Sujet: Narcisz Szmanda [En Attente de Validation] Mer 10 Fév 2010 - 16:09
Narcisz SZMANDA
Âge: Vingt six ans Sexe : Masculin
Race: Humain Occupation : Marine Métier : Espion / Éclaireur ; Ne court aucun danger, même dans les lieux les plus mal famés grâce à son fruit du démon ~
Fruit du Démon : Tsuin Tsuin no Mie : (Paramecia du jumeau - Niveau 7) L'utilisateur se dédouble instantanément lors de l'ingestion de ce fruit. Les doubles ne possèdent pas une conscience qui leur est propre : l'utilisateur EST les doubles, et les gère de sa seule conscience. L'utilisateur prend conscience du ressenti des deux corps en même temps (vue, ouïe, etc.). Comme un humain normal gère deux bras et deux jambes, l'utilisateur gère deux corps en même temps. /!\ : L'utilisateur ne peut mourir que si les deux corps sont tués dans les 24h qui suivent le premier décès. Passé ce délai, un nouveau double est généré à partir du second corps.
# Histoire
Dans un passé proche...
Qui est ce singulier personnage habillé d'une veste noire et d'une chemise blanche immaculée laissant voir son torse, d'un pantalon noir et d'un chapeau tout aussi noire affublé d'une étoile à six branches, identique en tous points au tatouage entourant son œil droit, on ne peut que se demander la nature de cet homme. Surtout lorsque l'on croise la lueur démoniaque que projette son regard glacial et froid, promettant assurément votre languissante et douloureuse mort. Pourquoi vois-t-on l'esquisse d'un sourire apparaître au coin de sa tendre bouche ? Autant la vision de ses yeux vous révulse, autant la vision de ses lèvres vous attire... Quel est cet être contradictoire ? Sa bouche se crispe, il ressent une gêne. Que lui arrive-t-il ? Son corps tremble, il ne semble pas souffrir pour autant, comme s'il était habitué à la chose. Puis, soudain, son corps se déchire en deux pour finalement former deux êtres indistincts : des jumeaux, voire même des clones : ce qui est sûr et certain, vous voyez désormais deux personnes qui ne font qu'un. Narcisz Szmanda, utilisateur du fruit du démon Tsuin Tsuin no Mie. Maintenant, vous le reconnaissez. Vous prenez vos jambes à votre cou et vous fuyez, en vain... Vous courez, courez... Les bruits de ses pas font un vacarme dans le silence de la nuit. Est-ce vraiment lui, ou n'est-ce pas plutôt le sang battant ses tempes ? Stop. Immobile. Vous tendez l'oreille, puis... Rien. Plus rien. Non, voilà qu'il vient le bruit incessant de ses pas lents s'approchant minute après minute de sa cible, du futur cadavre. Vous n'attendez pas plus, vous reprenez votre course effrénée... Pour aller où ? En sécurité. Est-on réellement protégé de ce monstre quelque part sur cette terre ? Non. Vous êtes perdu. Cette fois-ci vous ne vous arrêtez pas pour prêter l'oreille au bruit sourd de ses pas, seulement vous n'avez plus la force. Plus d'espoir. Peut-être que finalement le dicton disant "l'espoir fait vivre" était-il justifié. Qu'importe. Cela n'a plus d'importance, plus rien n'a d'importance. Le rythme s'accélère, pourtant vous n'écoutez plus. Vous avez d'ors et déjà abandonné vos sens. Deux ombres semblables vous dissimule à la lumière, elles jouissent de cet instant. Magie, les deux silhouettes maléfiques rient toutes les deux du désespoir du petit être devant eux. Maintenant, ils vont pouvoir s'amuser et profiter de ce superbe instant où une âme passe de vie à trépas.
Reprenons les présentations si vous le voulez bien. Narcisz Szmanda est le personnage que vous venez de voir à l'œuvre. Qui est-il ? Je vous propose maintenant de répondre à cette question posée précédemment. Il serait né sur le plus vaste des océans du monde : Grand Line. Certains murmurent qu'il serait le fils d'une diablesse de pirate morte lors de la bataille de Negara, ou encore qu'il serait un orphelin traumatisé, ... Enfin bon, si on devait accorder du crédit à tous les ragots de taverne... Que deviendrait-on ? Pas grand-chose, je vous l'accorde volontiers. Par contre, il est avéré que neuf ans plus tôt à la suite de la bataille de Negara, une série de meurtre particulièrement cruel et inhumain. On parle bien d'une série, puisque toutes les pauvres victimes ont été tuées selon un même ordre opératoire. Durant neuf ans, les meurtres ont été perpétués sans interruption. Seulement aujourd'hui enfin plutôt hier, la vérité a enfin éclaté au grand jour ! Le petit incident décrit ci-dessus a pu vous être rapporté grâce au témoignage incongrue de l'enfant de la malheureuse victime. Depuis, la responsabilité de tous les meurtres de ces neuf dernières années, a été endossé par Narcisz Szmanda. D'un autre côté, ceci est on ne peut plus juste, puisqu'il en est effectivement l'auteur. Pourtant, ce qui reste étonnant, c'est que les autorités le pourchassent sans pour autant lui attribuer une quelconque prime. Peut-être est-ce dû au fait qu'ils ne soient pas certains de l'identité du tueur, ou qu'ils n'ont pas réussi à le prendre en photo, ou de le voir suffisamment pour lui faire un portrait digne de ce nom. De toute manière, Narcisz Szmanda lui n'en a que faire, je me demande même s'il a conscience qu'on le recherche activement sur toutes les mers, mais il n'a pas trop à s'inquiéter actuellement, car quasiment personne n'a la capacité de pouvoir mettre son visage sur celui du tueur. Donc la vie est belle et le sang peut continuer à couler à flot. Narcisz Szmanda continue ainsi son voyage d'île en île sur son petit rafiot pouvant à peine le contenir lui, deux rames et un minuscule mât muni d'une voile trouée. Ce courageux navire porte le nom de Nesus. Ne me demandez pas pourquoi a-t-il choisi ce nom, autant essayer de comprendre le langage d'un escargot en furie depuis neuf ans... Bref, passons. Nous voilà enfin arrivé au présent. En ce moment même où j'écris ces lettres, notre Narcisz vogue sur les flots de Grand Line, sans Log Pose. Et oui, j'ai bien "vogue" et non "navigue", notre tueur est loin d'être un navigateur expérimenté, et donc va au hasard d'île en île et y s'amuse, à sa façon... Même s'il n'y a pas pensé, puisqu'il ne sait pas être recherché, il y a alors peu de chance pour que les marines puissent le capturer, volontairement du moins. Notre petit voyageur en herbe a quitté depuis déjà plusieurs jours l'île où il a commis son dernier méfait qui vous est connu, et il n'a toujours pas aperçu la moindre parcelle de terre, ou les voiles d'un quelconque navire. Ces doux moments de tranquillité, de paix était ce que préférait Narcisz. Et oui, même s'il paraît être un meurtrier sans foi ni loi, plus cruel qu'un monstre, il éprouve tout de même des sentiments. Des sentiments qui ne datent pas d'hier, il lui arrive de plus en plus souvent ces temps-ci d'oublier le pourquoi du commencement, la raison de son voyage interminable sur les mers. Quelles sont les raisons qui le poussent à tuer toutes les âmes qui croisent son regard ? Pour cela, il nous faut remonter le fleuve capricieux du temps...
Dans un passé lointain...
Neuf ans plus tôt alors que la bataille de Negara entrait dans le dernier acte de sa représentation, un jeune pirate de seulement dix sept ans s'apprêtait à découvrir le contenu d'une lettre accompagnée d'un petit coffret. Ce jeune homme se nomme Narcisz Leysan. Cela fait quelques mois qu'il parcourait les mers et quelques jours que l'équipage dont il faisait parti à accoster sur une île bien connue de Grand Line pour être infestée de pirates : l'île de Jaya. Suite à un pillage exécuté dans les règles de l'art d'un bateau marchand, son équipage en profitait largement pour payer leur consommation d'alcool à en faire pâlir plus d'un. Narcisz quant à lui est moins porté sur l'alcool que ses congénères, mais cela ne l'empêche pas, loin de là, d'avoir une chope de bière à porté de main, surtout à cet instant précis. Narcisz est nerveux, ce n'est pas suffisamment courant pour être banal. En effet, il fixe le colis que sa mère lui a envoyé. Sa mère. Cette même mère qu'il n'a jamais connu. Tous ce qu'il sait se résume à ce que son père a bien voulu lui dire : quasiment rien. Son père étant de la Marine, il paraît logique qu'il n'est jamais voulu s'étendre sur sa vie amoureuse avec une pirate activement recherchée par la Marine pour sa cruauté. Narcisz ne sait ni son nom, ni si elle est encore en vie, enfin jusqu'à maintenant. Au dos de la lettre, le nom de l'expéditeur y est inscrit : Nash Szmanda. Finalement, la curiosité l'emporta sur la peur, peur de la vérité. Sans plus attendre, le jeune pirate l'ouvrit et commença la lecture...
Mon fils,
Je ne sais pas par quoi débuter. J'ai tellement de choses à te raconter ! Un ami me conseille de tous reprendre depuis le début et c'est donc ce que je vais faire. Ton père et moi nous nous sommes rencontrés pour la toute première fois sur une île que tu connais certainement : Water Seven. Ton père et moi sommes tout deux natif de cette île. Lorsque je l'ai connu, je ne savais pas encore qu'il appartenait au corps de la Marine et lui ne savait pas non plus que j'étais une pirate. Cette histoire date de vingt ans. N'ayant pas le temps d'entrer dans les détails, j'en suis désolée, je vais devoir accélérer. Nous avons vécu ainsi une année de pur bonheur, bien sûr nous ne nous voyions pas si souvent. Nous reprenions la mer régulièrement, séparément et secrètement. Tu t'en doutes cela n'a pas duré, durant ma grossesse je me suis douté qu'il était un Marine à force de côtoyer les citoyens de Water Seven, à croire qu'il était un des héros de la cité. Je n'ai rien dit, voulant préserver mon bonheur fragilisé. Lorsque vint le jour heureux de ta naissance, ton père est revenu chez nous accompagné de ses camarades. Mes compagnons étant reparti en mer, j'étais seule, livrée à moi même pour survivre. Contrairement à ce que tu pourrais pensé, ils ne m'ont pas tout de suite reconnu en tant que pirate, je n'étais que la "femme d'un Marine", et qui plus est un qui était leur ami. Au bout de quelques heures, un autre Marine se pointa avec les nouveaux avis de recherche et il devint aussitôt l'attraction du moment, sauf qu'ils tombèrent sur un avis de recherche en particulier, sur celui de Nash, la diablesse. A cet instant précis, un silence de mort s'abattit sur la scène, comme si le temps s'était suspendu durant quelques secondes. Puis, ce fut l'explosion, ton père entra dans une fureur aveugle. Je l'ai regrettée toute ma vie, mais à ce moment là, je me suis enfui sans attendre d'être empalé sur l'un de leurs sabres. Sans toi, mon fils. Voilà, tu sais désormais toute l'histoire? Tu te demandes sûrement pourquoi t'envoyer cette lettre maintenant, pourquoi n'être jamais revenu te voir. A ces questions, il n'y a deux réponses comme pour toutes les questions : celle du poète et celle du savant. Laquelle aurais-tu voulu entendre en première ? Je me le demande. Celle du poète dit que j'ai toujours été à tes côtés, et je le serais toujours, dans ton cœur. Quant à celle du savant est moins plaisante, car dès qu'il sut la vérité à mon sujet, il te laissa toujours sous de bonne garde, me laissant aucune occasion de prendre contact, sauf aujourd'hui. J'ai appris que tu as décidé de prendre le large en tant que pirate. J'en suis ravie, mais il est désormais trop tard pour moi, je ne peux plus réparer mes torts. En ce moment même, tous les pirates dignes de ce nom se dirige vers Negara pour un ultime affrontement, mais tu dois déjà le savoir. Comme tu t'en doutes, j'en fais partie. Je crois que tu sais toute la vérité sur mon compte. Je sais bien que je ne suis guère bien placée pour te donner un tel ordre, mais je t'en prie : ne viens pas à Negara. Fais-le au moins pour moi. Tu es encore jeune et tu as toute la vie devant toi ! Ne la gâche pas, c'est ce qui est le précieux en ce monde. Ta vie. La mienne touche certainement à sa fin, je ne fais pas d'illusions sur les évènements qui vont suivre. Peu vont survivre au carnage à venir... C'est un adieu. Sache tout de même que ta t'aime et t'aimera toujours. Je continuerais à veiller sur toi quoi qu'il advienne...
Nash Szmanda
P.S. : Je te laisse en cadeau d'adieu le fruit du démon Tsuin Tsuin no Mie, le paramecia du jumeau. Ainsi tu ne seras jamais seul bien longtemps. Vis mon fils !
Des larmes scintillèrent des yeux pétrifiés de Narcisz, partagé entre la tristesse et le bonheur. Ne sachant comment réagir, il ne fit rien. Il continua de fixer bêtement le vide, tandis que les larmes perlaient inlassablement et étaient absorbés par la lettre dont l'encre se brouillait pour finir par être totalement illisible, comme un mauvais rêve. Oui, un rêve, ou plutôt un cauchemar. Narcisz essaya de se pincer, de se donner des claques pour le réveiller. En vain. Il était bel et bien réveillé et conscient de la douleur qu'il s'infligeait. Maintenant, il n'était plus plus triste. Il était vide. Le voilà de nouveau un petit enfant aussi fragile que de la porcelaine, qui pourtant vient d'être brisé en apprenant la mort inéluctable de sa mère. Tous ce qu'il désirait à cet instant était de clamer sa colère et l'injustice dont il était la pauvre victime. Bien sûr, personne ne l'écouterait dans ce monde baigné dans la piraterie des uns et la tyrannie des autres. Certain d'avoir raison et affermi par ses convictions, Narcisz décida de se mettre en action. Déjà, il allait quitter ce foutu équipage formé de ramassis de mauviettes alcooliques. Il vérifia que tous ses couteaux étaient bien en place, coinça le petit coffre qui contient le fruit de démon sous ses bras et sortit du bar en courant d'air. Nul ne l'avait vu s'éclipser. D'ailleurs, nul ne le vit non plus voler un petit voilier latin qu'il nommera par la suite Nesus - comme tous ses prochains navires mais ceci il ne le sait pas encore - nul ne le vit subtiliser une petite somme d'argent pour survivre, et nul ne le vit quitter l'île de Jaya sous le clair de lune. En pleine mer, à l'abri de tous regards, Narcisz ouvrit le petit coffret, mangea entièrement le fruit du démon et jeta le coffret dans les abysses de l'océan. Soudain, ses mains tremblèrent, puis ce fut au tour de ses jambes et enfin de son corps tout entier. Que lui arrivait-il ? Un effet secondaire ? Celui paraissait tellement absurde qu'il chassa cette idée de son esprit. Il n'eut pas le temps de trouver une autre raison puisque les tremblements se transformèrent en de véritables convulsions. Il sentit son corps se déchirer et voulu hurler, mais aucun son ne sortit. Rien. Tout se stoppa d'un seul coup. Narcisz se releva prudemment et se trouva nez à nez avec... Lui. Oui, sa parfaite copie ! Il commençait enfin à comprendre pourquoi ce fruit se nommait le paramecia du jumeau...
Ainsi durant neuf longues années, Narcisz ayant choisi de porter le nom de sa mère et de se faire surnommer le fils du diable en référence au surnom de sa mère tuera. Il vola la vie de sang froid de toutes les âmes osant croisées son regard qu'elle soit un pirate, un membre de la Marine ou du Gouvernement Mondial, ou même simple civil lors de son voyage qui l'amènera finalement jusqu'à Water Seven où tout à débuter.
Dans un passé proche...
Narcisz Szmanda est reparti en mer après son méfait et est seul sur le Nesus, enfin il n'est jamais réellement seul, puisqu'ils sont deux. Il a toujours eu du mal à pouvoir expliquer sa situation, même s'il n'a jamais eu vraiment à le faire. Il suffit de dire qu'ils sont jumeaux et le tour est joué. Lorsqu'il est ainsi isolé de toute présence, en tête-à-tête avec la solitude, il aime réfléchir comment il pourrait expliquer le fait d'être unique et deux êtres différents. C'est une tâche ardue, comment expliquer les couleurs à un aveugle, ou la musique à un sourd ? Ne trouvant toujours pas de réponse à son interrogation, comme ils le font souvent. Les deux Narcisz sortirent une multitude couteau de leurs vêtements. Un observateur extérieur aurait été étonné l'habilité à dissimuler toutes ces armes sur des étoffes si fines. Comment arrivaient-ils à toutes les dissimuler si parfaitement ? Aucune idée. Quoi qu'il soit, durant les heures qui suivirent tous deux se mirent à faire l'entretien de toutes ces petites lames plus tranchante les unes que les autres... Narcisz Szmanda est un tueur, seul le fait de voir toutes ces armes est une preuve suffisante je suppose. N'allez pas croire qu'il est du genre à combattre loyalement en duel, non lui ou plutôt eux, transperce toujours par derrière : dans le dos. Vous ne trouverez certainement pas meilleur qu'eux au maniement des couteaux, aussi bien qu'au lancé qu'au corps à corps. L'un des deux Naricsz, l'original pour être précis, car depuis qu'il a mangé son fruit du démon il lui est déjà arrivé d'avoir un de ses corps tués, mais toujours le même. Leur autre atout est d'être deux, mais surtout étant connecté à la même conscience pouvant ainsi lancer des attaques au timing parfait. La plupart de ses victimes n'ont même pas eu le temps de se rendre compte de sa présence avant de rendre leur dernier souffle, sauf pour l'une de ses techniques : le suicide. Cela explique pourquoi l'un porte d'innombrables petites cicatrices alors que l'autre a toujours l'air d'être neuf. Cette fameuse technique consiste que l'original plante plusieurs couteaux clouant l'adversaire et le deuxième corps en même temps sur une surface. Ensuite, l'original dégaine son katana et leur coupe leurs têtes sans état d'âme. Bien évidemment, cela le fait souffrir énormément et n'utilise donc cette technique qu'en dernier recours.
Cela me rappelle une fois où sa cible n'est pas morte sur le coup, et oui cela arrive de temps en temps lorsqu'il a la tête ailleurs, et celui-ci au bord de l'agonie lui a demandé pourquoi il tuait. Au début, Narcisz ne savait pas trop. Il déteste le monde et le lui rendait bien. Puis, peut-être se dit-il était-ce la faute de ses marines d'avoir enrôlé son père et combattu sa mère... Non. Il ne se faisait pas d'illusion, la guerre était due aux deux camps. Ni l'un, ni l'autre n'avait raison ou tort et cela énervait profondément Narcisz. C'est d'ailleurs dans la période où il pensait cela qu'il a commis le plus de meurtre, mais rapidement il se ressaisit. Le monde était trop cruel et monstrueux pour que quiconque y trouve une quelconque raison. Il n'y a pas de raison à la mort, à la vie... Depuis, Narcisz ne fait que tuer pour survivre et rendre son existence sur ce monde moins douloureux. La mort des autres le soulageait. Selon lui, la source du mal vient des hommes et donc s'il n'y a plus d'hommes, il n'y aura plus de mal. Logique, non ? Je serais de l'avis qu'à force d'être immergé dans un univers de violence sans queue ni tête, Narcisz s'est perdu. Oui, perdu. A la base, il n'est pas si mauvais. Je dirais même qu'il est fragile et c'est cette fragilité qui l'a forgé à devenir plus cruel que les autres afin de survivre. Son cœur s'est refermé et caché derrière une bonne couche de glace. Son cœur demeurera scellé tant que nul n'aura su en trouver la clef. A l'heure actuel, Narcisz Szmanda est une bête assoiffée de sang, lâchée dans l'arène.
Dans le présent...
Ce n'est pas ce qui le fit devenir ce qui l'est aujourd'hui et ce n'est encore moins une excuse pour toutes les atrocités qu'il a pu commettre en neuf ans. Ce sont seulement les faits. Le jeune Narcisz a choisit de porter le nom de sa mère : Narcisz Szmanda, et s'en va explorer le monde qu'il lui a arraché sa mère et sa raison. Enfin, nul n'est vraiment sûr que ce soit cela qu'il le motiva à partir, mais ce sont seulement les faits. Au cours de ses neufs années d'errance, il devint un mercenaire, un tueur, ... Vous pouvez le définir comme vous le voudrez. Il est Narcisz Szmanda, et il parcourra le monde en portant sur l'univers un regard plein de haine et de mépris. Aujourd'hui, Narcisz Szmanda veut changer. Il souhaite toujours dominer le monde pour ne plus avoir de problèmes, ne plus avoir à se cacher dans l'ombre... Voilà, il va rejoindre la Marine. Pourquoi ce changement brusque, alors qu'il a toujours vécu afin de démanteler le gouvernement mondial et la Marine ? Je ne peux en être sûr, mais je pense que Narcisz s'est aperçu qu'après neuf ans de lutte, la situation n'avait guère changé. Puis, une idée fit son petit chemin jusqu'à son cerveau, et pourquoi ne pas rejoindre la Marine pour la réformer de l'intérieur ? Pourquoi pas. Cet idée lui paraissait pas si mauvaise, et les souvenirs qu'ils avaient de certains équipages de la Marine lui disait que cet institution n'est peut-être pas irrécupérable contrairement à ce qu'il avait compris du discours révolutionnaire. Ne voulant pas non plus s'engager à la légère, comme Narcisz l'aurait sûrement fait dans son adolescence, il médita quelques jours sur sa décision. Pas plus, oui vint tout de même un moment où il ne voulut plus rester assis, planté à ne rien faire. Ce même jour, il se présenta devant le siège de la Marine de Water Seven... Narcisz Szmanda sera un Marine, quoi qu'il en coûte et gravira les échelons un à un !
# Note de l'écrivain de cette fiche Je me dois de corriger tout ce que vous avez pu penser de Narcisz Szmanda en lisant son histoire. En effet, il en est l'auteur. N'étant pas le dernier des imbéciles, ce petit gars n'a pas voulu vous montrer sa véritable personnalité. Là je ne vais vous dire que mon humble avis sur la nature de ce personnage. Croyez ce vous voudrez, mais au moins je vous aurais prévenu.
# Caractère & Morale Narcisz Szmanda est en réalité un peureux, non pas un lâche, mais bien un peureux. Le fruit du démon qu'il a reçu de sa mère le représente bien. Il a peur de la solitude, peur de la mort, peur des combats, ... Il est un véritable froussard. Seulement, au fil des années, il s'est égaré sur les pentes glissantes qui mènent à la folie. Voulant respecter la dernière volonté de sa mère, c'est-à-dire que lui vive, il s'est mis en tête de supprimer tous ces ennemis. Puis, je ne sais pas si cela vous ai ou non déjà arrivé, mais le sang et l'adrénaline du danger lui sont montés à la tête et lui ont obscurci les pensées. Il a commencé à reprendre conscience de lui-même que lorsqu'un de ses corps s'est fait trancher la tête. Là, Narcisz n'a pas cherché à comprendre. Il a fui. Comme toujours, ou plutôt comme avant. Cet événement est arrivé seulement un an avant son arrivé à Water Seven, entre temps il a entretenu la réputation d'un sauvage sanguinaire. Maintenant, il serait plus juste de dire qu'il ne fait surtout que de jacter à torts et à travers en se dissimulant derrière une muraille de fierté mal placée. Pourtant, même s'il est un froussard, Narcisz possède tout de même une réelle force. Je vous conseille d'éviter de le sous-estimer, ces techniques sont loin d'être les plus puissantes de Grand Line, mais elles font parties des plus vicieuses... Voilà, c'est un peureux vicieux. Original, non ? Peut-être est-ce la raison qu'à son arrivée à Water Seven, il décidera de s'enrôler dans la Marine... Ou pas. Comme je viens de le dire, c'est un vicieux. Or, que sait-on de ce qu'il prépare ? Rien. Voilà qui est bien gênant. Enfin, on verra dans quelles problèmes il va se mettre plus tard. Le voyant encore aujourd'hui pouvoir rire et parler en société, enfin plutôt dans un bar, me suggère que ce n'est plus le même Narcisz qu'autrefois. Il n'est plus le tueur qu'il a incarné durant son voyage, mais il n'est plus le petit garçon couvé par son tyran de père. Il est un nouveau homme. Reste à savoir ce qu'il va devenir, ou faire... A-t-il plus de morale, ou pas ? Je ne suis pas de l'avis qu'il puisse encore tuer des innocents. Peut-être que je me trompe, s'il était devant moi, je suis quasiment certain qu'il me contredirait. De toute manière, il a toujours été ainsi. Narcisz ne veut jamais être de l'avis de son interlocuteur, il faut toujours qu'il trouve une raison pour qu'il soit en contradiction. Bref, notre petit bonhomme est encore un grand gamin dans un corps d'adulte.
# Physique & Style Vestimentaire Un chapeau noir, une veste noire, un pantalon noir, un tatouage noir représentant une étoile à six branches, ... et une chemise blanche ainsi qu'un nœud de papillon blanc... N'a-t-il pas conscience que notre monde est passé aux couleurs récemment ? Bien fait. Il n'avait qu'à se tenir au courant des avancées technologiques ! Franchement... Outre ces détails horripilant, ses cheveux sont blancs. Bizarre ! Quelle est la signification cachée de ce tatouage ? Narcisz ne le sait pas lui même, ce symbole était inscrit à côté de la signature de sa mère sur sa lettre qu'elle lui avait envoyée il y a cela neuf ans. Que représentait-il pour la mère de Narcisz ? C'est un des mystères qu'il lui restera à résoudre. Comment ces cheveux ont-il perdus leur pigmentation ? Mystère. Comment ce fait-il que ces yeux aient des lueurs rouges ? Certainement des lentilles de contact, quoi qu'il ne le révélera certainement jamais, buté comme il est. En ce qui concerne le reste de son anatomie, il paraît on ne peut plus normal. Sa musculature est assez développé, mais est loin d'être extraordinaire, même si elle témoigne de longues heures d'entraînement, comme toutes les petites cicatrices qui traînent ici et là sur son corps. Sa musculature est taillé en finesse, elle n'est pas faite pour la puissance pure, mais plutôt pour la vitesse et l'agilité. Il faut bien savoir courir vite pour que le froussard qu'il est puisse se sauver. J'aimerais maintenant revenir sur une particularité de ses vêtements que je n'ai pas encore évoqué. Ces vêtements ne sont pas ordinaires, en effet, ils possèdent plusieurs systèmes afin de libérer quelques lames... Dans sa veste, une dizaine d'étui y ont été cousus afin d'y abriter des couteaux de lancés. Dans ses manches, deux autres ont été installés dissimulant deux dagues qu'il ouvre à l'aide d'un système de fils de nylon enroulés de ses doigts, pour l'actionner il doit simplement tourner sa paume à 90° par rapport à son poignet. Deux autres cachettes sont situées dans ses chaussures. En appuyant sur un bouton à l'intérieur, cela fait surgir deux lames d'une dizaine de centimètres aux devant des chaussures. Ainsi, notre fameux Narcisz est apparence inoffensif, n'ayant pas d'armes à porté de main, mais comme pour le bon vieux proverbe le dit, il ne faut pas se fier aux apparences...
# But De Water Seven, Narcisz Szmanda souhaite reprendre son aventure. Le Nesus n'est plus vraiment en état de naviguer après neuf longues années à affronter les flots capricieux de Grand Line, même avec les rafistolages ici et là cela demeure un miracle qu'il soit parvenu à rester entier tous ce temps. Notre jeune homme âgé actuellement de vingt six ans souhaite rejoindre un équipage plus important afin d'obtenir le plus de pouvoir et d'influence sur le monde. Narcisz Szmanda a même abandonné sa vieille habitude de trucider à torts et à travers et il compte bien devenir l'une des plus grandes puissances des océans grâce à la Marine !
# Post RP [Si la qualité est insuffisante pour le niveau du fruit du démon demandé, j'en ferais un autre. ; ) Post RP tiré de ce forum]
Spoiler:
Ren Yukio a écrit:
Alors que soleil n'avait pas encore pointé le bout de son nez, Ren se levait. Voilà, une nouvelle journée débutait. A cet instant, la limite entre hier et aujourd'hui paraissait floue. Quoi de plus naturel lorsque vous venez de passer une nuit blanche... Les sens sont à l'affut du moindre écho, même du plus infime. Vous sursautez à l'approche d'une mouche trop bruyante, vous percutez une porte sans même la voir, vous tombez lorsque le sol se dérobe, ... Vous êtes ridicule. Pourtant Ren aimait en quelque sorte être ridicule. C'est bien connu, le Ridicule ne tue pas et tous ce qui ne vous tue pas, vous renforce. Dont cela peut-il bien sortir ? Il avait du l'entendre dans un endroit quelconque et son cerveau s'est contenté de le répéter. Oui, ça devait être ainsi. L'état dans lequel était Ren Yukio ce matin-là était semblable à celui-ci. Pour vous dire, il s'en est passé du temps avant qu'il n'atteigne les salles d'eau... Sans plus attendre, il plongea son corps sous le jet froid d'une douche. Ce n'est qu'en ressortant, l'esprit clarifié, qu'il se rendit compte de sa propre bêtise : ses vêtements étaient détrempés. Le retour fut d'une facilité déconcertante comparé à l'aller, Ren se demandait toujours comment il en avait pu en arriver là... De ce qu'il s'en souvient, ne trouvant pas le sommeil la veille, il s'en est allé se balader en forêt. Dans le flot continue qui remontait à la surface, un détail attira son attention. Une cabane, oui. C'était une cabane abandonnée. Ren Yukio aimait la nature. Il n'arrivait à ressentir une paix antérieur qu'en étant noyé de végétation, sans nulle trace de vie animale ou humaine. Même s'il appréciait la nature, ce n'est pas pour autant qu'il supportait ceux qui la peuple. Selon lui, les animaux n'étaient que des enveloppes de chairs dénué de raison et n'était présent sur ces terres que satisfaire un équilibre afin que nous, les êtres humains, puissent vivre dans un confort acceptable. Mais ce n'est pas à cela qu'il pensait alors qu'il marchait vigoureusement en direction de sa trouvaille de la veille. Dans ses souvenirs, la distance lui avait paru plus courte mais il n'était pas certain de leurs véracité. Ren en avait plus qu'assez de marcher. Le soleil de plomb lui brûlé la nuque et ses muscles étaient tiraillés par l'effort. Il n'était pas un sportif et ne le serait certainement jamais, mais l'handicape dont il souffrait ici, était surtout due au manque de sommeil. A le voir tanguer de cette manière, on aurait pu croire avoir affaire à un poivrot solitaire. On ne pouvait rien y faire, Ren sera ainsi jusqu'à qu'il prenne une bonne nuit pour se reposer. On devait se rapprocher de 9h lorsque le punk arriva finalement en vue de la petite cabane qu'il avait repéré la veille. Pourquoi était-il venu ? Cette question lui taraudait l'esprit depuis qu'il avait la silhouette bancale de la construction. Il n'y avait rien à faire ici. Alors, pourquoi ? Ren se rendit à l'évidence, il n'aurait sûrement pas de réponse à sa question. Il allait devoir faire avec, ainsi allait la vie. Maintenant, Ren priait pour qu'il y est une couchette ou n'importe de quoi d'autre dans cette foutue cabane afin qu'il se rattrape. Il était au bord de l'épuisement et n'allait pas tarder à dormir debout ! On ne pouvait plus dire s'il était un vivant au bord de la mort ou un mort au bord de la vie... Ce n'était pas flagrant, mais il y a bel et bien une différence entre ces deux états. Ren arriva enfin devant l'entrée de cette satanée cabane et poussa ce qui faisait office de porte, puis entra... Et un bout de bois se brisa sur sa tête, tout d'abord il n'eut aucune réaction, vu son état, il n'aurait même pas pu remarquer qu'on lui faisait les poches... Le coup eut tout de même l'effet de remettre de l'ordre dans son cerveau. Ren tourna son regard vers le petit bout de femme qui venait de tenter de l'assommer. La voir avec son morceau de bois ridicule entre les mains et à le regarder bizarrement, il faillait éclater de rire ! Selon lui, la situation était quasiment irréelle. Vous pénétrez dans une cabane abandonnée et là, on vous frappe la tête à l'aide d'un bout de bois qui se fracasse littéralement en deux. Il y a de quoi se marre, non ? Ren ne sut ce qui l'empêcha de rire haut et fort à cet instant là, certains choses se doivent de rester un mystère même s'il trouvait qu'il y en avait bien trop... Revenons à ce qui nous préoccupe actuellement, Ren se tenait face à une personne qui avait tentée de l'assommer avec un bout de bois dans une cabane abandonnée au plein milieu d'une forêt à une bonne heure du pensionnat si vous marchez modérément. Enfin, vous savez déjà tous ça... Par contre, la suite vous est encore inconnue. Un phénomène tout à fait exceptionnelle se produisit alors. C'était comme si le temps s'était stoppé pour ne plus finir, à croire que la nature toute entière s'était figée ! Mais, tout a une fin et l'inconnue brisa l'enchantement.
« Qu’est-ce qu’un glandeur comme toi fout là ? »
« Je glande. »
Ren Yukio avait de nouveau tout son aplomb, il avait l'impression d'être revenue des limbes. Un instant avant, il était semblable à un somnambule et l'instant d'après, il était prêt pour participer à une épreuve philosophique. Il n'avait aucune preuve, mais Ren avait le sentiment d'avoir en face de lui une personne avec qu'il allait pouvoir s'amuser. Peu d'âmes intéressait le jeune punk, bon nombre d'entre elles n'avaient aucune sorte d'importance à ses yeux. Mais elle, une inconnue rencontrée dans une cabane abandonnée en avait. Pourquoi ? Va savoir.
« Ce qui est tout à fait normal pour un glandeur de mon espèce, non ? Un glandeur glande. Logique, non ? »
Ren éprouvait un malin plaisir à raconter des sornettes à torts et à travers, reste seulement à voir si cette inconnue était de taille...
# Informations concernant le joueur
# Prénom : Rémi # Age : Seize ans. # Sexe : Masculin # Comment avez vous connu le forum? Google. # Combien d'heures vous vous connectez par jour? Par semaine, environ cinq heures. Par jour, c'est trop aléatoire. # Tes Mangas préférés : Tegami Bachi, Jormungand, ..., One Piece, Bleach. La flemme de tous les cités.
Dernière édition par Narcisz Szmanda le Lun 15 Fév 2010 - 22:47, édité 58 fois
Okama Momifié Nouveau
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Sujet: Re: Narcisz Szmanda [En Attente de Validation] Jeu 11 Fév 2010 - 13:56
Salut,
Trop cool, enfin quelqu'un qui connait le html. Si tu t'y connais bien, ca te dérange de te demander des conseils pour modifier la page de garde de l'accueil. Sinon l'avatar est à 160px de largeur max, dsl.
Invité Invité
Sujet: Re: Narcisz Szmanda [En Attente de Validation] Jeu 11 Fév 2010 - 13:59
Désolé. ^^' C'est un ami qui m'a dit comment faire cette présentation... = / Moi, je suis aussi doué en html que mes pieds pour faire du tricot. = D Je modifie tout de suite la taille de l'avatar. ; )
Ne voulant pas être Pirate, mais de la Marine. J'ai fais les modifications suivantes :
Histoire - Dans le Présent a écrit:
Aujourd'hui, Narcisz Szmanda veut changer. Il souhaite toujours dominer le monde pour ne plus avoir de problèmes, ne plus avoir à se cacher dans l'ombre... Voilà, il va rejoindre la Marine. Pourquoi ce changement brusque, alors qu'il a toujours vécu afin de démanteler le gouvernement mondial et la Marine ? Je ne peux en être sûr, mais je pense que Narcisz s'est aperçu qu'après neuf ans de lutte, la situation n'avait guère changé. Puis, une idée fit son petit chemin jusqu'à son cerveau, et pourquoi ne pas rejoindre la Marine pour la réformer de l'intérieur ? Pourquoi pas. Cet idée lui paraissait pas si mauvaise, et les souvenirs qu'ils avaient de certains équipages de la Marine lui disait que cet institution n'est peut-être pas irrécupérable contrairement à ce qu'il avait compris du discours révolutionnaire. Ne voulant pas non plus s'engager à la légère, comme Narcisz l'aurait sûrement fait dans son adolescence, il médita quelques jours sur sa décision. Pas plus, oui vint tout de même un moment où il ne voulut plus rester assis, planté à ne rien faire. Ce même jour, il se présenta devant le siège de la Marine de Water Seven... Narcisz Szmanda sera un Marine, quoi qu'il en coûte et gravira les échelons un à un !
But a écrit:
De Water Seven, Narcisz Szmanda souhaite reprendre son aventure. Le Nesus n'est plus vraiment en état de naviguer après neuf longues années à affronter les flots capricieux de Grand Line, même avec les rafistolages ici et là cela demeure un miracle qu'il soit parvenu à rester entier tous ce temps. Notre jeune homme âgé actuellement de vingt six ans souhaite rejoindre un équipage plus important afin d'obtenir le plus de pouvoir et d'influence sur le monde. Narcisz Szmanda a même abandonné sa vieille habitude de trucider à torts et à travers et il compte bien devenir l'une des plus grandes puissances des océans grâce à la Marine !
Est-ce correcte ?
Okama Momifié Nouveau
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Je valide quand même mais ce personnage n'a pas grand chose de marine. Son caractère violent et cruel à la fois pour commencer. Il y a aussi le fait qu'il soit recherché. Même si on accepte pas les primes à la présentation, c'est une forte incohérence avec le reste. De même, le fait d'être recherché ne doit avoir aucune incidence sur le RP. Je serais pas du genre à penser qu'une phrase permet de justifier autant de descriptions contradictoires sur un personnage. Pour changer de camp, il faut plus que de l'envie et surtout lorsqu'on arrive à un camps qui se doit d'avoir une image de perfection vis-à-vis de ce monde. Pour les incohérences, je serais d'avis de baisser le niveau de la présentation qui me semble devenir loufoque. Mais, je vais pas le faire car je suis gentil, mais fait attention à ce genre de détail. Ce que tu écris au départ doit concorder avec la fin.
Je remets dans les valides et je garde ce fruit.
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Sujet: Re: Narcisz Szmanda [En Attente de Validation]