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 [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !

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Farran H. Bismarck
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Farran H. Bismarck


Profil Psy : Chaotique Blasé et Irascible, parfois Sympathique.
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MessageSujet: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyMar 30 Aoû 2011 - 4:06

- L'Orteil derrière l'écran -


Prénom : Je suis l'Orteil Poilu de Dieu, incline-toi, misérable.
Age : J'ai l'âge de commencer à bien rater ma vie.
Homme/Femme/Okama : Je suis masculinement mâle. Respect. Virilité X2.
Comment avez vous connu le forum : Qui ne connait pas de réputation OPRPG ? Le forum le plus ancien et toujours debout d'la toile.
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Le temps d'heures que je peux. Rarement moins de deux, souvent plus de quatre, avec un zeste de dix heures. Nan, mais plus sérieusement, je suis omnipotent, nom d'une choucroute, tu m'prends pour qui, pécore ?
Tes Mangas préférés : Trop long... On va en sortir deux-trois de la liste pour illustrer : Gintama, Vagabond, Beelzebub. V'là.
Ton personnage préféré dans One Piece : Hum... Y en a pleins. On va dire Brook, Zorro, Shiryuu, Barbe Noire, Panda Man, Mr.2, Crocodile, Fisher Tiger, Mihawk, Hanyabal, euh... pff, fleeeemme~~.
Ce qui t'as motivé à venir : Hein ? C'quoi ça la motivation ? Comment ça, c'pas ici le buffet ? Oh pinaise...
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Depuis le ventre de votre mère, je fais du RP. Mais allez, on va citer : One Piece ZIT, One Piece FR, One Piece Conflict, One Piece Kai pour ne citer qu'eux. Et JDR... Donjons et Dragons, Donjons et Dragons -Orient, Vampire La Mascarade, Cyber Punk. D'puis le ventre de ta mère, j'te dis.
Hobbys : Tu commences à m'ennuyer avec tes questions, être infertile. Philosopher sur l'inutile de la vie, tiens. Compter les nuages aussi, c'cool.
Autre(s) : Donne-moi un bonbon, raclure. Sois sympa. Steuplait.

- Mode d'emploi d'un Paysan -

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• Nom & Prénom : Bismarck H. Farran. Enfaite, son identité entière est Farran Hielvash Phacotzar Durem El Tropico Ornyrambe Jambon-Pâté Bismarck. Avouez que "Farran H. Bismarck", c'fait tout de même plus classe.

• Surnom : Le Blasé, Fa-chan, Farr', L'Homme-Qui-Désespère-Plus-Vite-Que-Son-Ombre, Farine, Roi des Paysans, Pelle-Man, Mr.Survivor, Zetsubou-Onii-chan, le Taré à la Pelle. Les personnes extérieures à son île semblent avoir pris à cœur de le surnommer "le Paysan Fou" ou "le Roi des Paysans".

• Age : Il n'a jamais vraiment su en quel année il était né. Il présume qu'il a entre 22 et 25 ans.

• Race : Un fichu et hargneux Paysan.

• Camp : Les Pirates, ceux dont le taux de mortalité est le plus élevé et l'espérance de vie la plus courte.

• Orientation psychologique : Chaotiquement blasé et irascible, parfois sympathique (mais sans le faire exprès) et bourrin communiste.

• Métier/Spécialité : Il est Paysan et peut également entreprendre toute action en rapport avec la jardinerie. Techniquement vigie et fantasque sabreur, il est également Conseiller technique en petits pois et Aide Logistique sur les Questions Agraires et les Autres Trucs qui Demandent Plus de Deux de Q.I (soit CALQAATDPLDQ.I, quoi, vous espériez un acronyme qui roxxe ?). Ah et puisque compter la bouffe fait partie des trucs qu'un paysan sait faire, il est aussi Cambusier. On peut également noter un certain intéressement au métier de forgeron. Mais bon, hein, on va pas en faire tout un gouda, il est plutôt multi-tâches. Sinon, on lui reconnait une forte propension à manier ses divers ustensiles de Paysan (dont la pelle en première ligne) en combo avec son sabre comme un dieu et qu'il a la fâcheuse manie de donner des envies nihilistes et de suicide à toutes personnes dans un rayon de 5 mètres autour de lui. Mais bon, hein, c'pas sa faute si vous n'êtes que des gueux, même pas fichus d'égaler des concombres des mers, qui, s'extasiant de vivre dans un monde de merde qui n'a pas de sens et avalant la susmentionnée matière avec délectation -en redemandant même- finiront tous par mourirde dépit et de frustration, impuissants infertiles que vous êtes de... *SUICIDE DE MASSE*

• Pouvoir demandé : Outre une force et une endurance herculéenne (qui découle de sa vie sur l'île d'Agricultard) et d'une grosse aura de blasitude qui peut donner des envies de suicide à tout être présent à ses côtés, le Paysan peut compter sur l'une des Vingt-et-une Grandes Lames le Wadô Ichimonji (si, vous savez le sabre que le père de Kuina fila à Zorro) pour défoncer ses ennemis. On est bien loin de "la route menant vers l'harmonie" -traduction du nom de l'arme- promise.

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Montrer au monde que les Paysans, c'est les plus forts, aller chier dans le cou des bureaucrates et des Nobles, défoncer du monde, faire redescendre de leur piédestal les gueux qui s'croient malins et mourir d'une façon atroce, sanglante, qui salopera bien le tapis pour faire chier les femmes de ménage et qui restera dans les mémoires des petits n'enfants de bourgeois qui pleureront à la simple mention de son nom. En somme, devenir aussi connu et craint que le Monstre du Placard ou le Croquemitaine.

• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] :

- Descriptions et autres textes proscrits par les illettrés rustiques habituellement -


◘ Description Physique (5 lignes) :
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Farran H. Bismarck a volé des vivres du village, occupé par la Tonte, nous demandons de l'aide aux étrangers, récompense de 10 000 B.
Mèches en X, pouvez pas le louper !


« Alors c'lui qu'on doit chopper ?
- I'm'semble. Y a un bon pactole à la clé. »
Les deux hommes se regardèrent pendant de longues minutes, après avoir fixé l'affiche. Ils sentaient qu'il y avait une bouse dans le potage et que le hasard n'avait pas placé un pécore standard sur leur chemin. Autrement, les gus du village auraient très bien pu s'en occuper. Nan, ce type-là, ce devait être un teigneux de première capable de vous tuer en un battement de cil. Et puis, le dessin n'aidait pas vraiment. Ainsi que l'indication supplémentaire au dos qu'il était vêtu tout de noir... la belle affaire, avec ces saletés d'herbes hautes où pouvaient surgir des bestioles toutes plus bizarres que les autres. L'Oncle Pew consterné se tourna vers son complice, Ben Gunn -le chef de tout ce merdier, l'instigateur de toute cette opération pourrie, le type au cerveau embrumé et si avide de fric qu'il avait accepté ça- pour quérir les informations visuelles que celui-ci avait glané sur le bestiau qu'ils devaient pourchasser.

Après plusieurs minutes d'intenses réflexions pour formuler un tant soi peu la chose correctement, Ben Gunn commença sa description : l'énergumène qu'ils chassaient se trouvait être un grand type proche des deux mètres et demi, plutôt du genre à n'avoir pas beaucoup de graisse. Il portait des vêtements simples et avait une coiffure désordonnée. On le reconnaissait surtout à ses deux mèches croisées qui lui barraient la figure et à tout un attirail qu'il promenait avec lui dans un grand sac de toile marron. C'était sans doute un type qui avait dû se perdre dans le coin ou qui était un voleur. Les chasseurs eurent un moment pitié pour lui, puis commencèrent la traque. Ils savaient qu'ils réussiraient tôt ou tard à le trouver, la prairie aidant, mais doutait d'y arriver avant un bon moment à cause des hautes herbes. Ce que ne savaient pas les deux chasseurs amateurs étaient que leur cible était grosso modo du type même d'Agricultard : le Paysan Bourrin, véritable monstre fanatique de l'Agriculture et du Jardinage capable de se servir de ses doigts pour charrue et de faire pondre les poules uniquement grâce à ses deux sourcils froncés. Si les informations données par les villageois n'étaient en rien erronés, elles étaient bien trop succinctes pour pouvoir comprendre vraiment dans quel merdier se fourrait les deux cupides. Oui, Farran était grand, plus grand même que les cultures et les herbes hautes de l'île et de ce fait, il avait la chance d'avoir une vue qui portait loin. De même, son manque de graisse, consécutif à son métabolisme rapide et à son éducation spartiate à labourer les champs et les demoiselles campagnardes avaient su faire de lui un parfait prédateur naturel pour tout être vivant. S'il portait des vêtements simples, ils étaient différents des habits habituels que portaient les pécores, le gus ayant troqué sa vieille salopette moisie d'antan contre une chemise blanche qui ne grattait pas -un luxe quasiment introuvable sur l'île- ainsi qu'une veste et un pantalon noir du plus bel acabit. S'ajoutait à cela une paire de chaussures plutôt extravagantes pour un Paysan, décoré de cercles et de traits divers dorés, qui se trouvait être le fruit d'un larcin dans une boutique de cordonniers du coin. Improbable fusion entre des sabots et des chaussures de cuirs, plutôt œuvre expérimentale que véritable paire de godasses, elles permettaient aux panards de notre héros de rester bien au chaud et de botter des culs avec classe. Si, en effet, Farran se reconnaissait de loin avec ses deux mèches croisées en X, véritable métaphore personnifiée du refus de bien se comporter, cette simple mention ne pouvait rendre toute la beauté chaotique de la toison bordélique qu'il arborait. Ses cheveux tout aussi noir que ses vêtements étaient un véritable panégyrique du boxon, une ode au foutoir. Se dévoilant sous la forme d'une chevelure hirsute dont les piques de tailles diverses et variées formaient une sorte de couronne bizarre, ils représentaient à merveille le personnage qui en avait hérité, surtout à cause du toupet plus haut que tous les autres, au milieu quasiment du sommet du crâne qui, légèrement courbé vers l'arrière, se présentait comme un doigt d'honneur symbolique au reste du genre humain.

De même que les observations des psychologues capillaires étaient intéressantes, ce qui se trouvait dans le sac en toile que notre protagoniste portait dans le dos l'était encore plus. Certains paysans accordaient une grande importance aux différents outils et autres ustensiles agraires qu'ils utilisaient, si bien qu'ils se les faisaient passer de père en fils à travers les générations et que des légendes tels que "la Hache du Père Lustucru" ou "la Potion de virilité de la Mère Michelle" naissaient et faisaient la renommée des familles des décennies durant. Bien que Farran n'avait pas d'héritage outillé, la chance lui avait permis de trouver bon nombre d'outils divers et variés. Aussi utiles pour le labourage et les autres travaux agricoles que pour démembrer et se foutre sur la gueule comme le bourrin qu'il était, il considérait ses trouvailles comme des armes qui rentreraient un beau jour dans la Légende à ses côtés. Renforcés, affutés, bien huilés, transformés en de véritables armes de destruction paysanne (la version péquenaud de l'arme de destruction massive), les pauvres bougres qui allaient dans le futur se mesurer à lui n'avaient qu'à prier pour obtenir la plus rapide déculottée possible. Ainsi donc, armé jusqu'aux dents, assez grand pour voir au-dessus des fameuses herbes de deux mètres, la cible en question avait sans problème remarquer les deux branques qui fonçaient vers lui. Nul ne pouvait se vanter d'avoir un jour vu un sourire illuminait le visage du Paysan, cependant, en de rares circonstances, la cruelle monotonie de ses expressions faciales se rompait : lors d'une blague ou d'une situation si tordante que même lui ne pouvait pas s'empêcher de faire marcher ses zygomatiques, pour provoquer quelqu'un intentionnellement ou, plus souvent, lorsque l'heure du Poutrage et de la Baston pointait le bout de son nez. Or, le visage de celui qu'on surnomme le Taré à la Pelle se fendit soudain d'un petit sourire malsain à l'approche des chasseurs. Ses yeux gris qui d'habitude étaient si blasés qu'on aurait dit des points d'ancrage universelles pour maniaco-dépressifs s'illuminèrent d'une lueur guerrière. Fusant tel un malicieux suppositoire après un pet dantesque, le jeune homme fut rapidement sur eux et, avant qu'un seul des deux hurluberlus put plaider sa cause et demander pardon, abattit violemment sa pelle sur le coin de leurs mouilles de branques. Contemplant avec satisfaction les simili-cadavres qu'il avait copieusement avoiné, Farran tendit à nouveau ses gants blanchâtres de fermiers -qui décidément lui servaient bien- par pur autosatisfaction.

Après les avoir attaché, il les traina jusqu'à son bout de terrain à l'écart du village et plus personne ne les revit jamais... jusqu'à ce fameux vendredi, où un autre chasseur amateur envoyé par le village s'approcha et constata que les deux types qui avaient accepté leur requête travaillaient comme des bêtes de somme au compte de Farran. Quasiment réduits en esclavage, ils semblaient être plus dépressifs qu'agonisants... Effrayé par la vision qu'il avait sous les yeux, l'apprenti chasseur de Farran décida de déguerpir avant que le tortionnaire revienne, seulement, alors qu'il allait le faire, il sentit un souffle singulier sur son cou... L'histoire raconte qu'il se suicida après seulement une semaine passée à travailler avec Farran, laissant derrière lui un long témoignage du traitement qu'il avait reçu.

◘ Caractère & morale (5 lignes) :
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J'écris cette lettre dans l'espoir qu'un jour d'autres puissent échapper aux terribles traitements que j'ai subi. Plus jamais, plus jamais pareil torture ne devrait être appliqué à un homme. J'écris cette lettre au bord de la folie. Je ne sais pas si j'arriverai encore à vivre un jour de plus. Pas dans un monde où il vit. Farran H. Bismarck. Sans doute ce nom ne vous dira rien. J'espère qu'il ne vous dit rien... dans le cas contraire, cela voudrait dire qu'il a quitté son île natal pour partir à la conquête du monde. Si c'est le cas, fuyez pour vos vies, cachez vos femmes et vos filles et puisse une des divinités de nos nombreux panthéons cosmiques nous venir en aide ! Cet homme... cet homme m'oblige à travailler chez lui comme un esclave. Je suis certes logé et nourri, mais n'est pas le droit de m'échapper bien entendu. J'ai eu beau le supplier cent fois, il n'a jamais cédé, n'a jamais fait preuve de pitié. Pas une seule fois. Cet homme est un monstre. Les rumeurs qu'on entend sur lui au village semblent être vrais. Déjà, le fait qu'il est impassible. Toujours inexpressif, toujours le même regard vide, comme mort, qui vous regarde platement. Oui, "platement". Il n'y a pas d'autres mots pour désigner cette manière qu'il a de fixer ses yeux sur vous. Comme si tout ce qui vous embarrassait, tout ce qui vous chagrinait, vous désespérait et vous terrorisait lui était connu, comme s'il lisait en vous, en votre impuissance. Il sait que, lorsque vous étiez enfant, vous avez pété un vase en terre cuite à la con et que vous avez accusé le chien. Chien qui s'fit copieusement savater la gueule par la suite et qui creva de ses blessures. Cela vous a toujours hanté et il le sait. Et quand il sait des choses dont vous êtes pas fiers, ce type lance alors son "mode monologue dépréciatif" : une longue série de remarques plus ou moins blessantes, révélant la plupart du temps vos secrets les plus noirs et intimes, des trucs qui pourraient faire l'objet d'une saga familiale tellement ils sont dégueulasses et vous emportant dans sa spirale du désespoir. Le truc, c'est que ce type est foutrement observateur et se recycle donc aisément sur les insultes vicieuses qu'il vous lance, si bien que plus il vous défonce verbalement, plus il a de la matière pour ses prochains monologues. C'est dire combien c'est une menace pour la santé mentale et les nerfs des gens. C'est étonnant qu'il parle aussi bien et qu'il connait autant d'insultes diverses et variées d'ailleurs, sans doute qu'un taré s'est mis dans la tête de lui apprendre un jour à lire. Certes, il a ses quolibets et autres jurons favoris tels que "pute borgne", "vieille pute dégarnie" ou même "sale gueux", mais il démontre vraiment un vocabulaire coloré et fourni que les aut's du village n'ont pas. On peut dire qu'il est sans aucun doute un type intelligent. D'une intelligence vicieuse certes, mais intelligent quand même. Il montre un raisonnement poussé et des connaissances approfondies sur toutes activités en rapport de près ou de loin avec les activités d'un agriculteur, mais affiche quand même toujours une forte propension à voir les choses d'une manière bien paysanne et terre à terre.

Le mec a après tout été élevé dans une ambiance péquenaud et il lui reste quelques séquelles notables de la chose, notamment ses manières parfois superstitieuses, l'empêchant de passer sous une échelle ou le faisant devenir méfiant pour tout un tas de choses. Paradoxalement à cela, ce gus ne se considère pas comme un pécore de base, montrant une sorte de mégalomanie assez flippante qui fait de lui, je le cite, un "Paysan d'élite", le "Roi de tous les paysans du monde, grands et petits et même les arriérés dont personne sait quoi foutre". La raison à cela ? Sans doute le fait qu'il est le seul à savoir lire à des kilomètres à la ronde ou parce qu'il se sait être un minimum balèze... Cependant s'il se place en assez haute estime, il semble être l'être le plus blasé que j'ai vu. Quasiment dépressif, il est obsédé par sa propre mort et n'accorde aucune valeur à sa vie, ni, en générale, à celle des autres. De là découle un plus grand problème de son attitude : Farran H. Bismarck est un gros enfoiré. Oui, je n'y vais pas avec le dos de la cuillère messieurs-dames, mais il faut prévenir le monde. Ne discernant pas le bien du mal ou plutôt, n'en faisant qu'à sa tête et "conchiant les biens-pensants" -c'est à dire, tout autre être que lui- môssieur Bismarck est un homme qui estime que tout être devrait mourir, y compris lui-même et ne comprend pas l'acharnement que les gens ont à s'accrocher à la vie. Nihiliste extrémiste et suicidaire, il a l'habitude de toujours pester contre les occasions manqués de mourir, car le Sort et la Fatalité s'acharne à le faire survivre malgré toutes ses prières, malgré la corde pour se pendre qu'il a toujours avec lui, malgré son impolitesse qui devrait normalement l'avoir fait tué mille fois et malgré le fait qu'il fait souvent preuve d'une témérité autodestructrice. Bien entendu, si ce cher Paysan n'était qu'un connard suicidaire et dépressif, l'histoire l'aurait depuis longtemps oublié. Mais nan, il a fallu que ce satané tortionnaire naisse à l'île d'Agricultard et que, de ce fait, il soit super balèze. Il a fallu que l'univers, content de la blague qu'était la création de ce type, lui refile un tempérament indifférent au malheur des autres et un caractère violent. Ah, oui, j'avais oublié de vous parler de cela. Si la plupart du temps Farran est blasé et donc calme, il n'en reste pas moins quelqu'un de mentalement instable, le pauvre garçon ne dormant quasiment jamais. La raison ? Je ne sais pas, on est pas vraiment intimes vous voyez... quoique, ça pourrait être une explication à la plupart de son comportement en faite. Bref, dû à ses insomnies chroniques, le bougre est irascible au possible (appréciez la rime, ami lecteur, c'est de la pépite ou je ne m'y connais pas !), s'énervant pour des broutilles (je l'ai vu une fois sortir de ses gonds parce qu'on avait écrasé une fleur. J'ai reçu six coups de pelle. J'en aurais reçu bien plus et serait sans doute mort à l'heure qu'il est, s'il n'avait pas remarqué à temps que c'était une mauvaise herbe) et n'hésitant pas à devenir un bourrin ultra-violent pour montrer son mécontentement.

Si vous lui donnez une bière de mauvaise qualité dans une taverne par exemple, celle-ci se retrouvera sans doute détruite et les propriétaires battus à mort à coups de pelles. Mais tout cela n'est rien, absolument rien face à la menace que représente sa fascination pour la destruction des classes sociales plus hautes que celle de paysan. C'est à dire toutes les autres classes sociales. Il semble qu'il a un jour eu une hallucination dantesque qui lui a soufflé de tuer tous les bourgeois qu'il rencontrerai et de se battre pour la liberté des paysans. Au vu des troubles mentaux qu'il doit avoir à force de ne pas pioncer, cela ne me parait même plus si surprenant... J'espère que cette lettre parviendra un jour à quelqu'un et que Farran H. Bismarck sera arrêté et emprisonné, pour le bien de tous.

Qu'une divinité quelconque d'un panthéon cosmique nous vienne en aide et nous protège.

Jean-Jean Rillette.


Dernière édition par Farran H. Bismarck le Jeu 22 Sep 2011 - 23:49, édité 4 fois
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◘ Histoire :
[M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! 296929imagefiche4
Un homme aimable.
Chapitre I : De la Genèse, du Farran et de son habitat naturel (avec en invité surprise, la lecture)
Dans un fort lointain pays, en des temps obscurs que l'Histoire a préféré oublier, vivait une secte de geignards à l'hygiène douteuse. Plus une bande de cultistes maléfiques et aux ambitions démesurées, qu'un véritable groupe soudé de religieux extrémistes, les hommes et les femmes des Méouédoncpassécetenfoiréd'ornicar (oui, ils n'ont jamais été très doué pour les noms, ce qui causera d'ailleurs leur mort atroce et pourtant inconnu des archives de l'Univers, mais cela est une autre histoire) étaient foutrement doués pour fomenter des plans machiavéliques, qui étaient généralement dans d'autres plans encore plus sombres, eux-mêmes reliés à une série de machinations diverses et variées plus ou moins vicelardes. Ainsi donc, comme tout bon groupe de salauds patentés qui se respecte et qui souhaite voir le genre humain mourir dans des borborygmes au milieu de ses propres matières fécales, les Méouédoncpassécetenfoiréd'ornicar voulaient asservir le monde. Mais pas prendre son contrôle comme des branquignols de seconde zone, nan, eux, ce qu'ils voulaient, c'était jouer dans la cour des grands, des raclures d'envergure et donc, il voulait tout le toutim de l'Apocalypse : raz de marées gargantuesques, ornithorynques démoniaques, petites mémés diaboliques, jets de feux et combustions spontanées, du chocolat immangeable et d'autres saloperies climato-bordéliques de tout poil. Pour arriver à leurs fins, ils conclurent donc que, comme tout bon groupe hétérogène et adorateur des champignons hallucinogènes, ils devaient mener de savantes expériences mystiques qui leur permettrait de booster les gènes des générations à venir, dans le but de créer un être ignoble qui apporterait mort et désolation et finirait par entrainer le tant souhaité Armageddon avec moult chaos et désespoir. Ils rédigèrent en parallèle une Prophétie pour que leur vilain dessein puisse perdurer à travers les siècles pour finalement aboutir et surtout, pour qu'ils puissent reconnaitre l'enfant Élu(e) une fois qu'il aurait fait son apparition. Après leur mort si abominablement horrible qu'elle ne peut être racontée ici, inutile de vous dire que leur prophétie se perdit dans les limbes du Temps (même Jacqouille la Fripouille et Monseigneur de Montmirail ne la retrouva jamais) et que moult générations de frustrations sexuelles féminines passèrent avant que l'Enfant apparaisse. Mais un beau jour de pluie, comme si la Loose™ avait décidé d'intervenir, comme si une des nombreuses divinités des panthéons co(s)miques avaient décidé de rompre ses vacances procrastinatrices, comme si l'Univers lui-même plaquait sa main contre son front, accomplissant le dantesque geste de déni -alias The Face Palm- connu de tous, un bambin qui ne brailla étrangement pas, mais qui s'empressa d'adresser une moue dédaigneuse à la face hirsute de son paternel, naquit. La mère, avant de sombrer définitivement entre les douces loches de Morphée pour obtenir un repos bien mérité, après ce travail de six heures, six minutes et six secondes, offrit un dernier râle étrange à l'adresse de son mari, râle bizarre qui devait avoir une importance significative et définitive pour le petit gus qui venait de sortir :

« Terrén, ma épi, oub'i pô dè mèt' lâ farran dàns l'fligô soutou. Et...rzzz... hielvash... Phat'cho'za'd'lem... rzzz... S'tlopicô... RrzzgZZrlrgZZrz... ORNYRAMBE ! Oub'i pô noï pù l'sodwouiche jamb'pôtà s'tiou plaît. 'Ssé, j'dodok mi ! »

Après cette étrange façon de raisonner bien paysanne qui était de penser à remettre la farine et le sandwich Jambon-Pâté en lieu sûr plutôt que de s'occuper de l'hémorragie qu'on avait et cela avec un accent ignoble et qui exploserait les tympans de tout être normalement constitué, la mère Bismarck mourut tendrement, dans son vomi et des bouts amicaux de placenta, dans une ambiance bonne enfant et propre à une fin heureuse (bah... bah quoi ?). Le mari, Terrine Bismarck, hocha la tête et laissa perler une petite larme, si content qu'il était d'entendre que sa femme lui avait laissé un peu de sandwich Jambon-Pâté, alors qu'il pensait qu'elle avait tout mangé. En son honneur et en dernière volonté, il nomma son fils avec les derniers mots qu'elle avait doucement susurrer entre deux hoquets à l'haleine de phoque mort, utilisant pour la seule fois de sa vie les rares neurones qui lui restaient après tant de soirées de beuverie pour rendre le tout prononçable par des larynx normaux. Ainsi fut nommé notre protagoniste, pour qui ce jour reste globalement inconnu, ne connaissant pas sa date au final, son père ayant totalement oublié après être allé boire pour oublier. Mais avançons de quelques années pour nous pencher sur l'enfance de notre héros.

***


« Putain, mais tu vas dormir sale gosse !
- Pas envie. »

C'était chaque soir la même engueulade, à s'envoyer des quiches dans la tête pour ci ou pour ça. Et aussi pour ceci et cela. Le modèle réduit au long nom étrange avait grandi et apprenait bien le métier de Paysan, avec une ferveur digne des plus éminents dictateurs exterminateurs de peuplades dont tout le monde se fout. Le père était atterré par son insupportable bambin, qui, non content d'avoir crevé sa femme (il avait fini par s'en rendre compte au bout de dix ans), était un vrai petit connard. Si ce n'était que sa farouche volonté d'indépendance quasi putschiste, tout petiot qu'il était, Terrine aurait pu continuer à vivre tranquillement et il lui aurait simplement administré corrections après corrections, lui octroyant une paire de tartines bien senties dans sa mouille de p'tit con à chaque fois qu'il faisait un pet de travers, mais voilà, en plus, le gosse voulait pas pioncer. Et c'était pas du "non, je veux pas au lit", suivi quelques minutes plus tard de ronflements enfantins, mais plutôt du "pas envie" laconique suivi d'un regard de poisson mort fixé sur vous jusqu'à ce que vous flanchiez. Il détestait aller au Catéchisme, salopait tout dès qu'il en avait l'occasion, balancez ses fonds de slibards brunâtres sur les gens du village, rechignait à aider pour la Tonte, laissait ses crottes de nez sur tout à chacun, crachait sur les gens du gouvernement mondial, pissez sur les plantations et manquez de se faire buter toutes les semaines par les dindes de l'exploitation "Dubongras" qu'il aimait emmerder. Bref, le gamin était pas un cadeau à tout point de vue. Le pauvre type commençait à saturer sérieusement et parfois on le retrouvait même à regarder son couteau fixement, l’œil exorbité, faisant des aller-retours entre son fer et son gosse. L'avenir nous dira bientôt ce qu'il choisit. Si Terrine Bismarck tournait de plus en plus cinglé à mesure que Farran grandissait, le petit n'était pas en reste et pour cause, il n'avait pas non plus un exemple très saint sous les yeux. Buvant, bouffant, copulant, tel un Gargantua en rut, le père Bismarck montrait tous les meilleurs exemples de la vie à son fils. Les semblants de moments d'éducation qu'il essayait de lui inculquer se résumait souvent à lui apprendre tout simplement le métier immémorial de Paysan-Agriculteur ou à lui montrer comment réussir les tâches les plus essentielles. La différence entre le Bien et le Mal ? C'pour les tapettes ! Et pis l'cureton est là pour ça ! Apprendre à partager avec les autres ? Mais nan, on s'en fout des autres, c'pas nous ! C'tous des bigorneaux ! Obéir aux autres adultes (à défaut de suivre ses ordres à lui) ? Hé, ho, on marche pas au sifflet dans la famille, nom d'une ouiche lorraine ! Autant dire que le gosse allait crescendo vers le péon-salopard-violeur et que tout le monde s'en foutait, l'éducation en ce temps-là ressemblant plus à des balbutiements foireux qu'autre chose. Heureusement pour lui, Farran possédait une rareté du coin : un cerveau en état de marche et pas complètement foutue par son insomnie chronique. Il trouva donc refuge dans la seule chose qu'il avait à disposition : la lecture.

***


« Les mômes maintenant, ils lisent, ils lisent, ils lisent et résultat...ils sont encore puceaux à 10 ans... »
▬ Le Roi Loth (François Rollin), Kaamelott


Un beau jour que le petit Farran marchait dans les hautes herbes, il tomba sur un objet fascinant : un ouvrage... un livre. Il l'ouvrit et constata que les divers caractères s'alignaient indéfiniment sous ses yeux, lui donnant l'image d'immenses plantations. Il eut soudain envie de savoir comment déchiffrer ces étranges symboles ressemblant à s'y méprendre à des fruits et légumes bizarres. Demandant l'aide du plus érudit personnage du village, c'est à dire le tavernier qui avait appris à compter et à lire pour ses affaires, le petit gueux de bas étage commença brusquement son ascension social. Lentement, il apprenait à lire et déchiffrer les lettres, puis les mots, ensuite les phrases et enfin les pages. Quand il fut certain d'avoir obtenu un bon niveau dans la pratique de la lecture, le petit garnement décida de finir par lire le livre qu'il avait jadis trouvé et gardé comme une relique depuis tout ce temps. Lentement, il articulait à voix haute, le front en sueur, butant parfois sur un mot qu'il ne comprenait pas. Oui, lentement, il s'ouvrit au merveilleux monde du roman érotique, car, si, en effet il avait trouvé un livre, le Destin™, personnage rieur qui pouvait tout aussi bien appeler son pote la Loose™, que sa propre sœur la Chance™, avait orchestré une amusante conclusion à cet apprentissage fait à la va-vite comme j'te pousse. La découverte de ce roman érotique amateur, écrit autrefois par sa mère, alors jeune fille, était en effet de ces coïncidences si rares que l'alignement des planètes y était forcément pour quelque chose ou qu'elle était l'occasion pour que quelqu'un prononce la phrase type du pressentiment et cela d'un air songeur ; "je subodore qu'il y a une bouse dans le potage." Quoiqu'il en soit, cette lecture qui aurait pu faire ses premiers émois luxurieux se trouva être au final un véritable casse-tête pour le jeune lecteur, tant sa mère s'était efforcé de retranscrire son accent si pittoresque avec un souci orthographique ignoble... « Sa min flôl' sa nuke, dezàn l'longe d’ùne épôle dénoudè et l'rejoint, le ch'tit botôn d'ho d'la ch'mise. Chaq'attâch d'nacle qu'cédait plovauke d'u'délichieu sursàù d'corpse qu's’offr'ainchi aux ieux de l’auda... de l'ôm. 'Dévoual'une poatrîneu felmé dont l'sainz firmèss s’ornnte d'tétron tendou pa'l'dêsîle. » Autant dire, malgré le contenu sulfureux, qu'il n'y avait rien à en tirer. Dépité, le petit commença à douter sérieusement de l'intérêt de la vie et désespéra qu'il n'y avait pas d'images au moins dans le livre. Sa dépression suite à sa découverte avec la lecture accéléra les choses avec son père et, deux semaines après la découverte de ce qu'il y avait sous les jupes des villageoises en réalité (non, pas des arc-en-ciels de chocolat) dans un accent très bizarre, on découvrit Terrine Bismarck mort. Le bougre était si désespéré qu'il ne s'y repris pas à deux fois pour être sûr de mourir : après s'être poignardé une bonne douzaine de fois au gré de sa fantaisie, il se pendit au-dessus de fourches retournées, au cas où la corde lâcherait. Ce qu'elle fit, c'est donc dans une douloureuse agonie que Terrine mourut, ressemblant plus à des miettes d'homme qu'à un père. L'enfant n'eut qu'une seule réaction, la réaction la plus sensée qui soit : il alla vérifier s'il n'avait pas bouffé le dernier sandwich Jambon-Pâté avant de trépasser.

Il s'effondra au sol.
Pleurant.
L'ordure l'avait bouffé.
Monde cruel. Il préférerait être mort....

Chapitre II : Suicidez-vous jeune, vous profiterez de la mort (ou comment bien réussir son suicide)
Quelques années plus tard...

Tout n'étaient qu'affreux supplices, il n'y avait rien à tirer de la vie. Ce genres de pensées sombres de dépressif chronique s'étaient depuis longtemps installé dans l'esprit du jeune pécore à la suite de la mort de son père. Quand il repensait à lui, un non moins drôle mélange de colère et d'envie emplissait son cœur. Colère, parce que l'enfoiré avait osé bouffer le dernier sandwich Jambon-Pâté, ce qui était, en plus d'être un savant coup de pute, et une grande offense, la dernière signature de la mauvaise éducation paternel. Une sorte de testament de son non-éducation pourrie et du peu que lui importait son gosse. Et envie, parce qu'il avait réussi à quitter ce monde d'une façon qui avait tellement tout salopé que le cureton du village avait rendu son petit déjeuner, son déjeuner, sa collation de minuit d'hier soir et son diner de la veille. Paradoxalement, l'un des plus beaux jours de sa vie. Ses deux parents morts, Farran grandit plus ou moins seul, passant de familles en familles, les déchirant en révélant de sa voix nouvellement sans âme leurs secrets les plus noirs. Oui, madame Salsepareille, votre mari ne vous trompait pas, il aimait juste porter des porte-jarretelles et se faire fouetter le croupion avec une branche de houx bien pointu. Oui, monsieur, votre femme couche avec votre fille, vous en aurez à raconter aux prochaines réunions de famille. Nan, Ginette, ton petit-copain n'est pas quelqu'un de très travailleur, s'il va aux plantations, ce n'est pas pour travailler, mais plutôt pour s'amuser avec les poules et les chèvres. Toute joie simple et bienheureuse semblait s'être extirpée de lui pour se transformer en une amusante fascination pour l'emmerdement des gens, Farran semblant s'être transformé en une sadique symbolisation vivante des Lois de Murphy. Véritable Agent de la Loose™, le garnement provoquait la fureur des autres villageois, qui, lentement, finirent par le mettre à l'écart ou à ne lui apportait que leur aide avec une mauvaise foi croissante avec les années. Tout seul, livré de plus en plus à lui-même, l'enfant, puis l'adolescent apprirent à se débrouiller seul, cette indépendance nouvelle et sans contraintes n'arrangeant en rien les problèmes de comportement qu'il avait. Cette époque fut en effet charnière pour le caractère de l'Agriculteur et les bisounours et autres hippies de l'éducation auraient bien aimé croire que s'il avait reçu de l'amour, de l'attention ou ce genres de choses totalement inutiles -pour un gosse en pleine construction de sa psyché déjà assez instable comme ça, s'entend- Farran aurait pu changer et devenir ensuite HokageMaire du village, prouvant ainsi à tous sa valeur d'être gentillet et mignon tout plein. Mais nan, se souciant de moins en moins du Village, le gus désormais jeune adulte avait bien d'autres idées en tête. Pétri de l'arrogance de bouseux supérieur qu'il était, sachant lire, écrire et même compter, la flamme du pouvoir grandissait dans son cœur de péon mégalomane.

De plus, un besoin urgent le hantait désormais : mourir. Depuis le tragique évènement de la disparition du dernier sandwich Jambon-Pâté made by Bismarck (aussi appelé par les crétins sentimentaux d'Agricultard, "le jour où l'Terrine Bismarck fut retrouvé mourru"), l'idée de sa mort et de celle des autres l'obsédait, tant et si bien qu'il avait déjà tenté de trépasser à plusieurs reprises, mais sans succès, comme si un Destin foireux (ou une prophétie faite par des cultistes maléfiques il y a des décennies de cela peut être ? Nan... ce doit être autre chose) le sauvegardait de toute tentative de suicides sympathiques. Ce n'était pas faute d'essayer pourtant, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige, il était là, toujours aux aguets, avec une volonté inébranlable d'en découdre avec cette saloperie qu'était la Vie. C'était un combat de tous les instants et Farran invoquait tous les moyens pour s'en défaire, du rustique le plus total (la corde du pendu produisant un glargl peu glamour) aux méthodes les plus élaborés (poison sophistiquée inodore et incolore de femme adultérine ou bafouée qui vous promettez une charmante et douloureuse agonie), mais rien n'y faisait. La corde se rompait, le nœud n'était pas assez bon, le poison était raté ou lui procurait de violentes coliques, mais rien qui lui arrachait un dernier soupir. Il fallait pourtant le voir, sur les cabinets dans la cabane au fond de son jardin, hurlant au ciel qu'il voulait crever et qu'un p'tit éclair dans la ganache ne lui porterait pas si préjudice que cela. Mais ses prières et ses injonctions restaient vaines et c'est avec la mort dans l'âme, mais pas dans son corps, que Farran continuait son petit bonhomme de chemin. En parallèle à sa fascination morbide, comme il a été dit précédemment, Farran avait développé une sorte de mégalomanie toute particulière, en réaction aux comportements des villageois à son égard. A présent méprisant devant les autres, qu'il traitait de gueux sans distinction malgré leurs qualités sociales, et en dépit du fait qu'il soit lui-même un pécore, le Paysan avait soif de conquête et de pouvoir. Un évènement vint encore noircir ce tableau : les villageois se réunirent et décidèrent d'exclure une bonne fois pour toute Farran Bismarck du village, en tant qu'élément nuisible et surtout, en tant qu'enfoiré patenté. Inutile de dire que la motion fut unanimement acceptée et prit acte dès l'heure suivante. Chassé comme un animal, le jeune Paysan quitta ses terres pour ne plus jamais y revenir, poursuivi par une horde de villageois super balèzes et en colères. Après que le type ait réussi à démonter deux-trois gus et à tartiner le curé d'une bonne brouette de bouses de vaches Agricultardiennes (donc, de la vache géante tout de même) ils finirent par abandonner la partie, retournant tranquillement à leur chaumière et laissant là le curé crotté. C'est depuis ce jour que s'installa un climat de défi permanent et de franche hostilité entre Farran et le Village, connu sous le terme historique de "L'Farran ennemi n°1".

Chapitre III : Le Manuel du Petit Communiste Sociopathe et Extrémiste (avec en guest-star Jean-Roger Ouiche, l'homme le plus classe du monde et accessoirement l'inventeur du sandwich pâté-cornichon)
Les mois passèrent...

Le front luisant de sueur du Boulanger vit passer une grosse main rubiconde et poilue qui essaya tant bien que mal de l’essuyer. Tenant fermement son râteau, l'un des piliers du Village (et du comptoir de la taverne), marchait dans les hautes herbes, l'oreille et l’œil aux aguets, prêt à réagir au moindre mouvement et au moindre bruit. L'ordre avait été donné à tous de se munir d'armes depuis que l'Ennemi Numéro Un avait commencé ses représailles. Sorti d'on ne sait où, le Paysan était un jour tombé tel un faucon en piqué diagonal sur la trogne du Charcutier et on avait plus jamais entendu parler de lui depuis. Heureusement, son fils était là pour faire tourner la boutique. La perte d'un Charcutier eut été dramatique. Il semblait clair à tous que le gus utilisait des tactiques de guérilla et que ceux qu'ils visaient n'étaient autres que les commerçants indispensables du village. Le Curé avait été crotté à mort, le Charcutier disparu... les pertes étaient énormes, surtout que l'église du village n'avait plus de gamins assez tarés pour abandonner le droit de copuler à loisir. Un frémissement singulier vint briser cette judicieuse analyse de la situation et le Boulanger dans un mouvement digne d'un cabri sujet à l'aérophagie se plaça en position de combat. La chose qui avait provoqué ce bruit était simplement un râteau et les épaules du Boulanger s'affaissèrent imperceptiblement, soulagé qu'il était de ne pas avoir subit une attaque. Monsieur Parsifal le Boulanger ne vit pas le type aux mèches en X qui s'approcha derrière lui et qui lui rentra dans le lard en lui donnant une bourrade bien bourrine. Bourrade qui l'obligea à poser son pied de tout son gros poids sur les dents du râteau précédemment lancée. Le fait de se prendre un râteau dans la poire habituellement n'était pas si grave, mais depuis que les gens du village s'étaient pris en tête de le chasser, Farran s'était exercé pour le combat et avait transformé tous ses outils en armes de destruction péquenaudes (version pécore des armes de destruction massive), si bien que le fameux manche que se prit dans la face le Boulanger était pourvu de longs et durs piques de ferraille bien rouillés. Inutile de dire que monsieur le Boulanger ne revint plus jamais à ses fourneaux, tout occupé qu'il était d'essayé de restreindre sa levure intérieur de quitter son corps par tous les pores de sa peau. Reprenant son arme, le Paysan disparut à nouveau dans les hautes herbes tel un Solid Snake campagnard. Les derniers mois avaient été l'occasion pour lui d'entamer un sévère processus de transformation visant à le transformer en cador des combattants et il comptait bien un jour mettre l'île à ses pieds. Il était sans pitié et répandait la confiture de fraise corporelle des gens avec une véhémence sans pareille, se vengeant des années pourries qu'il avait dû vivre sur Agricultard. Déblayant une portion de terre plus que suspecte, le fermier se glissa dans un trou qu'il avait creusé et rampa pendant une bonne vingtaine de minutes pour arriver à sa base secrète sous la sol. Enfin, c'était pas vraiment sa base secrète, plus un truc qu'il avait récupéré et réaménagé pour lui. Il l'avait trouvé au début de la Chasse et avait ainsi pu se cacher de ses poursuivants. Apparemment, elle appartenait autrefois à un certain Projet Dharma et ces couillons avaient eu la bonne idée de prendre comme logo un putain de cygne. Bref, cela ne faisait pas du tout lopette.

Le fils Bismarck s'immobilisa soudain. Il sentait qu'y avait un problème. Il voyait qu'il y avait une bouse dans le potage : la lumière était étrangement allumé, alors qu'il avait jamais été foutu de trouver l'interrupteur et qu'il s'éclairait d'ordinaire à la bougie. Se rapprochant de la source lumineuse, il tomba nez à nez avec un vieil empaffé mystérieux qui avait semble-t-il élu domicile pendant son dernier jour de guérilla. En bon gentilhomme, il fit ce que tout être humain digne du nom ferait face à un inconnu dans sa maison : il bondit et lui éclata sauvagement la gueule d'un coup de tatane retournée dans sa face. Le bougre ne l'entendait cependant pas de cette oreille et répliqua aussitôt par une fourbe attaque dans les bourses qui coupa la respiration de notre protagoniste. Enfin calmé, le vieillard expliqua qu'il se nommait Jean-Roger Ouiche, l'homme le plus classe du monde à ses dires et qu'il avait décidé de crécher là parce que c'était un minimum classieux. Farran avait beau lui expliquer que c'était sa super méga base secrète, le vieillard n'en avait cure et les deux durent finalement cohabiter. Le temps passa et un évènement incroyable rapprocha les deux hommes : Jean-Roger offrit de bon cœur un sandwich à Farran. Dubitatif, le Paysan mordit cependant dedans et là, tout bascula. Le sandwich était inédit, délicieux, poutrer feue sa mère en string de grand-mère et lui rappelait les délicieux sandwich Jambon-Pâté de son enfance. Et pour la première fois de sa putain d'existence, Farran H. Bismarck pleura comme une petite connasse. Ému par la saveur inconnue du sandwich, il demanda tout de suite à l'homme de lui apprendre à en faire et surtout de lui livrer le secret de son nom. Désormais, l'existence du Paysan fut rythmé entre ses entrainements quotidiens pour progresser vers son idéal de tuer tous les villageois, grands et petits, comme vieillards et vieillardes (il faut traiter tout le monde à la même enseigne, vive l'égalité !), ses jours de méchantes et hargneuses guérillas, puis, l'entrainement avec le vieux grigou. Jean-Roger Ouiche fut comme un père de remplacement pour notre héros, une sorte de super papa salopard qui ressemblait bien à Farran. Tous les deux s'entendaient fort bien, Jean-Roger tapissant de clous les chaussures du Paysan, trafiquant ses armes et ses cordes, bouchant les toilettes avec les affaires crasseuses de son apprenti, Farran glaviotant dans ses plats, chiant dans son lit pendant qu'il n'était pas là, lui coupant un doigt de pied dans son sommeil. Bref, c'était l'amour fou. Sans le savoir, Jean-Roger qui n'était pas une baltringue de seconde zone -malgré ce que ses vêtements classieux laissaient penser- offrait un entrainement très formateur pour le jeune combattant qu'était l'autoproclamé Roi des Paysans. Chaque jour en effet, une dispute éclatait entre maître et élève pour une liste de raisons futiles dont nous ne parlerons pas ici, parce que les listes, c'est d'un chiant.

Jean-Roger Ouiche se trouvait être par le plus parfait des hasards un ancien Chasseur de Prime amateur qui avait pas mal bourlingué. Grand sabreur, il s'échinait à apprendre l'escrime à son disciple par la force et surtout à ses risques et périls. Inventeur génial du sandwich Pâté-Cornichon dont il enseignait la fabrication à Farran, il était aussi réputé comme étant l'Homme le Plus Classe du Monde par les magazines et autres journaux, tels les illustres Pirate Enchainé et Gazette des Mers, qui, pour une fois, c'était tous les deux mis d'accords pour le coup. En un mot comme en cent, Jean-Roger Ouiche n'était pas un avorton, mais une pointure. Malheureusement, son unique colocataire était Farran et ce qui devait arriver arriva. Les années passées avec un type à la voix monocooooooooooorde, au ton désincarné et aux monologues dépressifs et suicidaires finirent par atteindre la super Classe de Jean-Roger qui se mit aussitôt à avoir un comportement suspect. Il fallait le voir balbutier dans un coin et s'arracher les cheveux frénétiquement ou manger ses propres excréments en disant que le monde ne valait pas plus que cela finalement. Même à l'entrainement il mettait moins d'entrain et il n'essayait même pas d'éviter le coup de taloche dans les parties que lui lançait Farran. En définitive, cet homme perdait pied. Bien sûr, les gens qui ont beaucoup de théories fantaisistes sur l'amitié et toutes ces conneries pour hippie, diront bien évidemment que Jean-Roger pourrait retrouver toute sa Classe avec le soutien indéfectible de ses amis. Le problème de cette théorie de fond de poubelle était bien entendu que le seul "ami" qu'avait le susmentionné homme classieux était celui-là même qui l'avait mis dans cette état. De plus, il se trouvait que le Paysan était lui-même déprimé comme toujours et ne pouvait pas vraiment remédier au problème. C'est donc une longue descente aux enfers qui s'en suivit pour l'Homme le plus Classieux du Monde qui devient le Type A l'Air de Clodo le plus Classieux du Monde, puis le Gus Qui Donne Envie de Rendre les Repas de Toute la Semaine. La déchéance était totale : il avait triplé de volume, avait arrêté de se raser, n'avait coupé ni ses ongles, ni ses cheveux, ni sa barbe depuis un bon moment et l'odeur qui l'accompagnait était si insoutenable que seul un fumier composé de cadavres en putréfaction qui s'étaient doré au soleil pendant moult canicules semblait pouvoir rivaliser avec lui. Son charme et sa classe avait été littéralement aspiré et un seul chemin s'ouvrait à lui. C'était sans compter sur le fermier qui avait bien l'intention d'emmerder son professeur jusqu'à la fin et qui refusait de lui céder tout objet pouvant mettre un terme à ses jours ici-bas. De dépit, Jean-Roger décida donc de se bâfrer jusqu'à ce que mort s'ensuive, mais là aussi le sadique disciple équilibra ses plats de telle sorte que son cœur ne lâche pas. Beuglant et vociférant, Jean-Roger s'énerva tant et si bien que finalement ses prières furent entendues et qu'il succomba, lâchant des dernières paroles significatives :

« Monde de merde ! »

Farran acquiesça silencieusement à cette remarque et rangea le poison qu'il s'était confectionné et qu'il avait accidentellement versé dans la bouffe du jour de monsieur Ouiche. Décidément, il devrait refaire le poison, il avait mis tellement de temps à agir.

***


La tombe de son maître trônait près de l'entrée de la Base Secrète et Farran aimait y aller pour lui rendre hommage en vidant sa vessie dessus. Un coup du sort allait cependant le faire arrêter cette pratique, l'étrange tas de terre et les régulières traces d'urine mettant la puce à l'oreille aux villageois. C'en était fini de sa cachette secrète et celui qu'on surnommait le Taré à la Pelle dû s'enfuir. Un murmure continu sortait de sa gorge, tandis qu'il courait pour échapper à ses poursuivants :

« Mais quel monde de merde. »

***


Quelques années plus tard...

Île d'Agricultard, Présent.

Un drôle de type courait dans les hautes herbes, trainant le Pâtissier...

A suivre...

FIN.

• Exemple de post RP : Bon, finalement, comme je brûle de finir ma prez -j'adore mon perso, mais bon, ça bloque les autres RP sur le feu que j'ai sur d'autres forums- je vous file un post d'un autre fofo One Piece, d'un topic entamé, mais jamais terminé avec Oyama Kai-Man (vui, le même qu'ici). Comme je le dis au début de mon message, j'l'estime moyen comparé à ce que je peux faire habituellement, mais je pense que ça peut quand même vous montrer que je suis pas Jo le Clodo en matière de RP, après niveau longueur, mes posts c'est ça 90 % du temps (ce qui je pense vous contentera). Bref, fini le blabla, place au Test RP : Si ça vous convient pas, j'ai p'têtre une meilleur fricassée pas loin.
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Farran H. Bismarck
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MessageSujet: Re: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyDim 18 Sep 2011 - 23:47

Présentation terminée.

Nous signalons qu'aucun Paysan IRL n'a été maltraité pendant l'écriture de cette présentation et nous tenons également à dire que Farran est une grosse caricature, comme sans doute votre sœur ou votre mère si elles sont chieuses, dépensières et foutrement scotchés au téléphone. Si c'est le cas, pensez à vous munir d'une pelle surtout et à bien viser leurs fameux hémisphères au pluriel.

Ah et bien-pensant et personne sans humour s'abstenir pour cette prez, merci d'avance What a Face .

Bonne lecture.
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Sid Langren
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MessageSujet: Re: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyMar 20 Sep 2011 - 22:42

J'vais manger un sandwich au jambon-paté, je donne le verdict une fois que je l'ai mangé.
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MessageSujet: Re: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyMar 20 Sep 2011 - 22:44

Les sandwichs, c'est la vie. Amen mes frères. Fais donc et atteins ainsi la sauvegarde de ton âme.
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MessageSujet: Re: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyMar 20 Sep 2011 - 22:49

Ton mentor chasseur de prime est un vieux plagiat de George Abidbol. Et ici on aime pas les plagieurs, ni les fils de pute.

D'ailleurs...

*se fait tirer dessus*

Aaaah Rosebud.

Bref. Pas très fin comme fiche, mais je serais le dernier placé pour critiquer Razz.

C'est long, assez pâté, comme le sandwich donc ça reste dans le thème.

Donc j'dirais bien rang 3 ouaip. Avec le sabre MAIS...

Sans sandwich.
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Farran H. Bismarck
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MessageSujet: Re: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyMar 20 Sep 2011 - 22:51

T'oserais pas. Tu vas pas oser dis ? Putain, quand même, un sandwich quoi ! Pu... Putain...

Monde de merde.

( et nan, t'as vu, il s'appelle ni Georges ni Abitbol. Et il est encore plus salaud que le vrai, je tiens à le dire. Et le fumet du pâté est très fin, pour qui sait l'apprécier).
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Yue D. Aquila
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MessageSujet: Re: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyMer 21 Sep 2011 - 22:53

Validé rang 3! Par contre, tu veux Wado Ichimonji ou l'autre?
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Farran H. Bismarck
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Farran H. Bismarck


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MessageSujet: Re: [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger !   [M'ci pour la validation ^^] C'est chiant de se lever... C'est chiant de respirer... C'est chiant de vivre... J'aurais tellement voulu être un cheeseburger ! EmptyMer 21 Sep 2011 - 23:15

Merci bien. Va pour le Wadô alors.

Bon, 'scusez moi, je dois aller chercher un sandwich ou je vais dépérir.
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