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 Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]

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3 participants
AuteurMessage
Moudoku Hebi
Moussaillon
Moussaillon
Moudoku Hebi


Profil Psy : Psychopathe
Nombre de messages : 12
Age : 36

[Feuille de personnage]
• Renommée: 0
• Wanted: 0
• Grade dans la Marine: /

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MessageSujet: Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]   Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque] EmptyMer 24 Nov 2010 - 3:32

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : ///
Age : 22 ans
Homme/Femme/Okama : ///
Comment avez vous connu le forum : Un groupe de OPK a suggéré ce forum pour redémarrer le rp avec nos persos.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Assez d'heures par jour pour être attentif aux nouveautés et aux nouvueaux posts.
Tes Mangas préférés : One piece, Rave, Fairy tail, Gunnm & last order, Kurohine, My-hime
Ton personnage préféré dans One Piece : Luffy et son gear 2
Ce qui t'as motivé à venir : La fermeture de OPK pour moi aussi
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Environ 5 ans d'expérience
Hobbys : ///
Autre(s) : Rassurez-vous, il n'y a que mon perso qui est folle psychopathe. Moi je suis saine d'esprit. ^^"

- Présentation du personnage -



• Nom & Prenom : Moudoku Hebi

• Surnom : Killer Queen

• Age : 27 ans

• Race : Humain, mais cyborg au niveau des bras. Chacun est équippé d'un lance-flamme qui s'active en ouvrant le compartiment dans les avant-bras. Au niveau des doigts, des ongles métalliques pointus de quelques centimètres et rétractables y sont insérés.

• Camp : Pirate

• Orientation psychologique : Chaotique/Mauvais

• Métier/Spécialité : Assassin, Tueuse sans foi ni loi

• Pouvoir demandé : Shuri Shuri no mi (Fruit des shurikens)
Dscrption => Permet la formation et l’utilisation de projectiles tranchants, grands ou petits, de forme étoilé à partir de ses mains et de ses doigts. Elles ont la faculté d’accumuler la chaleur pour se déplacer à grande vitesse sous cette condition et avoir un impact davantage douloureux, multiplié par au moins deux. Par contre, elles restent fragiles et destructibles. De ces faits, c’est un pouvoir plus axé sur la vitesse que sur la puissance.

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Devenir une reine du mal ; Elle rêve d'un monde de terre morte avec les nuages teintés d'un rouge sang.


• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] à mettre entre balises :



◘ Description Physique : Chez les êtres étranges à voguer sur les mers, Hebi est une de ces personnes qui vous inspire à la fois le plus de peur et le plus de séduction à la simple vue de son apparence physique. Grâce à cette alliance physiologique avec l'outre-tombe, personne d'autre ne peut à ce point représenter la terrifiante beauté de la mort. Dans la deuxième partie de sa vingtaine, Hebi atteint désormais la fleur de l'âge avec son corps mariant la finesse d'une jeune femme et la robustesse d'une combattante aguerrie. N'importe quelle femme rêve de ce genre de constitution sans le moindre effort: poitrine de taille normale ni trop grosse ni trop petite, des hanches généreuses et des courbes parfaites. Tel que dit plus tôt, Hebi est robuste. Sa musculation est donc loin d'être frêle et faible. Au contraire, ils sont solides et capables d'endurer les coups. Mais derrière ce corps de rêve se cache également des imperfections datant de son adolescence. À certains endroits sur son corps, Hebi cache des cicatrices par arme blanche, ses médailles de guerre. On ne peut les voir que si une partie de ses vêtements sont déchirés ou qu'elle expose une partie de son corps de son gré.

Autre que le corps charnel, le minois de la dame serpent ne laissera personne indifférent. Ses yeux ont le reflet éclatant de l'écume de mer dans chaque iris. Mais les pupilles ont une empreinte de malice qui se remarque facilement lorsque la colère de leur propriétaire monte ou explose. Alors ils se contractent et donnent un aspect plus reptilien, plus prédateur, à ses expressions faciales. Ensuite nous avons sa chevelure - sans compter ses lèvres - d'un bleu acier froid. Elle est dotée de fines mèches dansant sous le souffle du vent et d'une longueur gênante qui pousse Hebi à en faire une queue de cheval. Mais on ne peut terminer sans noter une troisième couleur inhabituelle chez le personnage: le blanc. D'une pâleur fantomatique résultant du manque de contact avec le soleil pendant son passé, sa peau lui donne une image de mort-vivante sortant tout droit de sa tombe. En conséquence, comment peut-on réagir ? Elle est attirante en plus d'être une présence dangereuse.

Et cette idée de la présence dangereuse viendrait de sa tenue vestimentaire constituée essentiellement de vêtements gothiques. Hebi se démarque des autres demoiselles par son rejet des normes vestimentaires du sexe féminin. À commencer par la partie inférieure, Hebi porte un pantalon de cuir bleu muni d'une ceinture noire où trône une tête de serpent en argent et où elle attache ses « outils » de travail. Ses pieds sont munis de bottes "New Rock" noires lustrées en opposition aux talons hauts que portent généralement la gente féminine. Pour le top, il s'agit d'un débardeur de cuir bleu pâle avec un col replié et un décolleté provoquant qu'elle aime porter. Quant aux accessoires, elle garde un collier pointu à son cou comme accessoire, un symbole de son attachement envers sa sombre nature. Une paire de lunette se soleil teintée est à sa disposition pour la protéger de la forte lumière du soleil et ses poches de pantalon gardent au chaud un paquet de cigarettes et un briquet.


◘ Caractère & morale : Faut-il vraiment disséquer la personnalité complète de ce personnage sordide ? Il suffirait de la nommer de "dangereuse psychopathe" pour que tout le monde comprenne le message sans en être choqué. Mais puisque ce n’est jamais aussi simple, visitons ensemble les recoins sombres et infâmes de ce cerveau criminel digne de ce nom. Et encore, ces mots sont trop faibles pour la définir.

Déplaisante dans ses manières. Cette femme est une prédatrice convaincue. Autrement dit, elle repère une victime et la drague physiquement et mentalement pour obtenir ce qu’elle désire : information, tourment, peur. Une mauvaise habitude chez elle est d’insulter quelqu’un en lui soufflant sa fumée de cigarette au visage. Certes, elle peut également utiliser de la vulgarité mais sa méthode est d’autant plus froissante que des mots. Dépourvue de féminité, elle se comporte plus comme un homme dans un contexte hors combat. Elle boit l’alcool, agit de manière obscène, ne mâche pas ses phrases et aime rester indifférent aux menaces.

Entêtée jusqu'à la moelle. Sa détermination en guerre comme dans la vie quotidienne ne se bute à aucun obstacle, aussi imposant soit-il. La retraite est parfois envisagée si le poisson est trop gros à éliminer, par contre Hebi ne lâchera jamais le morceau pour si peu. Elle est comme une enfant gâtée, si elle veut quelque chose elle l'obtiendra, que ce soit par la ruse ou la force brute et barbaresque. Tous les moyens sont bons sans distinction morale. Sa misanthropie ne lui laisse aucune sympathie, bonté ou philanthropie dans sa personnalité. Pas de chaleur, ni de sensibilité et ni de générosité. Un vrai coeur de glace.

Vicieuse jusqu'au sang. Hebi est à l'image du poison et de la vipère. Méchante, cruelle et acariâtre, elle ne connait pas la pitié en combat et n'hésitera pas à employer des astuces perfides pour parvenir à ses fins quand l'occasion se présente. Le côté sadique de son âme prend alors progressivement le dessus et éventuellement elle en arrive au bain de sang. Mais ce n'est jamais tout le temps ainsi. En fait, ce comportement sadique se produit que contre des adversaires égaux ou supérieurs à elle. Pas question pour elle de se laisser intimider ni qu'on la laisse se faire traiter de faible.

Intelligente dans l'âme. Loin d'être une idiote, elle sait depuis le tout début de sa vie qu'un sans cervelle sur Grandline est un homme déjà mort. Donc, quand la situation est sérieuse, elle démontre de la lucidité et une soudaine maturité dans ses stratégies de combat. C'est une habituée de la manipulation psychologique. Jouer avec les nerfs d'un pirate ou d'un civil, l'intimidé, l'attaquer subtilement d'insultes cyniques ou même lui parler avec un ton moqueur, elle fait perdre le sang-froid de la personne pour la pousser dans le piège fatal du serpent.

Lubrique jusque dans ses pulsions primaires. Plus pire qu'une meurtrière perverse, tu meurs. Dans le cas des adversaires ou de personnes plus faible, Hebi atteint un état de perversion et de dominance sur sa pauvre victime. Elle en fait un jeu avec sa proie, homme ou femme, adolescent ou mature, en jouant sur les émotions. Elle adore les tourner en bourrique et profiter d'un instant de faiblesse pour les approcher charnellement. Alors elle hypnotise le pauvre individu de son charme féminin et achève l’humiliation en marquant la peau de sa carte de visite : deux marques pénétration sur le côté du cou.

Mon verdict => Moudoku Hebi est une énergumène qui vous empoisonnera l'existence si vous avez le malheur de devenir sa cible.


◘ Histoire :

Chapitre 1: Début d'existence difficile

L'être humain était une espèce censée naître dans la lumière. Les activités quotidiennes, le travail des gens honnêtes avec lequel ils gagnaient leur vie, les bons comme les mauvais moments, tout cela se passait de jour. Mais dans le monde entier, une seule île était marquée au fer rouge par une empreinte inexplicable que seul le diable en personne pourrait invoquer. Cet endroit était l'île de la nuit éternelle, où plus communément appelée "Twilight island", se situant dans la mer très redoutée du nouveau monde. C'était dans ce royaume sans soleil que Moudoku Hebi vit pour la première fois la lueur des chandelles dans une misérable maisonnette à la limite de la ville principale. De loin qu'elle s'en souvienne, Hebi avait toujours eu un poids sur le coeur. Une envie de pleurer de désespoir. Toute jeune, sa vie était tourmentée par une famille instable et pauvre. Son père contrôlant ne restait jamais plus de deux jours par mois en compagnie de sa femme qui joignait à peine les deux bouts. Jadis une artisane en sculpture d'animaux avant la naissance de sa fille, sa boutique a été la proie d'une attaque de voyous et les réparations étaient impossibles à accomplir sur le plan financier. Hebi se souvenait de ces nuits où Benilka - le prénom de sa mère - revenait la mine abattue et vide de vie tellement son corps était épuisée par son autre travail plus économique. Voilà un indice, c'était le plus vieux métier du monde. Cependant, l'optimiste d'Hebi leur redonnait un brin d'espoir sur l'avenir. Elle n'avait que 7 sept ans mais son imagination débordante la faisait fantasmer sur des solutions loufoques: Sortir de l'île pour chercher l'aide d'un preux héros des mers, trouver un sort ou une solution pour redonner le soleil à "Twilight Island". C'était une mince et irréalisable espérance condamnée à l'échec. Benilka le savait, et pourtant entretenait ce lien si complice avec le plus cadeau de sa vie. Jusqu'à son adolescence, la jeune d'Hebi se résumait à arpenter les rues de la ville durant les nombreuses fêtes organisées sur place pour y vendre les quelques sculptures de sa mère dans son baluchon. Les meilleures nuits, environ deux à trois fois par mois, elles gagnèrent assez d'argent pour un repas complet. Le train-train quotidien se résumait à ça.

À 15 ans, Hebi était devenue plus responsable et plus penchée vers l’étude du monde et de la navigation. Aux oubliettes des scénarios fantastiques comme trouver un sort pour conjurer la malédiction de l'île, elle se devait de trouver un projet pour l'avenir sans passer pour une folle aux yeux des habitants. Pour le sort de sa mère de plus en plus éreintée par son mode de vie en dehors de la légalité, Hebi passait son temps libre à la bibliothèque publique de la ville pour en apprendre sur le monde. Des sociétés, des pays et des mers qui eux demeuraient dans la lumière. Depuis cette découverte, une première couche de noirceur commença à couvrir ses émotions. Et ce n'était qu'un tout petit début.

Une nuit en rentrant à la maison, elle ne trouva pas sa mère au lit ni nulle part à ailleurs. Un simple imprévu ? Cela pouvait arriver quand le client la payait pour des heures supplémentaires. Hebi ne s’en soucia pas et se coucha. Mais Benilka ne revenait pas. Les jours s'écoulèrent sans aucune trace ni aucune nouvelle de sa localisation. Plus le temps passait et plus Hebi se disait que l'être le plus important de sa vie avait payé le prix ultime de son dangereux boulot. Elle aurait voulu être à côté son père, le prendre dans ses bras malgré son caractère ordurier pour qu'il comprenne son chagrin. Toutefois, lui aussi n'était plus jamais revenu à la maison. Seule au monde à une période importante de son existence sans aucune connaissance pour l'aider à cause de ces constantes fêtes à organiser, ce n’était pas super encourageant.



Chapitre 2: Killer Queen’s genesis

Les mois suivants, la jeune Hebi était désespérée. Les maigres économies de sa mère étaient épuisées et plus rien à manger l'attendait pour dîner. La partie était terminée. Ses rêves d'un succès honnête s’évaporèrent dans le ciel d'encre. Pour la première fois, les gens virent cette jeune adolescente à la chevelure bleue commettre des gestes répréhensibles comme le vol à l'étalage et autres larcins du genre, À la différence près que ses tactiques étaient plus subtiles. Malgré tout, elle lui arrivait de se faire prendre la main dans le sac et de recevoir une correction de commerçants mécontents. Salie par la terre et marquée de coups, Hebi retourna dans la limite de la ville avec une mine plate quand elle fut soudainement plaquée contre un mur. Un type dans la vingtaine venu par l'arrière la prévint de ne pas faire de bruit et de l'écouter attentivement.

- Mon chef veut te rencontrer. Si tu viens, on te testera sur place. Mais si tu essaies de te défiler, on te retrouvera et on te fera catin comme ta mère. Compris ?

Le type la relâcha et repartit sans rien dire de plus. Hebi reprenait son souffle avec un exécrable mécontentement face à cette invitation forcée. Sa présence avait attiré l’attention d’une bande de criminels. Et par tester, cela voulait dire une tentative de recrutement. Prise au piège, voilà la situation actuelle. Elle devait se lever et les confronter pour avoir une chance de survivre avec le peu de dignité qui lui restait. Un seul problème lui donna des bâtons dans les roues: aucune expérience du combat. Et connaissant les gangs, c’était une éventualité inéluctable. Hebi s’accota contre un mur le cerveau en pleine activité. Puis une douleur à son doigt attira son attention et lui donnera la clé de la victoire.

Elle alla au cimetière et y trouva le fameux chef avec le reste du troupeau. Hebi cachait ses mains dans ses poches quand ce dernier lui expliqua ses intentions. Il voulait la rallier à son groupe à condition de démontrer une preuve de force convaincante. Soudainement, un type se jeta sur l’adolescente sans crier et entama un combat à mort. Il possédait un couteau et n’hésitait pas à tenter de la poignarder. Hebi faisait de son mieux pour esquiver les coups. Au bout d’un moment, elle trébucha et se fit prendre par la gorge. N’attendant pas le coup de grâce, elle sortit ses mains et enfonça ses ongles pointus dans le cou du type. Plus tôt, Hebi avait aiguisé ses ongles en voyant l’un d’eux cassé. Personne n’aurait envisagé cette astuce. Au fil des secondes, elle pouvait sentir les battements de cœur du type s’éteindre à jamais. On ne pouvait pas être aussi près de sa victime. Et le plus traumatisant était le sang chaud de sa victime, de son premier meurtre, coulant sur sa main. Le chef s’approcha, surpris par la ruse de l’adolescent.


- Nous sommes dans le Shin Sekai, en enfer. Sur cette mer et partout ailleurs, il n’y a pas de place pour la bonté. Tu tues ou tu te fais tuer. Et une nana intelligente au sang froid, je la préfère de mon côté.

Il jeta une veste au sol. Le vêtement était marqué d’une image de corbeau bleu aux ailes déployées.

- Bienvenue dans la bande, Moudoku Hebi.

Durant les trois années suivantes, Hebi devint un gangster du groupe des Blue Crow. L’extorsion, le vol, l’intimidation de civils et de groupes rivaux et surtout le meurtre devenait monnaie courante dans sa vie. Sa cruauté avait infecté une majeure partie de sa personnalité. En compagnie du groupe, elle apprit à se servir d’armes blanches et à accroître ses capacités physiques. Un apprentissage classique pour tout membre de sa bande, disait-il. Deux ans plus tard, le gang se battait contre un rival lorsque le chef de Blue Crow mourut durant le conflit. Heureusement, ce fut Hebi qui obtint la victoire en prenant la tête du chef dans un état de fureur rare. La dernière année dans le monde des gangsters, ce fut Hebi qui devint le nouveau leader du groupe. Non pas qu’elle voulait poursuivre la volonté du chef précédent, mais pour sa soif de pouvoir, son désir de contrôler pour la première fois de sa vie sa destinée. Sous ses assauts agressifs, plusieurs associations de voyous tombèrent un peu partout sur l’île, ceux-là même qui l’avaient embarqué dans cet univers.

Éliminer le mal par le mal, ce concept ne cesserait jamais de la suivre depuis cette période.


Chapitre 3: Cadeau d’adieu

La semaine commençait comme à l’habitude. Tous les membres devaient faire le tour des quartiers pour collecter l’argent et tout de suite après retrouver leur patronne dans un secteur du dépotoir. La routine quotidienne, quoi. Mais une fois passé neuf heures du soir…tout le monde manquait à l’appel. Hebi ne pouvait s’empêcher de repenser à la disparition de sa mère il y avait trois ans. La situation se ressemblait beaucoup trop à ce jour malheureux. Et encore une fois, le temps passait sans plus de nouvelle. Elle continua d’attendre au point de rendez-vous, le regard fixé sur les flammes flamboyant du baril à semi-rouillé et avec une cigarette à la bouche. Vous ne pouvez imaginer sa colère, l’idée de tout perdre à nouveau sans aucune explication logique. Au bout d’une demi-heure, des gens s’approchèrent de la source de lumière. Hebi remarqua tout de suite que ce n’était pas son gang. Un groupe d’hommes habillés en costard et d’un chapeau noir mirent en position pour lui bloquer toute tentative d’évasion. Peuh! Comme si elle comptait fuir. Un type à moustache sortit un pistolet et tout le monde pointa le sien sur la jeune adolescente. Elle ne flancha pas devant la peur.

- Mademoiselle Hebi, content de vous trouver dans ce trou pour racailles, ce dont vous avez toujours été à nos yeux.

- Pardon?

- Vous n’avez toujours pas compris ? Vous, votre petite bande, et tous les autres que vous avez massacrés, vous étiez nos chiens. Conduire des voyous de votre genre à l’anéantissement était un vrai jeu d’enfant. Et maintenant que le nettoyage des rues est terminé, il ne reste plus qu’à vous achever dans le style des fêtes.

Les hommes tirèrent sur Hebi qui échappa à la première pluie et se jeta comme un fauve sur la personne la plus proche. Avant de le tuer, elle reçut un tir dans le dos. Une balle tranquillisante qui la mit dans les pommes.

À son réveil, elle se retrouva enchaînée dans une cellule, prisonnière de tortionnaires inconnus dans une espèce de cachot dont elle ne pouvait identifier le lieu exact sur l’île. Chose certaine, plusieurs autres personnes restèrent silencieuses dans leur cellule respective comme si elles attendaient l’inévitable trépas. Hebi n’avait également pas le goût de partager une conversation lorsque qu’un homme entra dans le couloir reliant les cellules. Il savait où aller puisqu’il s’arrêta face à cette dernière. De toutes les surprises qu’elle avait connues jusqu’à présent, celle-ci était la pire d’entre tous. Son père qu’elle reconnut immédiatement après l’observa, habillé comme les autres hommes du dépotoir à la différence d’une croix blanche comme seule couleur sur la chemise. Il sourit d’un sourire empreint de méchanceté qu’elle ne cessera jamais de croiser dans un miroir.


- Je te connaissais plus vivante que cela, ma fille

- Et toi tu n’as pas changé depuis tout ce temps. Pas assez de courage pour venir me chercher en personne ? Saloperie de lâche.

- Ce n’est pas gentil de traiter un agent du gouvernement de lâche.

La révélation de son père sidéra l’adolescente aux yeux exorbités. Celui-ci continua de parler en dévoilant un objet. Il retira tranquillement le morceau de chiffon qui l’enveloppait. Quand le tissus fut retiré, le père dévoila une grosse carambole verte portant des spirales sur sa carapace.

- Depuis des années, je dirige une unité Cipher pol du gouvernement dans le Shin Sekai. Ma mission est de surveiller cette île désignée par mes supérieurs et y conserver un ordre durable chez le peuple. Pour ce faire, nous avons eu l’autorisation d’éradiquer les parasites des quartiers. Malheureusement pour toi, tu seras la prochaine à passer au moulinet. Demain soir, nous organiserons une mise à mort avec l’aide du marché noir. Tu feras un bon divertissement.

- Ne te fous pas de moi !!! hurla-t-elle. Vos jeux sordides ne me tueront pas. Et puis, pourquoi t’en prendre à moi maintenant ? Pourquoi me laisser à mon sort en prenant ma mère ?

-Parce que Benilka n’avait plus les moyens de refaire sa vie. Toi par contre tu as encore ta jeunesse pour t’adapter à la réalité. Et la vérité est que ce monde n’a aucun ordre absolu. Les pirates, les marines, et même nous, les agents du gouvernement, nous sommes que des diablotins errant sur les mers et s’appropriant ce que nous désirons. Aucun humain ordinaire ne peut gouverner ces monstres. Quoi que je fasse, quoi que tu fasses, le mal restera toujours attaché à la nature humaine.

Il jeta le fruit aux pieds d’Hebi avant de rebrousser chemin. Avant de partir, il fit un signe d’adieu de la main et termina en imposant un dilemme à sa fille.

- Tu as le choix : Sois que tu restes une misérable humaine normale ou sois que tu deviens une démone qui écrasera toutes les vermines des océans.

Comme un fantôme venu léguer sa dernière volonté dans le monde des vivants, Il disparut dans la pénombre pour ne plus jamais en revenir. Le temps passait et Hebi observa ce fruit mythique traînant au sol. Une source incommensurable de puissance offert sur un plateau d’argent par son détestable père, que devait-elle en faire ? Le manger ou rejeter son projet d’en faire une mutante ? Incertaine, elle se remémora son passé, son arrestation trop facile au dépotoir. Dans son état actuel, elle comprit qu’elle n’avait rien à perdre. Avec ses ongles aiguisés, elle trancha difficilement un premier morceau du fruit et le mangea avec dégoût. Une nouvelle utilisatrice de pouvoir apparut sur Terre.

Chapitre 4 : Madness, ou le massacre du crépuscule

Le lendemain soir on la conduisit vers l’arène. Elle ne chercha pas tout de suite à fuir les agents. Si cela s’agissait vraiment d’une mise à mort alors ce serait le bon moment pour frapper les gros bonnets du marché noir qui seront présents. Alors elle rejoignit le futur champ de bataille, un terrain intérieur de terre vierge avec des gradins supérieurs pour les parieurs venus assister au spectacle. Une multitude d’adversaires, des pirates malchanceux jusqu’aux gangsters, s’y trouvaient déjà. Lorsqu’Hebi rejoignit les autres, on annonça le début de la mêlée générale où le gagnant serait la dernière personne debout. Et avec la liberté comme grand prix, tout le monde était prêt au massacre. Ce fut sous la menace d’une rangée de canons que la bataille commença dans les cris de la guerre. La stratégie d’Hebi avait été d’utiliser les actions des autres à son avantage en détournant un coup vers un autre ennemi pour économiser ses forces. Elle n’utilisa pas son pouvoir pour en garder la surprise durant son évasion de ce trou pourri.

Deux personnes restèrent encore debout : Hebi et une femme portant un masque qui cachait son identité. Elle se jeta sur l’adolescente dans un cri de désespoir étrange et inhabituel dans ces circonstances. C’était louche, mais Hebi n’hésita pas pour plaquer la femme au sol et l’achever en frappant ses veines jugulaires. Tandis que les battements s’estompèrent, elle distingua un merci venant de cette personne. Alors elle entreprit de démasquer sa victime en brisant le verrou derrière sa nuque. La choquante vérité éclata à son visage et la figea d’effroi.


- Ma…man ?

Son père avait prit l’être le plus important de sa vie, les agents du gouvernement s’étaient servis de son gang et maintenant les ordures régnant sur l’île lui firent tuer sa propre mère, retenue captive depuis les deux dernières années, dans une sordide ovation. Hebi…n’en pouvait plus. Sa réalité intrapersonnelle se brisa comme du verre, une colère profonde surgit des entrailles de son inconscience. La patience, la tolérance de sa propre malchance, son respect de la vie, tout ce qui contribuait en des rapports humains fut effacé. La marmite de l’enfer s’ouvrit en cette nuit maudite.

À minuit, Moudoku Hebi provoqua un massacre barbare connu comme le pire déversement de rage meurtrière de l’histoire de Twilight Island. Lorsque sa mère mourut de sa propre main, un cri démoniaque perfora le courage de ces hommes qui reçurent sous une explosion de rage noire une mise à mort expéditive avec un étrange shuriken planté dans le cou. Le peu de survivants restants assistèrent à la naissance d’une démone dont la fureur prit possession de la voix et injecta son regard de sang. Abuser d’elle aura été leur plus grande erreur car qu’ils fuirent ou non Hebi ne laissa personne sortir vivant des gradins. Aucune balle ne passa la défense que servaient désormais ses dix doigts pistolets grâce au pouvoir du fruit.

Ensuite vint le tour des habitants eux-mêmes. Hebi trouva la sortie de l’arène souterraine et déboucha en plein cœur de la capitale. Armée d’un bâton en métal, elle battit à mort toute personne sur son chemin. Aucune exception. Elle ne fit aucunement la distinction entre un homme et une femme, jeune ou vieille, honnête ou pas. Elle ne voyait que du rouge, sa soif de vengeance ne cessa pas de l’alimenter. Chaque coup de bâton au visage d’un innocent er chaque vie perdue la soulagea qu’un bref moment. Elle devait continuer…jusqu’à ce que Twilight Island baigne dans le sang et l’agonie ! Et le massacre continua plusieurs minutes. Les citoyens périrent battus à mort et les autorités d’une étoile tranchant à la gorge. Rien ne semblait la ralentir. Même si elle semblait calme sa force était loin de faiblir à travers son bâton en acier. Tandis que la panique gagna toute la ville et que rien ne pouvait arrêter la déchaînée, un homme d’un charisme qui impose le respect accompagné de plusieurs hommes tombèrent nez à nez avec Hebi. Celle-ci les menaça de son arme tâchée par le sang des victimes sans leur adresser un seul mot. Sans lui répondre, il se jeta sur la demoiselle en évitant avec aisance l’arme en métal. Il mit K.O la folle psychopathe d’un coup de paume directement dans l’abdomen pour ainsi mettre fin à sa folie meurtrière. Mais il avait un autre plan à l’esprit que de la livrer à la police. Lui et ses hommes emportèrent Hebi hors de l’île. Il était minuit et elle venait d’avoir ses dix-huit ans.


Dernière édition par Moudoku Hebi le Jeu 25 Nov 2010 - 15:50, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]   Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque] EmptyMer 24 Nov 2010 - 22:39

Chapitre 5 : Crâne de serpent et os croisés

Le temps n’existait plus. Dans la noirceur totale, Hebi pendait dans un vide infini. Elle ne rêva de rien du tout et ne fit aucun cauchemar. Mais dans ce monde morne, elle entendit un rugissement diabolique, les cris des innocents. Ils s’amplifièrent tellement plus fort. Hebi se réveilla brutalement en criant sa colère, elle en tomba même du lit. Vivante ? Pourquoi n’avait-elle pas rejoint sa mère dans l’autre vie ? Son instinct la poussa à sortir, de trouver une sortie de cet endroit clos. Elle fouilla chaque porte. Une fois un escalier en vue, elle se rua à l’extérieur où non seulement ces hommes étaient rassemblés mais aussi une présence inimaginable. Sur le pont d’un navire au beau milieu de la mer, l’astre du jour illuminait la jeune femme d’un éclat si douloureux et étouffant qu’elle s’écroula en hurlant de douleur. Ces yeux brûlèrent, elle se tortillait comme un poisson hors de l’eau.

- Je suis Julius, le capitaine des White Hawk.

Cet homme approcha d’elle. Il commençait la trentaine, sa chevelure était blonde et son corps avait accumulé en quelques années une séduisante musculature marquée de cicatrices. Pour la soulager un peu, il lui lança une paire de lunette fumée.

- Il y a deux jours, nous sommes venus sur ton île natale pour y retrouver un nakama victime des kidnappeurs. Mais nous l’avons trouvé mort, battu à mort par ton bâton en acier. Tu as pris sa vie, en revanche tu l’as également vengé en tuant les responsables de sa capture. Je vais donc te donner une chance de le remplacer dans mon équipage pirate.

Hebi se calma. Après toute une jeunesse à vivre dans la noirceur de sa terre maudite, elle était enfin confrontée au monde extérieur et à sa lumière bienfaitrice. Mais quand on prenait attention aux mots de Julius, on réalisait que sa nouvelle existence n’avait aucune différence avec sa précédente. Rester en groupe, piller les citoyens et affronter d’autres groupes de flibustiers, quelle différence avec la vie d’un gangster mis à part voguer sur l’océan et avoir d’innombrables territoires à conquérir ? Sa main chercha les lunettes avec une frénésie empreinte de rage. Julius plaqua son pied dessus et rajouta :

- Par contre, il y aura une condition à respecter. Être pirate ne signifie pas faire que du grabuge, vois-tu ? Si tu veux rester, je te conseille de rapidement maîtriser ta rage. Ce sera tout.

Julius retira son pied et donna des ordres à son équipage quant à leur prochain itinéraire. Aussi maussade soit-elle, Hebi y réfléchit à deux fois et se disait qu’il avait raison sur ce point. En mettant de côté ses pulsions et en donnant priorité à son esprit, elle réalisa que son intégration à un groupe de pirates serait son ticket de sortie du nouveau monde vers un environnement plus paradisiaque. Son faux sourire retrouva sa place. Les années suivants sa conversion « forcée » dans la voie de la piraterie, elle observa les mondes de la lumière jusqu’aux sociétés toutes plus différentes les unes que les autres. La vie perturbée de millions d’humains et d’espèces mutantes suite à la guerre planétaire du Chapeau de paille se révéla plus intéressante que ce qu’elle aurait pu imaginer. À côté de tout ça, sa vie passée n’était pas plus pertinente qu’une brise de vent au coeur de l’océan. Outre l’observation, Hebi devait également passer à l’action. Ses débuts chez les pirates n’avaient pas la même simplicité. Durant la première escale sur une île du Nouveau monde, sa force en combat rapproché n’ébranla pas son premier ennemi qui lui se servait d’un étrange pouvoir invisible à l’œil nu mais ô combien terriblement puissant. Elle apprit durement comment la puissance de ce pouvoir invisible appelé le Haki était obligatoire pour survivre dans cet océan. Mise à part quelques mauvaises confrontations de la sorte, elle ne connut qu’un minimum de succès parmi les White Hawk. Et ce n’était qu’une façade cachant sa véritable réputation. Car sous la couverture de la nuit, le prédateur reprenait possession de son hôte qui lui manquait depuis le massacre du crépuscule. Sur la terre ferme, quand Julius et les autres buvaient ou dormaient, Hebi enfila une veste en cuir avec l’écusson d’un crâne de serpent. Elle y chercha ceux qui deviendraient dans les journaux du matin les victimes de tuerie massive en groupe. En général, elle capturait une personne en les attirant dans une ruelle ou en les persuadant avec une ruse. Une fois qu’ils étaient attachés et groupés en dizaine ou plus, elle les plaça en ligne collé contre un mur pour se servir d’eux comme des cibles. Dans d’autres cas, elle les battait par envie, sans aucune raison logique. Jamais en six ans elle n’avait dévoilé son fruit démoniaque à l’équipage. Ces nuits étaient le seul moyen de maîtriser en cachette son pouvoir. Tout fut réduit en viande hachée par le tranchant des étoiles. On ne parlera pas du sang qui en découlait. Le plus astucieux pour échapper à l’attention des autorités était son incognito. Qui croirait que des faucons gardaient dans leur nid une vipère ?

À travers la météo démentielle du Shin Sekai, à travers de dangereux combats ayant failli lui coûter la vie, Hebi se bâtit une confiance au sein de l’équipage naviguant enfin au Paradis, la première partie de Grandline. Après sept ans de navigation, de souffrance et d’amusement, elle arriva enfin à destination. Une étape était franchie, la suivante demanderait un culot attendant son moment pour ressortir. Ce jour arriva quand durant une escale, Julius but une bière en sa compagnie dans une taverne reculée de la ville. Hebi s’alluma une cigarette lorsqu’un article de journal lui obstrua la vue. Le gros titre parlait du fameux pirate Monkey D. Luffy et d’une journée de deuil annuelle sur East Blue. Juste en bas, elle croisa son regard sur sa photo. Le bout de sa cigarette brilla intensément. Elle ne disait rien sous son air contingent. Le capitaine lui fit part de son intérêt pour la légende de cet homme surpuissant, de l’honneur que serait pour les White Hawk de devenir les héritiers de sa volonté. Hebi lui sourit. Elle aimait sa franchise. Mais à la mauvaise surprise de Julius, un souffle grisâtre balaya la photo de Luffy. Ses sourcils se froncèrent, dévisageant la femme qui se permit de l’offusquer indirectement. Cette dernière dévoila ses canines.


- Julius, je n’en ai rien à cirer de ton fétichisme pour ce pirate. Suivre un groupe de vermines dans votre genre commence sérieusement à me taper sur les nerfs. Je suis une tueuse fait pour vivre seule. Notre association d’il y a cinq ans n’était qu’un moyen de me relâcher dans ce buffet à volonté qu’est le monde. Fais ce que tu veux mon mignon, mais aujourd’hui je quitte l’équipage !

La vision reptilienne d’Hebi poussa la patience de Julius à bout. Il voulut prendre son bras et la violenter lorsque plusieurs coups de feu venant de dessous la table le stoppèrent net. Si rapide, aucun être aussi vif soit-il ne peut éviter. Si silencieux, les mecs baraqués de la taverne n’entendirent rien du tout. Par contre, les dégâts étaient réels. Sa jambe droite se mit à saigner. Médusé par l’incompréhension, il ne pouvait plus bouger et par fierté masculine se retint de gémir de douleur. Un autre nuage de fumée gifla cette fois le visage du blond qui la menaça de représailles s’ils se croisèrent de nouveau. Imperturbable, Hebi quitta le bar sans un mot d’adieu. La peau de la vipère mua. Ce qu’elle deviendrait par la suite était que trop devinable.

Chapitre 6 : Killer Queen, la reine des assassins

Tout être humain, aussi faible et misérable soit-il, était en chacun d’eux un artiste avec un don particulier. Le fait de naître sans talent n’avait aucun sens logique. Plutôt ironique dans une mer où l’illogisme y est roi et maître. Bref, avec du temps un homme ou une femme développait ce don pour le transformer inéluctablement en un art. Sa mère connaissait l’art de l’artisanat, son père possédait l’art du leadership. Quant à Hebi…sa désertion des White Hawk lui donna la révélation qu’elle attendait depuis une dizaine d’années sans jamais trouver une réponse. Sa nature vouée à la solitude, à la noirceur, à la rancune et à la plus pure ignominie, tout n’était qu’un encadrement déterminé par les forces surnaturelles de ce monde. Sa véritable profession était en partie la piraterie mais aussi celle du meurtre…

L’art de tuer.

Les semaines suivantes, Hebi replongea dans l’univers du marché noir. Connaissant le système de ces organisations grâce à son passé de gangster, les trouver fut un jeu d’enfant. Les convaincre de sa compétence ne demanda également aucun effort. Leur faire référence du massacre de Twilight island en détail était une information que seul un membre du crime organisé ou la meurtrière elle-même connaissait car le gouvernement ne cessait jamais de cacher des éléments embarrassants au public. Les corps d’agents du Cipher Pol étaient un bon exemple. Ainsi, Hebi se fit engager comme assassin par un être mystérieux du nom de Richter. Nom de code: Killer Queen. À travers la route de tous les périls et les mers du globe, sa tâche était l’assassinat sans considération de plusieurs statures importantes d’un royaume. Hauts fonctionnaires, groupe rival d’une compagnie appartenant aux criminels de l’underground, même des têtes couronnées, chaque contrant accompli lui rapportait un excellent montant d’argent. Au fur et à mesure que sa liste de crimes s’allongeait, la marine prit des mesures en renforçant la sécurité sur des îles à risque. Quelle futilité !

Vers la fin de l’année, Hebi entreprit le plus audacieux contrat de sa carrière. Sa mission sur cette île aux horloges de North Blue : l’éradication totale de la famille royale. Des gardes surveillaient les entrées du palais, des troupes de la marine patrouillait régulièrement dans les rues à la recherche de tout individu louche. De plus, le couvre-feu était imposé dans toute la ville. Contre cette défense renforcée, Hebi avait fait de la reconnaissance la veille, étudié son nouveau terrain de chasse de l’extérieur, sans avoir la moindre idée de ce qu’on lui réservait dans l’enceinte du château dont sa tour horloge gigantesque s’imposa parmi des dizaines d’autres. Quand elle sonna les douze coups de minuit durant cette nuit de pleine lune, l’assassin passa à l’acte. Elle contourna les gardes et infiltra la cour du palais. Le son de l’horloge étouffait tout bruit inhabituel. Hebi passa la première porte disponible. Son infiltration du palais se fit sans bavure, tuer furtivement les gardes en étouffant un possible cri d’alarme. Plus elle marchait dans les couloirs sans trouver ses proies en laissant davantage des corps derrière son sillage et plus le colère grondait. À l’étage supérieur, elle trouva une chambre dont le seuil différait des autres. En entrant, une brunette de l’âge d’Hebi lisait un livre avant de tomber face sur la flippante intruse. Hebi se lança sur elle avant de crier comme toutes princesses savaient le faire. Puis, la colère prit place à de la perversion. Vivre son adolescence et sa vingtaine sans de rapport intime avec quelqu’un était le point culminant d’un nouveau genre de pulsion qui se frayait un chemin dans son code de conduite antisocial. D’ailleurs, cela lui donna une idée diabolique. Ses ongles tranchants déchirèrent le tissu, sa bouche alla voler les lèvres de la noble et ses bras la guidèrent vers un lit. Violer, torturer un humain de ses mains nues, une nouvelle compétence s’ajouta à sa liste de méfaits méprisables. Vers la fin du crime, elle laissa notre princesse hurler sa détresse. Et quand la porte s’ouvrit et fit entrevoir un vieil homme, visiblement le roi, Hebi ne lui laissa pas le temps de pousser un son qu’un shuriken étoilé clôtura son passage sur Terre. Lorsqu’elle se tourna vers la brune, celle-ci pleurait impuissante.


- C’est comme ça que l’humain vit et termine sa vie. Dans la tragédie et la souffrance !

La princesse, un symbole de sa propre jeunesse et innocence, rejoignit son père dans l’autre monde peu de temps après. Les cadavres précédents mirent la garder royale en alerte maximale. Ils n’allèrent pas de main morte quand on lui tira dessus avec une artillerie lourde. Hebi eut le temps de créer une étoile pour bloquer le tir mais l’explosion passa le faible bouclier pour la faire fracasser contre un miroir. Le sang sur son visage la fit voir rouge. Ce qui devait être un assassinat de la noblesse devint le deuxième massacre de Moudoku Hebi. Elle élimina toute la vermine qui se dressa sur son chemin et se fraya son chemin vers le tour horloge du palais. Elle parvint miraculeusement à s’échapper sans plus de victimes.

Ce même matin, Hebi s’apprêtait à partir de l’île en toute discrétion quand la mouette vint livrer le journal. Un article en particulier la fit sourire. Sa jeunesse étant morte, elle décida d’écraser tout le reste la semaine suivante.


Chapitre 7 : Ennemi public, la révolution universelle

La commémoration de la fin du conflit mondial faisait les manchettes depuis toute une semaine. On ne pouvait aller nulle part sans entendre quelqu’un en parler. Il faut dire que le monde entier s’attendait à ce qu’un jour la leçon soit retenu chez tous les pirates et criminels anonymes. Seulement, la marine et le gouvernement mondial commettait une grossière erreur. L’émotion que l’on ressentait envers un évènement historique ou important pour soi-même était la flammèche nécessaire pour embraser le cœur des hommes et marginaux. Son choc émotif à dix-sept ans l’avait transformée en psychopathe, non ? Qu’importe la différence radicale entre elle et les autres, l’effet restait le même. De ce fait, l’avenir lui apparut nettement comme une nouvelle saison de chasse à une échelle mondiale sans précédente. Mais ce qui intéressait la morbide demoiselle, c’était la future assistance présente pour la commémoration publique. Pas juste le misérable peuple pacifique, également des pirates et des vétérans des mers considérant un profond respect pour le légendaire Luffy au chapeau de paille. Des hommes comme… Julius.

Une semaine plus tard, Hebi rejoignit Logue Town. À l’horizon, des dizaines de bateaux pirates mouillaient sur le bord des côtes en prenant soin d’éviter le port principal surveillé par la marine. L’atmosphère chaude et lourde oppressait l’île. Pendant que tout le mnde était sur la terre ferme, Hebi chercha et trouva le navire des White Hawk et se posa sur le pont. Seul un matelot malchanceux surveillait le bateau et tomba rapidement face à la puissance de son ex-nakama. Il voyait la démence dans le regard de la jeune femme et se rendit à l’évidence que la fin était proche. Il fut attaché solidement à un baril de poudre. Quand la vipère répandit de l’huile au sol et sur les barils, il hurla :


- Où cela t’emmènera-t-il, à un moment pareil ?! Si tu continues comme ça, non seulement la marine mais également les pirates te prendront pour cible.

- J’ai choisie la voie du mal pour ne plus jamais souffrir. Le jugement de ces bâtards ne veut rien dire. Plus personne ne peut m’aimer, abruti.

- Julius t’aimait et t’aime toujours !

- Huh ?

- Tu as tué notre nakama il y a longtemps, c’est vrai. Mais le capitaine a changé d’avis sur ton compte. Lorsque tu as désertée l’équipage, il était sur le point de se confesser. Nous sommes peut-être des criminels, par contre nous ne sommes pas dépourvus de cœur et de sentiments. Accepte la réalité, Hebi. Tu es devenue cinglée !

- Alors je leur arracherai tous le cœur.

L’insulte du pirate ne l’atteignit aucunement. Hebi s’alluma une cigarette et attendit. Roger et Luffy étaient morts, un autre devrait prendre leur place pour réinstaurer le chaos sur ce monde jamais assez meurtri. L’ordre des choses était ainsi fait. Ce rôle, Hebi l’accepta volontiers. Elle choisit de célébrer cela avec un feu d’artifice mémorable. Sa cigarette roula entre ses doigts avant d’être jetée sur une flaque d’huile. Le feu se déclara dans la cale. Au moins deux minutes avant l’explosion, elle trouva la cabine du capitaine et vit sa veste de cuir accrochée au mur. Il ne mentait pas, Julius était tombé amoureux d’une vipère.

À leur retour, une foule de pirates – dont Julius et son groupe – virent le navire en feu. Personne ne comprenait la raison de ce geste, ni celui d’une pluie de tirs qui abattirent plusieurs pirates inattentifs. C’était un sourire sournois qu’elle accueillit son ancien capitaine. Les mots ne pouvaient décrire le mécontentement de Julius envers la perfide dame à la peau couleur cadavérique. Ils eurent une confrontation décisive avec témoins. La chaleur écrasante de la journée devint une averse orageuse. Tandis qu’on croyait Julius vainqueur, Hebi surprit son ex-capitaine ses techniques de combat combiné à son fruit démoniaque. Il fut sévèrement tailladé au corps. Le sourire de la victoire aux lèvres, elle chargea son adversaire d’un cri de guerre. À la fin du clash, Julius avait la gorge perforé par les ongles d’Hebi. De son côté, elle avait les bras profondément tranchés. Même dans un duel mortel, il ne pouvait renoncer à ses émotions pour la jeune femme.


- Adieu, cher capitaine. Merci d’être stupidement tombé en amour pour moi. Cela m’aura permis de t’éliminer. Vois-tu, le monde n’a pas de besoin d’un roi des pirates qui gouverne que les pirates. Une reine du mal qui détruira tout sans distinction fera très bien l’affaire.

La victoire de la froideur sur les beaux sentiments donna une jouissance si exquise qu’elle ne soucia pas de ses blessures en poussant un rire sinistre. Le sang coula abondamment de ses plaies en charpie, un rire machiavélique s’échappa de sa bouche. Les témoins de la scène prirent la fuite. Sans bras valide, Hebi s’assit sur le corps de Julius et observa le ciel obscurci d’un air nostalgique. De nouvelles personnes à l’apparence de mafieux s’approchèrent. Elle était plus détendue mais son sourire resta aussi sadique. En gardant la tête dans les nuages, elle se disait qu’il n’y avait pas plus belle journée que celle-ci. Son corps tomba au sol.

Chapitre 8 : Cybernétisation

Quand la mort ne veut pas de vous, elle vous renvoie sans cesse vers la vie, l’existence que vous jugez peut-être maudite. Votre heure viendra seulement quand elle le désirait et parfois selon votre propre volonté. Hebi courait depuis des années après la Mort pour en finir une fois pour toute. Cette fois, elle se sentait rêvée. Alors elle maudissait de ne pas être née durant la guerre mondiale. Son univers était là-bas, dans le passé ! Pourquoi vivre et péniblement recommencer à zéro une ère chaotique et sanglante ? Elle hurla de tout son corps. Ses yeux s’ouvrirent au centre d’une pièce sombre, la tête vers le ciel et le corps allongé sur une table d’opération. En voulant se masser le front, la tueuse sentit un contact très froid. Elle observa ses bras réparés. Car oui, la chair semblait avoir été remplacée par du métal rigide. Lorsqu’un homme en blanc entra dans la salle, Hebi faillit lui tordre le cou s’il n’eut la spontanéité de dire le nom de Richter. La jeune femme se souvint du nombre incroyable de contact de ce type et des ressources qu’il ouvrait disposer à sa guise. Et effectivement, cela ne pouvait être que lui.

On prit quelques minutes pour ouvrir une ligne via l’escargophone avant qu’elle entende la voix de son employeur. En résumé, ses nouveaux bras de cyborg, en plus de lui sauver la vie, étaient un cadeau pour la remercier de son merveilleux travail durant les dernières années. Maintenant, il donna à Hebi carte blanche pour profiter d’une liberté bien méritée, histoire de faire ce que bon lui plaisait. On lui donna les instructions sur comment fonctionnait ses bras et comment les entretenir puis elle pouvait repartir dans le monde de la lumière. Son œuvre, un carnage sans fin, allait se poursuivre encore longtemps.



• Exemple de post RP : Rp fait avec Marono Kaya sur OPK

Après l'aube, la lumière du matin commença doucement à éclairer chaque grande rue de la ville de Logue Town. C'était le début du cycle naturel chez les humains. On se levait, on déjeunait et on allait au boulot jusqu'au crépuscule. Mais derrière cette machinerie bien huilée se cachait une routine ennuyante. La vie ne semblait que monotone et répétitive. Était-ce le prix qu'ils voulaient tous payer pour la paix et la quiétude ? Tant mieux pour eux et tant pis pour les autres qui avaient choisi l'autre style de vie. En effet, deux chemins s'offraient à tout individu: une existence routinière et calme ou une existence imprévisible et dangereuse. Le seul avantage pour cette dernière option était d'y inclure l'adrénaline de l'aventure, à condition d'en payer le lourd tribut. Si nous nous tournons vers un secteur reculé de l'île, on y trouvait Moudoku Hebi, une des pires atypiques de ce monde. Elle était le parfait exemple de quelqu'un dont une décision dans sa jeunesse avait payé et qui lui avait pris tout son humanité. Ex-pirate depuis quelques mois, sa conversion vers le sale métier d'un assassin résultait de sa seule décision personnelle. Pour une fois, elle ne regrettait pas sa situation actuelle. Faire ce qu'elle voulait sans aucun scrupule lui procurait un maximum de liberté à comparer de la basse cour qu'était le peuple normal et sans une trop grande conscience. Mais en cette matinée, l'ennui rongea l'esprit de la tueuse. Dans un minuscule bar entretenu par de contacts de son employeur, elle avait reçu l'instruction d'attendre son prochain contrat d'assassinat qui devait arriver sous peu. Elle but une consommation, elle fuma ensuite une clope et posa ses pieds sur la table en vacillant sur les deux pattes de sa chaise. Sa fumée empesta l'étroite atmosphère. Malheureusement, le type entretenant l'endroit n'avait toujours pas de nouvelle du contrat. Hebi grogna sa frustration. Elle reposa ses pieds au sol pour prendre le chemin de la sortie.

- Je sors vadrouiller un moment. Tu as intérêt à recevoir une réponse dès mon retour. menaça-t-elle en mettant ses lunettes de soleil fumées.

- À votre guise. Et soyez gentille de ne pas laisser trop de traces de votre passage. On peut graisser des pattes, mais nous avons des limites.

Indifférente à la recommandation, Hebi sortit du bar. Tout de suite après, la chaleur du soleil toucha sa peau marquée à vie par la pâleur de son pays natal. Ce n'était pas plus désagréable que de s'exposer directement les yeux à la lumière et ce même après sept ans. Bref, elle se mêla malgré tout à la fourmilière humaine gagnant en activité à mesure que l'astre du jour se leva dans le ciel. Sa vadrouille s'annonça plus ennuyeux que de prendre de la poussière dans un petit espace miteux. C'était toujours la scène à chaque regard tourné vers la gauche ou la droite. Une dizaine de minutes plus tard, Hebi était sur le point de rebrousser chemin vers sa planque quand enfin une scène se produisit dans la rue marchande. Comme un bon assassin, elle scruta la foule et chercha une conversation à espionner pour mieux connaître les circonstances ayant menées à l'attroupement. Une demoiselle du nom de Kaya aurait levé le voile sur une pratique de vente condamnable en plus de démolir l'étalage marchand véreux. Curieuse et intéressée par cette information, Hebi se fraya sans manière son chemin jusqu'à la scène de l'altercation. Une jeune demoiselle de quelques années sa cadette se tenait face au type en plein désespoir. Vêtue comme une princesse, Kaya faisait opposition au style virago d'Hebi qui portait le débardeur, le pantalon et des bottes gothiques. Plus intéressant encore, la brunette savait se servir de sabres. Avant de pouvoir faire connaissance, la tueuse s'avança vers le type à genoux. Sa cigarette était presque terminée. Elle souffla un nuage de fumée sur sa tête.

- On aime ça se faire humilier par des femmes ? Je trouve que ça te va bien de pleurer comme un bébé au milieu d'entrailles de poissons pourris.

Ses paroles la firent sourire. Tandis que sa blessante moquerie enragea le marchand au point où il décida de frapper avec son couteau pour tuer les demoiselles. Hebi réagit au quart de tour en agrippant l'arme dans son élan pour le détourner de sa cible. Quand le coup était produit dans un mouvement prévisible, celui d'un novice, elle pouvait posée sa main au-dessus du couteau pour fermement le tenir sans risquer de se couper. C'était ce qu'elle fit. Plus forte que lui, elle fit un mouvement du bras pour tordre celui de l'homme jusqu'à ce qu'il laisse tomber son arme. À ce moment, Hebi prit sa cigarette de l'autre main et planta le bout rougissant sur le front. Il gémit de douleur, ne chercha plus à riposter en espérant que cela sera vite terminé. Malheureusement, il reçut un coup de genoux directement dans le thorax ce qui lui coupa le souffle. Et un autre coup, cette fois un poing au visage, le fit plonger tête première dans les morceaux de poissons au sol. À aucun moment Hebi ne lâcha son sourire trivial. Son plaisir était aussi évident que son intention suivante avec le couteau maintenant en sa possession. À l'attention de Kaya, elle lui demanda:

- Et si on tentait de dépecer ce bâtard ? Il comprendra au moins ce que ressentait ses poissons à leur mort.

Hebi en oublia également le public témoin de ses mots macabres. De toute manière, son entêtement la poussait à vilipender davantage l'homme tentant futilement de fuir en rampant. La sadique plaqua son pied sur son talon pour l'empêcher de bouger. Elle leva son bras avant d'abattre le couteau sur sa nuque. Mais à la dernière seconde, elle dévia son trajet avant de finalement le planter dans une tête de poisson. Hebi se releva en rigolant.

- Je plaisantais, voyons. Du moins, pour cette fois.
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MessageSujet: Re: Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]   Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque] EmptyJeu 25 Nov 2010 - 20:24

Citation :
Shuri Shuri no mi (Paramécia des shurikens) [Lvl 5 ]: Permet de créer des Shurikens de diverses tailles, et de les envoyer

Si cela te va, tu est validé rang 2 ! Enjoy ♫
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MessageSujet: Re: Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]   Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque] EmptyJeu 25 Nov 2010 - 21:00

Avec un fruit classé à 5 -ce qui est assez puissant - je n'ai rien à redire sur votre jugement.

Merci pour la validation.

EDIT: Est-ce que ma description personnelle du pouvoir reste valable ?
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MessageSujet: Re: Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]   Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque] EmptyVen 26 Nov 2010 - 21:20

... Jusque là ça me va "Permet la formation et l’utilisation de projectiles tranchants, grands ou petits, de forme étoilé à partir de ses mains et de ses doigts.". Après ... pas trop ^^' des projectiles qui aspirent la chaleur pour augmenter leur vitesse de déplacement et la puissance du choc ... Je suis pas chaud :/ (sans jeu de mot xD)
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MessageSujet: Re: Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]   Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque] EmptyVen 26 Nov 2010 - 21:27

Ben, il me semblait logique et même raisonnable de le faire. Je crois même que la science peut prouver le phénomène de vitesse accélérée d'un objet chaud.

Bref, je ne comptais pas utiliser ça avant de devenir un plus puissant pirate. Mais si ça dérange quand même, je suis prête à laisser cette partie du pouvoir de côté.
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MessageSujet: Re: Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque]   Moudoku Hebi, la reine tueuse [Cette fiche est en manque de seconde validation grenadinesque] EmptySam 27 Nov 2010 - 21:12

Nan aller, je valide Wink On est là pour s'amuser avant tout Razz
Par contre n'abuse pas de ton pouvoir Razz

Bon rp' sur OP RPG !
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