescent se dirigeait vers ce qui semble être l’origine du bruit soit le dessus d’une colline en abord de la mer. Il vit une gigantesque flotte de navire de la marine entourer l’ile voisine. Ceux-ci bombardaient l’ile avec des tirs continus le minuscule pain de terre. Un sentiment parcourut l’échine du jeune homme. De la peur vous me direz, bien au contraire, du plaisir. Un sourire se dessinait lentement sur son visage. Ce moment de chao assourdissant avait pour effet comme d’une révélation pour le jeune homme. Celui-ci voulait que cela arrive plus souvent. En voyant toutes ces personnes mourir bruler dans des flammes ardentes ou fusillé à vu, il comprit qu’il aurait voulu y participer, que c’était sa nature primaire de tuer qui le dominerait toute sa vie. La douce chaleur de la brise qui soufflait les effluves de la dévastation croulait sur son visage. Hans avait enfin trouvé ce qu’il cherchait depuis si longtemps, une preuve de son existence. Son but qui se transforma à une fascination de la mort.
Maman papa j’ai trouvé ce que je veux faire. Les parents encore sous le choc du désastre.
Je veux devenir marine.C’est alors qu’il découvrir que quelques choses n’allaient pas avec ce garçon. Perturbés, ils demandèrent à Fritz, son meilleur ami, de le convaincre que ce qu’il venait de voir n’était pas bien. C’était même affreux.
Fritz invita Hans à jouer une partie d’échecs. Ils parlèrent du don que Hans avait reçu et de la trace qu’il avait envie de laisser au monde. Que son don pouvait l’amener loin voir même passer à l’histoire. Fritz comprit que la soif de connaissance et de mort était devenue une chose si impulsive chez le garçon qu’il lui demanda de lui faire une promesse. « Laisse la plus grande cicatrice que tu pourras sur la surface de cette terre, mon garçon. » Le jeune sourit face à son nouveau modèle.
C’est à 18 ans que Hans eut l’autorisation de devenir marine. Il avait tout étudié depuis des mois. Ce qu’il l’inquiétait le plus était les tâches physiques et les exercices peut-être qu’il trouvera une personne sur qui compter comme il l’a toujours fait. Étant bien entouré, il n’aimait pas la compagnie des autres, mais c’était le prix à payer afin de pouvoir tuer comme bon lui semble.
À 19 ans, on lui confia une section de 5 personnes dont ils étaient responsables. Ils firent l’entrainement ensemble et y développèrent un langage codé basé sur des signes afin que Hans puisse divulguer ces ordres sans que les autres marines puissent savoir de quoi ils parlent. Afin de pouvoir gagner diverses compétitions de tactique. Ce petit arrangement dans l’équipe leur valut un mérite de l’académie à la graduation de la marine.
25 ans Toujours avec la même équipe, ils s’étaient trouvé un nom : La Death Squat. Ceux-ci étaient destinés dans le rôle d’assassinat complexe. Du genre de tuer une personne qui est enfermer dans le bunker d’un bunker qui est lui-même dans un bunker. Le genre de mission où une personne, primée, s’enferme dans un lieu sur ou la marine ne peut pas mettre les pieds de force ou étant bloqué par diverse politique mondial. Le genre de mission impossible au premier abord, mais que lorsque Hans s’y attaquait les méchants ne faisaient pas long feu grâce au stratège ingénieux que notre jeune sociopathe.
Le dada de Hans était de donner le coup final lui-même. Un jour, tandis qu’il avait gagné et que Hans pouvait profiter de sa gâterie. Il y eut une embuscade. On avait mal informé Hans sur les troupes place. Entouré de toute par et tout côté Hans fit signe de la main à ces hommes qu’ils allaient tous mourir que c’était fini et qu’ils pouvaient choisir la méthode qu’il voulait pour terminé leurs derniers instants. Il y eut un premier tir qui fut bloqué par le premier camarade qui lui dit :
Va en enfer HANS…. Et lui fit un signe de la maine de faire le mort.
Puis tous se jetèrent sur notre anti-héros pour le protéger de la même manière aussi violente. Ils tombèrent tous sur le sol dans un tas tout en protégeant Hans des balles. Écrasé par le poids des cadavres, il étouffait. Dans les derniers sons qu’il put entendre, il entendit le nom d’un marine : Thule. Surement le nom du traite, mais pour le moment, il était trop tard. C’était l’heure du petit somme forcer.
30 ansJe me suis sorti de ce bourbier vivant. Grâce à des humains qui pensaient que j’étais leurs amis. C’est vraiment pathétique. Mais cela c’est tout de même avéré pratique d’avoir des amis. Je devrais toujours en avoir 1 ou deux sous la main en tout temps. Je regarde le port tandis qu’on me rétrograde, car cette affaire avait pris beaucoup d’ampleur. Dans le fond je m’en foutais comme des amis qui s’était sacrifié pour moi. Je regarde l’océan et me dit qu’il y aurait tant de choses que je pourrais faire sans la marine, mais lorsque je me remémore le Buster Call je me souviens de cette force dévastatrice, de cette chaleur se frottant à mon visage et me retient de partir.
Expliquant à mon officier supérieur, que la mort de mes camarades m’a affecté et que j’aurais besoin de repos. Il me demande où je veux m’en aller. Je lui dis :
Rep Town monsieur, c'est mon ile natale.C’est alors que je reviens sur mon ile natale. Quelle puanteur que celle de cette île. Il y a tant de vie au village que cela me pue au nez. Au moins, je vois Fritz qui m’attend avec un regard surpris. Je lui explique que c’était un bon moyen d’avoir des congés payé afin de pouvoir le revoir. Ils partirent dans le parc sans dire un mot. Friz sortit les pièces d’échec et les dépose sur la table. La discussion débute au travers du jeu d’échecs.
Hans comment avance ton projet.Lentement, je dois le dire je suis un peu déçu par un petit inconvénient qui m’a contrarié.J’ai quelques choses pour toi et ton projet. Grâce à cela tu vas pouvoir tous les duper.De son sac, il sortit un fruit du démon.
Hans sourit et lui demande combien cela pouvait bien lui coûter. Le vieillard lui répondit dans le jeu d’échecs.
Ton objectif se trouve à être le mien et tu disposes de plus de temps que moi alors il est logique qu’il te revienne. HANS détruit tout.Quelques mois plus tard Fritz mourut, sans pouvoir accomplir son rêve et laissant tout au jeune homme qu'il avait connu autrefois durant une partie d'échec. Une bonne nuit Hans alla à sa tombe et l’exhuma le corps de Friz. Il lui coupa la tête dans la débacle et parti avec celle-ci. En prenant bien son temps, il retira toutes la peau et tout organe pour ne laisser que le crâne. Crâne qu'il porte fièrement sur son manteau afin que son amis puisse voir la réalisation de son rêve tout en accompagnant Hans.
On m’a demandé ce que je voulais faire pour faire avancer le monde?
Le monde…. Ne doit-il pas bruler?
• Exemple de post RP : [Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues]Je viens d’être muté à Logue Town une petite ville tranquille où deux célèbres pirates ont fait grande impression à cette place soit Gold D roger et Monkey D. Luffy. Le QG est plein de nouvelles recrues et le dortoir des officiers est plein à craquer. Étant simplement de passage et n’ayant aucun équipage d’attitré, on m’envoie en ville dans un hôtel miteux. Une vieille dame me répond à la réception et me donne une chambre. Elle m’indique qu’il y a un chat dans la chambre et de ne pas y faire attention. Au prix, que je pais c’est un moindre mal. J’entre dans la chambre et aucun chat à l’horizon, je défais mes bagages. Je prends un peu d’eau et me délit les doigts quelque peu. Je décide de prendre une douche. Je retire mes piques et mes gants. J’enlève ma ceinture et mon manteau que je dépose sur le lit poussiéreux. Je retire mon chandail que je jette sur le lit.
Je me dirige vers la salle de bain crasseuse, mais pour le prix que j’ai payé cela fera amplement l’affaire. Je fais mine de rien. Je retire mes pantalons et mon caleçon me délestant du poids de tous mes vêtements. Je prends une douche froide. Les nouvelles cicatrices me brûlent au contact de l’eau glacée. Je prends soin de bien les frotter pour ne pas qu’elles s’infectent. Une fois fait, je sors de la douche avec une serviette en guise de pagne. C’est alors que je vois le chat dont la dame m’avait parlé. Celui-ci me fixe avec de grands yeux. Des yeux qui disent, je te déteste et tu ne me feras pas bougé de là, connard. Vous voyez le genre.
Soite, je me déplace et contourne le matou. Je commence à m’habiller pour la nuit et c’est alors que j’entends ce qui me semble être une folle nuit d’amoureux dont le bruit semble être le cadet de leurs soucis. Je regarde le plafond et des miettes de poussières dégringolent. Je me rapporte au fait que je n’ai pas payé cher cette chambre attitrée. Malgré le son agaçant de jouissance de cette truie en chaleur, je devrais normalement être capable de dormir.
C’est alors qu’en pleins milieux de la nuit j’entends la propriétaire de l’hôtel en train de parler toutes seules à son mari défunt. J’ouvre les yeux et voit le chat qui me fixe de ces yeux qui me disent je te déteste vraiment. Je me dis que s’en est trop. Il faut que je fasse quelques choses sinon, je n’arriverais jamais à dormir.
J’envoie des images mentales à l’homme de la pire chose qu’il puisse penser. Afin de ralentir son ardeur sexuelle. J’entends la femme se mettre en colère en voyant son homme impuissant. Le doux son de cette colère est tel que l’homme s’y met aussi dans un duo sonore sur le complexe ménage à deux. Pour la propriétaire, je lui dis mentalement que son mari l’attend dans l’au-delà et lui demande ce qu’elle attend pour aller le rejoindre. C’est alors qu’un silence inquiétant s’installe dans la chambre du bas. Il ne dure pas longtemps, car celui-ci se fait remplacer subitement par le bruit strident d’un pistolet. Cet accompagnement symphonique est relaxant et me permet de poser ma tête à nouveau sur mon oreiller. Ne reste plus que le chat, je ferme les yeux et m’endors en pensant à ces yeux qui me fixe en me disant « Je te déteste d’avoir détruit mon environnement » .
Le lendemain assez tôt, je me lève et m’habille. Je prends valise et chat. Au travers de l’enquête sur la mystérieuse mort de la propriétaire, je me fraye un chemin. Je me dirige vers le premier restaurant chinois où j’y dépose le chat où l’on me donne une petite somme pour avoir fourni en nourriture le restaurant.
Je me dirige vers la base de la marine et les officiers sont amusés de savoir que j’ai été dans un hôtel miteux de la ville. On me demande comment à été ma nuit. Je leur réponds :
Je n’ai pas aussi bien dormi depuis des lustres.Tout en prenant une gorgée de mon eau avec un sourire aux lèvres.