Lumière Fidèle [Validé]

Sujet: Lumière Fidèle [Validé] Ven 20 Nov 2009 - 22:48

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~
Lumière Fidèle [Validé] Magnacarta2variation2

Nom & Prenom : Il sera révélé dans le rp.

Pseudonyme : Lucilla Fides,
Lumière fidèle qui dans la brume guide les Errants vers l'Accomplissement.

Age : On demande son age a une femme? N'importe quoi... je vous répondrai la trentaine!

Race : Humain... a quoi vous pensiez ?

Occupation : ChasseuSE de prime.

Rang Spécial : Lady Alpha

Physique :
Alors que vous admirez une nuit paisible et fraiche, un rayon de lune révèle une créature extraordinaire. Une allure de déesse, une beauté admirable, laissez moi vous décrire cet ange.

Petite et fine, mais capable d'innocence et de malice, tels sont les adjectifs adéquats pour décrire cette face. La tête de mon élue est assez petite, ni pointue ni joufflue, elle est au centre des deux. Sa bouche trône au dessus de son petit menton comme une porte blanche, dont les contours seraient de fines lèvres roses, mais souvent tributaires d'un rouge à lèvre... rouge! Elle est surplombée d'un nez triangulaire très peu prononcé, mais parfaitement géométrique ; la discrétion du nez fait le lit de yeux marrons foncés, qui avec un fort éclairage peuvent prendre une teinte un peu plus claire donnant l'effet d'iris larmoyants. Cependant cette petite tête est assez trompeuse, puisqu'elle soutient une chevelure plus qu'abondante. Sa coiffure consiste souvent en une longue natte torsadée. Une barrette marque la naissance de la natte, puis la torsion se prolonge presque sur les fesses. A la fin de la natte, au lieu de s'effilocher comme une œuvre de pacotille, elle se sépare en deux autres nattes, la fission est marquée par un ruban blanc nouée de façon originale et élégante. Il y a néanmoins un peu de rébellion dans cette arrangement, car une petite mèche glisse sur la joue droite de Lucilla, s'effilochant après un ruban blanc tout aussi bien attaché que le précédant. Les profanes pourraient surement voir de la suffisance dans ses traits si parfaits, mais il n'y a là que l'arrogance de la beauté qui s'est appropriée ce visage au teint caramel. Les grecques seraient surement enchantés de voir cette femme dans leur rang, ils croiraient recevoir la visite d'Aphrodite.

Cette petite tête tient sur un cou fin, comme tout le corps de la jeune femme. Elle n'a pas cette carrure guerrière qui déforme sa féminité par des muscles trop développés, son corps est absout de toute graisse pour être fluet et d'apparence fragile. Pour peu qu'elle penche sa tête en avant, vous pourrez contempler le jeu d'une de ses cervicales. Donc comme promis, le cou est le prolongement d'un torse fragile et fin, avec une poitrine néanmoins bien marquée, comme il se doit pour une femme du beau monde. Les épaules sont totalement dénudées, permettant par le caractère mince de ma dame de voir les mouvements délicats des omoplates. Vu que la plus part du temps Lucilla ne se couvre que de façon succincte, la partie supérieure de son dos est clairement visible mettant ainsi en valeur le tatouage noir que porte la jeune femme sur son bras gauche, il s'agit bien d'un dragon qui s'étend jusqu'au poignet de la muse ; hélas son avant bras est masqué par un brin de tissu qui l'enveloppe jusqu'au poignet. Là c'est un autre stratagème qui agrémente les mains effilées et gracieuses. Des anneaux métalliques entourent les poignets de Lucilla, ils sont plutôt épais et assez longs. Il y a trois pairs d'anneaux sur lesquels sont gravés des symboles peu communs. Il semble que ce soit des ponégryphes, mais ne sachant pas décrypter cette langue notre héroïne ne peut se prononcer clairement, toutefois d'autres détails sont plus évidents, comme les anneaux beaucoup plus fins, deux précisément, qui relient les mains entre elles, comme des menottes. Étrange non? Surtout qu'à ces menottes improvisées pend une lucarne en bois, sans verre ni feu. Au centre du "pavé de bois" siège ce qui semble être une bobine de fil, seulement c'est bien plus que ça. De forme ovale, cette chose est faite d'argent, et tout en étant assez solide possède un noyaux creux, avec une ouverture sur l'extérieur au "pôle nord"; de plus, au lieu de luire d'une lumière blanche c'est une lumière grisâtre qu'envoie cet objet en pleine nuit. Au pôle Sud est attachée une petite banderole où traine la phrase : Suivez le guide.
Revenons un peu sur le buste du mannequin. C'est un bustier masquant de justesse les seins petits mais néanmoins agréables qui sert d'habit à ce torse délicieux. Le tissu est lié derrière son dos par une unique attache, donnant une aspect très provocant à la princesse. Alors que le haut intriguant se propage un peu en dessous du bassin, un bas tout aussi intriguant fait son apparition. Enveloppant le pubis évidemment, le tissu se propage le long de la jambe gauche de l'élégante, cependant, là où on aurait pu penser à une symétrie apparait une innovation très fâcheuse pour un prêtre ascète. La partie droite de sa hanche est presque dénudée, laissant voir une partie d'un tatouage ressemblant fortement à une épée végétale. Des anneaux couvres de minces parcelles de peau, mais dans l'ensemble sa fesse droite est presque exposée à qui daigne la regarder! Une bande de tissu relie chacune des côtes de Lucilla, partant de l'une, et formant un grand arc de cercle pour arriver à l'autre. L'enjolivure descend néanmoins trop bas pour pouvoir masquer la partie dénudée de la jeune femme.

Provocante, sa peau aussi douce que la soie se plait à être exposée, mais ne voyez pas dans ce teint l'effet de quelques maquillages. Aussi belle qu'une geisha elle n'utilise cependant pas leurs artifices, sinon peut-être les sandales compensées qui supportent ses pieds. Mélange de cuir et de bois, ses chaussures sont de véritables joyaux. Le pied de la belle se pose sur un bois vernis, qui lui même repose sur un bois plus solide, gravé puis vernis, présentant ainsi des motifs de spirales merveilleux.

Caractère & morale :
Une créature dont le corps est si aisément exposé pourrait paraître facile, hélas ce serait une bien regrettable erreur de penser ainsi. Bien qu'elle aime être désirable, Lucilla n'est pas celle qui s'offrira au premier venu. Acceptant volontiers de montrer son corps qu'elle considère comme un œuvre d'art, à l'instar des grands tableaux, personne n'a le droit de la toucher sans son consentement. Il faut être au moins aussi parfait qu'un archange pour espérer caresser cette peau si tendre, sans recevoir les foudres de la tigresse. Ce comportement est bien celui d'une allumeuse, mais qu'il y a t-il de mal à se sentir belle, à être belle et à utiliser ses atouts? Un jardin magnifique se doit d'être regarder, par contre, seul ceux qui y sont habilités peuvent y pénétrer sans l'abimer, et il en va de même pour une femme.

Vous l'aurez peut-être deviné, Lucilla ne se gène pas pour manipuler les gens. Elle est une très bonne actrice, et peut passer de "la mine de chienne battue" à la "petite fille joyeuse", ou encore faire preuve des manières les plus nobles et ensuite reproduire les œillades d'une prostituée. N'ayant strictement aucune honte à contrôler les gens, puisque pour elle, quelqu'un qui se laisse manipuler est d'une certaine façon consentant, elle ne rougit pas de son comportement, et ce ne sont pas tous les hommes qui ont eu la chance d'être charmés qui s'en plaindront. En tout cas, cette femme sue une classe naturelle, alors qu'a t'elle à prouver? Rien. Bien que la plus part du temps elle agisse élégamment, rien ne l'empêche de faire autrement pour telle ou telle raison. Après tout l'élégance est une preuve de finesse, et lorsque l'on a le principal, à quoi sert le superflu? Bien sur, ses magouilles n'iront jamais jusqu'à prostituer son corps, mais elles frôleront cet interdit. Comme on dit souvent : Il n'y a pas à discuter du comment et du pourquoi, il faut juste prendre le chemin le moins ardu pour arriver à ses fins. Parvenue? Je vous l'accorde, mais encore une fois est-ce un défaut? Dans un monde totalitaire, tous les moyens sont bons pour le changer n'est-ce pas?

A... je ne vous l'avais pas dit, mais cette femme n'est pas qu'une vulgaire manipulatrice. Derrière ses airs bon enfants, derrière sa drague facile, derrière ses faux semblants d'ignorance se cache une âme de révolutionnaire. Forgée par le temps, Lucilla a compris que le monde n'est pas un bol de chocapic (AH AH AH), et que pour le changer il faut accepter de se salir les mains. Bien sûr qu'elle croit en des valeurs comme la liberté, l'égalité, et même l'honneur, tant est que ce dernier ne peut être placé en égalité avec la vie. Son esprit ne s'est pas corrompu avec le temps, il est simplement devenu moins patient. Elle veut changer le monde et pour cela est prête à tout ; sa volonté de fer blesse souvent son cœur, et bien qu'elle souffre de la tristesse comme tout à chacun, elle l'accepte dignement. Dans ce monde de héros, dans ce monde ou la volonté du D semble immortelle, des fourmis tentent tout de même d'échapper à cette triste continuité, et Lumina est l'une d'entre elles.

Ainsi la malice côtoie la grandeur dans ce petit corps et il y a d'autres choses à décrire, comme la fâcheuse habitude qu'a cette femme à monter dans les aigus quand elle s'énerve, ou encore la douceur avec laquelle elle traite ses subordonnés, cependant un être humain est bien trop complexe pour être totalement dépeint, alors je vous ai donné les clés, à vous maintenant de visiter le labyrinthe.

Fruit du Démon : Kage Kage no mi

Techniques Spéciales : A par une grande souplesse et des mouvements de danse Jazzy/Classique rien d'autre!

Rêve / But : Les rêves de petite fille sont durs à extorquer, et malgré sa vision métallique du monde, Lucilla rêve toujours de trouver son prince charmant. Sinon, elle espère également se réveiller un jour sous un soleil libéré de l'ombre du gouvernement.

Post RP : Doit en refaire un?

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Dim 22 Nov 2009 - 4:03

Histoire

Et ainsi meurt la plus Sage des Lumières.
Lumière fidèle, telle est son nom, celle qui dans le sang et la nuit brillait comme une étoile ténébreuse, celle qui, illuminant les ténèbres tel un phare, a usé son âme à la révolution pour finalement disparaître. Ce surnom prétentieux de Lumière Fidèle, elle ne l'a pas choisi, il lui a été donné. Elle faisait partie de ces gens qui aident leurs alliés jusqu'à la fin, de ses gens qui se démènent à ramener le corps des décédés, de ceux qui accepteront d'attirer l'attention le temps qu'on évacue un blessé. Capable de Guider ses partenaires dans les situations les plus sombres, elle n'a pas chercher ce pseudonyme orgueilleux, on le lui a attribué. Cependant, ceci n'est qu'une partie de la vérité, laissez moi vous comptez l'histoire que je pense vraie, ou du moins que je vous annonce comme vraie, maintenant est-elle véridique : Peut-être.

La guerre, immense campagne de propagande, de mort, de pleures , de sang, ce désastre a eu son lot de héros, comme les Survivants de Negara, mais il a eu surtout son tas de cadavres anonymes, morts toujours et encore trop tôt pour ceux qu'ils ont quitté. Les parents de Lucilla font surement partie de ces tas de viandes, ou peut-être finissent-ils leurs jours à l'écart du monde, en tout cas ils lui sont ôtés par l'espace, et peut-être par le temps. Ces joyaux indispensables à l'enfance lui ont été interdits, et c'est sans béquille qu'elle a du apprendre à marcher. Elle était déjà née avant la guerre, mais à trois ans... on a peu de souvenirs. On lui a dit que ses parents l'avaient confiée à contrecœur à sa mère adoptive, on lui a conté un portrait idyllique de ses géniteurs qu'elle n'ait pas prête d'oublier, mais qui comme toute chose s'effrite au cours des années. La jeune femme a vite arrêté d'être perturbée par son ascendance, et même si parfois leur image lui revient en songe, la blessure est cicatrisée. Six ans, c'est l'age qu'elle avait à la fin de la guerre. Le monde était dans un piètre état mais à l'époque elle ne s'en souciait point. Sa famille d'accueil, ou plutôt sa mère d'accueil avait plus ou moins réussi à échapper aux désastres de la guerre, tant mieux! Son enfance, la petite la passa dans un quartier pauvre comme il y en avait par millier après la guerre, entre l'école et la rue où elle jouait avec la "plèbe". Certes l'argent était une denrée rare dans son milieu, mais la joie abondait, la confiance, la solidarité, et toutes ses valeurs propres aux temps de dîme. L'enseignement était assuré par des agents du gouvernement. Dès leur plus jeune age, les enfants étaient endoctrinés à l'obéissance, assourdis de connaissances dogmatiques qui sevraient leur entendement et leur raison. Heureusement notre héroïne n'était que peu assidue en cours, et cette qualité fâcheuse en d'autre temps à éviter à son surmoi d'ingurgiter tous les principes de la Marine. Elle n'avait qu'une seule passion, la danse! Sa mère d'accueil, que j'appellerai désormais sa mère pour montrer l'importance de la femme à ses yeux, gagnait sa vie comme professeur de danse. Vous vous doutez bien sûr que en ces temps de crises ce métier n'était pas très fructueux, mais il y avait quand même quelques rares clients, et surtout il y avait une petite fille aux cheveux noirs qui s'essayait à la danse classique et au Jazz. Une vie de conte de fées, du point de vue de la paysanne, c'est ce que vécut ma déesse lors de son enfance. Une époque de sa vie qui la marquera à jamais, et inscrira en elle une confiance en inébranlable en l'humanité. Quand on a gouté au paradis, l'Au delà parait lointain et inutile. Le monde m'y du temps à se relever de la Grande guerre, mais l'histoire suivit son cours, et à l'âge de 15 ans le destin frappa soudainement à la porte de Lucilla. Elle qui alors vivait une vie innocente pris sa première leçon du "mal".

Sa mère devenait de plus en plus connue, et alors qu'elle faisait un de ses concerts un Marine de haut grade vint la voir. Il était charmant, musclé à point, poli, fringuant, cet homme avait un charisme et un charme fou qui évidemment ne rencontra pas une auditrice insensible. Eléonore, puisque c'est ainsi qu'on la surnommait, Elenore s'unit à cet être délicieux et fit entrer la vie en elle. Cependant, là où elle aurait du trouver son amant au réveil elle trouva une bourse de 5 000 berrys et ... du vide. Aurait-il? Courant hors de la chambre, harcelant l'aubergiste pour qu'il daigne se réveiller elle apprit à ses dépens que l'homme était parti assez tôt, prévenant qu'il ne reviendrait pas. Sur le coup, elle crut à une mauvaise blague, mais avec un peu de recul on voyait clairement la situation : Ce mec avait abusé d'elle, et comme une vulgaire catin elle avait eu sa récompense. Ce jour là, c'est sans un bruit qu'elle rentra à la maison, et aux ardeurs de la jeune adolescente elle ne répondit qu'un d'un soupire, et s'en alla dormir. Profitant du mutisme de sa mère, Lucilla entreprit une excursion nocturne au bar local avec ses amis. Aurait-elle pu se douter que c'était la dernière fois qu'elle voyait sa mère? Pouvait-elle se douter que le bisou qu'elle déposa sur le front de sa hôte était le dernier? Non... et c'est là l'art de la tragédie : Personne ne devance le destin.
Alors que notre adolescente festoyait avec ses amis un groupe de révolutionnaires entra dans la demeure de sa mère. Ils n'avaient aucune intention belliqueuse, et paradoxalement aux jeunes qui buvaient et criaient à tue-tête, les révolutionnaires étaient installés en silence dans le salon d'Eleonore. La marine avait organisé une battue, et leur repère découvert ils s'étaient réunis ici, comme... Convenu!? Celle qui était entrée en poussant un soupire, la danseuse, sortit de son mutisme et apparut dans le salon. Un "bonsoir Sophie" retentit dans l'assistance comme si... elle était dès leur?! La nouvelle pourrait paraître improbable, mais le fil de la conversation montrait bien qu'il n'y avait aucun doute. La mère de notre jeune héroïne n'était autre que Lumina Sophie, la Lumière sage de la révolution. Comme elle était loin de la vérité notre petite saute, buvant gaiement avec ses amis elle n'aurait pu se douter que sa mère guidait une des plus vaste et aboutie entreprise de rébellion : La Révolution. Apparemment, la marine était à leur trousse, et alors qu'il préparait une évasion, des lumières entourèrent leur ultime refuge. On pouvait entendre les murmures de voix, les aboiements des chiens qui retrouvaient l'odeur de leurs proies. Ils l'avaient entendu, cloitrer dans une maison, ils n'avaient d'autre choix que de se préparer au combat. Eleonore savait que la fin l'attendait, et étrangement elle se mit à rire, exactement le même rire que sa "fille" poussait dans un bar. Elle pensait à elle, elle pensait à son enfant, et lorsque les vitres furent défoncées par les assaillants, lorsque tous crièrent Miyamoto, la Sage Lumière ne cria pas, car le nom qu'elle avait en teinte était celui de sa fille, Stel...

L'avènement d'une Lueur Fidèle.
La fête était finie, et après quelques adieux succins l'adolescente pris le chemin de sa demeure. Les lueurs de l'aube se précisaient déjà dans le ciel, après tout elle était resté dé-saoulée avec ses amis. Elle marchait tranquillement sur le chemin du retour, les gens étaient encore endormis, vivant paisiblement leur sommeil dans leurs cases ridicules. En y repensant ce quartier était assez pittoresque dans son genre, mais peu importe. Ses pas la conduisait près de l'inévitable, et alors que ses yeux délicats se posèrent sur son "chez moi", elle ne vit qu'une case sombre aux vitres brisées et à la porte enfoncée. Vous vous doutez bien qu'elle se précipita à l'intérieur, cependant la jeune femme trébucha bien vite. A l'entrée de chez elle, elle tomba nez à nez avec quelqu'un, ou plutôt avec ce qu'il en restait. Son visage se retrouva devant une face inerte, froide...Morte! Allongée sur un mort, elle se releva en criant, et mis beaucoup moins d'ardeur à pénétrer dans la salle. Une odeur nauséabonde de sang et de chair stagnait dans l'obscurité si bien que Lucilla eut comme premier réflexe de vomir. Les lueurs timides de l'aurore lui permirent de distinguer des corps, et ainsi de ne pas trop les piétiner. Son coeur battait la chamade, elle même portait sa main à sa bouche, ses yeux lâchant déjà quelques larmes. Plus elle évoluait dans ce milieu, et plus sa respiration se faisait haletante, de plus en plus vite, elle expirait, elle suffoquait, elle étouffait, puis plus rien! Elle avait courut vers la chambre de sa mère et claquer la porte, retrouvant ainsi son calme. L'odeur était bien moins forte ici, et bien qu'elle était toujours angoissée sa respiration reprenait un rythme viable. L'enfant se posa sur le lit, sa main gauche touchant une matière onctueuse. Suivant le petit "ruisseau" que formait cette matière, elle toucha rapidement quelque chose de plus solide, un corps...ELLE! Un cri gargantuesque retentit, aigüe, plein de terreur, plein d'effroi, ce cri réveilla sans peine tout le voisinage. Les plus téméraires accourraient, mais notre héroïne ne bougeait pas, suffoquant sur place, ses cris devenaient de plus en plus espacés, elle vacillait, et tomba.

Trois semaines plus tard, une adolescente se tenait à l'entrée d'une auberge, ou plutôt à la sortie puisqu'elle semblait vouloir en sortir. Elle avait un visage sérieux, mélancolique, et surtout... triste. C'était bien notre héroïne qui avait séché ses larmes, et quittait enfin les gens qui avaient bien voulu l'héberger. Malgré tout, sa "mère" ne l'avait pas laissé seule, elle avait un héritage : une adresse. Ainsi elle marchait, pénétrant les coins les plus obscurs de la ville elle se rendit sur ce qui semblait être un chantier abandonné. Là il y avait un homme, si elle ne savait pas à qui s'adresser, cet être aurait pu passer pour un vulgaire mendiant cependant il n'en était rien. Lucilla lui donna 3 pièces, dont l'une d'elle portait l'effigie de Monkey.D.Luffy. L'effet fut immédiat, le pauvre lui attrapa la main, et la conduisit dans le chantier. Il n'y avait pas âme qui vive ici, juste quelques tas éparses d'objets diverses. Cela ressemblait assez à une décharge en fait, mais c'était loin d'être un vulgaire dépôt. Le déshérité la conduisit vers un tas de carton, et écartant les déchets il lui montra une trappe, et s'en alla. Vous vous en doutez, ceci était le nouveau repère de la révolution. Parmi les souvenirs que lui avait laissé sa "mère" il y avait... la vérité. Il y avait Lumina Sophie et son état de révoltée, il y avait la poursuite des marines, l'assaut de la maison... et une tache de sang qui signifiait sa mort. Notre adolescente avait tout juste 16ans, et elle entra dans la plus vaste organisation criminelle. L'accueil qu'elle reçut vu assez chaleureux, et les bas fonds de la ville devinrent sa nouvelle maison. C'est fou comme la vie n'est qu'un ensemble d'escales. Après avoir connu le bonheur humble de la pauvreté, elle connaissait maintenant le bonheur de servir, le bonheur d'aider, le bonheur des révoltés. Bien sûr, elle ne passa pas tout de suite de la déprime à l'extase, il lui fallut bien un an pour cicatriser sa blessure, mais elle avait désormais une nouvelle famille. Comme tout membres du rêve de Monkey.D.Dragon, elle avait du apprendre à se battre. Son style n'était pas particulièrement efficace, mais juste très élégant, car utilisant puissance et grâce par ses nombreux pas de danse. Elle a fait de nombreuses petites actions contre la marine locale, comme intercepter une cargaison d'armes, aider des pirates à leur échapper, un de ses meilleurs souvenirs restent cette fois où ils avaient saboter quelques navires, riants aux éclats en voyant les fières embarcations couler comme de vulgaires cailloux.

Une vie de petit brigand peut-être, et ben c'est la vie que vivait Lucilla, même si à cette époque elle ne portait pas encore ce surnom. Âgée de vingt ans, elle put enfin rencontrer le destin. La marine locale commençait à en avoir marre des sabotages et autres conneries, ainsi ils mandèrent des renforts, exactement le même scénario qui a tué sa mère. Conscients du danger, les révoltés décidèrent cette fois de prendre les devants. Ils allaient prendre la mer. Dit comme ça cela peut paraître anodin, mais à cette époque prendre la mer signifiait prendre son envol. Une fois qu'ils seraient lancés dans l'aventure ils ne pourraient peut-être plus revenir...et pourtant, sans aucune hésitation, tous approuvèrent. Il faisait nuit, un bateau modeste s'amarrait sur la côte Sud d'une île inconnue et il s'élança vers la vie, béni par des rayons de lune. A cette époque, notre belle avait encore des rêves plein la tête... hélas. Comme tout début, le commencement de leur épopée était un véritable conte de fée. Les rares marines qu'ils croisaient n'étaient qu'une bande de faiblard à peine digne de porter leur uniforme. Cependant ils étaient encore sur East blue, et avec un peu de chance il était facile de ne pas trop être embêté par la marine. Grand Line par contre était une tout autre paire de manche. Bien qu'en deux ans on puisse progresser, c'était largement insuffisant pour le voyage qu'ils comptaient entreprendre, et à peine passèrent-ils Reverse Mountain que leur équipage fut... décimé. Le totalitarisme du gouvernement n'était pas très étendu sur les Blues, mais sur Grand Line il était omniprésent. A peine eurent-ils parcouru quelques milles sur une des plus fameuses mer du monde, la marine leur tomba dessus. Ce n'était pas un cuirassé, juste un navire banale, néanmoins les occupants n'eurent aucun mal à "maîtriser" l'équipage des Révoltés. Alors que le navire paraissait hors d'atteinte, des boulets de canon tombèrent comme une pluie sur eux, et l'abordage ne servit qu'à achever les blessées. En sa qualité de femme, Lucilla fut épargnée, mais son sort n'était guerre plus enviable. Une captive aussi peu connue ne méritait pas un déplacement jusqu'à Impel Down, alors on la jeta dans la prison locale d'une île sans gloire ni valeur. Quoiqu'on dise, ce séjour lui fut très instructif, puisqu'elle comprit enfin la puissance qu'elle voulait affronter. Il ne lui fallut quelques mois pour sortir d'ici, usant de ses charmes sur un des geôliers elle l'avait dragué et pitoyablement dupé, le laissant sur sa faim. Afin de ne plus voir des gens à qui elle tient mourir sous ses yeux elle s'était entrainée. Personne ne sait le contenu de l'entrainement qu'elle subit en ce temps là, il parait qu'elle aurait travaillé sur un navire pirate assez connue, ou encore fricotée avec une certaine Apokalipso Works, ce qui est sûr c'est que la jeune femme que l'on retrouvera dans une opération de la révolution n'avait plus rien à voir avec l'enfant turbulente et faible.

Il était convenu d'attaquer un navire financier destiné aux gouvernements. Ils s'étaient entassés dans un vulgaire navire de pèche, et lorsque le cuirasser passa près d'eux, confiant en sa puissance, il ne prit même pas la peine de vérifier le contenu de la pitoyable bicoque. Cependant, c'est une cinquantaine d'hommes qui rugirent comme des Lions, et envahirent le cuirassé. Cela paraissait surement dérisoire, que pouvait faire cinquante hommes face à 400? Ne jamais parler trop vite... car juste après le cri, l'horizon se teinta de vert, et une multitude de barques arrivaient en direction du navire. Même là, tout n'était pas perdu pour les fiers marins, ils n'avaient qu'à en finir vite avec les Cinquante intrus et s'occuper du reste. Seulement il n'avait pas prévu qu'un démon aiderait l'ennemi, un démon qui comme Lucifer était magnifique, mais funeste. Cet être s'incarnait en une jeune femme, elle était habillée de façon partielle et provocante, ses mains liées dans son dos. De par sa souplesse, elle aurait pu aisément passer ses bras devant, seulement ils étaient déjà derrière alors pourquoi changé? Les premières balles la frôlèrent sans l'amocher, et alors qu'elle semblait planer tant ses mouvements étaient gracieux elle sauta entre quatre marines, et ceux-ci furent transpercer par des pieux noirs. Serait-ce... des ombres? Cette magie démoniaque était évidemment l'engeance d'un fruit, cependant voir Lucilla si à l'aise sur un champs de bataille était impressionnant. Après tout, elle n'avait pas passer deux années à s'entrainer pour rien... alors cela ne devrait choquer personne! Les ombres contre l'épée, les ombres contre les balles, les ombres contre le monde, les pauvres marines avaient-ils une chance face à cet ange mortuaire? Probablement pas... La nuit étendait le pouvoir de notre belle sur tout le navire, et alors que sa lanterne brillait d'une lueur argentée, Lucilla souillait le monde du sang des Tyrans. Ce fut surement lors de cette bataille qu'elle obtint son surnom Lucilla Fides, car parmi les cinquante hommes qu'elle guidait il n'y eut pas un mort. Certes il y avait des blessés, et également des morts dans les renforts qui étaient venus par barques, mais les cinquante alliés de l'Ombre n'eurent pas à donner leur vie. Ne pensez pas que la jeune femme avait été la seule héroïne à triompher d'un cuirassé, il y avait également un autre homme dans cette bataille, un être qui sera plus tard connue comme "Don Omega", mais qu'elle se contentait d'appeler... Mon Ami. Ils firent connaissance ici, et depuis ne se lâchèrent plus. On dit souvent d'un véritable ami que le simple fait d'être avec lui vous rend heureux, et ben c'était tout à fait cela. Les deux "héros" ne restèrent pas collés l'un à l'autre, mais ils devinrent des compagnons d'armes. Leur pouvoir était étrangement complémentaire, comme leur personnalité. Elle était ouverte et lumineuse, lui était plutôt fermé et sombre, elle possédait un pouvoir plein de ténèbres, alors que le sien était plein de pureté. Ce mélange hétérogène créa un oxymore des plus dévastateurs, mais étrangement le nom de Lucilla était toujours resté dans l'ombre. Parmi les révolutionnaires elle était assez connue, mais la marine occultait sa présence...la considérant comme un personnage secondaire. Tant mieux, car la discrétion est un superbe atout. L'homme aux multiples visages par contre avait plus de succès, cependant aucun avis de recherche ne put être fait avec son visage, puisque celui-ci ne fut jamais mis à nu. Ce fut donc deux ans de coopération, au cours de laquelle ils se rapprochèrent de plus en plus. Ils arrivaient même que l'un fasse des confidences à l'autre, d'ailleurs un jour... Lucilla manqua de l'embrasser. L'ambiance était propice à la romance, un claire de lune, le bruit des vagues, et alors que la Révoltée contemplait son allié, elle se rapprocha de plus en plus de lui, pour finalement arrêter son visage à quelques centimètres du sien. Ils étaient face à face, et s'il n'y avait pas eu le vacarme d'un coup de canon, leurs lèvres se seraient surement toucher.

Ceci dit, la vie ne supporte pas de s'engouffrer dans la monotonie, et aussi vraie que Zorro aimait le Sake, et que Sanji était un coureur de jupon, le destin nous fait changer de route. Elle avait maintenant 27 ans notre belle, et sa vision du monde avait bien évolué. L'innocence ne pouvait plus prétendre l'habiter car la petite sainte était maintenant beaucoup plus manipulatrice. Nous nous retrouvons lors d'un matin d'Automne, un homme accroché à un poteau, les mains liées, fixant une rangée de marines prêts à tirer. L'ordre tardait à venir, et finalement l'homme mourra. Étrange non... comment ils finissent tous ainsi? Tous les révolutionnaires de talents, tout ceux qui s'étaient opposer au gouvernement finissaient lamentablement par se faire attraper... Enfin, Le meilleur ami de Lucilla ne s'était pas réellement fait attraper, on raconte qu'il se serait rendu en échange de l'absolution des délits de Lucilla (après tout la marine n'avait pas comptabilisé ses actions d'éclats aux cotés du Brillant homme). Cela fut accepté, et malgré les protestations de la jeune femme son allié tomba... Depuis, Lucilla avait effectivement quitté la Révolution. Bien sûr, le gouvernement ne lui faisait pas totalement confiance, mais il était bien trop orgueilleux pour la considérer comme une menace. Cependant, personne ne remarqua qu'après deux jours le cadavre avait disparu... mais comment aurait-il pu s'en rendre compte, ils avaient jeté le corps dans une fosse commune. Je ne peux continuer à vous conter cette histoire, car la suite n'est pas encore écrite. On sait juste que Lucilla c'est fait un nouvel allié, Don Oméga, un homme lui aussi à plusieurs visages. Coïncidence? Ou s'arrête la vérité, ou commence le mensonge, la limite est très faible dans le domaine des ombres. En tout cas des choses nouvelles s'annoncent à l'horizon, une nouvelle organisation, un dragon à deux têtes répétant cette phrase : La Génèse et l'Apocalypse ne sont que les deux parties d'une même phrase.

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Lun 23 Nov 2009 - 1:26

Bon voila c'est fini!

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Lun 23 Nov 2009 - 22:19

Tu vas comprendre la difficulté du lvl 10 made in Celérion

assez petite, ni pointue ni joufflue => Manque une virgule après pointue
d'un de ses cervicales => C’est « une » normalement.
Vu que la plus part du temps, Lucilla => Il y a une virgule qui coupe la fluidité de la phrase
la tatouage noir => Masculin
mains effilées et gracieuse => pluriel oublié
cependant là où on aurait pu penser => Manque une virgule après cependant
pour arrivée à l'autre => infinitif mon vieux
qu'il y a-t’il => qu’y a-t-il
puisque pour elle quelqu'un => omission du verbe
est d'une certains façon consentant => Féminin oublié (et merci du s)
derrières sa drague facile => un s en trop
Bien sur qu'elle croit => sûr
pour cela est prête à tout => manque d’un « elle » ou d’une virgule pour la transition avec le début de phrase
la fâcheuse habitude qu'à cette femme => Verbe avoir pas à
rêves de petite fille sont dur => accord à dur
espère également ce réveillé => se réveiller
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les ténèbres tel un phare a usé son âme à la révolution=> Il manque pas un mot « un phare qui »
Ce surnom prétentieux de Lumière Fidèle elle ne l'a pas choisi => rajoute une virgule
de ses gens qui se démènent => Elle possède des gens ? C’est « ces »
laissez moi vous comptez l'histoire => infinitif
La guerre, immense campagne de propagande, de mort, de pleurs , de sang => pleures avec un e et la virgule
Les parents de Lucilla font surement parti => ce n’est pas le verbe partir, partie avec un e
leur jours => quand un singulier côtoie le pluriel
par l'espace, et peut-être pas le temps => Le second mot, c’est par, non ?
sans béquilles => Le néant côtoie le pluriel, encore mieux
Elle était déjà né => Il manque le féminin
avait pas millier après la guerre => pas et par, une grande histoire
toute ses valeurs propres => vive le s
des professeurs certifiés provenant tous du gouvernement => Bancal
Dès leur plus jeune age les enfants étaient endoctrinés => Mr virgule, au pied. PS : j’ai pas fait attention avant mais c’est âge et pas age
connaissances dogmatiques qui sevrait leur => Pluriel a retrouvé Mr singulier
Vous vous doutez bien sur => Comme avant c’est sûr
Une vie de conte de fée => Pas sûr mais on met s à fée
c'est ce que vécu ma déesse lors de son enfance => La déesse vécut (important)
et à l'age de 15 ans => âge encore
Sur le coup elle crut à une mauvaise blague => Tu n’aimes pas Mr. Virgule ?
ses amisl. => Un drôle de l après amis, faute de frappe
aucune intentions => Le néant trompe le singulier avec le pluriel, encore
les vitres furent défoncés par => féminin
Les lueurs de l'aube se précisait => C’est les lueurs qui se précisent
elle était resté = Tu as compris
A l'entrée de chez elle elle tomba nez à nez avec quelqu'un, => virgule
Allongée sur un mort elle se releva en criant => virgule
Elle avait courut vers la chambre de sa mère et claquer => Ce n’est pas l’infinitif
Les plus téméraires accourrait => pluriel
Trois semaines plus tard une adolescente se tenait à l'entrée d'une auberge => virgule

(Lucilla lui donna 3 pièces, dont l'une d'elle portait l'effigie de Monkey.D.Luffy => C’est pas une faute mais c’est très osé. Pas besoin de changer la phrase mais c’est assez fort.)

Bien sur, => encore
voyant les fières embarcations coulés comme de vulgaires cailloux.=> infinitif
ainsi ils mandèrent des renforts => Il manque le « de » de demander
Une fois qu'il serait lancé dans l'aventure il ne pourrait peut-être plus revenir...et pourtant, sans aucune hésitation, tous approuvèrent => C’est tout au pluriel
des rêves pleins la tête => pas un adjectif dans ce cas
leur équipage fut... décimer => accent aigu

(Merde, tu as passé la limite de tolérance pour le fruit selon mon barème orthographique)

une des plus fameuse mer du monde, => Il manque le s a fameuse
l'abordage ne servit qu'à achever les blessées => Que des femmes ? La chance
il ne prit même pas la peine de vérifié le contenu => plusieurs membres attaquer et infinitif
cinquante homme face à 400? => Ils auraient une chance avec un s à homme
Seulement il n'avait pas prévu qu'un démon aiderait l'ennemi => virgule
alors pourquoi changé? => Car c’est l’infinitif
sa vision du monde avait bien évoluée => avoir no accord
n homme accroché a un poteau => à
Enfin Le meilleur ami de Lucilla ne s'était pas fait attrapé => virgule + infinitif
Bien sur, le gouvernement => idem

On sait juste que Lucilla c'est fait un nouvel allié, Don Oméga => nouvel ? Etrange, je croyais que c’était ton ancien allié ?

Baisse le nombre de faute jusqu’à ma limite de tolérance (de 10 fautes minimum) et rajoute des virgules où il y a besoin (car je n’ai pas voulu tout mettre et tu auras ma validation). Pour t’aider, les fautes sont dans l’ordre et le trait au milieu indique la transition avec l’histoire.

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Lun 23 Nov 2009 - 22:28

Cel, je te trouve un tantinet difficile au vu de la longueur de la présentation.

"Errarum humanus est" toi aussi tu fais des fautes (et moi aussi!^^)

bref.

Lumière Fidèle [Validé] Valida10

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Lun 23 Nov 2009 - 22:31

Je lui ai pas dit de tout corriger, j'ai dit que cela dépasse ma limite de tolérance et il y a quelques sauts de phrase avec la virgule. Dsl, mais c'est le tarif que je mets pour un lvl 10. En tout cas, on pourra pas dire que je l'ai pas lu.

EDIT : Je sais que un autre admin va venir valider derrière sans qu'il édite (en référence avec d'autres fruits "aussi puissant" qui ont été validé à l'arrache.) Mais, je préfére être franc avec moi-même et dire que c'est mon standard à moi. Il est pas loin de mon standard ce membre, une édition est c'est bon. Je dis cela en pensant à quelques présentations dont j'aurais rien accepté. Rien que pour cela, il peut être fier.

EDIT2 : Ce perso n’est pas une chasseuse de prime mais une révolutionnaire avec cette histoire, non ?

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Mar 24 Nov 2009 - 1:23

Saluttt!!!

Oulalah T.T, j'ai vraiment très très très très très très très honte d'avoir fait autant de fautes, et je suis consciente du fait que ça a du te piquer les yeux Célérion, désolé!

Je te remercie d'avoir ainsi recensé mes fautes pour me rendre la tache plus facile, et par marque de respect j'ai tout corrigé, sauf certaines fautes que je ne considère pas des erreurs. Apparemment nous n'avons pas la même façon de voir la syntaxe! En fait c'est vrai que les quelques virgules ont permis de rendre mon texte plus aérien/aéré, ceci dit je n'aime pas vraiment mettre de virgule en début de phrase, mais pour avoir essayer je pense que je vais choisir ton option! Néanmoins j'ai tendance à jouer parfois sur le rythme des phrases (à leur donner volontairement une certaine monotonie et longueur pour appuyer le sens), mais là j'ai exagéré!
Hum... pour mandèrent je faisais allusion au verbe Mander dans le sens : faire venir quelqu'un, lui faire avis/ lui ordonner de venir.

Désolé encore pour les fautes... je pense que j'aurais du me relire avant de poster lol, et la prochaine fois je le ferai parce que là... j'ai trop HONTE T.T

En ce qui concerne la fin de l'histoire je vais éclaircir :

Don Oméga ne s'appelait pas Don Oméga pendant la révolution, j'ai précisé que c'est ainsi qu'on l'appellera Plus tard. Grâce aux pouvoirs de l'ombre nous (Lu + Don) simuler sa mort en échange de l'absolution des délits de Lucilla (car ses crimes étaient, aux yeux de la marine, ceux de Don et Don en portait l'entière responsabilité). Ainsi la marine croit qu'un révolutionnaire turbulent est mort, et que l'autre a cessé toute activité!
Cependant Don n'est pas mort, et il revient voir Lucilla sous l'appellation officiel de Don Oméga (c'est pour ça que j'ai parlé d'un nouvel allié, tout en sachant que j'ai utilisé le pseudonyme Don Oméga tout le long du texte, pour que ce soit évident que Don est en fait le révolutionnaire qui aurait du être mort). Toutefois j'aurais pu mener mieux la chose, et je m'en excuse si j'ai emmené une confusion.

Pour conclure, mon histoire est effectivement celle d'une Ex révolutionnaire.

Ps : Merci Cyanure pour la validation, et merci Célérion de m'avoir montré ma négligence. A l'avenir je me relirai avant de poster (et je rendrai mon texte un peu plus aéré).

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Mar 24 Nov 2009 - 20:21

Je valide mais il faut me dire si c’est bien le groupe de chasseuse de prime que tu veux. Car, ton histoire, c’est de la révolution pur et dur.

Sujet: Re: Lumière Fidèle [Validé] Mar 24 Nov 2009 - 23:16

Oui Chasseuse de prime!
L'histoire est celle d'une ancienne révolutionnaire qui a cessé ses activités pour devenir chasseuse de prime.

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