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 Galenth Dysley [Terminé]

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Galenth Dysley
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Galenth Dysley


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MessageSujet: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] EmptyVen 23 Avr 2010 - 20:37

Galenth Dysley [Terminé] Galent10
Double-compte de Hiruma Zaketsu.

Galenth Dysley [Terminé] Galent11

Nom : Dysley.
Prénom : Galenth.
Âge : 37 ans.
Sexe : Masculin.

Race : Homme-poisson de la famille du requin mako.
Occupation : Marine.
Rang Spécial : Commandant.
Métier : Aucun.

Description Physique : Je dois mesurer à peu près deux mètres et vingt centimètres. Mon corps est puissamment bâti, et mes muscles parfaitement développés. Cependant, étant donné que je suis un héritier direct et légitime du clan des requins mako, une des plus grandes familles d’hommes poissons, je conserve une forme aérodynamique et hydrodynamique. Mon corps est svelte mais coriace : je ne perds en rien ni de la robustesse ni de la vitesse de ma race.
Ma peau n’est pas écailleuse comme celle de la plupart des poissons d’eau de mer. Elle est lisse, et d’une belle couleur grise bleue, que l’on appelle la plupart du temps le « gris ombre ». Cette couleur, se confondant avec l’obscurité des abysses, me permet de me fondre sans problème dans les fonds marins. Alliant camouflage et vitesse, je peux ainsi surprendre mon adversaire en nageant rapidement et en profondeur. De plus, je possède une puissante mâchoire, capable de fendre le roc ou de faire ployer le métal. Etant donné que je suis homme-requin, mes dents, à peine arrachées, repoussent instantanément, les nouvelles étant bien plus résistantes que les anciennes. Mes yeux, bien plus puissants que ceux de n’importe quel humain, me permettent de voir avec grande transparence dans l’eau comme sur terre. D’ailleurs, je possède des poumons et des branchies pour pouvoir vivre à la fois à la surface, et dans les profondeurs. Ces branchies, à cause d’un facteur génétique que l’on trouve chez les requins mako, sont bien plus larges que chez les autres hommes-poissons. Sous l’eau, cela me permet de mieux gérer mon endurance, puisque je peux emmagasiner plus de dioxygène, mais si un ennemi venait – grâce à un pouvoir de vent ou non – à souffler dans mes branchies, cela causerait de graves dommages à mon organisme. Voila pourquoi ma politique de combat se base en une seule frappe pour mettre au tapis : je dois à tout prix éviter que mon adversaire me surprenne par mon point faible. C’est afin de pallier ce genre de problèmes que je porte une cape lors de la plupart de mes venues sur terre.
Mais restons-en à mon physique « naturel » pour l’instant. J’aborderai ma tenue vestimentaire en second lieu. Mes mains ainsi que mes pieds palmés, et mes ailerons caudaux, mon aileron dorsal et ma queue puissante, me permettent de nager encore plus vite. De plus, ils sont aussi utiles car je peux m’en servir d’armes en combat terrestre ou aquatique.

Passons désormais à mon style d’habits. D’habitude, je porte la tenue des haut-gradés de la marine, c'est-à-dire un pantalon étroit bleu foncé et une chemise – spécialement taillée pour ma corpulence spéciale – blanche d’uniforme. Je porte aussi souvent le grand manteau des officiers, porté comme une cape. Seul un trou laisse passer mon aileron dorsal. Sinon, il m’arrive de changer de vêtements en fonction de la situation si par exemple je dois m’infiltrer, ou effectuer une mission bien plus risquée.

Pour ce qui est de l’équipement en combat, il m’arrive parfois de porter des gantelets caparaçonnés et renforcés avec des plaques de métal pour renforcer l’impact de mes Teisho. Mais comme je n’aime pas beaucoup la sensation que mes coups ont avec, je les utilise rarement.


Description Mentale : Au cours de mon existence, mon caractère à bien eu le temps de se forger, d’évoluer. C’est pourquoi je vais séparer en trois phases les variations de mon mental.

Tout d’abord, lorsque j’étais jeune, j’obéissais à un code de l’honneur très strict. Ma famille m’avait dictée mes actes, et m’avait demandé de haïr les être humains. Je jugeais alors tout ce qui n’était pas un homme-poisson comme de la vermine, comme un nuisible que je devais écrabouiller.
Ensuite, j’ai perfectionné mon art, et la sagesse m’est venue. J’ai décidé de vivre en dépit des règles. Je ne suivais plus que les voies que me donnaient mes maîtres d’armes, et je voulais absolument me montrer digne de leur confiance et du respect qu’ils me portaient.
Enfin, je devins totalement antipathique envers la vermine pirate. Je ne haïssais plus les humains : c’était juste les forbans que je voulais exterminer. Comme de vulgaires parasites. Ce choix de vie me fut confirmé par ma brève rencontre avec mon modèle, Godwrath D. Alexander, un des amiraux de la marine. Cet homme, me faisant directement penser à un envoyé divin, changea radicalement mes ambitions. Je devenais une véritable machine à tuer les bandits.

En bref, je suis quelqu'un qui se laisse diriger par mes pulsions. Je reste fier et droit, et je peux facilement me montrer rancunier. Après tout, je suis un homme-poisson, donc je suis aussi, quelque part, un être humain. C'est ce que je me suis dit lorsque j'étais en exil sur Sabondy. Je suis donc capable de ressentir une multitude de sentiments, au même titre que les autres marines avec qui je cohabite. Voila pourquoi je n'éprouve aujourd'hui aucun mépris envers les humains. Par contre, pour les forbans, c'est autre chose. Je ne changerai, je pense, jamais à leur sujet.

Aujourd’hui encore, mon seul objectif, est, par n’importe quel moyen de détruire la menace pirate et révolutionnaire de ce monde.


Histoire : Je suis né il ya bien des années, dans un des endroits les plus merveilleux de la route de tous les périls. Le terme « merveilleux » ne désigne malheureusement pas le coté féérique de l’endroit, mais plutôt sa grandeur et sa puissance. En effet, malgré son appellation de « paradis sous-marin », l’île des hommes-poissons semble plutôt à un enfer. Un enfer obéissant à un code particulier, où votre vie brûle en un rien de temps – malgré le fait que l’île se situe sous la mer.

Ma famille me racontait sans cesse, lorsque j’étais petit, que la situation ne cessait d’empirer. Depuis que les forbans en quête de richesses décidaient de passer par notre royaume pour se rendre dans le nouveau monde, l’endroit avait bien changé. De plus en plus d’aménagements créés pour ceux qui ne savent pas respirer sous l’eau étaient apparus. L’île des hommes-poissons serait l’île des pirates en un rien de temps. Voila ce que l’on me répétait sans cesse. Voila ce que l’on me forçait à avaler. Et si je refusais de ces pensées sans les mastiquer mûrement, on m’enfonçait la cuillère dans la gorge, et on me disait de me taire. C’était ce genre de haine que l’on voulait me transmettre. Et c’est cette haine qui me fut transmise. Pourtant, je descendais d’une noble lignée d’hommes-poissons : les requins mako. Ayant le privilège, par mon sang et par ma race, d’être un puissant homme-requin, j’eus aussi accès à une éducation – certes conditionnée – des plus riches. Dès mon plus jeune âge, je commençais la pratique du célèbre et redouté Gyojin Karaté, ou comme on l’appelle plus communément : le karaté aquatique. Ces techniques surpuissantes utilisées par un homme-poisson d’une telle lignée firent de moi un grand de cet art. En peu de temps, je parvins à me hisser à un niveau jamais vu à mon âge. Malgré le fait que je ne me battais uniquement à mains nues, ma vitesse d’accélération due à mon corps aérodynamique et hydrodynamique faisait de moi un combattant redoutable. Au fil des années, je me perfectionnais dans cet art. Ma maîtrise de moi-même était devenue impressionnante, et mon corps musclé mais svelte impressionnait plus d’un. Ma spécialité résidait en une technique, ou plutôt une partie du corps : le Teisho. Mon « art » consistait à frapper les ennemis uniquement avec la paume de la main, pour libérer la force destructrice des hommes-poissons. Usant de ma vitesse phénoménale sur terre mais encore plus dans l’eau, je me projetais sur mes adversaires et les tuait à grands coups de paume.
Ma renommée me précédait : et, dans les rues, la foule affluait vers moi. Les pirates aussi malheureusement.

Un soir, alors que je marchais dans un des quartiers « humains » de notre belle cité capitale, une voix m’interpella. Habitué à ne pas me retourner, dans ces quartiers si mal famés, je fus obligé de tourner les talons lorsqu’un sabre – en apparence bien aiguisé, tenta de me pourfendre le crâne. Devant moi se dressaient plusieurs pirates ivres morts. Quoi qu’ils fussent encore assez lucides pour chercher la querelle là où il ne valait mieux ne pas fouiner. Ces trois forbans, saouls à en mourir, imbibés d’alcool jusqu’aux os, me défièrent en duel singulier.

Trouvant cette idée saugrenue – surtout que la proposition d’un duel singulier à trois contre un était une preuve de stupidité incroyable, je décidais de laisser les ivrognes cuver leur rhum tranquillement, et d’éviter les ennuis. Sous la lumière permanente des lampadaires de la cité « qui n’a jamais vu le soleil », je repartis, marchant lentement vers mon dojo, où je devais dispenser un cours à propos du Teisho. Un autre coup de sabre, plus précis et bien plus rapide, que j’eus du mal à esquiver, me força à rester combattre. Qu’avais-je en face de moi ? Trois dépravés ivres. Cependant, c’étaient aussi des pirates de la route de tous les périls, désirant passer dans le nouveau monde. Ils ne pouvaient donc pas être si mauvais que cela. Profitant de leur perte de reflexes immédiats due à la consommation sans modération d’alcool, je me jetais sur un de mes assaillants. Lui assénant un Hôshô, je l’envoyai valser dans une des lugubres demeures qui jonchaient cet ignoble quartier. La cage thoracique enfoncée, plusieurs côtes flottantes brisées et la colonne vertébrale fissurée. Voila quel était le résultât de son affront. Voila ce qu’il avait causé en tentant de me tuer. Ces misérables humains inférieurs ne méritaient tout simplement pas de vivre. Ils profitaient depuis bien trop longtemps des hommes-poissons. Laissant exploser toute la haine que l’on m’avait forcé d’accumuler depuis tout jeune, je décidai d’en finir promptement avec la vermine qui osait de défier, moi, noble homme-requin et un des « héritiers » de l’île des hommes-poissons. Apparemment un peu plus hésitants quant au fait de m’attaquer maintenant que j’avais mis un de leurs compagnons en état critique, ils se décidèrent quand même à me charger. Même ivre, l’un d’eux, celui qui se battait avec un long katana, se battait admirablement bien. Même avec ses Teisho Uke, j’avais du mal à parer son sabre. Le problème, lorsque l’on combat un homme armé à mains nues, c’est qu’il faut se méfier de l’allonge traîtresse de son ustensile. Dans mon cas, je devais en plus bloquer sur ses avant-bras, et non pas sa lame. Je perdais donc de plus en plus de terrain. Et je me collais bien plus à son corps. Cette situation était propice à l’utilisation du balayage, ou encore mieux, des projections aériennes. Cette dernière option serait sûrement la meilleure. L’ennemi en l’air jeté en l’air aurait beaucoup moins de chances d’esquiver mes prochains assauts – s’il n’était pas tué sur le coup. J’effectuai alors un Shôgekishô dans le menton du sabreur après avoir bloqué une de ses attaques. Il vit un petit vol plané de quelques mètres. Au vu du filet de sang qui s’échappait de sa bouche démembrée, il était en piteux état. La retombée l’achèverait à coup sûr. Restait encore le dernier pirate. Cette fois-ci, complètement apeuré, la vermine ne voulait plus du tout combattre. Chancelante de peur, tremblant d’angoisse, le bandit fut d’autant plus terrifié lorsque le cadavre sanguinolent du bretteur tomba au sol, soulevant un mince nuage de poussière. Il tenta de s’enfuir, en courant à toutes jambes. Le mal était déjà fait. Et je ne pouvais revenir en arrière non plus. Je devais terminer ma tâche, celle pour laquelle, depuis ma jeune enfance, j’avais été formé : tuer ces misérables humains. Ces loques incapables ne méritaient en rien de fouler le sol jadis paradisiaque de cette magnifique île. Ce sol qu’ils avaient souillé de leur sang et de leurs crimes. Me jetant sur le nuisible, je lui donnai un violent Shogekisho dans le nez. Son os nasal s’enfonça brusquement dans son crâne, causant une mort vraiment très sale. Il cracha beaucoup de sang avant de rendre son dernier souffle.
Cette sinistre chose faite, je pouvais enfin aller tranquillement à mon dojo, mon lieu de travail. L’endroit où j’avais trouvé ma voie et ma raison d’être : perfectionner mon art. En accélérant un peu la cadence, je pourrais encore arriver à temps pour distribuer mon savoir et ma jeune expérience. Je m’en allais ainsi, les poings dans les poches, laissant au beau milieu de la rue les corps ensanglantés des trois pirates. Ce fut ma seule et unique erreur. Non pas de les avoir tué, mais d’avoir négligé les traces et les preuves. Et les conséquences n’allaient pas tarder à se faire sentir…

Après mes quelques heures de cours, je suis rentré lentement chez moi, bien calmé par cet entrainement. Cet art avait décidemment le don de me faire reprendre le contrôle de moi-même. Il permettait de renforcer mon corps et de solidifier mon esprit. Ayant nettoyé mes vêtements de leur sang, et mon kimono de la sueur qui désormais l’imprégnait, j’allais immédiatement me reposer. J’en avais bien besoin : il était très tard, et j’étais éreinté.
Au lendemain matin, j’eus la mauvaise surprise de rencontrer des ambassadeurs pirates. Aussi stupide que cela pouvait être, même ces forbans avaient des lois et des diplomates. De toute façon, la question concernant leur accueil était claire : c’étaient des hommes venus de la surface, donc je les recevrai bien comme il faut. Ils vinrent frapper à la porte de la grande demeure familiale. Affichant de larges sourires douteux, ils montrèrent aux sentinelles du clan – qui étaient le plus désagréables possible – des photographies des trois forbans que j’avais combattu, ou plutôt ce qu’il en restait. Tous trois étaient morts d’hémorragie dans les quelques dizaines de minutes qui avaient suivies notre affrontement. Les regardant avec un air de dédain monstrueux, les deux domestiques responsables de l’entrée reçurent sans grande politesse les deux émissaires. Cependant, ces derniers étaient bien déterminés à me faire payer mon geste, même si je n’étais en rien l’initiateur de la querelle. Ils demandèrent à me voir : les marques sur les cadavres coïncidaient étrangement avec celles laissées par mes Teisho. Bien sur, ils étaient au courant que je les avais tués. Je ne saurais alors expliquer pourquoi ils voulaient faire durer l’affaire tant que cela. Peut-être pour l’officialiser, et pour me faire payer mes – prétendus – « crimes ».
Je décidais pourtant de venir à leur rencontre, et de me présenter à eux, en laissant transparaître toute l’animosité que je pouvais laisser s’échapper de mon regard, de mes gestes ou de mes paroles. On me raconta un tas de conneries, comme quoi j’avais volontairement provoqué ces pirates, et, alors qu’ils me suppliaient de les laisser s’enfuir, je les aurais achevés en déclarant ouvertement que tout mon clan voulait détruire les bandits de la nouvelle ère. Je rigolais à pleine gorge en l’écoutant déballer ses sornettes. Que pouvais-je bien lui répondre après ça ? Je ne le savais absolument pas. Le seul problème, le seul bémol, c’était la réaction démesurée que pouvaient prendre ces abrutis de pirates. Finalement, je commençais à penser exactement comme le voulait ma famille.

Mais il fallait bien avouer qu’ils avaient raison : même si les pirates d’antan étaient emplis de rêves et d’espoir, ceux d’aujourd’hui étaient bien pires, corrompus par l’argent et par la gloire qu’ils cherchaient à acquérir. Quelque part, le gouvernement aurait du les exterminer bien avant que leur mouvement ne prenne de l’ampleur.

« Vous êtes désespérément stupides, vous autres pirates. Vous croyez pouvoir vous approprier cette île, et y faire régner vos règles parce qu’elle se situe sur le chemin du soi-disant nouveau monde ? Ne me faites pas rire ! Ceux d’hier soir se sont crus tous permis sur ces terres qui sont les nôtres ! Voyez dans quel état ils sont maintenant. Et je suis prêt à recommencer… », Dis-je calmement, pour pouvoir les décontenancer. Le résultat fut presque immédiat. Et terriblement destructeur pour mon existence.

Voila près d’une année que je vivais sur l’archipel de Sabondy. Juste après les évènements de l’île des hommes-poissons, on décida de me renvoyer de l’île. Plutôt, on décida d’abandonner mon cas après que j’aie massacré les pirates envoyés pour me capturer. Finalement, père et les autres avaient raison : notre patrie était tombée entre les mains des forbans. Je vivais ainsi en exil. J’avais une maison de taille moyenne sur une île qui, elle, était possédée à moitié par le gouvernement mondial et par les pirates. Persévérant dans la pratique de mon art jour après jour, et nuit après nuit, je décidais de ne pas me mêler des affaires de la ville. J’avais toute la vie devant moi pour perfectionner ma technique de façon considérable. Et bientôt, je pourrai libérer mon île du joug des bandits.
En attendant, j’étais toujours coincé sur la terre « ferme ». Je ne pouvais absolument pas rentrer chez moi, sous peine d’être exécuté. J’avais déjà de la chance de m’en être sorti vivant… Mais même la puissante famille des requins blancs marche avec eux. C’était perdu d’avance. Dès lors que j’aurai pointé ne serait-ce que le bout de mes nageoires dans le périmètre aquatique de l’île, je serai traqué sans relâche. Je réfléchis… Les quelques seules entreprises de liberté qui me restaient étaient : la vie de civil ordinaire, la vie de révolutionnaire, faire une carrière dans la marine, ou alors devenir un vulgaire chasseur de primes. A choisir, j’aurais préféré être soit un révolutionnaire, soit un soldat. Vivre en cavale toute son existence ne devait être guère agréable. C’est pourquoi je me dis qu’il valait mieux pour moi que je grossisse les rangs de l’armée. Si tout du moins ils acceptaient les hommes-poissons tel que moi. Il n’y avait aucune raison de refuser mon adhésion. J’étais naturellement puissant du fait de ma race, et coriace du fait de ma pratique du Gyojin Karaté. Et j’étais déterminé. Poussé par une volonté vorace à tuer ces maudits pirates. Pour ma satisfaction personnelle et celle des miens. J’avais redoré le blason du clan en m’opposant aux pirates. A présent, c’était mon propre honneur que je devais recouvrir. Par n’importe quels moyens. Cependant, j’avais besoin de trouver une garnison. Ma seule option possible me semblait inaccessible. Et pour cause : c’était Marie Joa.

Cette occasion arriva plus tôt que prévu. Elle arriva lors d’un évènement qui, à mes yeux, pouvait sembler anodin. Pourtant, selon le gouvernement, cela était un affront sans précédents. Un pirate, outré par l’attitude d’un des Tenryuubito – un des nobles soi-disant descendant des créateurs du monde – de la ville sainte, avait osé le frapper. J’aurais trouvé cela normal. Dans notre royaume, lorsqu’un individu ne nous plait pas, on l’élimine en public, encouragé par les cris de la foule. Mais sur terre, on ne fait pas ce que bon nous semble.
Une grande mesure d’alerte avait été lancée. Une multitude de marines avaient afflué pour tuer celui qui avait blessé le « dragon céleste ». C’était le moment pour moi de faire mes preuves. Profitant de la cohue et de la confusion, je tuais en traître les pirates qui luttaient en vain contre les forces armées. Mon code de l’honneur n’avait presque plus de signification. Je ne tuais même plus par vengeance, ni par dégoût des humains. Je tuais par mépris envers la vermine pirate. Je me doutais bien que c’est ici que j’allais pouvoir faire mes preuves. Car c’est ici que devait venir un amiral – rien que ça – pour régler le conflit.
Il finit par venir. Il était grand pour un humain, car il faisait presque ma taille. Mais il était bien plus imposant que moi. Il avait un regard, une telle expression sur le visage… Il dégageait une grande puissance. Si bien que les forbans commençaient déjà à s’enfuir alors qu’il arrivait à peine. En quelque sorte, il était une sorte d’inquisiteur, un être dépêché pour détruire une des plus grandes menaces des mers. Peut-être même la plus grande. On voyait clairement dans ses yeux, même cachés par des lunettes, qu’il n’était pas ici par respect envers les Tenryuubito. Non. Lui, voulait exterminer le plus de nuisibles. Et c’est ce qu’il fit.
Déchaînant un pouvoir divin, il trancha les pirates à l’aide de multiples feuilles de papier. La plupart des pirates autour de lui étaient morts. Seuls quelques marines et moi restaient à coté de lui. Allait-il me tuer ? Etait-il un héraut de dieu ou simplement un psychopathe ? Pour seule réponse, une feuille tomba entre mes mains.


« Il leur fut dit de ne point faire de mal à l’herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n’avaient pas le sceau de Dieu sur le front. »
Ezéquiel, chapitre 4, verset 9.
Et dès lors, je n’eus de cesse de m’entraîner pour devenir marine. Mon but était de servir sous les ordres de cet amiral, qui était parti aussi vite qu’il était arrivé, emmenant avec lui la colère de dieu.

Je fus finalement accepté dans les rangs de la marine. J’eus bien du mal, car la plupart des recruteurs étaient racistes envers les hommes-poissons. Mais bon. Si certains formaient les forces spéciales des navires cuirassés, pourquoi ne pourrai-je pas intégrer l’armée ? J’étais donc ainsi un marine de troisième classe. La seule chose que j’avais à faire, c’était de gravir les échelons du grade et de la hiérarchie.

Et c’est ce que je fis durant toutes ces années. A force de missions et de me faire bien voir par mes supérieurs hiérarchiques, je devins sous-officier, puis officier.
Ce n’était pas très bien vu par les autres soldats de se faire diriger par homme-poisson, mais je m’en moquais. La présence des humains m’était sympathique. Je les aimais bien, contrairement aux pirates.
Au fur et à mesure que je grimpais l’échelle hiérarchique, je dus affronter une multitude de forbans, certains armés de fruits du démon. C’est là que je fus heureux d’être un homme-poisson. Lorsque j’étais à proximité de la mer, je « saisissais » l’eau grâce à mon art et je neutralisais le bandit vite fait bien fait. Je n’avais plus qu’à lui passer des menottes en Kairouseki. Mais j’étais aussi utile pour rattraper et couler un navire ennemi. Ma vitesse de nage étant supérieure à celle des bateaux standards, je n’avais aucun mal à le devancer, puis à détruire sa coque, son gouvernail ou ses voiles.
Grâces à toutes ces fonctions que je pouvais remplir et à ma volonté sans limites, je fus promu Commandant. J’avais maintenant trois objectifs : raser les pirates de la surface de la terre, combattre aux côtés de cet amiral qui m’avait ébloui et, pour finir, atteindre son grade. Je n’étais plus très loin de mon objectif...


Fruit du Démon : Aucun.
Techniques Spéciales : Je suis un maître du Gyojin Karaté, ou karaté aquatique (uniquement à mains nues). Je pratique aussi le Soru, une des techniques du Rokushiki.

But : Gravir les échelons de la marine, et entrer dans l'équipage de l'amiral Godwrath D. Alexander.
Rêve : Devenir amiral, rayer de la carte les pirates, libérer son île natale.

PS : Je n'ai pas fait de Post RP, car étant donné que j'ai un autre personnage sur le Forum, on peut se référer à son écriture. Si cela pose problème je suis prêt à en faire un, bien entendu.


Dernière édition par Galenth Dysley le Sam 24 Avr 2010 - 14:39, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] EmptySam 24 Avr 2010 - 10:11

Re-bienvenue à toi.



Alors, je vais sans doute te décevoir sur beaucoup des points que tu as demandés.


->Le grade le plus haut qu'on peut obtenir en ce moment à la présentation est de colonel.
->Je suis un fervent partisan du refus systématique de toute demande de haki à la présentation depuis que la règle a été établie, sauf cas exceptionnel. Le haki niveau 1 est considéré comme un fruit niveau 10 pour moi, pour ce qui est de la fiche présentation. En ceci, je te le refuse donc.



Mais je suis tout à fait d'accord pour que tu possède le Soru (mais aucun autre mouvement du Rokushiki pour le moment), ainsi que le Gyokin Karaté, après tout, tu es un homme poisson.


Bref, ce que tu as fait là me suffit, certes il y a cette phrase de dialogue dans l'histoire, mais j'vais pas en faire tout un fromage, puisqu'il n'y en a qu'une...


Validé pour moi.




PS: Si tu es un vrai requin par contre, tu ne peux pas te résoudre à croquer de l'humain, parce que les requins détestent ça... Mais comme on est dans One Piece... Very Happy
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MessageSujet: Re: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] EmptySam 24 Avr 2010 - 10:23

même chose que Xino.

validés sous les mêmes conditions.
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MessageSujet: Re: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] EmptySam 24 Avr 2010 - 11:07

Il n'y a pas de soucis, j'ai modifié : mis Colonel et enlevé le Haki.

Par contre, pour le dialogue, ce n'est pas un : c'est un monologue. =P
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MessageSujet: Re: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] EmptySam 24 Avr 2010 - 14:05

Je valide mais au grade de commandant

Pour le Gyojin Karaté, évite de donner les meilleurs attaques lors de ta première écriture. Histoire d'avoir une évolution normale.
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MessageSujet: Re: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] EmptySam 24 Avr 2010 - 14:37

Bon ben d'accord pour Commandant, je modifie...

Sinon pour les techniques y'a pas de sushi... Euh de souci.
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MessageSujet: Re: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] EmptySam 24 Avr 2010 - 15:48

Bon, j'estime que la présentation est validée. Au vu de message de Xino et Kuro, bref, je lock et mets les couleurs
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MessageSujet: Re: Galenth Dysley [Terminé]   Galenth Dysley [Terminé] Empty

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