One piece Rpg Bienvenue sur les mers du Rp, Invité |
|
| Présentation de Zaren Wulfrick | |
|
+4Oro Kenpachi Kurogane Shinobu Godwrath D. Alexander Zaren Wulfrick 8 participants | |
Auteur | Message |
---|
Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 15:52 | |
| -------- Présentation du joueur -------- Nom & Prénom:Kulacek Jean Age:Je n'ai pas assez de doigts pour compter et vraiment aucune envie de me baisser pour continuer avec mes orteils. Sexe:Pratique régulière (surtout le soir). Comment avez vous connu le forum?On étaient dans la même classe en primaire. Combien d'heures vous vous connectez par jour?Entre 60h17 et 82h73 selon le jour de la semaine. Tes Mangas préférés: Les mangas de Ken Akamatsu (ouah! c'est la première véritable réponse que je donne, alors je vous prierais de ne pas vous en moquer) Ton pirate préféré dans one piece : Nico Robin, parce que rien ne peut remplacer la vue magnifique de ses membres sensuels se multipliant à perte de vue (sauf peut-être une délicieuse glace à la vanille) Hobbys: Jouer, rire, (apprendre, aimer, créer, découvrir, s'émerveiller, explorer, développer, rêver, sentir,) grandir. Autre: Je suis bien content que nous ne soyons pas tenus de mettre une photo de nous sur notre fiche de présentation sinon la mienne aurait paru risible. Encore merci. -------- Présentation du personnage -------- Nom & Prénom :Zaren Wulfrick Pseudonyme :De nombreux surnoms lui ont été donnés au cours de sa vie: "le morveux", "le mioche", "sac à merde", "stupide hobbit joufflu" et j'en passe. Mais aucun d'entre eux n'a réellement perduré dans le temps. Face à cette injuste perte de pseudonymes, il se forgea un nom si terrifiant que tous auraient peur de le prononcer: "Zaren le dément" Age :Aime prétendre être immortel et naviguer sur les mers depuis des siècles, mais il n'a en réalité que trente-six ans et a horreur qu'on le lui rappelle. Race :Humain (et fier de l'être en plus) Occupation :La terreur, le massacre, la destruction et surtout...la piraterie! Rang Spécial :Capitaine sociopathe Métier :Combattant (au sabre ou à mains nues), emmerdeur, possède également les capacités pour diriger un navire mais ne sait pas lire les cartes. Physique: (Voir les messages postés ci-dessous) Caractère & morale:(Voir les messages postés ci-dessous) Fruit du Démon :Ento Ento No Mie : (Paramécia du passe-muraille) Permet à l’utilisateur d’entrer dans toute matière, à l'exception des êtres-vivants. Il peut se déplacer librement dans ces surfaces et les traverser à son bon vouloir. L’utilisateur ne laisse aucune trace, ni même un bruit lors de ses déplacements. Pour attaquer, l’utilisateur peut faire sortir partiellement des membres de la surface. Ce fruit du démon étant parfaitement efficace contre les balles, boulets de canon et épées, il est souvent traité comme un logia, mais reste inefficace contre des coups de poing (ou des coups de pied, etc...). A haut niveau de maîtrise, les personnes qui sont en contact direct avec l'utilisateur traversent, elles aussi, la matière. Techniques spéciales:Zaren sait parfaitement se battre à mains nues mais il préfère utiliser un sabre dans une main et garder l'autre libre car trancher les ennemis lui parait aussi amusant que de les frapper. Il utilise également les techniques de son fruit du démon. Histoire:(Voir les messages postés ci-dessous) Rêve / But :Anciennement: Obtenir le fruit de la matière fécale Désormais: Devenir le pirate le plus noir et le plus craint de tous les temps (et il croît que son rêve n'a rien de banal). Post rp:(Voir les messages postés ci-dessous)
Dernière édition par Zaren Wulfrick le Sam 5 Juin 2010 - 13:30, édité 4 fois | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 15:56 | |
| Physique :
Comme chacun d'entre nous le sait, la deuxième qualité de tout pirate qui se respecte est de s'aimer soi-même, la première étant l'hygiène buccale. Aussi, afin de vous présenter physiquement notre ami Zaren, je vous propose d'écouter un portrait qu'il a fait de lui-même en préparation d'un premier flirt par den-den mushi avec la fille d'un centre de rencontres. Pour un soucis de confort de lecture pour nos auditeurs, le discours a été retranscrit dans un langage, disons, plus civilisé, moins barbare. Voyez plutôt:
Non sincèrement, je n'ai rien pour plaire, je suis une erreur de la nature, une bête de foire, un véritable monstre. Les gens sur mon passage se retournent pour me regarder ou s'enfuient sans retenue, les nourrissons pleurent en me voyant, les femmes prient le seigneur et moi, du haut de mes deux mètres trente, je n'ai aucun endroit où me cacher afin de ne pas imposer ma vue. Mon corps est horrible, vulgaire, celui d'une énorme brute de 130 kg de muscles. Rien que mon visage effraie (et ce depuis ma naissance avec la crise cardiaque de la sage-femme), à commencer par mes cheveux noirs, preuves de l'existence même de la crasse, que j'arrive à faire tenir sous forme de piques par la simple graisse dont ils semblent être constitués. Mes yeux sont ceux d'un démon qui aurait pris une apparence humaine. En effet, d'un rouge profond et rayés par de fins traits ondulants d'un noir d'encre, ils me donnent contre ma volonté un air méchant et m'obligent parfois à porter des lunettes de soleil pour les cacher. Je ne peux non plus supporter la vue de mon nez, arme dangereuse, qui a probablement été taillé pour tuer. Pour tout te dire, si je venais à t'embrasser, je transpercerais probablement les pommettes de tes jolies joues dans le même mouvement. Enfin, le sourire de ma bouche large et déformée me fait paraître machiavélique malgré moi et je ne devrais même pas parler de mes dents qui ne sont qu'un amas d'immondices regroupées sur des pavés mal alignés et aiguisés comme les lames d'un rasoir. D'ailleurs, je ne me brosse jamais les dents, je me les lime. Il n'est pas difficile d'imaginer le corps rattaché à cette tête dégoutante. Où que l'on regarde, je ne semble être constitué que de muscles et de veines saillantes. Mes bras ressemblent à ceux d'un gorille qui aurait abusé de produits dopants. Ils pourraient être très utiles pour tordre les cervicales, faire un déménagement ou déboucher les bouteilles neuves mais ils n'inspirent que la crainte de la force qu'ils libèrent. Mes mains immenses comme des palmes peuvent saisir des objets de n'importe quelle taille et les broyer sans difficulté sous leurs doigts puissants. Évidemment, mon torse suit cette logique et ressemble à un regroupement de muscles gonflés comme des ballons et positionnés en forme de V, en partant de mes épaules, si larges que les oiseaux s'y installent pour manger, à ma taille, une sorte de tour dont mes abdominaux seraient les parpaings, en passant par mes pectoraux, bonnet F. Pour ce qui est du bas du corps, mes jambes sont immensément larges et épaisses comme deux morceaux de jambon du cochon le plus musclé au monde. A chacun de mes pas j'ai l'impression de provoquer un séisme et je ne cours pas par peur de détruire le sol sur lequel je me déplace. Quant à mon sexe ... sa trop grande taille m'indispose chaque jour. Comme pour parfaire l'ignominie de ce corps, je ne dispose d'aucune pilosité, ce qui fait totalement chuter ma virilité, mais en plus une multitude de balafres et cicatrices disgracieuses sont parsemées des pieds à la tête comme témoins des horreurs que j'ai subi dans ma vie. Leur taille peut varier de 3 cm de long (mais 30 cm en profondeur) à 1 m 10, cicatrice partant de ma cuisse à mon thorax. Mon comportement ne rehausse malheureusement pas mon abominable physique. Tout d'abord, je regarde les gens de haut, non pas à cause de ma grande taille mais surtout à cause du peu d'intérêt que je leur porte. Parfois je lance des regards emplis d'une lueur de démence ou de carnage, lorsque les personnes m'apportent une quelconque utilité. Ma voix est grave, presque rauque, elle accroche chaque mot comme on laboure un sol de gravier. Elle est aussi puissante et fait résonner l'air grâce au coffre de ma poitrine mais au plus grand dam de mes auditeurs. Ma posture debout, corps droit, épaules en arrière, jambes légèrement écartées, assure une stabilité à toute épreuve, mais affirme aussi mon aspect supérieur que je déteste tant chez moi. En revanche, ma posture assise me fais régresser: je ne m'assieds pas , je m'étale comme une loque, avachi et profitant d'une position de repos qui me fait perdre de ma supériorité. Ma démarche est ridicule, elle est bruyante et me fait encore plus remarquer en tant qu'obstiné allant toujours de l'avant et refusant de s'arrêter. Quant à ma façon d'agir avec ce qui m'entoure, on peut considérer qu'elle est brutale avec ce qui paraît solide, comme les hommes, les bâtiments, les perroquets, et douce, légère, attentionnée avec ce que je trouve fragile, c'est-à-dire les femmes, les colibris, la virginité. Il ne me reste plus qu'à parler de la partie que je souhaitais à tout prix éviter, ma façon de m'habiller. C'est bien clair, je n'ai strictement aucun goût vestimentaire. Je me vêts toujours des mêmes haillons que je lave en même temps que moi à l'occasion de chaque bain annuel. Mes vêtements sont simples mais ils sont à ma taille et ne se déchirent pas lorsque je bouge. J'ai un gilet sans manche, fin et noir largement ouvert sur mon poitrail et fermé à la taille par un long tissu gris qui me sert de ceinture et qui maintient également mon pantalon noir à la fois ample et souple. Je chausse deux grosses bottes noires lacées mi-mollet avec des semelles très épaisses pour paraître plus grand encore. Je porte aussi un grand drap gris dans lequel j'ai découpé deux trous pour y passer les bras et m'en faire une longue cape qui m'arrive presque jusqu'aux talons. Je garde toujours les bras nus, aucune manche ne pouvant contenir mes muscles trop épais, ainsi qu'une lame sans fourreau coincée derrière ma "ceinture" pour rester prêt à tout instant. Comme tu peut maintenant t'en rendre compte je n'ai absolument rien de bien en moi alors je pense qu'il serait inutile de se fréquenter, je ne pourrais te faire que du mal.
Zaren Wulfrick essayait une nouvelle technique de drague consistant au dénigrement de soi afin de provoquer la compassion de la charmante damoiselle. Il se trouve que son plan marcha à merveille puisque ladite femelle sombra dans un chaos de tristesse, de larmes, de colère face à cette injustice de dame nature et lui donna le numéro de ses frères Bob et Allan, respectivement styliste et chirurgien esthétique. Malheureusement, à la suite de cette tragédie elle ne donna plus aucune nouvelle à notre pauvre Wulfrick et refusa catégoriquement de répondre à ses appels. Cependant, cette description, bien que totalement subjective, présente de nombreux aspects véridiques qui ont le mérite de devoir être repris. Refaisons donc, si vous le voulez bien, un meilleur récapitulatif physique de notre personnage favori:
Zaren est l'un de ces hommes bien bâtis qui attirent le regard des autres par leur simple présence et qui les tétanisent par leur physique terrifiant. En réalité, il ressemble plus à un guerrier barbare ne rêvant que de batailles et massacres plutôt qu'à un véritable monstre (pour ceux qui verraient une différence). Dans un soucis de paraître encore plus à plaindre auprès de la jeune fille, il a exagéré sa taille et son poids. Véritablement, il ne pèse que 127 kg pour 2 m 26, sans compter la taille de ses hautes semelles. En clair, il est imposant, terrifiant à faire changer de trottoir, son physique annonce sa force destructrice et taille des sillons parmis les passants lorsqu'il marche.
Pour son visage, on peut honnêtement dire qu'il n'a pas été gâté par la nature. Ses cheveux ne sont pas réellement sales puisqu'ils se désinfectent chaque fois que leur propriétaire plonge la tête dans un tonneau de rhum, mais ils sont en revanche secs, cassants et noirs comme le charbon. Il les fait tenir (dieu seul sait comment) en forme de piques élancés à partir de l'arrière de son crâne, comme fuyant le visage horrible qui se trouve devant. Si on devait décrire ses yeux en un seul mot? Inhumains. Et cela est bien normal puisque le rouge n'est pas une couleur naturelle pour les yeux d'un humain, et ce encore moins lorsque la couleur paraît se répandre par moment à la totalité des globes oculaires, notamment pendant les nuits de pleine lune lorsqu'il décapite négligemment les passants en rognant sa viande crue. Quant à son nez, il est vrai qu'il est relativement taillé en pointe, avec une arête presque tranchante, des petites narines fines et toujours fermées, le tout pour une masse imposante de sa longueur, de quoi écrire quelques tirades. Enfin sa bouche est si grande qu'y fourrer un gigot entier est chose facile. Ses dents sont loin d'être crasseuses, bien que parfois rouges du sang de ses ennemis (la viande crue étant un ennemi potentiel), elles sont surtout grandes, blanches, très visibles même la nuit, et parfaitement alignées à l'exception des canines qui ont une taille supérieure. Tout cela est du au fait que chaque soir, avant de mettre son petit bonnet de nuit, Zaren aiguise ses dents une par une à l'aide d'une lime à métaux. Non c'était une plaisanterie bien entendu... il ne porte pas de bonnet de nuit. Le résultat est assez terrifiant en effet et, pour tout dire, il est largement préférable de le voir faire une tête renfrognée que de le voir sourire à pleines dents, ce qui, malheureusement, arrive très souvent.
Son corps est à proprement parler celui d'un dieu grec. Une musculature parfaite, gonflée à bloc par ses entraînements intensifs, un torse imposant, des épaules larges et épaisses, des abdominaux en forme de briques et des muscles, des muscles encore et encore. Cela en fait même un peu trop mais ce physique est nécessaire pour obtenir une force telle que la sienne malgré le fait que sa carrure semble gêner ses déplacements. Dans l'ensemble, son corps est bien proportionné, chaque membre étant d'une longueur correcte par rapport aux autres, à l'exception de son imposant appareil de reproduction qui... mais ce sera pour plus tard. Ses mains sont grandes avec des ongles suffisamment longs pour écorcher ses ennemis en surface. Sa couleur de peau est terne et grisâtre comme délavée par le temps, des veines gonflées parcourent le long de ses bras et un nombre respectable de cicatrices pullulent sur son corps en remplacement de sa pilosité manquante (et croyez-moi, la plupart ne son pas belles à voir).
Sa démarche est imposante, il avance tout droit sans que rien ne l'arrête en faisant de grandes enjambées et en avançant l'épaule droite en même tant que le pied gauche et inversement. Cela ressemble fortement à la démarche d'un Mr. Muscle fier de son apparence, ce qui est d'ailleurs le cas. Il est généralement brutal envers le matériel qui n'a aucune valeur pour lui mais il est assez délicat avec les êtres vivants sauf en combat. Ce n'est pas véritablement de la délicatesse, disons qu'il agit avec les autres comme un scientifique avec ses souris de laboratoire, ou comme un enfant découvrant l'espèce des lézard et ne trouvant aucun autre moyen pour les étudier que de leur arracher la tête pour "voir ce que ça fait". En conséquence, selon l'intérêt que vous lui suscitez, Zaren vous regardera avec dédain ou avec les yeux déments d'un scientifique fou.
Pour ses vêtements, sa propre description correspond parfaitement à la réalité, si ce n'est qu'il ne porte parfois pas ses bottes et reste les pieds nus. Quand il les porte, elles le surélèvent de quelques centimètres afin de marquer encore plus le gouffre qui le sépare de la taille moyenne dont il est si fier de se moquer. Globalement, il est négligé, ne prend pas soin de son apparence et se fiche de ce que les gens pourraient penser en le voyant toujours accablé des mêmes chiffons qui lui servent de vêtements.
Ainsi, voilà une description un tantinet moins dégradante de ce jeune homme, qui ne l'est plus trop d'ailleurs, mais qui a su garder sa prestance naturelle. Tous les éléments de sa propre description n'ayant pas été repris peuvent être considérés comme vrais, en n'oubliant pas que d'habitude il ne se dénigre pas mais, au contraire, s'aime à en devenir fou.
Dernière édition par Zaren Wulfrick le Mar 1 Juin 2010 - 15:59, édité 1 fois | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 15:57 | |
| Caractère & morale :
Regardons maintenant ce qu'il se passe dans sa tête, dernière adresse connue de la démence absolue. Il est d'opinion commune que les gros bras ne vont pas de paire avec un intellect florissant. Malheureusement pour les personnes qu'il côtoie, cela n'est pas le cas de Zaren. Attention! N'allez pas croire qu'il arrive ne serait-ce qu'à la cheville du Dr. Vegapunk, mais disons plutôt qu'il se situe un peu au dessus de la moyenne. Il est capable d'élaborer des stratégies, d'avoir des pensées philosophiques ou même de compter jusqu'à 73 (si si je vous assure que c'est vrai). Cependant ne commettez pas l'erreur de penser que c'est quelqu'un de normal. Pour vous donner un exemple parlant, il aime autant agir comme les autres que moi m'enfoncer un ananas par le rectum. Il n'a pour ainsi dire aucune conscience véritable de la vie, de la douleur, de la liberté d'autrui. Pour lui, la vie n'est qu'un jeu, dont le seul but est de gagner en devenant le meilleur, et peu importe ce que l'on fait aux autres puisqu'ils jouent eux aussi. En clair c'est presque un sociopathe. C'est à dire que pour lui, arracher un de vos membres ou violer votre femme est aussi naturel et légal que d'acheter du pain. Oh mais ne lui en veuillez pas pour autant, tout d'abord ce n'est pas parce qu'il trouve cela normal qu'il le fera tous les jours, mais plus selon ses envies passagères, ensuite parce que c'est un malade mental comme les autres, qui a le droit au respect et à la compassion, enfin parce que je trouve que vous avez bien mérité le sort qu'il vous a réservé. Malgré ce handicap majeur, il est parfaitement capable de tenir une conversation normale avec qui que ce soit ou encore de ressentir l'amour, l'amitié et le besoin de protéger ceux qu'il aime, même si la compassion ne fait pas partie de ses attributions.
En parlant de l'amour, il l'a déjà ressenti une fois, et ce très fortement, envers une femme dénommée Angela avec qui il se maria et eu un fils. A l'époque, sa maladie mentale n'était que très peu développée et il pouvait donc élever correctement son enfant en lui apprenant les bases du métier de la barbarie. Tout se déroulait très bien jusqu'au drame qui survint par une belle journée d'été et qui causa la mort de ses deux êtres aimés dans un brutal accident de pétanque. Après ce jour,il ne fut plus jamais capable d'aimer personne et se contenta du plaisir charnel. Alors que certains, après un tel drame, pensent au suicide, à l'alcool ou au bonheur d'être enfin seul, Zaren compensa son manque en multipliant la difficulté, la durée et la fréquence de ses entraînement au combat qu'il effectua dès lors en solitaire dans la nature sauvage. En effet, se battre est probablement ce qui lui plaît le plus. Viennent ensuite la découverte de nouveautés (comme l'exploration, l'apprentissage, les expériences scientifiques, la dissection d'un corps vivant et j'en passe), l'alcool et lui même, sans aller jusqu'au narcissisme. Ce n'est que pendant ses exils solitaires qu'il développa ce caractère sociopathe à force de ne plus vivre en société. Il est aussi profondément antisémite et déteste presque toutes les races autres qu'humaines depuis sa plus tendre enfance, en particulier les hommes-poissons. S'aimant lui-même, il est aussi récalcitrant envers les insultes, les menaces, les obscénités, et n'étant pas dépourvu d'honneur, il n'acceptera pas de s'en voir privé, pour lui comme pour ses compagnons d'armes. Mais globalement rien d'autre ne le répugne, si ce n'est ces petits malin qui se croient plus forts que lui alors qu'ils sont plus petits et plus jeunes, quel agacement!
Sa personnalité lui impose une grande indépendance puisqu'il n'acceptera les ordres de personne, mais il aime en revanche soumettre les autres, ses alliés comme ses ennemis à l'exception de ses compagnons d'armes car, selon lui, chaque guerrier se doit de n'être soumis qu'à sa propre liberté. De nature curieuse, il s'intéresse à tout ce qu'il ne connait pas, il agit selon ses instincts et peut donc se retrouver à vous mordre violemment la cuisse simplement pour en connaître le goût. Comme le laissent deviner son regard et son sourire, il est atteint d'une démence partielle. Ses raisonnement sont tous aussi bizarres et erronés les uns que les autres, dans le sens où, parce que les gens de la fête dans laquelle il se trouve font trop de bruits, il faut les tuer un par un pour réduire proportionnellement le volume (logique, me direz-vous). Comme vous vous en êtes certainement rendu compte jusqu'à maintenant, Zaren agit "parfois" comme une brute. C'est l'un de ses instincts de dément, à savoir que pour lui la violence est une solution de facilité pour résoudre les conflits, tout autant qu'un moyen de se faire plaisir en calmant ses pulsions. Autre aspect de sa démence: l'excitation. On retrouve cette facette de sa personnalité essentiellement lors des combats, c'est à dire que plus le combat s'étend en durée, plus Zaren devient excité, violent, pris de tremblements comme lors d'un crise nerveuse, sauf que là, il tremble de joie et ne peut empêcher son rire hystérique et terrorisant. Lorsqu'il atteint cet état, presque rien ne peut l'arrêter et la douleur ne fait que pousser cette démence à son paroxysme. On pourrait penser alors qu'il ne ressent plus la douleur, mais ce n'est pas exactement le cas, disons plutôt que cette douleur devient comme une drogue pour lui et il n'est pas rare de le voir s'entailler lui même au cours d'un combat intense pour ressentir plus d'excitation encore. Avec lui, un combat ne se termine que par la mort de son adversaire ou bien l'épuisement total du corps de Zaren. En effet, la douleur a beau lui apporter un soutient moral, son corps, bien qu'extrêmement résistant, s'épuise au fur et à mesure jusqu'à s'écrouler face contre terre. Là encore seul le corps est hors service car il continuera malgré tout à lancer un regard noir avec un sourire de dément et se traînera vers son ennemi comme il pourra en riant à gorge déployée. Telle est la démence de Zaren Wulfrick.
En dehors des combats, sa démence n'atteint pas des hauteurs; il peut alors vivre "normalement" et profiter des plaisirs de la vie en saccageant la liberté d'autrui par son caractère sociopathe. Parce qu'il agit selon ses pulsions et rarement selon sa façon de penser, ses réactions sont imprévisibles: il pourra par exemple, après un combat singulier, épargner un assassin venu le tuer, faire une vingtaine de pas et égorger le premier passant venu par simple besoin. La seule chose certaine est qu'il essaiera à tout prix de protéger son honneur et celui de ses compagnons. Par honneur, il entend liberté de vivre sans que les autres ne le juge. Pour lui, céder à ses pulsions meurtrières, sexuelles ou d'expérimentations est sa façon de vivre et il ne supportera aucune remontrance, ni aucune insulte sur cela ou sur son physique dont il est si fier. Ah oui, sa fierté, parlons en. Il a une haute estime de lui, c'est en partie pour cela qu'il ignore les ordres qu'on lui donne, et de ce fait, il n'a peur de presque rien, il ne recule pas face au danger et surtout ne croit pas en Dieu ni en aucune force supérieure. Il reconnait cependant que certaines personnes sur les mers sont plus fortes que lui mais toutes sont humaines ou presque, il peut donc les surpasser, même si son but premier n'est pas d'être le plus fort mais plus de pouvoir jouir des plaisirs de la tyrannie encore et encore pour l'éternité.
Nous avons vu un de ses buts, mais ses rêves furent nombreux au cours de sa vie. Celui de son enfance se limita a tuer tous les hommes-poissons. Par la suite, il commença a vouloir ennuyer les gens autant que possible dans leur vie de tous les jours. Il développa à cette époque un caractère moqueur, cynique et farceur, caractère qu'il possède encore aujourd'hui mais dans une moindre mesure. C'est donc dans son désir d'embêter la Terre entière qu'il se mis en tête d'obtenir le logia de la matière fécale (en effet, quoi de mieux que ce fruit pour emmerder le monde). Ce n'est que quelques temps plus tard qu'il appris d'un vieillard courageux, poussé par son village, que ce fruit n'existait pas et qu'il avait détruit la moitié de leur patelin pour rien. Inutile de préciser que le vieux mourut dans d'atroces souffrances et Zaren garda en mémoire ce rêve inachevé pour les jours où il n'aurait rien à faire. Déçu par la perte de son rêve et voyant qu'il inspirait la peur chez les autres, il décida de devenir la personne la plus crainte à travers les océans. Cela explique donc par la suite sont goût vestimentaire particulièrement horrible et son corps aussi terrifiant que dépréciatif.
Comme n'importe qui peut s'en douter en voyant Zaren, il n'a pas vraiment de sensibilité au niveau des émotions. Lorsque ce n'est pas le délire et la démence qui le guident, ses capacités émotionnelles se résument à l'extase, la joie, l'ennui et la contrariété, respectivement lorsqu'il se bat, qu'il vient de terminer un combat, qu'il n'a rien à massacrer et qu'il n'a pas fait de massacre depuis quelques temps. Il est très souvent le sourire aux lèvres, un sourire terrifiant, certes, mais rempli de joie et de satisfaction. Il ne se met presque jamais en colère, cependant il se renfrogne parfois, mais jamais il n'agressera quelqu'un verbalement car selon lui "c'est pour les tafioles! Rien ne vaut une bonne torgnole". Étrangement, les insultes correspondent, pour lui, plus à de la provocation qu'à de l'agression, une formule de présentation et d'invitation pour la future victime si vous préférez. Il en fait donc usage à tort et à travers avec tous ceux qu'il connait et même ceux qui lui sont inconnus.
Comme dit précédemment, Zaren est un homme qui agit selon les pulsions qui lui viennent sur le moment, c'est donc un être de plaisirs qui ne se soucie pas du lendemain mais de l'instant présent. Il est alors grand consommateur d'alcools en tous genres, de viandes et tout autre truc comestible, et ce en quantités importantes. En revanche, il n'a pas grande notion des plaisirs autres que corporels, dits "de l'esprit". En cela, la mode, aussi bien vestimentaire que pour l'équipement, les jeux, les journaux ne le concerne aucunement. Il ne voit non plus aucun intérêt aux Berrys; en amasser une très grande somme peut le rendre excité et vraiment heureux, mais il ne le dépensera probablement jamais puisqu'il part presque toujours des tavernes sans payer et qu'il n'a jamais mis les pieds ni toute autre partie du corps dans d'autres boutiques, si ce n'est peut-être un magasin d'armes ou de nourriture. Et encore, il préférera subtiliser un sabre sur le cadavre de son ennemi.
Voilà, ainsi s'achève la description psychologique de Zaren Wulfrick. En résumé, c'est un homme mentalement dérangé, un sociopathe atteint de démence qui agit selon ses pulsions et ses désirs et qui ne supporte aucun obstacle à sa liberté d'action et sa façon de vivre. C'en est presque triste. | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 16:04 | |
| Histoire:LA NAISSANCE Dans une petite île perdue au milieu de l'océan, il y a de cela 36 ans, un navire de petite taille accosta dans le petit quai de la petite ville de Floria. Le bateau était ravagé comme s'il avait récemment essuyé une tempête ou une bataille. Les habitants, curieux de recevoir des visiteurs, se rassemblèrent sur la rive en attendant la sortie des passagers. Après plusieurs minutes d'inactivité totale, on commença à avoir peur dans les rangs et nombre d'entre eux décidèrent alors de fouiller le navire. Le spectacle était horrible, tout avait été ravagé à l'intérieur et des traces de sang tapissaient les murs. Ils parcoururent le navire à la recherche de survivants, mais sans succès jusqu'à la dernière cabine. Là, une trace de sang plus large et plus continue semblait descendre depuis le pont et passer sous la porte fermée, comme si un corps y avait été traîné. Armés de leur courage et d'une bonne dizaine de pioches, les villageois ouvrirent la porte d'un coup sec, s'apprêtant à bondir sur le premier ennemi présent. Il n'en fut nullement besoin car à l'intérieur de la cabine se trouvait, allongée à même le sol, une femme enceinte qui tremblait à la fois de froid et de peur. A ses côtés, la longue trace de sang s'arrêtait sous un homme, assis sur le plancher, qui caressait amoureusement les cheveux de cette femme. Il était blessé au flanc et perdait beaucoup de sang, certainement avait-il dirigé le bateau à quai puis était redescendu jusqu'à cette cabine en rampant tout du long. Cet homme avait indéniablement une volonté de fer, et il le prouva en lançant un regard d'une noirceur infinie lorsqu'il ordonna aux villageois de sauver sa femme. Face à une telle détermination, certains prirent peur mais tous se mirent à la tâche pour les tirer d'affaire. L'homme refusa catégoriquement toute aide tant que sa femme n'était pas sortie du navire et, dès l'instant où il fut certain qu'elle était hors de danger, il se décrispa, poussa un soupir de soulagement et sourit avant de perdre connaissance sur le plancher de l'embarcation. Dès le lendemain, après leur guérison (oui, ce fut très rapide), le couple des Wulfrick fut directement admis comme membres du village et trois semaines plus tard, le bébé naissait. C'était un beau garçon auquel ils décidèrent de donner le prénom de son arrière-grand-père, Zaren. Avant de parler de la suite des évènements, il me faut d'abord vous raconter ce qui se déroula pendant ces trois dernières semaines de gestation. Par un beau matin, seulement quelques jours après l'arrivée de la petite famille, la cloche du village sonna l'approche d'un navire inconnu pour la deuxième fois en une semaine. Floria ne recevant presque jamais de visiteurs, les habitants surent immédiatement que les deux accostages étaient liés. En effet, ce fut un navire de la marine qui amarra et le commandant à son bord fit savoir qu'ils étaient à la recherche d'un équipage de bandits hommes-poissons, celui même qui avait attaqué le navire des Wulfrick. Lorsque leur bateau avait été aperçu pour la dernière fois, il prenait justement la direction de ce petit îlot de tranquillité pour y poursuivre leurs proies, mais s'était probablement perdu dans le brouillard local. Le commandant proposa donc son aide au village et installa un petit fort de retranchement pour ses hommes, juste à la périphérie. Voyant là un moyen de prendre sa revanche contre ses agresseurs, le futur père de Zaren s'engagea, malgré l'avis de sa femme, dans les rangs du commandant, et attendit, avec ses nouveaux confrères, l'arrivée des hommes-poissons. Cette nuit-là, alors que la plupart des nouveaux défenseurs de la ville dormaient, les ennemis arrivèrent à la nage aussi silencieusement que des assassins et donnèrent l'assaut contre cette ridicule forteresse. Fort heureusement, le père de Zaren, n'avait pu dormir tant la vengeance le rongeait, alors il sonna l'alarme et se précipita sur ses anciens tortionnaires sans attendre l'aide de ses compagnons. Généralement, un homme normal ne peut rivaliser avec le physique d'un homme-poisson, encore moins avec des blessures à peine refermées depuis le précédent combat. Mais cet homme n'avait que faire des pronostiques et il réduisit au silence éternel deux de ces créatures marines. L'éclat de la lune illuminait son visage empli de rage et de bave écumante et ses coups résonnaient dans la nuit. Ce ne fut pas un homme blessé que l'on vit cette fois, mais un héros. La satisfaction fut de courte durée car le chef de la bande, un homme-requin-marteau, se mêla à la bataille et ce héros mourut de ses blessures en même temps que dix autres de ses collègues. Le commandant incapable de rivaliser, capitula face aux hommes-poissons qui emménagèrent alors dans cette petite ville où ils commencèrent à régner en maîtres. L'équipage de la marine ne fut pas autorisé à quitter l'île et ils durent envoyer de faux résultats de mission afin de ne pas ameuter le gratin de la marine et du gouvernement par leur absence. C'est donc dans ce climat hostile que naquit et grandit Zaren Wulfrick, une île sans loi dirigée par la force d'une race supérieure où les villageois se soumettaient, les marines se pissaient dessus et où son père mourut tel un héros anonyme. LA JEUNESSE Il est difficile d'avoir une enfance saine et équilibrée lorsque l'on croise chaque jour les responsables de la mort de son père, aussi bien les tueurs que les lâches et les traîtres qui ne l'ont pas secouru. Bien que les crapules, désormais propriétaires de la ville, avaient laissé Zaren et sa mère en vie, dès qu'il eu quatre ans, les enfants hommes-poissons en firent leur souffre-douleur. Sa haine envers ces êtres visqueux augmenta en même tant que son nombre de bleus et de cicatrices. Dès cet âge-là, il consacra chacune de ses journées à attaquer ces amphibiens lorsqu'il les voyait et à grimper sur le toit du fort des marines pour les insulter de leur corruption et les pousser à la rébellion. Chacun dans le village se mordait les lèvres de honte en entendant la vérité de la bouche de cet enfant, mais personne ne le suivait lorsqu'il s'élançait, chaque jour, contre les hommes-poissons. Ces derniers auraient pu le tuer pour l'outrage qu'il leur faisait mais, au contraire, ils s'amusaient de le voir en vain essayer de les tuer et de pouvoir le martyriser encore et encore sans que jamais il ne se lasse. Seulement, les années passant et le même cirque se déroulant chaque jour, le petit Zaren se renforçait. Petit à petit, sa force, sa vitesse, son endurance augmentaient, il ne se faisait plus mal en tapant ses ennemis et commençait à leur infliger des blessures (tout du moins pour les enfants des hommes-poissons uniquement), en clair il tenait de plus en plus face à ses ennemis marins. Cette bataille quotidienne agissait sur lui comme un entraînement intensif, si bien qu'à l'âge de dix ans, il parvint un jour à battre les trois bourreaux de son âge qui le frappaient depuis six ans maintenant. Ce n'est que l'intervention des adultes qui empêcha Zaren de tuer ses adversaires. Il essaya également de s'en prendre aux hommes-poissons adultes mais ceux-là restaient bien trop forts pour lui. Cet incident mis le feu aux poudres, et les bandits, voulant punir le jeune garçon et faire disparaître la rébellion qui naquit alors dans l'esprit des villageois, firent brûler la mère de Zaren et neuf autres personnes dans un bûcher géant au centre de la ville. Zaren assista impuissant à la mort de sa mère. Fou de rage et désormais orphelin, dans un élan de démence, il réussit à se défaire de l'emprise de ses tortionnaires et s'enfuit vers les quais où il déroba une barque des hommes-poissons et prit la mer, jurant haut et fort qu'il reviendrait les tuer lorsqu'il serait devenu meilleur. Sachant pertinemment qu'il ne savait pas naviguer et que la tempête qui approchait le tuerait, les bandits ne le poursuivirent pas et le laissèrent à son triste sort en riant à gorge déployée, heureux que la mer se charge de la sale besogne. En tant que créatures de la mer, les hommes-poissons ne s'étaient pas trompés et la barque du jeune garçon fut prise dans la tempête la plus terrible qu'il ait jamais vue. Cependant, bien que n'ayant jamais mis les pieds sur un navire, Zaren du haut de ses dix ans mena la barque comme le plus chevronné des marins, probablement un héritage génétique de son défunt père. Il lutta toute la nuit contre l'océan déchaîné dans le seul but de ne pas couler son embarcation car sa destination lui importait peu. Lorsque la mer se calma, l'aube pointait déjà à l'horizon et aucune terre n'était visible de l'endroit où il était. Il navigua ainsi durant deux jours et deux nuits, sans eau, sans vivres et sans aucune idée de sa direction. A l'aube du troisième jour, le soleil se leva sur une île qui ressemblait à une montagne sortant des profondeurs de la mer. En s'approchant, le garçon remarqua un village sur l'un des flancs; ce devait sans doute être l'île voisine que les adultes de son village natal songeaient à avertir dans l'espoir d'obtenir des secours. Cependant, en arrivant sur la côte, il abandonna sa barque et s'enfonça dans la forêt sur le flanc à l'opposé du village. En aucun cas il ne voulait aller chercher de l'aide, et certainement pas celle des adultes lâches qu'il y trouverait. Désormais, il était persuadé que tous les adultes était faibles, peureux ou chercheraient à tirer profit de la situation; cela lui fournissait alors une bonne excuse pour se faire vengeance lui-même. Dès lors, il resta seul dans la montagne et s'entraîna jours et nuits, d'abord à survivre en fuyant les animaux féroces qui y vivaient, en trouvant seul sa nourriture, en s'habituant à la viande crue, en se construisant des abris précaires, puis à devenir plus fort car même s'il était déjà très doué pour son jeune âge, il lui fallait surpasser tous les hommes-poissons de son village à n'importe quel prix. Il s'entraîna donc contre des rochers, abattit des arbres à coups de poings, les souleva, se battit avec et chercha à transformer son corps en arme en se limant les dents ou en se taillant les ongles en pointe. Il s'entraîna tant et si bien que dix ans plus tard, la moitié de la montagne semblait avoir subi des bombardements intensifs. Ces nombreuses années de combat intensif lui avait bâti un corps d'acier et assuré la suprématie totale sur toute la biodiversité environnante. Alors satisfait de ses progrès immenses, il se dirigea vers la ville de l'autre côté de la montagne où avait couru une rumeur étrange à propos d'un démon qui habitait dans la forêt. Il n'est pas besoin de préciser, je pense, la terreur des villageois qui virent sortir des arbres un sauvage gigantesque, recouvert de cicatrices et totalement nu. En se baladant dans les rues, qui se vidaient petit à petit dans un brouhaha incroyable, il remarqua une taverne remplie de pirates et de brigands d'où sortirent un homme-poisson et une jeune femme contrainte de le suivre par la force. Tandis qu'ils entrèrent dans une ruelle sombre, Zaren vit là un moyen de voir le résultat de son entraînement et de récupérer en plus des vêtements et le sabre que la poiscaille pointait maintenant vers la fille en lui ordonnant de se déshabiller. Même armé, prévenu du danger et prêt à combattre, la vie de cet amphibien s'acheva dix secondes plus tard, laissant notre ami profiter de son nouvel équipement. Pendant que celui-ci se changeait, il reçut les remerciements et les présentations de la demoiselle qu'il venait de sauver. Elle s'appelait Angela et venait d'être vendue comme esclave à ce poisson frit et sa bande de pirates. Se sachant alors condamnée à un triste avenir et ayant probablement été submergée par ce qu'elle avait vu lors de la nudité du jeune homme, elle le supplia de l'emmener avec lui, peu importait la destination. Au premier abord, Zaren n'y voyait aucune utilité, mais lorsqu'il apprit qu'elle pouvait lui trouver un bateau et le conduire à son île natale, il accepta. Dès le lendemain, il posait à nouveau le pied sur la terre où il avait passé la moitié de sa vie et où, dès maintenant, allait s'exercer sa vengeance. En une heure, il tua tous les hommes poissons de l'île, aussi bien les plus forts, que les femmes, les enfants et ceux qui fuyaient (pour plus de détails, lire le post rp ci-après). Les habitants, bien que quelque peu refroidis face à la violence de ce nouveau Zaren, l'acclamèrent en héros et le remercièrent à genoux. Angela lui sauta au cou et l'embrassa. Le commandant des marines lui présenta ses félicitations et lui proposa de rejoindre leurs rangs. Bien que tenté par la beauté de leurs uniformes, il refusa catégoriquement de rejoindre ces lâches et préféra se consacrer à une véritable vie de bonheur et de famille. Les corps des bandits hommes-poissons furent jetés à la mer et après dix longues années à quai, le navire de la marine s'éloigna de l'île, laissant celle-ci à son nouveau protecteur. Dans les mois qui suivirent, Zaren et Angela se marièrent, et, en tant que héros du village, une immense statue de bronze à son image fut érigée au centre du village. Sur le socle en pierre était fixé une petite plaque en or sur laquelle on pouvait lire: "En l'honneur de Zaren Wulfrick, dit le dément, qui vainquit à lui seul les plus tyranniques des envahisseurs". LE COMMENCEMENT DE LA PIRATERIE De toute la vie de Zaren Wulfrick, les cinq années qui suivirent son retour triomphal furent les plus belles et les plus agréables. Chaque jour que le soleil bénissait de sa lumière rendait Angela plus belle et Zaren plus fort. Ils s'aimaient tendrement d'un amour éternel que seul la mort peut briser et leur union fut d'autant plus renforcée par la naissance de leur fils. Parcourant ensemble le long fleuve tranquille de la vie, il vivaient d'amour et d'eau fraîche dans la petite maison au sommet de la falaise que l'homme de la famille avait construit de ses bras musclés et mangeaient des mets préparés par sa tendre épouse. Leur fils prenaient les traits de son père et la douceur de sa mère. Chaque jour, il regardait son père s'entraîner et courait raconter ce qu'il avait vu à ses camarades en songeant qu'un jour, lui aussi, aurait une statue en son honneur dressée à côté de son père. Rarement dans ce village on avait vu une famille aussi joyeuse et amoureuse de la vie. Pourtant, ce bonheur s'éteignit au bout de six ans. Ce jour-là, Zaren était assis dans l'herbe devant leur demeure, se reposant de son entraînement quotidien et regardait sa femme et leur jeune fils jouer à la pétanque un peu plus loin, sur le bord de la falaise. Le soleil était comme à son habitude au rendez-vous et ne s'entachait d'aucun nuage de mauvaise augure. Angela riait en regardant son fils essayer de tenir en équilibre sur les boules posées au sol lorsqu'une des boules roula malencontreusement, faisant chuter le jeune garçon se trouvant dessus. Sa mère bondit comme jamais et le rattrapa de justesse avant qu'il ne tombe de la falaise; ils auraient pu être saufs, mais le choc de leur chute se répercuta dans la terre déjà fragilisée et un grand morceau de falaise se détacha et tomba dans la mer en contrebas, entraînant avec lui la jeune femme et le petit garçon. Face à ce spectacle d'épouvante, Zaren se leva d'un bond et courut aussi vite qu'il le put jusqu'à l'endroit où ses êtres chers se trouvaient un seconde auparavant. Sans prendre la peine de réfléchir, il sauta dans le vide espérant au mieux les rattraper avant qu'ils ne s'écrasent contre les rochers en bas, au pire mourir avec eux. Il ne se réveilla que deux jours plus tard, le corps entouré de bandages et une douleur atroce surtout au niveau du cœur. On lui apprit qu'il avait été retrouvé dans un sale état parmi les rochers mais que les corps de sa famille n'avaient pas été aperçus et avaient certainement été emportés par les courants. Comment penser au bonheur, comment espérer continuer à vivre quand ce à quoi vous tenez le plus disparaît sans aucune chance de réapparaître? Zaren, lui, s'enferma chez lui des jours durant sans donner aucun signe de vie. Toute les tentatives des villageois pour lui remonter le moral furent vaines mais une nuit, alors que tout semblait désespéré, un fracas assourdissant retentit au sommet de la falaise. L'ancien héros venait de transformer sa maison en tas de gravats et déambulait maintenant dans les rues du village en direction du port avec un balluchon sur l'épaule. En passant par le centre, il contempla sa statue un instant puis lui infligea le même sort qu'à sa demeure et se dirigea d'un pas lent vers le bateau de sa première rencontre avec Angela. Les villageois ne tentèrent rien pour l'arrêter et se regroupèrent sur les quais pour un adieu silencieux tandis que Zaren disparaissait à l'horizon. Sans trop savoir comment, il réussit à rejoindre l'île voisine, celle sur laquelle il s'était entraîné pendant dix ans. Les six dernières années avaient permis à la végétation de repousser quelque peu et il décida de s'y installer à nouveau pour l'entraînement le plus intensif de sa vie, dans l'espoir de mourir d'épuisement. Mais il ne mourut pas et un an durant, il se poussa à l'entraînement le plus sévère qui causa une pagaille énorme dans la montagne. La vieille rumeur revint dans le village sur l'autre flanc, mais cette fois on envoya des hommes pour vérifier. Malheureusement pour eux, Zaren avait changé mentalement. Sa maladie mentale due à son enfance solitaire et traumatisante fut amplifiée par un an de réflexions intensives et solitaires sur la mort de ses proches. Il était devenu un être qui avait totalement sombré dans la démence et il confondit les éclaireurs du village avec des bêtes féroces, les décapitant alors d'un coup de sabre puis les mangeant membre par membre. Dès ce jour là, il se rendit au village au moins une fois par semaine pour y déverser sa folie et emmerder le plus possible les citoyens, ramenant parfois dans la forêt des humains comme sujets d'expériences. A chaque fois qu'il se rendait à la taverne, de nombreux pirates contaient leurs fabuleuses aventures à travers les mers, faisant alors monter en Zaren un désir d'évasion presque aussi grand que celui d'ennuyer le monde. Après dix autres années de cette vie oscillant entre la forêt d'entraînement solitaire et la ville qu'il terrorisait, un évènement marquant le changea. Alors qu'il finissait son fût de rhum dans la taverne habituelle, il s'intéressa à un curieux attroupement au fond de la salle. N'importe qui aurait remarqué que les personnes en question étaient des pirates, mais avec une dizaine de litres d'alcool au fond du bide, il est assez difficile de remarquer quoi que ce soit. Aussi Zaren les prit pour des marchands et s'en approcha sans retenue. Au centre du groupe, deux gaillards faisaient un bras de fer sur une des tables en bois où était posé un étrange fruit qui devait être l'enjeu de cette bataille. Pour qu'il soit si important, il devait avoir un goût succulent, aussi il le prit dans ses mains et l'examina. Personne n'avait remarqué son geste tellement tout le monde était absorbé par leur jeu de muscles. C'est uniquement lorsqu'il l'avala en une seule bouchée qu'il vit tous les visages tournés vers lui dans une expression mélangeant l'exaspération et la fureur. D'un commun accord, tous les pirates expliquèrent à l'intéressé le principe des fruits du démon afin qu'il ne meure pas idiot lorsqu'ils le trucideraient. Afin de tester ses nouveaux pouvoirs, il mit fin à la vie de ses gentils adversaires puis retourna toute la ville afin de chercher l'arme suprême pour emmerder les gens, le fruit de la matière fécale. Après avoir mis à feu et à sang une bonne moitié de la ville, il apprit d'un vieillard que ce fruit n'existait pas et que, même s'il le trouvait, il ne pourrait bénéficier des pouvoirs de deux fruits. Aussi il cessa immédiatement son massacre et chercha un nouveau rêve à réaliser. Il ne mit que peut de temps avant de trouver, puisqu'il ne pouvait plus les embêter, il les effrayerait en devenant le pirates le plus craint de toutes les mers car être pirate était, d'après ce qu'il avait entendu, la meilleure des vies. | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 16:40 | |
| Post RP :
Ce matin là, Zaren Wulfrick se réveilla fatigué et décida d'abord de prendre conscience de ce qui l'entourait avant d'ouvrir les paupières. Le mal au cœur et l'impression de dormir dans un berceau, accompagnés du bruit de la mer, ne laissait aucun doute possible quant à sa présence dans un navire en tangage. La pénombre ambiante, visible même les yeux clos, ainsi que le moelleux de la surface sur laquelle il était allongé lui indiquaient qu'il se trouvait probablement dans les couchettes, mais la seule chose qu'il n'arrivait pas à expliquer était la présence chaude et douce sur la partie droite de son torse, et le léger souffle qui caressait son cou à intervalles réguliers. Lentement il ouvrit les paupières et tourna le regard vers la personne à sa droite. Un minuscule rayon de soleil passant à travers le bois du pont éclairait son visage serein et son magnifique sourire. Là, contre lui, dormait profondément Angela, cette jeune fille qu'il avait sauvée la veille. En la voyant, il se rappela des évènements du jour précédent et de la raison de sa présence dans cette embarcation avec la jeune demoiselle. Il la revoyait parfaitement le suppliant à genoux de l'emmener avec lui, puis dégotant ce petit bateau et le mettant à la mer avant que ses propriétaires ne les rattrapent. Enfin, seuls sur la mer, ils avaient discuté longuement. Il lui avait raconté son histoire, lui exposant alors le cruel spectacle auquel elle allait assister si elle ne repartait pas dès l'instant où il poserait pied à terre. Mais elle avait catégoriquement refusé de le quitter car, disait-elle, elle n'avait nulle part où aller et sa dette envers son bienfaiteur n'avait toujours pas été payée. Par la suite, elle lui avait ordonné de prendre du repos pendant qu'elle tiendrait la barre cette nuit-là. Maintenant, Zaren ignorait si elle avait veillé toute la nuit puis s'était écroulée de fatigue ou si elle avait préféré se coucher à ses côtés au lieu de surveiller le cap. Cependant, il n'osait pas aller vérifier car le moindre geste pouvait la réveiller. D'ordinaire, il aurait étranglé quiconque se serait tenu aussi collé à lui, mais elle était différente des autres et, depuis qu'il avait ouvert les yeux, il n'avait eu de cesse de la regarder. Avec elle, il se sentait moins sauvage, moins dément et pouvait avoir une discussion normale, civilisée même, malgré ses dix années de solitude. Durant un instant, il hésita à ne pas retourner exercer sa vengeance pour rester avec elle sur la mer jusqu'à la fin des temps. Après tout, face au carnage et à la violence qui l'attendaient, la quiétude de ce moment était grandement préférable.
Une vague plus grande que les autres heurta le navire qui se balança alors plus fortement. Réveillée par ce brusque mouvement, elle s'étira en gémissant puis battit des cils. Un moment elle parut perdue, comme Zaren un instant auparavant, mais lorsqu'elle croisa le regard de celui qui lui servait d'oreiller, son sourire se fit plus doux et plus large:
"Bonjour... Oh, pardon!", dit-elle en s'écartant vivement de son sauveur. "Excusez-moi, je suis vraiment désolée de m'être assoupie sur vous."
*Maudite vague* pensa le jeune homme en se redressant sur sa paillasse et en réfléchissant à quelque chose d'intéressant qu'il pourrait dire. Malheureusement son cerveau ne trouva aucune idée satisfaisante et c'est son estomac qui répondit en criant famine dans son propre langage.
"Ah vous avez faim. C'est vrai qu'il vous faudra des forces pour combattre ces monstres. Ne bougez pas, j'ai récupéré des vivres en ville avant de partir, je vais vous préparer votre petit déjeuner."
Elle se leva et ouvrit la trappe qui menait au pont, laissant rentrer le soleil éblouissant.
"Tu es gentille. Tu n'es pas obligée, je peux me préparer à manger seul." "Si si, j'insiste. Je me sentirais inutile sinon." dit-elle en rougissant légèrement. "Vous... euh, je veux dire tu prends du poisson le matin?"
Pour toute réponse Zaren émit un grognement d'approbation. A dire vrai, cela faisait dix ans que la viande crue constituait chacun de ses repas. Un quart d'heure plus tard, un fumet délicieux se répandit alors qu'elle lui tendait son poisson frit. Bien qu'habitué à des portions plus copieuses, il ne fit pas son gourmand et croqua dans le poisson à pleine dents en imaginant que c'était un de ses homologues hybrides qu'il allait massacrer peu après.
Le voyage se déroula sans incident et peu de temps après, ils aperçurent au loin leur destination. Zaren était méfiant quant à la présence de ses ennemis autour de l'île, mais ils atteignirent le quai et débarquèrent sans encombre. Voilà dix ans qu'il n'avait plus revu son île natale. Il ferma les yeux un instant et inspira une grande bouffée d'air. Il y avait toujours les senteurs agréables du printemps et des fleurs bourgeonnantes que l'on pouvait apprécier où que l'on soit sur l'île, ainsi que l'odeur légère, mais néanmoins fétide, du poisson un peu trop humain. Le soleil éclairait parfaitement le ciel d'un bleu d'azur, parsemé de petites pointes de nuages blancs qui flânaient au gré de la faible brise. *C'est sans aucun doute le temps idéal, mais il n'est pas adapté pour une vengeance. Le ciel devrait être d'un rouge aussi sanglant que vont l'être les cadavres de ces pourritures*. Perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas immédiatement les deux hommes-poissons qui s'étaient approchés. Ce n'est qu'en entendant la voix mielleuse prise par l'un d'entre eux qu'il fit attention à leur présence.
"Je vous souhaite bien le bonjour, jeunes visiteurs. Bienvenue sur notre île. C'est un couple charmant que vous formez-là, vous venez pour des vacances? Une lune de miel peut-être? Peu importe après tout, puisque vous trouverez ici tout ce que vous désirez. Nous avons des boutiques, un musée, un cirque et même un terrain de pétanque. Je vous conseille une petite balade tout en haut de la falaise, le panorama y est magnifique. Vous êtes ici chez vous. Nous vous demanderons seulement de bien vouloir nous remettre le sabre qui est à votre ceinture ainsi que tous les autres ustensiles dangereux en votre possession et de nous suivre chez le chef du village pour qu'il vous accueille. Vous comprenez que nous sommes pacifiques, aussi toute arme vous sera totalement inutile durant votre séjour."
*Quel tissu de mensonges* pensa Zaren en voyant l'autre homme-poisson trépigner d'impatience à l'idée de fouiller le bateau dès qu'il serait désarmé. Celui qui avait parlé était la brute qui l'avait maintenu et forcé à regarder sa mère brûler, dix années auparavant. Désormais, il avait vingt ans et il était impossible pour cette crapule de le reconnaître. Par ailleurs, il était maintenant bien plus grand et bien plus musclé qu'eux; c'était, pensait-il, la seule chose qui lui avait épargné un désarmement forcé. Dès l'arrivée des deux hommes-poissons, Angela avait saisi son bras, l'avait serré contre elle et ne l'avait plus lâché depuis. Un simple regard lui fit comprendre qu'il allait bientôt en avoir besoin, aussi elle défit son emprise immédiatement mais non sans inquiétude. Zaren sortit son sabre, lame vers le bas, et avança lentement vers les deux créatures peu rassurées mais qui parurent soulagées lorsqu'il planta son arme dans le bois du quai. Il profita de ce petit instant de relâchement de leur part pour les saisir à la gorge, une main pour chacun, et les soulever de terre en enfonçant ses doigts dans leurs branchies. Il serra si fort le cou de celui qui avait parlé qu'il en eu d'abord les yeux injectés de sang, puis mourut la gorge broyée déclenchant un cri d'Angela.
"C'est de la part de ma mère" dit-il bien fort à l'adresse de la dépouille qu'il venait de balancer par terre. "Quant à toi, si tu ne veux pas subir le même sort que lui, va appeler les renforts. Je n'ai pas envie de tous vous chercher pour vous massacrer, ce sera plus rapide si vous vous regroupez."
Lentement, il relâcha la pression sur la gorge de l'homme-poisson qui tomba alors fesses contre terre en suffoquant. Ces yeux avaient un regard terrifié et il détala à toute vitesse vers le centre-ville. Zaren récupéra son arme qu'il garda dans sa main droite et, de l'autre, souleva Angela et l'assit sur son épaule gauche en la maintenant de son immense main. Certain qu'elle ne subirait ainsi aucun dégât, il commença à courir vers la ville à une vitesse incroyable et sans que le poids de sa passagère ne le gêne en aucune façon. En un rien de temps, il arriva en ville et marqua une pause. Rien n'avait changé depuis qu'il l'avait quittée. La fontaine sur la place était toujours intacte et en fonctionnement, le clocher au loin abritait toujours les oiseaux qui arrivaient par couples, le marchand de journaux scandait toujours les gros titres et la boulangère exposait à l'extérieur les mêmes pains qu'autrefois. La seule différence était la présence plus importante des hommes-poissons dans les rues.
"Sale humain! Pourquoi tu porte une arme? Mon papa va te tuer et je pourrai cracher sur ton cadavre."
Deux petits hommes-pieuvres d'à peine dix ans se tenaient à sa droite. Ils ne lui arrivaient même pas à la taille, si bien qu'il ne les avait pas remarqués sur le moment. Pour illustrer ses propos, celui qui venait de parler envoya un jet d'encre sur le pantalon de Zaren. Avant même d'avoir eu l'occasion de se vanter de son acte, il gisait déjà sur le sol, une plaie béante au niveau du cou. Des cris retentirent alors à travers la place et le jeune compagnon du défunt prit ses jambes à son cou tandis que deux de ses congénères adultes se précipitaient pour venger leur enfant mort. D'un rapide mouvement, Zaren rattrapa le garçon et lui embrocha le dos puis, en le soulevant avec sa lame, le jeta sur les deux assaillants. Déstabilisés par ce lancer de cadavre, il ne purent se préparer à l'attaque fatale de leur bourreau, qui les envoya en enfer d'un même coup tranchant.
"Calmez-vous villageois!" cria-t-il aux passants de la place désormais vide d'amphibiens. "Je m'appelle Zaren Wulfrick. Vous ne vous souvenez peut-être pas de moi, mais vous vous souviendrez de ce jour comme celui où je vous ai offert votre liberté!"
Sans profiter des quelques acclamations, ni du regard terrorisé ou ébahi des habitants, il reprit sa course effrénée en direction du fort des marines, portant toujours sur son épaule une Angela qui semblait presque vomissante à cause de la violence et de la vitesse de son porteur. Tandis qu'il traversait les ruelles et les allées à vive allure, il tuait d'un coup de sabre tous les hommes-poissons ou enfants-poissons qu'il croisait, sans pour autant freiner sa course. *Il ne me posent aucune difficulté, c'est seulement de leur chef que je dois me méfier* pensait-il. En rien de temps, il rejoignit le fort des marines, ou du moins ce qu'il en restait. Ce n'était plus qu'une ruine encombrante, un amas de gravats, un vieil édifice certainement détruit par les hommes-poissons et désormais laissé en repas aux moisissures en tous genres.
"Si c'est tes petits copains en uniforme que tu cherches, sache qu'il ne sont plus là. Ils ont déménagé pour s'installer dans le cimetière, il y a quelques années."
Zaren se retourna. Un groupe d'une douzaine d'hommes-poissons armés venaient de le rattraper. Certains paraissaient moqueurs et heureux d'avoir enfin un peu d'action, d'autres semblaient dérangés par le carnage qu'il avait effectué avec les leurs.
"Enfin, pour être précis," reprit en riant un autre de ces mollusques,"on les a un peu aidés à s'installer, si tu vois ce que je veux dire. Mais bon, c'était pour la bonne cause, ils avaient essayé de se rebeller, et sans armes en plus." "Ouais, on s'est bien amusés ce jour-là." continua un autre. "C'est dommage, tu arrives trop tard, tu aurais pu avoir des renforts à quelques années près." "Si tu veux, tu peux toujours aller voir dans le manoir sur la colline." enchaîna un troisième. "C'est là-bas que notre chef garde leur commandant, histoire qu'il fasse croire à ses copains haut-gradés que tout va bien ici. Par contre pour y aller, il faudrait d'abord que tu nous survives." "C'est vrai," reprit le premier à avoir parlé, "autant on te remercie de nous avoir débarrassés d'Hector sur les quais -on ne pouvait plus le supporter-, autant on ne peut pas accepter que tu aies tué les autres. Alors on va te faire la peau."
Le combat était inévitable et cela convenait parfaitement à Zaren puisqu'il les aurait attaqués quoi qu'il en soit. Aussi il déposa Angela à terre; elle paraissait avoir subi le mal de mer, le mal de l'air et le mal des transports en même temps, pendant leur virée à travers la ville. C'est pourquoi elle préféra tituber vers un coin tranquille, loin du sang qui allait gicler, tandis que Zaren fondait déjà sur ses futures victimes. Cependant, ses adversaires étaient plus robustes que tous ceux qu'il avait eu à affronter. Bien moins forts que lui, leur supériorité numérique leur donnait malgré tout un avantage. Il se glissa alors dans leurs rangs et essaya de les blesser aux membres et de les séparer. Les lames sifflaient à ses oreilles lorsqu'il les esquivait au dernier moment d'un geste vif puis tailladait la chair de ses assaillants. Il y en eut une qu'il ne put tout de même éviter et qui lui transperça l'épaule droite. Jamais encore Zaren n'avait ressenti une telle douleur si bien que, pendant un instant, il perdit la raison et, se relevant d'un geste, fit de grandes attaques tout aussi hasardeuses que féroces, sans se rendre compte de ses actes. Désarçonnés par ce revirement de conduite ou trop blessés pour s'écarter, une grande partie des hommes-poissons tomba, des plaies béantes sur leurs torses sanguinolents. Lorsque cette barbarie cessa et qu'il redevînt maître de ses mouvements, Zaren se sentait extrêmement bien, voire excité par cette douleur à l'épaule. Désormais épris de ce combat, il se lança à corps perdu sur ses adversaires dans le but de calmer ses pulsions qui n'avaient jamais eu une telle ampleur. Effrayés par la réduction de leur effectif, ses ennemis tentèrent au même moment un assaut commun pour contrer celui de leur opposant. Malheureusement pour eux, dans ce duel de force, c'est pour une fois l'humain qui gagna et tous se retrouvèrent mortellement blessés. Zaren avait lui aussi été blessé durant cet assaut et recommençait à perdre le contrôle de ses émotions. Tandis qu'il ne cessait d'enfoncer son sabre dans les cadavres de ses ennemis, une main douce se posa sur son bras. Il tourna violemment la tête et c'est avec un regard et un sourire de dément qu'il dévisagea Angela. Mais, apercevant son visage terrorisé, sa folie le quitta tout à coup et, tombant à genoux, il serra sa tête entre ses mains. Il se réveilla dix minutes plus tard, sentant son corps engourdi et douloureux. Certainement avait-il perdu connaissance à cause de ses blessures car Angela lui appliquait maintenant des bandages de sa fabrication. A ses yeux gonflés, on pouvait voir qu'elle avait pleuré même si maintenant, elle affichait une mine réjouie et compatissante. Gentiment, il la remercia pour ses bons soins et se releva malgré les contre-indications de sa nouvelle infirmière. Désormais, il fallait se rendre dans ce manoir qu'il pouvait voir sur la colline, de l'autre côté du village. Voyant que sa jeune amie ne pourrait supporter un autre voyage sur son épaule, il préféra la laisser là, à l'abri, lui conseillant de ne pas bouger, sans tenir compte de ses protestations. La sachant maintenant en sécurité, il reprit sa course folle à travers la ville, évitant les villageois et, sans jamais ralentir, exterminant tous les hommes-poissons sur sa route. Il arriva sans difficulté devant le manoir. Ce monstrueux bâtiment était encore en construction dix ans auparavant, si bien que Zaren ne l'avait encore jamais vu entier. De loin, il ressemblait à n'importe quel autre manoir, mais maintenant qu'il se trouvait juste devant, il remarqua que l'édifice, d'une hauteur de quatre étages, avait un toit en forme de tête de requin-marteau, à l'image de son propriétaire. Tandis qu'il observait le lieu de sa future vengeance, un petit groupe en sortit, courant à perdre haleine. Il était composé de huit hommes-poissons avec, en premier, le chef de leur bande et juste derrière lui, le peureux que Zaren avait laissé partir des quais. A l'arrière, deux amphibiens portaient chacun un humain sous leur bras, dont l'ex-commandant des marines. Lorsqu'ils arrivèrent à la hauteur du responsable de ce carnage, ils stoppèrent nets, étonnés de le voir déjà arrivé. Cela faisait dix ans qu'il n'avait pas vu le responsable de la mort de ses parents, mais, plus que jamais, son sang bouillait dans ses veines et son souffle s'accélérait face à sa tête en forme de marteau.
"C'est lui, chef!" cria celui qu'il avait laissé en vie. "Alors comme ça, tu te permets d'arriver à l'improviste et de tuer mes hommes?" lança le chef des bandits. "Crois moi, tu vas vite regretter cette erreur... Lâche ton arme! Ou les tiens mourront."
Les deux amphibiens qui tenaient les humains les posèrent à terre et leur mirent leurs lames sous la gorge avec un sourire narquois.
*Que ce soit les mains nues ou armées, je vous tuerai tous quoi qu'il arrive* pensa Zaren. Nonchalamment, il laissa son arme qui tomba à terre dans un bruit sourd et avança d'un pas décidé vers ses ennemis. Dès cet instant les quatre derniers hommes-poissons coururent vers lui, arme à la main, avec la ferme intention de venger leurs camarades. Il en était autrement pour leur chef qui le regarda avec des yeux inquiets puis leur cria:
"Arrêtez! Vous ne voyez pas qu'il est trop sûr de lui?!"
Mais c'était déjà trop tard car le premier d'entre eux portait le coup d'envoi. Zaren esquiva sans difficulté et lui abattit son poing sur la mâchoire, lui brisant ainsi toute les dents. Ne lui laissant aucun instant de répit, il le souleva et l'interposa entre lui et la lame du deuxième assaillant qui portait un coup d'estoc en sa direction. Rapidement, pendant que le deuxième tentait de retirer sa lame du corps du premier, il se glissa derrière lui et lui brisa les cervicales. Les deux derniers sautèrent, lame en avant, dans l'espoir d'atteindre la tête de leur ennemi, bien trop haute pour eux. Mais c'était sans espoir face à la vitesse et la force de leur adversaire qui se baissa pour éviter de finir éborgné et, de ses deux poings, frappa le coude de chacun pour leur faire lâcher leurs armes puis leurs estomacs pour les mettre à terre. Il rattrapa les deux sabres avant qu'ils n'atteignent le sol et les planta dans les cœurs respectifs de leurs propriétaires, se tortillant dans la poussière. Le chef de la bande écumait de rage et ne semblait plus capable de prononcer un mot. Les autres hommes-poissons, eux, étaient terrorisés et ne savaient que faire face à leur ennemi, à nouveau immobile devant eux et les regardant du haut de sa taille immense. Après quelques instants, l'homme-requin-marteau avait retrouvé son calme et lui parla d'une voix monocorde.
"Ce sont mes frères que tu as tués, et cela, je ne peux te le pardonner. Aussi, je vais m'arranger pour que tu meures dans les plus atroces souffrances. Je sais bien que si je ne tue pas maintenant, d'ici quelques années tu égaleras peut-être ma force. C'est inadmissible de la part d'un humain mais je dois reconnaître que c'est remarquable. Aussi, je vais te faire l'honneur de te donner le nom de celui qui va mettre fin à ta vie: je m'appelle Jalon." "Je te connais déjà misérable vermine. Ma vie n'a pour seul but que de t'apporter la mort. Je suis Zaren Wulfrick." "Jamais entendu parlé. Tu sais, je ne peux pas me souvenir de toutes les familles à qui j'ai fait du tort. Je t'ai volé quelque chose? Je t'ai torturé? J'ai tué quelqu'un que tu aimais bien? Un des tes misérables semblables qui te servait de géniteur, peut-être? Ou les deux, va savoir..."
Pour toute réponse, Zaren bondit d'un geste vers son ennemi pour entamer le combat qui avait motivé toute son existence. Tous deux n'avaient pas d'arme, aussi, c'est de ses propres mains qu'il allait pouvoir le tuer. Il porta le premier coup en le frappant au flanc et eu l'impression de cogner un rocher, comme pendant son entraînement. Cependant, il fut quand même soulagé de voir qu'il avait réussi à faire souffrir son adversaire qui émit un cri de douleur, mais il ne réussit pas à esquiver la riposte et senti la palme de Jalon s'enfoncer dans ses côtes. Pendant quelques temps, le combat continua ainsi, en échange de coups tour à tour. Chaque coup que Zaren recevait le faisait rentrer un peu plus dans la démence et Jalon devenait de plus en plus bestial à chacune de ses blessures. La bataille montait en intensité tandis que les coups qu'ils se donnaient résonnaient à travers la ville. En tout instant, Zaren avait l'avantage. Son ennemi était de plus en plus épuisé et ne parvenait plus à parer les coups dont il était la cible, si bien, qu'au bout d'un moment, il pouvait même plus attaquer. Puisant dans ses dernières ressources, il bondit vers son manoir, esquivant en même temps un coup de Zaren. De sa tête en forme de marteau, il frappa l'un des murs de la bâtisse faisant s'écouler un gigantesque morceau de la façade qu'il souleva à deux mains et jeta en direction de son adversaire. Devenu hors de lui, Zaren saisi cet énorme projectile au dernier instant et profita de sa vitesse pour lui faire faire un tour complet et le relancer sur son propriétaire. Jalon le reçut de plein fouet et fut propulsé vers son manoir, qui s'effondra en partie sous le choc, faisant tomber une multitude de décombres sur l'homme-poisson. Profitant de ce moment de calme, Zaren reprit sa lame qu'il avait déposé au sol avant le début du combat et courut vers les débris. Un coup sourd retentit et Jalon sortit à moitié de l'amas de gravats, mais il avait le visage en sang et beaucoup de mal à tenir debout. Aussi, il ne constata la présence de son ennemi uniquement lorsque ce dernier lui planta son sabre dans la poitrine.
"Je vais moi aussi te faire le plaisir de te dire qui t'a tué", dit Zaren à voix basse après être redevenu lui-même. "Je suis le petit garçon qui n'avait de cesse de vous combattre et que vous traitiez comme un souffre-douleur. Tu as tué mon père avant que je naisse, puis tu as fait brûler ma mère devant mes yeux. J'avais juré de me venger lorsque j'ai quitté cette île, et aujourd'hui, j'applique ma sentence."
Jalon eut un hoquet et ses yeux s'écarquillèrent. Il se souvenait maintenant de ce misérable avorton qu'il avait jugé bon de laisser partir en mer car seule la mort aurait pu l'y attendre. D'un geste vif, Zaren retira son épée du corps de son ennemi et lui porta un coup latéral qui lui trancha la tête. Il était maintenant soulagé. Un poids avait quitté son cœur et il se sentait désormais libre de vivre. Lorsqu'il se retourna, il fut stupéfait de se trouver face à l'ensemble des villageois qui l'acclamaient et scandaient son nom. En effet, il avait été tellement absorbé par son combat qu'il n'avait pas remarqué que les otages s'étaient libérés et qu'ils avaient rejoint les autres pour exterminer la poignée d'hommes-poissons qui restaient. Angela avait quitté elle aussi sa cachette et, larmes aux yeux en voyant Zaren couvert de sang, elle courut vers lui, se jeta à son cou et l'embrassa.
"Plus jamais, plus jamais, plus jamais..." lui dit-elle d'une voix larmoyante. "S'il te plaît, ne me laisse plus jamais seule. J'ai cru ne plus jamais te revoir."
Il n'eut pas le temps de répondre autrement que par un sourire car les habitants venaient de les soulever et les portaient maintenant vers le centre ville en hurlant des chants de victoire. Certes, ses actions n'auraient pas des répercussions mondiales, mais aujourd'hui, et pour la première fois de sa vie, Zaren avait fait quelque chose dont il pouvait être fier. | |
| | | Godwrath D. Alexander Héros de la Marine
Profil Psy : Loyal/Bon. Nombre de messages : 3008 Fruit du Démon : Kami Kami no Mi.
[Feuille de personnage] • Renommée: 8000 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: Amiral en Chef
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 16:48 | |
| Validé avec un FDD de niveau 9 - 10. J'adore. | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 16:49 | |
| Ouah! Déja fini de lire? Bravo c'est du rapide.
Dans ce cas, je m'intéresse au Seishin Seishin No Mie : (Paramécia de la télékinésie) ce fruit permet d'utiliser des pouvoirs de psychokinésie particulièrement utiles : il peut par exemple faire léviter des objets (ou même son propre corps !) par la seule force de son esprit et manipuler ses armes sans même les toucher : il suffit de se concentrer dessus ! Ce pouvoir est redoutable, mais il a plusieurs limite en fonction de la taille et du poids des objets. De plus, il doit garder un contact visuel constant avec les objets sous peine d'en perdre le contrôle. Ce fruit ne donne pas la possibilité de lire les pensées.
Seulement, la description précise qu'il y a plusieurs pouvoirs de psychokinésie, mais seule la lévitation est donnée comme exemple. Aussi je voudrais savoir si d'autres pouvoirs, comme des barrières psychiques et des zones de force ou de pression, sont acquis par ce fruit. Par zone de force, je veux dire que l'ont puisse appliquer de la force psychique aux objets que l'on fait léviter. Lorsque l'on contrôle un sabre par exemple, il faut en appliquer pour porter un coup, ou encore pour arracher un arbre du que l'on fait léviter par la suite. Par pression je ne veux pas parler de la pression atmosphérique, mais d'une sorte de poigne psychique qui pemettrais par exemple de briser un verre. Je pense que le terme de barrière ou bouclier psychique n'a pas besoin d'être expliqué.
Si ces capacités ne sont pas comprises, peut-on les rajouter? Evidemment, je ne compte pas les avoir dès le début, mais les acquérir au fur et à mesure en entraînant la maîtrise de mon fruit aussi bien que leur puissance.
Dernière édition par Zaren Wulfrick le Mar 1 Juin 2010 - 17:11, édité 1 fois | |
| | | Kurogane Shinobu Bras droit de la Marine
Profil Psy : Stupide! Nombre de messages : 675 Fruit du Démon : Kaze Kaze no mi
[Feuille de personnage] • Renommée: 3500 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: Contre-Amirale
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 17:04 | |
| Validation 2 mais je suis un peu plus dure que mon collègue.
Fruit niveau 8-9 | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 17:17 | |
| D'accord, est-ce quand même possible d'avoir le Seishin Seishin No Mie? Ou sinon que faudrait t'il que je change pour en avoir le niveau? | |
| | | Oro Kenpachi Pirate confirmé
Profil Psy : loyal/neutre Nombre de messages : 2688 Age : 32 Fruit du Démon : speed speed no mie
[Feuille de personnage] • Renommée: 2500 • Wanted: 190.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 18:25 | |
| Alors il y a actuellement un membre (arrivé avant toi) qui en a fait la demande a sa prez, perso j'adore aussi et je serai d'avis d'un 9-10, donc ca serait bien que tu en trouve un autre si possible vu que vous etes deux ou alors tu attend de voir si le 1er refus pour Furious D Faust est definitif... | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 18:35 | |
| Je viens de regarder pour la présentation de Furious D Faust et il semblerait que le fruit lui ait été refusé et qu'il en ait choisi un de niveau 8. Suis-je donc autorisé à le prendre? | |
| | | Furious D. Faust Nouveau
Nombre de messages : 45
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 18:40 | |
| Désolé de poster ici mais non, j'ai demandé un dernier essaie pour justement obtenir ce fruit. Je suis Shikyo Namagusai et tu regarde mon dernier poste, je dis bien que jdemande de ne pas être validé. | |
| | | Oro Kenpachi Pirate confirmé
Profil Psy : loyal/neutre Nombre de messages : 2688 Age : 32 Fruit du Démon : speed speed no mie
[Feuille de personnage] • Renommée: 2500 • Wanted: 190.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 18:42 | |
| Non il a demandé a ce qu'on attende qu'il est effectué une dernière fois des corrections avant de donner une derniere validation pour le fdd lvl 8 vu qu'a la base il voulait celui que tu voulais, ca ne devrait pas tarder de toute façon ou alors arrange toi avec lui | |
| | | Flame D Elric Sous Amiral
Nombre de messages : 710 Age : 32 Fruit du Démon : At home
[Feuille de personnage] • Renommée: 1035 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 19:07 | |
| Si deux membres veulent un même fruit, et qu'un accord amiable n'est pas trouvé, le staff jugera les deux fiches, et accordera le fruit à la meilleure des deux...
C'est la règle...
Postez ici pour dire si un arrangement a été trouvé ou pas. | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mar 1 Juin 2010 - 19:14 | |
| Cela fait plusieurs fois qu'il demande ce fruit, aussi je préfère attendre de voir s'il est validé. Dans le cas contraire, je le prendrai. | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 12:07 | |
| Après une longue courte nuit de reflexion, je décide de laisser tomber pour le fruit de la télékinésie, d'autant plus que son précédent demandeur a déjà obtenu une validation et un soutient (en plus du mien).
Aussi, je me permet de poster pour demander un fruit (si personne ne l'a demandé) qui me parait plus amusant, le Ento Ento No Mie lvl8 : (Paramécia du passe-muraille) Permet à l’utilisateur d’entrer dans toutes les surfaces en pierre ou en métal. L’utilisateur peut se déplacer librement dans ses surfaces et les traverser à son bon vouloir. L’utilisateur ne laisse aucune trace, ni même un bruit lors de ses déplacements. Pour attaquer, l’utilisateur peut faire sortir partiellement des membres de la surface. Ce fruit du démon étant parfaitement efficace contre les balles, boulets de canon et épées en métal, il est souvent traité comme un logia. Néanmoins, Il est impuissant contre toute matière organique.
Cependant, vu qu'il a été inventé et que j'ai le droit à un fruit de niveau supérieur, je souhaiterais le rendre plus fort. Voici donc une nouvelle description du fruit pour laquelle j'attends votre validation.
Ento Ento No Mie : (Paramécia du passe-muraille) Permet à l’utilisateur d’entrer dans toute matière non organique. L’utilisateur peut se déplacer librement dans ces surfaces et les traverser à son bon vouloir. L’utilisateur ne laisse aucune trace, ni même un bruit lors de ses déplacements. Pour attaquer, l’utilisateur peut faire sortir partiellement des membres de la surface. Ce fruit du démon étant parfaitement efficace contre les balles, boulets de canon, épées , il est souvent traité comme un logia, mais reste inefficace contre des coups de poing (ou des coups de pied, etc...). A haut niveau de maîtrise, l'utilisateur peut, pendant un très bref moment, faire passer à travers la matière un être vivant avec lequel il est en contact.
Pour ce qui est de la maîtrise de mon fruit, elle sera vraiment très basse au départ ce qui fournira des éléments de comique (ex: passer à travers un mur alors que l'on veut s'y adosser et atterrir dans le vestiaire des filles) | |
| | | Oro Kenpachi Pirate confirmé
Profil Psy : loyal/neutre Nombre de messages : 2688 Age : 32 Fruit du Démon : speed speed no mie
[Feuille de personnage] • Renommée: 2500 • Wanted: 190.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 12:20 | |
| Du moment que le dernier aspect sera acquis durement et avec le temps, ca me va... | |
| | | Godwrath D. Alexander Héros de la Marine
Profil Psy : Loyal/Bon. Nombre de messages : 3008 Fruit du Démon : Kami Kami no Mi.
[Feuille de personnage] • Renommée: 8000 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: Amiral en Chef
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 12:28 | |
| J'imaginais un pouvoir plus bourrin, en accord avec ton perso, mais je dis pourquoi pas. | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 13:35 | |
| En réalité, c'était mon but premier d'avoir un fruit destructeur pour parfaire l'attirail de Mr. Barbare. J'avais même inventé un fruit correspondant, mais en le terminant, je me suis rendu compte qu'il n'aurait aucune utilité en dehors des combats. Je me suis alors penché sur des fruits moins destructeurs, mais plus subtiles. En plus, je pense que mon personnage préfèrerait devenir plus fort par lui-même que par un pouvoir obtenu si je lui en laissais le choix (je demanderai probablement le haki dans un avenir lointain). Et puis je ne pense pas non plus que le but de ce forum soit d'être un grosbill dès le départ ^^. Par ailleurs, dans one piece les pouvoirs sont sensés être obtenus par hasard et non s'adapter au caractère de leur possesseur (qui voulait au départ devenir une merde ambulante, rappelons-le). Et soit dit en passant, je pense que ce fruit ajoute un aspect terrifiant au personnage (ce qui est son but), ou en tout cas moi j'aurais peur de voir un mec comme lui sortir d'un mur sans crier gare.
Oui, pour ce que disait Oro, bien entendu que ce dernier pouvoir ne sera acquis qu'après un long moment, comme indiqué.
Puis-je donc considérer que ce fruit est validé et l'ajouter dans ma fiche? A moins que vous en ayez un autre à me proposer qui ne soit pas inscrit dans la liste des fruits disponibles. | |
| | | Oro Kenpachi Pirate confirmé
Profil Psy : loyal/neutre Nombre de messages : 2688 Age : 32 Fruit du Démon : speed speed no mie
[Feuille de personnage] • Renommée: 2500 • Wanted: 190.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 14:02 | |
| Pour moi y'a pas de soucis zaza ! ^^ | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 14:26 | |
| Merci beaucoup ^^
Voilà, j'ai mis la description de mon fruit dans ma fiche de présentation. Dois-je rajouter [Validée] dans le sujet ou bien ne faut-il pas le faire? Peut-être qu'il faut encore attendre une validation? | |
| | | Oro Kenpachi Pirate confirmé
Profil Psy : loyal/neutre Nombre de messages : 2688 Age : 32 Fruit du Démon : speed speed no mie
[Feuille de personnage] • Renommée: 2500 • Wanted: 190.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 15:20 | |
| Oui encore une validation | |
| | | Zaren Wulfrick Nouveau
Nombre de messages : 36 Age : 32 Fruit du Démon : Là où on ne m'attend pas...
[Feuille de personnage] • Renommée: 27 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 16:16 | |
| Très bien, j'attends donc une ultime validation avant de me lancer dans ma fiche des techniques. | |
| | | Cyanure Pirate légendaire
Profil Psy : Mauvaise jusqu'à l'os! Nombre de messages : 2460 Fruit du Démon : Toro Toro no mi
[Feuille de personnage] • Renommée: 4025 • Wanted: 411.000.000 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 17:21 | |
| Alors, attention, moi, je pose des limites. - Devenir intangible te fatigue, grosso-modo, tu ne peux pas rester planqué dans un mur très longtemps et attendre comme un sournois que ta proie se pointe. Ou te faire traverser par un trop grand nombre de tirs ennemis.
- La terre étant de la matière organique en décomposition, tu ne peux pas fondre dans la terre, ni le bois, car même en état de planches,le bois este de la matière organique.
Après, si tu les acceptes, je donnerai sans aucun souci ma validation! | |
| | | Godwrath D. Alexander Héros de la Marine
Profil Psy : Loyal/Bon. Nombre de messages : 3008 Fruit du Démon : Kami Kami no Mi.
[Feuille de personnage] • Renommée: 8000 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: Amiral en Chef
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick Mer 2 Juin 2010 - 17:58 | |
| Je ne suis pas trop d'accord avec la limitation du bois... Lorsque l'on précise "organique", dans la logique, on veut juste empêcher l'utilisateur de traverser les joueurs et rendre impossible une quelconque défense logia. Après, au vu de la qualité de cette présentation, rajouter ce genre de détail rabaisse le niveau du FDD, sachant qu'on est au moins d'accord pour un lvl 9 (10 pour moi, car entre cette fiche et celle de Xino, je n'ai pas vu grande différence. Et celle de Xino reste ma référence quand il est question de FDD lvl 10).
A partir de là, je suis d'accord avec la non-possibilité de rester trop longtemps caché au sein d'un matériau, mais je ne suis pas pour brider la durée de manière trop courte.
Enfin, tout ça pour dire que - personnellement - je valide en fonction des critères ci-dessus. Mais la prochaine validation fera foi et tranchera les avis divergents. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Présentation de Zaren Wulfrick | |
| |
| | | | Présentation de Zaren Wulfrick | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|