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| Commando des bâtards [ Privé Grey Michaelis & Van Grugen ] | |
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Van Grugen Guerrier en devenir
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| Sujet: Commando des bâtards [ Privé Grey Michaelis & Van Grugen ] Sam 14 Mai 2016 - 13:41 | |
| C’est avec grande déception que mon congé se termine. Ne pouvant l’étiré d’avantage je rejoins à marine à nouveau. Mon ordre de mission est de me rendre à Bicep town une ville minière qui veut déclarer son indépendance à la marine. Encore un coup de ces foutus révolutionnaires. Un bateau viendra me rechercher dans le courant de la journée pour me déposer sur le navire de guerre Tonnerre Tenor où je serais sous le commandement du capitaine Iroh.
Lors de mon départ de mon ile natale, je regarde l’ile voisine encore brulée des frappes du Buster Call. Peut-être que j’aurais droit de revoir ce fabuleux spectacle. Qui sait.
Le voyage est long pour se rendre à Bicep town, une ile dans l'Est blue, ce qui me laisse le temps de réfléchir à mon angle d’attaque. La situation étant que le petit village bloque l’entrée de la ville avec une loi de type blocus envers la marine ce qui empêche tout marine de pouvoir mettre le pied à terre jusqu’au vote décisif de déclaration d’indépendance. Le but de cette loi stupide est d’empêcher la marine d’influencé le vote des habitants de l’ile, mais en lisant d’avantage je trouve plusieurs failles à exploité, mais j’ai déjà ma petite idée reste à savoir si le capitaine Iroh sera d’accord.
C’est alors que l’on nous dépose sur le Tonnerre Tenor. Un navire de guerre impressionnant de taille et d’armement. Celui-ci pourrait détruire à lui seul la petite ile au moins 3 fois. Devrais-je réviser mon plan. Non, il faut que je pense à ma couverture. On nous aligne comme des poireaux sur le pont afin de faire les présentations.
Sergent Tyson - Artilleur
Matelot Yvan Dubois – Laveur et cireur de planches
Lieutenant Tralala – Infenterie
C’est à mon tour.
Sergent Van Grugen - Division stratégique
QWAAAAAA s’exclame le capitaine du vaisseau.
Le regard fixe, je ne bouge pas tout en gardant ma position du garde à vous.
J’ai demandé que l’on nous envoie de l’huile de coude et on m’envoie un avorton qui n’est même pas capable de lever un marteau. En plus, elle est où la moitié de votre équipe.
Avec votre permission capitaine puis-je m’exprimé?
Pas de ça avec moi, si tu as quelque chose à dire dit-le j’ai horreur du protocole.
Vous êtes ici depuis combien de temps, capitaine? Tout en gardant mon regard qui fixe l’horizon.
3 semaines à m’ennuyer à mourir.
Vous n’en avez pas marre, capitaine?
Qwwaaa.
Je peux vous garantir que je peux vous faire entrer sur l’ile et vous trouver les révolutionnaires qui s’y trouvent avant le souper, capitaine.
Qwwaaaa, veux-tu dire que je suis incompétent toi simple petit sergent de merde?
Mon opinion sur votre incompétence n’a pas d’intérêt et à vrai dire je m’en fou complètement. Vous avez le choix capitaine, rester en retrait comme vous le faites pendant les 3 prochaines semaines à attendre la déclaration d’indépendance de cette petite ile ou agir dans l’intérêt de la marine en gardant cette ile dans le regroupement du gouvernement mondial en nommant le petit sergent de merde de la division stra-té-gique officier supérieur dans le cadre des opérations. Ce qui me donnera le plein pouvoir temporairement pour cette opération.
Vous savez qwaaa, je l’aime bien ce petit sergent de merde, il a des couilles là où il le faut et j’aime ça des couilles. Je te nomme officier machin truc, bref comme tu as dis.
Merci capitaine pour ce commentaire complètement déplacé et pour cette nomination temporaire.
Je fais un pas en avant et regarde l’équipage sous mon contrôle. J’ai besoin d’un type qui fait de l’infanterie et disons que n’importe qui pourrait faire l’affaire. Ne voulant pas me forcer je dis:
J’ai besoin d’un garde du corps, on va sur l’ile.
Qwaaaa. | |
| | | Grey Michaelis Vétéran
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| Sujet: Re: Commando des bâtards [ Privé Grey Michaelis & Van Grugen ] Dim 29 Mai 2016 - 0:57 | |
| -... "J'aime ça les couilles"...
Moi, qui étais alors nonchalamment allongé sur une de mes barrières tendue en équilibre entre un tonneau et le sol, tombais instantanément à la renverse. Pas que je ne m'y attendais pas vu la lopette que c'était, mais quand même, j'aimais pas bien avoir des préjugés et j'aimais encore moins quand ceux-ci se révélaient vraies. Non mais c'est vrai quoi, le capitaine venait de dire, au calme, qu'il était gay où je venais de rêver ? En tout cas, ma chute fut plutôt bruyante, ou alors c'est le bateau qui était étonnement calme, le fait est que la majorité des gens se retournèrent vers moi, et en plus, on dirait qu'ils attendaient quelque chose. Enfin, c'est ce que leurs yeux, me fixant avec insistance me laissaient penser.
Non mais c'était de ma faute, hein ... Je l'avoue, j'avais trop pris la confiance, c'est dernier temps en prenant conscience de la puissance des pouvoirs que je venais d'acquérir en ingurgitant le Bari Bari no mi. Le fruit dès barrière... Dis comme ça, ça sonne tout claqué, mais j'avais accompli un exploit sur Smart Town en terrassant ce groupe de révolutionnaires. Ces hommes, et même ses putains de gamins que j'avais coursés dans cette ignoble ville putride devaient certainement se rappeler de moi. Alors oui en comprenant là puissance que je venais d'acquérir, en voyant qu'un de mes buts avait véritablement était atteint, je m'étais senti pousser des ailes, et je profitait d'un peu toutes les occasions pour manifester mes nouveau pouvoir, et m'exercer par la même occasion au maniement de ce fruit. Voilà pourquoi je m'étais effectué une petite couchette artisanale avec mes nouveaux pouvoirs.
Me relevant brusquement, tout en ramassant ma hallebarde qui traînait par terre, m'ayant suivit dans ma chute avec une certaine synergie, je me mis au garde à vous, et imitant les dernières actions du groupe avant la déclaration du capitaine, je déclarais :
-Lieutenant Grey Michaelis... Vigie ! Que puis je faire pour vous capitaine ?
Là, je me rappelais les dernières paroles du capitaine, et eu brutalement peur de la réponse de ce dernier. Je n'étais pas près ... Tellement pas près à subir ça... À laisser de côté, ma dignité et mon orientation sexuelle et ce même pour ma famille. Alors presque instantanément, je répliquais en baissant le regard pour ne pas capter celui du capitaine, allant dans le sens de Van sans pour autant avoir capté sa nouvelle nomination et sa demande :
-Désolé... Le bruit que j'ai fait en tombant ne m'as pas permis de vous entendre... Et je suis aussi Désolé d'avoir été aussi zélé en prenant autant mes aises... Je présume que vous avez remarqué mon pouvoir et que vous voulez que je m'en serve pour aller sur l'île en éclaireur afin d'espionner la population ? Ça marche ! J'y vais !
Dis-je soudainement, poussé par mon irrépressible envie de quitter au plus vite le navire pour mettre un peu de distance entre le capitaine et moi. Cette distance sera bénéfique pour dissiper tout les doutes et l'étrange amalgame qu'il y a eut. Sachant que je devrais quitter tous mes attributs de Marine pour la mission j'notais donc avec énergie ma veste sur laquelle était inscrit, dans le dos, le mot "justice". Puis je la jetais sans plus d'attention sur le sol, me délestant aussi de ma hallebarde que je posais, elle, plutôt délicatement en équilibre contre un mur. Oui, c'était déchirant pour moi, mais je ne l'emportais pas, une arme aussi massive était un frein pour l'exploration, et puis ne pas l'avoir, c'était une occasion de plus d'entraînement mon nouveau pouvoir et rien d'autre si des ennuis venaient à me tomber dessus.
-Voilà ! Ça devrait être bon, je suis prêt pour l'infiltration ! Staiiiir !
Dis-je en croisant l'index et l'annulaire de ma main droite, tout en marchant vers le bord du bateau. Une petite plateforme bleue apparu alors devant moi, suivant mon mouvement jusqu'à la balustrade du navire. Puis je m'immobilisais et elle en fit de même. Finalement, je m'installais dessus, comme on s'installerait sur un tapis volant, en tailleur, pour un confort optimum ! Lorsque je me retournais vers le reste de l'équipage pour leur dire quelque mot avant mon départ, je vis leurs visages emprunts d'un grand étonnement, le dévisageant tous, un peu intrigué par leur visage déconfit mon regard finit par se poser sur l'homme qui était face à ce groupe, plus en avant même que le capitaine et qui me fixait lui avec un simple sourcil arqué. C'était le nouveau ! Celui qui venait de répondre au capitaine. Que me voulait-il ? Pourquoi me fixaient-ils comme ça ? Et surtout pourquoi tiraient-ils tous ces tronches de trois kilomètres de long ? Ils avaient eu le temps de s'habituer à mon visage et mes cicatrices depuis le temps non ? Quoi que... Moi-même, j'ai du mal à m'y habituer alors je pourrais comprendre qu'ils aient eux aussi encore du mal ! Enfin quelque chose n'allait pas ... Vraiment alors comme un con, je demandais :
-Quoi ? J'ai une tâche sur mes vêtements ? Un bouton sur la gueule ? Un bout de salade coincé entre les dent ? Une coiffure de merde ? Racontez-moi, vous me faites peur !
Il y avait peu être aussi la possibilité que pour certain, voir la plupart, c'était la première fois qu'ils me voyaient utiliser un pouvoir ... Plus encore que ça, c'était pour certain la première fois qu'ils étaient confrontés à un utilisateur de fruit du démon. Mais ça bien entendu ça n'était pas entré en compte dans la balance de mon esprit. Enfin bref, j'allais surement bientôt savoir ce qui clochait, et vu comme j'étais à l'ouest et que j'avais manqué le plus important de l'entrevue entre le capitaine et le nouveau, j'allais surement apprendre qui était le réel instigateur de la mission.
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| | | Van Grugen Guerrier en devenir
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| Sujet: Re: Commando des bâtards [ Privé Grey Michaelis & Van Grugen ] Dim 29 Mai 2016 - 22:20 | |
| [hrp] Désoler si mon personnage te prendre un peu pour un débile. S'il y a un truc qui cloche tu peux m'envoyer un message[hrp]
-Lieutenant Grey Michaelis... Vigie ! Que puis je faire pour vous capitaine.
Je ne m’attendais pas à ce qu’un jour des abrutis tombe du ciel. Je regarde l’énergumène qui vient tout juste de se faire proposer par tous les regards de l’équipage.
-Désolé... Le bruit que j'ai fait en tombant ne m'a pas permis de vous entendre... Et je suis aussi désolé d'avoir été aussi zélé en prenant autant mes aises... Je présume que vous avez remarqué mon pouvoir et que vous voulez que je m'en serve pour aller sur l'île en éclaireur afin d'espionner la population ? Ça marche ! J'y vais !
Un détenteur de pouvoir du fruit du démon, intéressant. On dirait qu’il peut faire des barrières, je crois que je n’aurais jamais mieux comme garde du corps. Je suis surpris, mais mon visage ne démontre pas plus d’émotion face au pouvoir du jeune homme. Peut-être que cela est dû au fait que j’ai moi-même mangé un fruit du démon, mais contrairement au petit abruti, je ne veux pas que la marine soit au courant, afin de garder l’avantage. Tout l’équipage semble en admiration ou en totale fascination face aux démonstrations du nouveau pouvoir récemment acquis. Quelles bandes d’idiots.
Il fera l’affaire, capitaine.
Tandis que le jeune homme fait son spectacle avec son pouvoir. J’explique au capitaine que lorsqu’il aura le signal via l’escargophone central du navire celui-ci pourra envahir à sa guise l’ile sans craindre de la politique qui le contraint à ne pas aller sur l’ile. Je lui demande aussi de se préparer au combat à cette fin. Je lui conseille d’utiliser des moyens non-létal afin de bien paraitre devant les médias. Ce qui ne devrait pas poser de problème avec le nombre impressionnant de marins qui habitent ce vaisseau. Ceux-ci pourraient envahir 3 fois ile par la force sans problème.
Tandis que l’équipage s’active sur le vaisseau. Je ramasse le manteau au sol et la hallebarde du lieutenant qui n’arrive pas à se tenir en place. Ouf que c’est lourd ce truc. Avec mon calme ordinaire, je m’approche du lieutenant et lui tends son manteau et son outil de travail.
Qui a dit que c’était de l’infiltration que nous faisons? Dis-je au surexciter.
Écoutez, je ne vais pas y aller par 4 chemins. Votre enthousiasme, j’adore, mais il faut vous calmer. D’après, ce que je peux voir vous êtes un nouveau détenteur d’un pouvoir d’un fruit du démon. Vous en avez de la chance. Je souhaiterais avoir la chance un jour de manger un tel fruit et d’acquérir un tel pouvoir, mais je dois me contenter que d’être un sergent de la marine tout ce qu’il a de bien ordinaire.
Mais bien entendu, je mens. J’ai déjà un tel pouvoir, mais il n’est pas nécessaire qu’il le sache. Je me dirige vers une barque et prends place tout en y invitant le lieutenant.
De mon côté, j’ai envie de gagner et j’ai besoin de vous pour y arriver. Faites ce que je vous dis et nous allons gagner avec le moins d’effort et de mort possible.
Dommage, j’aurais aimé assisté à un nouveau Buster call, mais il faut que je me refasse une réputation afin de pouvoir peut-être un jour contrôler cette force destructrice.
Si vous avez un problème à ce qu’un sergent vous donne des ordres. Vous pouvez aller brailler dans les bras du capitaine.
Je ne suis pas sûre qu’il ait réalisé cette réalité encore, mais je ne pense pas qu’il aille s’en plaindre au capitaine. Je crois qu’il pense que le capitaine est homosexuel. Je l’ai remarqué avec le regard qu’il lui a porté tout à l’heure. Une sorte de regard de dégoût. Va savoir où il a acquis cette idée. Le capitaine déborde de testostérone et n’arrête pas de regarder les popotins de ces sergentes.
Ramez que je vous explique votre rôle.
Nous commençons notre avancée vers la côte ou je peux voir plusieurs personnes armées nous attendre.
Il va être important que vous vous affichiez en tant que marine, car ce n’est pas une mission d’infiltration, mais une mission humanitaire… Votre but principal est de me protéger contre tout ce qui peut m’arriver. Votre seconde mission…
Je laisse le suspense au bout de mes lèvres.
Insultez-les au maximum, poussez-les à bout, mais en aucun cas vous ne devez vous en prendre au civil physiquement, et ce même avec votre fruit des barrières. En aucun cas, jamais, jamais. Vous comprendrez où je veux en venir en temps et lieu.
C’est alors que nous arrivons au quai où un homme avec un fusil nous tient en joue et nous dit :
Vous vous êtes perdu marine... dit-il d’un ton loin d’être amical.
Bonjour, Je me nomme Hans Vans Grugen. Je suis l’officier supérieur dans le cadre des opérations. Vous êtes surement l’idiot du village. dis-je avec une arrogance proche du suicide.
Il arme son fusil et me le pointe en plein visage.
Nous venons selon la loi 3699-20-20 de votre ile qui stipule que le gouvernement mondial se doit de faire des vérifications à savoir si tout est en ordre du côté médical et qu’il ne vous manque aucun médicament. Ce même si vous êtes en cours d’indépendance. Voyez-vous, je suis médecin et ayant peur que vous ne capter qu’une chose sur deux, je vous présente mon assistant Grey Michaelis, il opère ma sécurité avec une hallebarde.
Un petit homme avec un livre vérifie mes dires et indique avec étonnement la véridicité de mes dires un peu plus tôt. L’homme au fusil désarme son fusil et nous laisse embarquer sur le quai avec amertume
Merci A-Bru-Ti. Lui dis-je tout en lui faisant un signe de main.
C’est alors que 10 autres personnes arrivent en renfort face au jeune homme à la hallebarde. Je dis sans gêne :
Lieutenant pensez-vous que vous aimeriez habiter sur une ile qui pu autant la merde? | |
| | | Grey Michaelis Vétéran
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| Sujet: Re: Commando des bâtards [ Privé Grey Michaelis & Van Grugen ] Jeu 2 Juin 2016 - 1:25 | |
| Ce mec, ce sergent qui discutait avec le capitaine et qui semblait être dorénavant en charge de la mission, était bien étrange. En effet tout l'opposait aux autres soldats présents sur le bateau. Tandis que tous laissaient leur opinion exploser en voyant mes pouvoirs, lui était de marbre, comme si pour lui ce n'était pas plus étrange que ça. Le principe des fruits du démon et la véracité de leurs existences ne semblaient pas être un secret pour lui, Surement avait-il vu plusieurs de ces fruits à l'œuvre ou plus encore peut être en possédait-il un ? Si c'était le cas, je le saurais rapidement, vu que manifestement, il était question que je me rende sur l'île avec lui et que je lui serve de garde du corps. Et pour le coup, le sergent avait réellement raison, j'étais la personne toute désignée pour occuper ce genre de place, car grâce aux barrières que je peux créer en croisant les doigts, je peux protéger n'importe qui de n'importe quel genre de danger, et ce, sans fournir le moindre effort physique !
N'empêche, ce type, il ne me plaisait guère. Il ne faisait démonstration d'aucun sentiment et pire que ça... Il était si hautain que ça en deviendrait écœurant, même pour moi qui était pourtant d'une rare patience. Assis sur ma barrière que j'arrivais à contrôler mentalement, je voletais doucement dans un sens puis d'en l'autre, suivant comme un chemin imaginaire que mon esprit c'était inventé pour faire les cent pas dans les airs. Je volais donc, écoutant cette fois-ci avec attention la discussion entre le commandant et le sergent. Ayant rapidement compris que le sergent m'accompagnerait' j'avais en conséquence agrandi ma barrière pour qu'il puisse lui aussi s'y assoir. Mais bien vite, les actions du soldat m'indiquerèrent qu'il se foutait bien de mon statut ou de mes pouvoirs, manifestement, il voulait tout faire à sa sauce... Suivre son plan de A à Z, même si cela signifiait prendre la barque alors qu'il avait un moyen de locomotion aérien beaucoup plus rapide ! Mais ça, il s'en foutait le bougre, car le gros crevard qu'il était ne comptait pas ramer... Ça non !
Et ça me taille sur mon optimisme... Mais comment peut-il parler d'une chose qu'il ne possède pas et dont il ne connaît rien, lui, ce mec blasé, froid, trop austère pour être réellement bon et généreux ! Mais bon, on a cessé de me rabâcher que l'habit ne fait pas le moine, que les apparences sont trompeuses, alors, partant de ce constat, je ne pouvais juger cet homme comme ça sans lui donner une chance de me montrer qui il était réellement. Je n'amais certe ni son ton incisif, ni ses réflexions déplacées, mais il avait de la chance, j'étais un gentil... Une personne singulièrement sympa ! Quelqu'un qui offrait toujours une chance aux autres de se rattraper auprès de sa propre personne, alors bon, peut-être que ma vision de ce sergent changera au fil du temps... Je l'espérais, car ça commençait plutôt mal.
Mais le pire, n'était pas le fait qu'il me prenne pour un débile, où que son hypocrisie se ressente à des kilomètres, non ce qui me faisait grincer des dents, du moins spirituellement, c'était qu'il ne dégnait pas m'accorder sa confiance, qu'il l'occulter ses plans et le but de notre excursion. Le fait d'obéir à un sergent ne me dérangeait pas, mais je n'aimais pas agir dans le flou le plus total. Je n'étais peut-être pas un génie stratégique, néanmoins, je n'étais pas con au point de ne pas comprendre un plan bien expliqué. Qu'est-ce qui lui empêchait de me parler, il ne ramait pas que je sache alors il pouvait bien ouvrir sa bouche pour me faire un topo, non ? Soit il n'en fut rien, j'eus juste le droit à des ordres sommaires aux origines plus que douteuse. Cependant, ce n'est pas Von qui me le dira... Je vais donc devoir me plier à sa volonté pour découvrir le but de ses manigances. Enfin, je ne suis pas obligé de suivre sa volonté à cent pour cent... Non ! Quoi ? J'ai bien le droit de m'amuser moi aussi, à le faire passer pour un con auprès des civils, non ?
C'est ce que je fis une fois que nous accostâmes après avoir passé un barrage de fortune tenue par des civils sur les nerfs !
-Vous trouvez que cette île pue ? Ahahaha ! Vous êtes une petite nature sergent ! Allez faire un tour à Smart Town et revenez me voir après avoir séjourné un jour seulement dans cet enfer olfactif... Enfin si vous arrivez à survivre aux nauséabondes émanations de cette ville, ce qui n'est pas gagné vu que vous vous plaignez de ce lieu où il fait bon vivre.
Mon silence de mort sur la barque, puis cette remarque n'allant pas dans son sens... Von avait certainement déjà compris que je n'appréciais pas vraiment sa façon d'être, ou pas du tout ! Ça se trouve, il en a tellement rien à foutre que ça lui passe au-dessus. Bref, en terminant ma phrase, je quittais le regard froid de mon collègue pour observer la ville environnante.
Il faisait beau, les bâtiments semblaient bien entretenu, et bien qu'une dizaine de gars s'approchaient de nous avec un air maussade fixé sur le visage, je commençais à bien apprécier cette ville, et j'avais de moins en moins envie de jouer au petit jeu des insulte auquel s'adonnait le sergent Von !
Cependant, en soupirant, je plantais ma hallebarde dans le sol et remis correctement ma veste. Oui depuis que mon nouveau collègue m'avait rendu mes affaires après que je m'en soit expressément délesté pour la mission, je n'avais toujours pas pris la peine de remettre mon uniforme correctement. Faut dire que c'est moi qui ais ramé tout le long ! Pour le retour, il se démerdera lui-même, hein ! Je n'allais pas ramer une nouvelle fois pendant qu'il se prélassait... Ça non ! Puis je me mis à m'étirer en baillant tandis que les hommes s'approchaient dangereusement. Mais il n'y avait aucune crainte à avoir, car l'index et le majeur de ma main droite s'étaient déjà croisés... Cela signifiait qu'une barrière, pour le coup invisible, c'était érigée entre nous et ces hommes.
-Degagez, Marine ! -On a plus besoin de vous ! Vous ne nous oppresserez bientôt plus ! -Ouai cassez vous en vitesse ou on vous vire d'ici à coup de pieds dans le derch !
Sans prononcer un seul mot, je me tournais en direction du sergent pour écouter la réponse qu'il allait donner à ses virulents interlocuteurs. Autant le laisser parler, lui, car il est le seul à avoir le plan en tête, et surtout, au final, moi, dans cette histoire, je n'étais qu'un figurant, un spectateur ... Un simple garde du corps ! Le reste de l'histoire ne dépendait plus que de lui, de ses termes, de ses choix... Nous verrons bien quel voie, a-t-il choisi ! | |
| | | Van Grugen Guerrier en devenir
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| Sujet: Re: Commando des bâtards [ Privé Grey Michaelis & Van Grugen ] Sam 4 Juin 2016 - 15:20 | |
| [hrp] Mon nom c'est Hans VAN Grugen[Hrp]
Des abrutis dans ma vie j’en ai connu, mais des comme ça jamais. Peut-être que j’avais surestimé la patience de mon nouveau collègue. C’est dur d’être né pour le travail de votre vie et ne pas résister à la pression de faire un truc totalement stupide. Je n’aurais jamais dû l’apporter avec moi. C’est comme si j’avais en main un marteau pour une opération au cœur ouvert. Ça fait des dégâts et ça salit partout et je sais de quoi je parle. De plus, celui-ci semble avoir un sérieux problème avec l’autorité. La marine ne doit pas avoir été son premier choix.
C’est alors que le lieutenant se fait entourer de par et d’autres par la milice de l’ile. Celui-ci se fait une barrière et ne fait rien. Bloquer comme un con, il ne peut pas interagir et celui-ci attise davantage ces paysans à nous foutre en dehors de l’ile sans avoir rien accompli. J’aurais aimé qu’il les tue afin qu’il étale davantage son incompétence et pour mon plaisir personnel, mais il m’a retiré ce spectacle, connard. Peut-être qu’il pense pouvoir battre les civils qu’il ne peut pas toucher, et ce même avec ces barrières. Je pourrais avec mon fruit du démon, mais à quoi bon jouer une carte que je peux garder dans mon jeu bien au chaud.
Il est vrai que je me fou totalement que le lieutenant ait le fruit des barrières. Avoir des super pouvoirs ne vous empêche pas d’être incroyablement idiot. Je suis capable de supporter le reste de l’humanité qui est juste attardée, mais ceux qui font exprès n’ont aucune excuse. Peut-être que notre Lieutenant a simplement besoin de ma confiance ou d’attention ou d’un truc que j’aurais à partager. Bordel de merde, que je n’aime pas m’impliquer personnellement. C’est tellement plus d’effort et je déteste faire de l’effort. Mais bon pas le choix, comme à mon habitude, l’homme intelligent va sortir tout le monde du pétrin. Brutis de marine.
Je débarque de la barque et fais quelque pas sur le quai. Je me dirige vers la situation délicate. Un villageois me met sa lame de baïonnette sous la gorge. Je reste impassible. Je regarde les yeux de Grey Michealis et personne d’autre. Je veux qu’il voit que même sous la menace, je reste impassible. Tout comme sur le bateau. Tout comme dans la barque. Tout comme présentement. Je dis aux civils qui nous menace :
Vous n’avez pas envie que nous soyons là et moi je n’ai pas envie d’y être non plus. Mais étant médecin avant d’être marine j’ai des obligations.
Cela étant plus ou moins vrai, car avant tout je suis un sociopathe et j’aimerais beaucoup voir la tête de la personne qui menace de sa lame, éclater contre un arbre.
Vous pouvez nous… me tuer en occurrence et des tonnes de marines débarqueront selon la loi de la protection des officiers supérieurs. Ne vous ai-je pas mentionné que je suis officier supérieur dans le cadre des opérations et que l’homme à la hallebarde que vous attaquez est un lieutenant donc un officier.
Par sa précieuse gentillesse, celui-ci vous a empêché de subir le courroux d’un Buster call. Une attaque totale contre une ile entière et ces habitants. Rien n’y survit. L’ile est bombardée dans par des canons qui ne cessent de hurler la mort. L’ile est brulée jusqu’au bedrock. Rien ne pousse après une telle destruction. Plus rien n’y vit. Il n’y a que le silence…. [pause]
J’entends encore le son des canons dans ma tête. Cela sonne tout comme une mélodie à mes oreilles.
J’ai déjà vu de mes yeux vus une telle attaque et je me suis juré de toujours trouver une autre solution, une alternative, une esquive. Une manière passive que l’utilisation d’une telle attaque. [pause]
Vous voyez le bateau en arrière de moi. C’est l’un des vaisseaux qui entoure l’ile les autres navires peuvent être en route dans l’heure.
Je prends ma gourde d’eau et prends une gorgée. Dire des mensonges comme un politicien ça l’assoiffe.
Tout cela pour protéger l’unité du gouvernement mondial et la civilisation tel que nous connaissons aujourd’hui. Dans laquelle vous vous vautrez de dans en criant révolution comme des enfants trop gâtés. [pause]
Le buster Call, cet homme vient de vous en sauver. Vous devriez ériger une statue de bronze ou de marbre de cet homme pour son initiative. Pour avoir protégé ce… votre village.
Peut-être que je vais un peu loin, car il faut l’ordre du Den Den mushi doré que je n’ai pas, mais cela ils n’ont pas besoin de le savoir. L’énorme bateau de guerre ancré dans la baie démontre que j’ai peut-être dit vrai. Même si ce n’est pas un véritable vaisseau de guerre de la marine, mais un simple cuirassé. Tout pourrait passer comme dans du beurre, à moins que l’autre abruti de marine veuille tout gâcher encore une fois, mais encore là c’est son choix.
Mon histoire semble avoir attendri le cœur de certains. J’arrive à voir certains hommes baisser leurs armes et je vois dans leur regard une certaine admiration pour le sacrifice de l’homme à la hallebarde. Je le fixe avec un air impassible tout comme sur le bateau. Tout comme dans la barque, tout comme présentement. Aucune expression, même si j’ai parlé d’un événement qui a complètement changé ma vie… Dans le mauvais, sens, mais j’ai embelli la fin pour ne pas éveiller les soupçons de ma vraie nature. Je pousse la main qui tient la lame j’avance vers le lieutenant, tout en gardant la même expression. Je dis au lieutenant dans un double sens qu’il pourra comprendre.
Parfois vaux mieux ne rien s’avoir toutes ces choses.
Dans le premier sens, je confirme à tous que j’ai vu une telle attaque et que cela m’a perturbé. En second lieux, je lui dis qu’il n’a pas besoin de savoir tout le plan pour en connaitre la finalité et que celui-ci n’a qu’à jouer son rôle et me faire confiance. Peut-être qu’il sera trop stupide pour comprendre. Je considère que son intelligence est aussi développée que celle d’un primate ou d’une noix de coco, pour le moment.
Tandis que l’ambiance se calme, nous sommes maintenant invités à rejoindre le village où une fête sera faite en l’honneur du lieutenant. Étrangement, on m’a invité à la fête. Chose que j’ai rapidement déclinée sous prétexte que j’avais un tuberculeux sur le navire et qu’il fallait que je m’en occupe après cette mission humanitaire. Ce qui est totalement faux. Je n’aime pas quand les gens fêtent le bonheur et la joie. En y pensant, cela fait longtemps que je n’ai pas été dans un enterrement. On m’indique que je pourrais faire mes vérifications à l’hôpital, afin de m’assurer que tout est fonctionnel pour le personnel médical et qu’il ne manque rien.
Je commence mon avancée sur l’ile. Après 100 mètres de marche, je demande de faire une pause. Je suis essoufflé. Je continue un autre 100 mètres et je prends une seconde pause. Je bois de l’eau. De grosses goutte de sueur perlent sur mon front. Pourquoi font-ils les villages aussi loin rivage? Pourquoi personne n’est fatigué. Ils ont tous dans les jambes et rien dans la tête? Bordel de merde. Vous ne pouvez pas m’aider? Ouff que c’est loin ce village de merde. Portez-moi s’il vous plait. En marchant et buvant de l’eau, nous nous rendons à mon rythme au village. Je suis totalement épuisé, il me faut une pause. Je m’assis sur un banc dans le centre-ville. Lieutenant à vous les commandes, faites pas trop l’idiot tandis que me repose. | |
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[Feuille de personnage] • Renommée: 200 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: Lieutenant
| Sujet: Re: Commando des bâtards [ Privé Grey Michaelis & Van Grugen ] Sam 23 Juil 2016 - 16:41 | |
| Je regarde le ciel assis sur mon ban. Tandis que Grey a décidé de se faire quelques nanas. Une ambiance de fête remplace vite l’ambiance de siège. Je regarde tous ces visages heureux, mais cela ne durera pas éternellement. Pas temps que je n’arrive pas à mettre la main sur les révolutionnaires qui foutent le bordel sur cette ile. Bon il est temps de travailler. *Siren Siren no mi audit de surface*Je me balade en ville et un flux d’information entre dans mon cerveau sans que personne ne se doute de rien. L’idée est de trouver le bon profil. J’entends des esprits en fête et cela me dégoute. On pense haut et fort que Grey est un grand marine. De plus, il semble en rajouter ce qui me permet de passer inaperçu au travers de la foule en festivité. Aucun ne mentionne mon nom, cela ne me dérange guère. Je n’aime pas être le centre de l’attention. *Wow qu’il est sexy, je l’aimerai bien l’avoir dans mon lit ce marine* pense une femme *C’est un véritable héros, j’aimerai lui ressembler* pense un petit garçon *Cela ne durera qu’un temps et je pourrais recommencer la révolution de ce village.* Pense un boulanger. Et de un, je regarde mon livre des primes et celui-ci ressemble étrangement à Jack au Pot. Il a une prime de 50 000 Berry. Un petit minable qui s’est infiltré sur cette ile afin de faire germer l’idée de la révolution. Il doit avoir des petits copains. *Maudit marine, c’est moi qui devrais être célébré. La marine n’a vraiment aucun honneur*Et de deux. Je regarde à nouveau dans mon livre des primes et celui-ci en vaut 25 000 Berry. Je continue mon trajet et je tombe un grand gaillard qui me bloque le chemin. Son humeur fait contraste avec l’ambiance actuelle. Je lève la tête afin de jeter un coup d’œil au visage empli de colère. Il fait quelques têtes de plus que moi et il est sur mon chemin. Lui vaut 75 000 berry. Bordel pourquoi ce n’est jamais simple. J’écoute ces pensées et il semble être le chef. Je range mon livre et pense à faire demi-tour, mais celui-ci me retient en me tenant l’épaule. Vous ne voulez tout de même pas manquer la fête que l’on vous réserve, officier supérieur dans le cadre des opérations.Toi mon salopard, tu ne manques pas de culot. Tu seras le premier. Tandis que l’on m’amène de force dans une ruelle. Le boulanger et son copain viennent nous rejoindre. Qu’est-ce que l’on fait avec lui? dit le boulanger Vous pouvez vous rendre maintenant et je serais indulgent. Dis-je Tu te crois être en mesure de négocier?*Vous avez le feu vert. Tirez à vue en même temps que les feux d’artifice* Penses-je à mon équipe C’est alors que des coups de fusil, venant du toit, résonnent dans la ruelle en même temps que les déflagrations de feux d’artifice. Mais attendez vous me direz que cela ne fait pas de sens. Quels gars? De qui je parle? Attendez revenons un peu en arrière. Vous vous rappelez sur le bateau. - Hans Van Grugen a écrit:
- Citation
Sergent Van Grugen - Division stratégique QWAAAAAA s’exclame le capitaine du vaisseau. J’ai demandé que l’on nous envoie de l’huile de coude et on m’envoie un avorton qui n’est même pas capable de lever un marteau. En plus, elle est où la moitié de votre équipe. Nous ne sommes pas les premiers marines à être arrivé sur l’ile. Comment pensez-vous que j’ai pu les convaincre de nous laisser entrer. - Hans Van Grugen a écrit:
- Citation
Nous venons selon la loi 3699-20-20 de votre ile qui stipule que le gouvernement mondial se doit de faire des vérifications à savoir si tout est en ordre du côté médical et qu’il ne vous manque aucun médicament. Ce même si vous êtes en cours d’indépendance. Voyez-vous, je suis médecin et ayant peur que vous ne capter qu’une chose sur deux, je vous présente mon assistant Grey Michaelis, il opère ma sécurité avec une hallebarde.
Un petit homme avec un livre vérifie mes dires et indique avec étonnement la véridicité de mes dires un peu plus tôt. L’homme au fusil désarme son fusil et nous laisse embarquer sur le quai avec amertume Mes hommes avaient comme instructions d’inter changé le livre avec un faux dont une loi spéciale avait été ajoutée. Je ne pouvais pas communiquer d’où le silence radio avec ceux-ci, mais tous avaient des instructions claires et précises. Mon rôle était de démasquer les révolutionnaires qui étaient présents sur l’ile grâce à mon pouvoir. Grey m’aurait été d’une grande aide à me protéger contre ces abrutis, mais celui-ci préfère faire la fête. Je me souviendrais de ce lâche, il m’en doit une cet abruti. Tandis que les balles fusent sur les révolutionnaires, je reste immobile. Une fois fini, je marche par-dessus les récents cadavres. *Merci Caporal. Amenez-les-moi pour extraction au bateau. Prenez la charrette du boucher pour apporter les cadavres. Cacher les cadavres auprès des carcasses de porc. Même s’il voit du sang tout semblera normal. Une fois, au navire n’oubliez pas de vous changer. Votre travail est terminé.*Je sors de la ruelle comme si de rien n’était. Je prends une gorgée de mon eau et regarde cet abruti de Grey faire la fête et cela me donne l’envie de retourner au bateau. La mission est un franc succès, mais je ne peux y retourner par mes propres moyens et je ne peux être aidé par l'un de mes hommes. Je prends un Den Den mushi et dit dans celui-ci: Passez-moi le capitaine?Missions accomplies monsieur, les révolutionnaires étaient sur le point de quitter l’ile. Nous les avons interceptés et tués. Mon équipe vous les amène. Préparez-leur un bon repas et envoyez-moi une escorte. Grey n’a pas fini de faire la fête.Qwaaaa. Déjà vous êtes un petit vite vite. Je vous envoie une escorte héhé.Je descends au port à mon rythme sans trop me fatiguer et prends quelques pauses. En pensant au désastre que cette ile a évité. J’aurais beaucoup aimé voir cette ile bruler, mais il faut que je gagne plus de galon. Il faut que je gagne plus en pouvoir. Une fois que j’arrive au port. Que vois-je? Cet abruti de capitaine m’a réellement envoyé une escorte. Soit des filles au caractère très sexy dans des uniformes très petits et très moulants en train de s’amuser sur la plage à s’arroser d’eau. Je me tape le front et me demande pourquoi cela ne m’étonne pas. Il faut que je joue le jeu. J’embarque dans le bateau et j’enlace une dame au hasard tandis que les deux autres rament en tentant de me montrer leurs plus beaux attributs. Le voyage est long, car les jeunes demoiselles ne savent pas ramer droit et s’amusent entre-temps à jouer à true or dare. Un genre de vérité ou conséquence. Un jeu pénible que je dois supporter et participer. True or Dare me dit une fille.Je réponds : True.Quand avez-vous déjà embrassé une fille?Je répond en prenant l’air embarrassé : jamais.Étant à mon tour, je choisis une fille et lui dits : True or dare.Elle choisit Dare. Pourrais-tu ramer plus vite? J’en ai marre de vos petits jeux. Non, il faut que tu joues le jeu. *Que va-t-il me demander? Il n’a pas l’air d’un marine pervers, mais je crois qu’avec mon Dare on va vite le savoir. Je me suis pas engagé dans la marine pour faire la cowgirl.*Que vais-je vais pouvoir lui trouver? Ce jeu m’exaspère bordel de merde. Elle semble ramer trop ce qui fait dériver le bateau d’un seul côté. Tandis que sa comparse qui se tient avec moi semble être de la même force que l’autre rameuse. J’ai trouvé mon choix logique afin d’arriver plus rapidement. Viens ici que je te cajole un peu.C’est ainsi qu’elle interchange leurs places. Je passe pour le bon gars pas trop pervers et un bon justicier. Même que le bateau se rend plus rapidement au vaisseau de combat. Les deux autres nous regardent et pensent que nous ferions un beau couple. Bordel de merde pas moyen d’être tranquille et de rester célibataire toute sa vie. Les femmes sont mon plus gros problème. Nous arrivons au navire assez rapidement et je vois que mes hommes sont déjà rendus et qu’il festoie sur le navire de combat. Je monte l’échelle et monte sur le pont. Mes hommes se lèvent et me salut, je les pris de continuer leurs festivités. Le capitaine vient à ma rencontre et me dit : Vous avez fait une belle prise aujourd’hui.En regardant les jeunes demoiselles qu’il a pris soin de m’envoyer et en faisant allusion aux 3 cadavres de révolutionnaires que je lui ai ramenés. Merci capitaine.Vous avez aimé l’escorte que je vous ai dégotée.Oui capitaine.Assez de formalités voulez-vous?Je dois vous avouer que je suis épuisé et que j’aimerai me reposer.Le capitaine tente de dire quelque chose que je coupe de suite. Seul, merci et bonsoir. Amusez-vous bien.Le capitaine reparti faire la fête. Hans peut l’entendre dire. Il a quoi votre sergent?N’y faites pas attention, il est comme ça. Voilà une nouvelle bière.Vous vous savez faire la fête.J’arrive dans le corridor de ma chambre et que vois-je. L’une des 3 cowgirl qui m’attendent à ma porte. Bordel, va falloir que je lui brise le cœur. Je n’ai pas que cela à faire. Monsieur Grugen.Bonjour… comment vous appelez vous déjà?Giny Larochelle. J’ai une requête à vous faire. Voulez-vous entré nous serons plus tranquille?Bon ça y est c’est parti, mais la curiosité me prend. Une femme de sont calibre pourrait marier un capitaine et celui-ci étant un homme à femmes elle aurait toutes ces chances. Pourquoi un petit sergent comme moi pourrait l’impressionner. *Siren Siren no mi audit de surface**Il faut que je quitte ce bateau. J’en peux plus. Le capitaine ne voit pas ma vraie valeur de sabreuse. Il préfère son bras droit complètement débile. Cela fait déjà 3 mois et je suis obligé de faire la petite infirmière de service en petite tenue. J’en ai marre de faire la cowgirl. Je me suis engagé pour exceller dans mon domaine. Je me suis engagé pour gagner. Cet homme semble être la personne qui me comprendra le mieux. Il n’est pas pervers et n’a pas d’arrière-pensée. Il semble être une bonne personne. Quitte à coucher avec lui, je quitterai ce navire.*Nous nous assisions sur le lit et elle commence à retirer son haut de blouson déjà très serré. Elle reste là un moment le torse à l’air en attente de ma réaction. Je me dirige vers la salle de bain et va y chercher une serviette. Qu’elle prend et enrobe la partie découverte de son corps. Je sais pourquoi vous êtes ici. Vous voulez quitter ce navire.Elle me regarde en prenant un air intrigué, car la situation ne se présentait pas du tout comme elle le semblait. Vous semblez être une bonne personne, mais vous faites erreur en retirant ceci.Je peux lire dans ces pensées et je pense qu’elle ferait une candidate parfaite pour ma squad. J’ai une proposition à vous faire qui inclus de vous faire partir de cet endroit et de vous permettre d’exploiter votre plein potentiel et bien plus encore.*Bien sure que je veux. Qu’est-ce qu’il me demande en retour.*Je monte une squad. [pause] Des gens extraordinaires qui ont le vouloir de faire mieux. De pousser un peu plus loin leurs limites. *N’importe quoi, ça l’air trop bien*Ce n’est pas la plus honnête... Elle ne fait partie d’aucun du gouvernement mondiale... et qui utilise tous les moyens pour gagner... Gagner les combats que les marines ordinaires ne pourront gagner... Une squad non officielle, mais qui existe pour le bien de la justice... Elle vit au travers l’excellence de ces membres.*Si ce n’est que cela où est-ce que je signe*Demain, venez sur le pont en tenu de combat je vais vous tester./* le lendemain */ Tandis que la fête avait battu son plein la veille. Van est sur le pont en train de manger une pomme. Le capitaine au travers ces subordonnés féminins et quelques détritus se réveille en même temps que le soleil qui commence à baigner le pont. Bien dormi capitaine Iroh. Je voulais justement vous parler d’une affaire.Haa ma tête, parlez moins fort c’est un ordre.Je veux défier votre bras droit avec une personne de mon choix. Dis-je tout fort. Haaa ma tête. J’ai dit moins fort bordel.Pourquoi? Parce que vous avez bu en service. BIEN SÛR QUE NON CAPITAINE.Vous savez que vous êtes chiant. D’accord où voulez-vous qu’ils combattent. Ici sur le pont avec votre bénédiction. Je crois qu’il y a assez de place.Bras droit bras droit viens ici bras droit. C’est alors qu’il apparut un homme très grand avec une hache digne de sa hauteur. On t’a défié.Je m’avance vers le grand homme que je regarde la nuque brisée vers le haut. Je vais te défoncer petit connard.Giny vous pouvez venir.Dans une tenue de marine réglementaire et un sabre à la main. Notre sabreuse fait son apparition. QWwwwooaa vous avez décidé de prendre une membre de mon équipage. C’est une blague. De plus c’est une femme. Elle va se brisé un ongle ou je ne sais quoi.Je veux bien combattre pour vous Sergent Van Grugen.Voilà… et si on pimente les choses. Si je gagne, vous signerez son transfert dans mon équipe afin qu’elle soit sous mon commandement. Sinon,Que voulez-vous?Je vous veux dans mon équipage. Vos stratèges me seront très utiles pour mes combats à venir et pour ma retraite.Marcher conclu.Je serre la main du capitaine. Je me retourne vers la jeune femme toute nerveuse. Cela va bien aller, vous verrez. Dis-je à Giny Tout le monde sur le pont. Cri le capitaine. Les deux combattants sont au milieu d’une foule grandissante. Le combat commence au coup de sifflet du navire de combat. L’homme commence par une attaque puissante verticale que la jeune femme esquive de justesse. Elle ne s’attendait pas à autant de puissance. Son regard est effrayé et elle n’a plus ces moyens. Elle semble être agoraphobie. Merde, il faut que j’intervienne. *Siren Siren no mi audit de surface**haha, elle est en panique ça va être du gâteau.* pense le grand gaillard *Trop de monde trop de monde, arrêtez de me regarder*C’est ce que je pensais. *On remet cela coups verticaux.**Je vais mourir**Bloque haut* pour Gini seulement C’est alors qu’elle bloque le coup puissant coup de hache, s’enfonçant dans le pont du navire. La petite Gini a du cran et de la force. Il me la faut dans mon équipe. *Trop de monde trop de monde.**Giny écoutez-moi. Écoutez-moi dans le fond de tes pensées. Calmez vous c’est un ordre.* La communication avec ce fruit est tellement rapide que le temps est virtuellement arrêté. Je suis là immobile à penser. *Grugen c’est vous que faites-vous dans ma tête?*J’évite la question en changeant de sujet. Je n’aime pas m’expliquer sur des trucs trop simples. *Vous ne pourrez jamais le battre si vous avez peur. Fermer les yeux.*Le temps avance un peu plus rapidement et la jeune femme s’exécute. *Dans les ténèbres, il n’y a qu’une sorti la lumière. Il faut la suivre et lui faire aveuglément confiance afin de trouver la sortie.*C’est alors que la jeune sabreuse voit une forme de lumière. La forme ressemble à deux gouttes d’eau. Elle est dans la même position que l’épéiste. Elle sent qu’elle doit bouger les doigts afin de bien comprendre. Elle imite le simple geste. *Bien**Suivez la lumière, je m’adapterais à vos mouvements.*Grugen sent que la jeune femme à totalement confiance en lui et qu’elle est prête. Le grand gaillard se dégage et se remet en garde. Hey capitaine, pourquoi pas pimenter les choses amener 3 autres combattants?Vous voulez augmenter la mise. Je veux 50 000 Berry supplémentaires de votre poche.Je tiens le pari.Escouade 4 allez-y.La jeune femme est encerclée. Je regarde la scène et mon équipe est prête. *Allez-y*La lumière esquive et frappe d’un coup de sabre net en diagonal. Puis se pencher à l’extrême vers l’arrière. Elle peut sentir un vent la frôler. Elle continue par l’arrière afin de faire une pirouette et amène son sabre avec force vers l’arrière où elle sent que celui-ci a planté dans quelques choses de vivant. Puis enchaine avec une roulade vers la gauche pour la suite reculer d’un pas. Elle se mit à courir et puis sauter pour faire deux pas sur un mur invisible afin d’assener un coup de sabre dans le vide. La jeune sabreuse se met en garde. Hans observe le combat et il ne reste plus qu’une personne. L’homme donne un puissant coup sur l’épée de la petite lame qui se brise. Je regarde la scène et trouve normal que l’épée cède suite à son second coup. Plan B. *Dégagez et reculez de deux pas vers l’arrière.*Le grand gaillard à a hache. Il est encore trop loin. Il faut qu’il se rapproche de mon piège final. Il faut le faire avancer un peu. La lumière recule d’un pas et puis d’un autre. C’est alors que le bucheron avance et tout d’un coup le plancher se brise sous ces pieds l’entrainant jusqu’à taille. C’est terminé. *Vous pouvez regarder le résultat.*La jeune femme ouvre les yeux et voit 3 personnes sur le sol et même une personne encastrer dans celui-ci où elle y pointe le bout de sa lame restante en guise de victoire. Encore vous me demandez comment, j’ai pu en arriver là à savoir comment tout allait se passer. Je n’ai aucune expérience en combat rapproché. Je suis même plus tôt nul. J’ai demandé à la jeune femme de fermer les yeux et je lui ai fait entendre du silence afin de bloquer sa peur des rassemblements. Pendant ce temps, j’ai été ces yeux et je lui ai transmis l’information à son subconscient afin qu’elle se dicte à elle-même les mouvements à faire. J’ai servi de filtre d’information. Pour ce qui est du plancher vous vous ne rappelez surement pas, mais j’ai envoyé deux de mes hommes scier celui-ci avant le combat afin qu’il tombe sous le poids de ce gros brutal. Voilà vous savez tout maintenant. Le capitaine est en furie, je m’approche de celui-ci pour réclamer mon dû. Il m’assène d’un coup au visage. Je sens que mes hommes sont sur les nerfs et qu’ils sont prêts à lui faire sa fête. Je tombe sur le sol. *Rester en dehors de ça* Penses-je à mon équipe Sale tricheur. Ce n’était pas juste. Vous saviez d’avance ce qu’il allait se produire.M’entrenir avec ce personnage m’est quelque peu pénible. Alors je vais faire court. Je veux mon dû, capitaine.Il hésite à me donner un second coup. Je m’approche tranquillement et lui chuchote à l’oreille. Mon dû où je vous poursuis pour harcèlement et vous envoie passer votre retraite dans la prison. Je suis sûr que je pourrais m’arranger pour que les pirates du centaure y soient. Il serait ravi de vous revoir.Effectivement, j’ai lu le dossier du capitaine et celui-ci avait été promu capitaine pour avoir capturé le capitaine pirate des centaures. Je ne pensais pas m’en servir comme moyen de pression. Vous avez gagné cette bataille, mais la guerre est loin d’être terminée mon garçon.Le capitaine se retourne et va à son bureau pour signer les papiers de transfert de la sabreuse et sort une liasse d’argent qu’il me remet en main propre. Je prends l’argent et l’assignation de Giny. Je dis en souriant: Merci capitaine.Je pense à mes subordonnés. *Préparer le bateau, notre mission est terminée ici.*Mes hommes se mettent au travail et dans le silence. Une fois que le bateau est prêt, nous quittons le vaisseau de guerre pour une nouvelle mission. Gini vient me parler. Sergent, je voudrais vous remercier…Pas besoin, il va vous falloir un nouveau sabre. Voilà 50 000 Berry, voyez ce que vous pourrez en tiré et bienvenu dans la Death Squad.Je me dirige vers l’avant du navire. La guerre est terminée capitaine.Je regarde l’horizon et prends un den mushi : Bonjour, c’est pour déposer une plainte anonyme... | |
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