Adams Grant ( terminé ! )1/2 en validation

◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]

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Depuis toujours, Adams est le chanceux garçon au physique de rêve. Celui, qui a toujours la vie facile. Il porte de beaux cheveux sombres, bien laver avec soin et toujours fraichement rasé, les femmes et les Okamas se retournent souvent à son passage, signe de son élégance et distinction incroyable, s’en ai parfois même étrange, un attribut qui en ravirait plus d’un pour se qui touche aux femmes, mais qui n’est pas des plus intéressants compte tenu de son choix de vie, censé rester dans la discrétion et la voie du sacrifice. Peu importe, il est prêt à tout pour obtenir le fruit de ses efforts.

Par le passé, il était toujours vêtu d’un style datent du XVIIIe siècle, mais aujourd’hui, devenue pirate, il porte un large chemisier au col relever, d’une couleur rayée rouge et orange, fini les habits de moine dans le style de toge ou autres, il porte aussi des pantalons sombres avec un certain gout pour la liberté, car le tissu utiliser à leur confection leur donne une impression d’être trop grand ou d’avoir trop de tissu, mais n’auriez vous pas fait la même chose ayant porté une jupe toute votre enfance?

Son oreille gauche dispose d’une boucle d’oreille fessant référence à un héros disparut, l’éternelle Zoro, le second du légendaire Luffy. L’épéiste de renommé mondiale portait en réalité trois boucles d’oreille dans se style, mais la sienne lui viens malheureusement d’un marchant itinérant, elle n’a peut-être aucune valeur aux yeux d’un bijoutier, mais pour lui c’est une façon de démontrer la volonté et le respect qu’il éprouve pour cette idole.

Tout près de cet hommage argenté, très peu sont ceux qui ne remarqueront pas ses trois cicatrices, chacune indépendante et bien définies. Deux d’être elles ont été faites après le premier combat du jeune garçon, il s’était bagarré dans une ruelle et une fois revenu à la maison, le prêtre responsable l’avait vue pleurer, en guise de châtiment pour cet acte inapproprié qu’est la violence gratuite, il lui avait infligé deux marques représentant une croix et lui avait dit que ses prochaines larmes seraient éponger par la croix de dieux. La dernière cicatrice a été portée par Adams lui-même la journée, où il a quitté l’église, façon de renier la religion? Bien sûr que non c’était tout simplement par pur respect envers dieux, car pour lui, enfant élever par des sœurs religieuses, il était tout simplement impossible de sortir avec une croix au visage s’il sortait pour devenir pirate.

Le jeune homme fier de sa personne est dans la force de l’âge. Il dispose, bien dissimuler sous ces vêtements, une musculature impressionnante, ce n’est pas un géant ou un homme qui ferait du culturisme, mais un corps bien défini et sans excès de poids, toute l’apparence est importante pour le Casanova. Des muscles puissants sans prendre trop de place, se mélange avec une grande agilité et endurance développer à courir sur des terrains plus que peu communs, tels que des toits de maisons ou encore arpenter des égouts sombres et crasseux. Adams aurait pu faire un bon styliste, mais la religion aura vite pris une très grande place dans sa vie, il sera rare de le voir se promener avec des vêtements de deux styles différents ou qui ensemble feraient signe de mauvais gout. Préfèrent les vêtements voyants et de bonnes qualités à tout le reste.

L’attitude du jeune garçon est bien spéciale, ayant bénéficié d’une éducation bien précise visant à faire de lui un futur prêtre, son visage est toujours rempli de joie de vivre, il est vrai que comme tout le monde il peu se mettre en colère et altérer les trais fin de son visage, mais en cas contraire un air serein voir plus que calme repose sur le masque permanent du pirate. Sur ce masque, en plus de quelques autres signes distinctifs, on peut trouver de grands yeux symétriques au regard d’émeraude, des pierres perçantes rappelant ceux d’un animal traquant sa proie.

À sa ceinture, repose une bourse contenant ses quelques pièces, mais aussi quelques petites croix d’or, offertes par l’église lors de son départ, celle si en plus de la chaine qu’il porte en permanence au cou servirons à prouver la protection divine et le rang sociaux du jeune homme en cas de besoin, mais il ne compte pas profiter de l’avantage que fourni la religion et c’est par pure compassion qu’il aura gardé ces artéfacts religieux en sa procession. En plus de sa petite bourse de cuir noir, se trouve une dague insérer de biais dans un petit fourreau, sous les plies de sa longue chemise,il dispose aussi d’un dernier cadeau de l’église, offerte lors de son départ avec les petites croix dorées par un moine, un sabre peu conventionnel, au manche plaqué d’or, une lame rigide de très bonne qualité encore une fois pourvue du symbole de la religion, un double manche en cuir séparer par deux petites sphères dorées constitue ça poignée, sa garde représente l’aile droite du plus grand de tous les anges et en son centre on retrouve une petite pierre précieuse à l’allure bleuâtre, presque mauve celle si bien en vue, est inséré dans son compartiment qui frôlant la cuisse gauche du croyant. Elle attirera grandement les regards des plus connaisseurs, car même si cette arme n’est pas répertoriée comme étant l’une des meilleures, le moine qui en aura fait cadeau précisera bien qu’elle est l’unique exemplaire, un mystère règne sur cette lame extraordinaire, mais Adams devra percer ce mystère au long de son aventure. Comme seul autre bagage, il ne dispose que d’un sac toujours de cuir noir rempli de parchemin contenant les paroles saintes.

D’un caractère plutôt enjoué, Adams connaît les règles d’étiquettes et en profite au maximum, pour faire la court à de jolies demoiselles, quand personne ne regarde ou encore obtenir des renseignements de la part des hommes les plus durs, rien ne lui résiste. Son tempérament amical développer au sein d’une église en fait majoritairement rire plus d’un et lui facilite grandement la vie pour se qui en est de se faire des amis ou une bonne réputation. Cette bonne réputation l’aide grandement à camoufler sa double personnalité ou identité un peu plus sombre, mais la compassion, l’écoute et la foi, son de vraie qualité chez lui et il sera toujours réellement sincère, l’aide de son prochain est un acte qu’il a bien sûr appris à réaliser dans sa jeunesse encore une fois dans l’église source de sa survie.

Quand le danger ne le guette pas, il sera l’un des plus grands fêtards, même si c’est contradictoire avec la religion une fois qu’il eut gouté au plaisir interdit, rien n’est encore venu à bout de lui, il est toujours près à faire la fête même si ces actes représentent des pêcher grave, il ne porte d’importance aux écrits divins que quand ceux si son bénéficiaire pour lui. Il suggèrera souvent l’idée d’une petite fête ou l’alcool coulera avec abondance, une boisson forte qu’il adore ingurgiter en quantités incroyables, contrairement à son métier ou les femmes et les joies corporelles son interdite, le vise aura eu raison de lui à de nombreuses reprises.

Aiment mieux être seul pour l’exercice de ces fonctions, Adams ne déteste pas les autres, mais adore se promener sans compagnie dans des ruelles sombres, la vive sensation du danger imminent ou de la chair de poule sur sa peau le ravit au plus haut point. Le danger étant comme une deuxième nature pour lui, il sera donc toujours en quête de sensation forte et d’aventure, privé trop longtemps de ces sensations, il est vraiment décidé à vivre une grande aventure sans fin.

Le plus grand défaut d’Adams réside dans sa stupidité légendaire, car un moment, il peut être l’un des plus fins stratèges, le moment d’après, il peut se promener au beau milieu d’une armée ennemie en leur disant qu’il est leur adversaire, cette malheureuse attitude l’apportera souvent dans des situations pas croyables voir inimaginable. L’effet de surprise ne fait donc pas parti de son vocabulaire, au contraire des brigands ou autres personnages néfastes aux yeux de la marine, ou ceux qui préfèrerait vivre dans l’ombre pour monter en puissance, lui préférera faire tout un spectacle avec ça monté dans l’histoire. Le vol et le mensonge font malheureusement aussi partie de sa personnalité, bien qu’un nombre incalculable de personnes ait essayé de le redresser, son petit coter rebelle aura toujours réussi à garder la tête hors de l’eau.

• L’enfance - l’abandon d’un ange par un pirate

Adams Grant est le nom qui a été assigné à un jeune garçon, un enfant trouver aux portes d’une église alors qu’il venait à peine de naître. Heureusement pour lui, il fut tout de suite recueilli par la religieuse qui l’a trouvé (Sainte-Anne) c’était son nom et contrairement à toutes les histoires ou les parents abandonne leur enfant quelque part, le père aura fait preuve d’un peu plus d’amour envers son fils, selon les dire de la sœur qui l’aurait trouver, le géniteur aurait attendu que l’enfant soit recueilli avant de partir.

La mère décédée à la naissance du jeune Adams avait plongé le père dans un état de tristesse incroyable, mais l’homme était capitaine d’un équipage de pirate et voulait que son fils ait droit d’avoir une vie normale et c’est pour cette raison qu’il a abandonné son fils avant de repartir vers de nouvelles aventures.

La religieuse accepta de recueillir le nouveau-né, et ce sans hésitation, après tout dieu aimait chacun de ses fils de la même façon et la religieuse lui laissa même le prénom nom de famille original attribuer par le père malgré les tragiques évènements. L’enfant grandit donc dans l’église sous la responsabilité de la croyante, il apprit toutes les prières et toutes les cérémonies par cœur sans en avoir vraiment envie, mais celle si lui assurait un couvert et un toit, la clémente femme a même diviser la maigre pièce lui servant d’appartement, pour ne pas mettre l’enfant à la rue, elle devint donc en quelque sorte, une mère adoptive.
Pendant plusieurs années, il fut forcé d’analyser des écrits datant de divers siècles passés racontant de grands évènements. Le jeune Adams apprit donc à lire et écrire d’anciennes langues probablement toutes oublier de nos jours. La lecture et l’étude n’étaient pas les seules choses à son horaire et heureusement pour lui, car sinon il n’aurait jamais quitté l’église, parfois de corvées de lavage ou même de récolte, il disposait toujours d’un horaire chargé, mais l’activité qu’il préférait se produisait à chaque soir après le souper, l’entraînement aux armes et au corps à corps afin de purifier le corps, dans l’effort et le surpassement de soi. Avec l’aide de grand moine, Adams appris rapidement les bases des arts martiaux, avec eux il apprenait habituellement à déséquilibre, bloquer et riposter à n’importe quel technique corporel. Une fois les bases plus qu’apprise par l’enfant, fou de volonté et de potentiel, les maîtres lui enseignèrent peu à peu des techniques plus durs et plus dangereux tels que désarmer un individu à main nue.

Un peu plus vieux, le jeune commençait à ressembler à un homme, le caractère de l’adolescent aussi avait mûri et il s’était forgé une véritable personnalité bien propre à lui-même. Un peu plus téméraire que par le passé, les situations délicates commençaient à subvenir avec une certaine redondance. Pourquoi n’allait-il pas à l’école comme les autres enfants ou pourquoi n’était-il pas forcé de travailler pour subvenir à ces besoins? Contrairement aux autres, il devait simplement assister à de multiples sermons tous plus redondants les uns que les autres. Les querelles avec les jeunes de la vile ne cessaient jamais, le manque de parent et la vie à l’église constituait un vrai arsenal d’injure facile à créé pour de jeunes enfants en manque d’amusement, mais le problème réside bien la, les autres enfants qui constamment se moquait de lui ne savaient pas que chaque soir, il s’entraînait auprès d’expert pour devenir plus fort. Les gens de l’église ne toléraient pas ces situations malheureuses, mais comprenaient la douleur de leur recrue et pour cette raison, l’entraînement continua sous dernière condition, qu’un combat de plus et il serait banni de la pratique du combat. Le reste de son enfance se déroula sans problème et sans anomalie, il était presque un homme et il n’avait plus droit à l’erreur. Les autres enfants n’ont jamais vraiment arrêté de s’en prendre à lui, mais il détournait sa colère dans la fuite, domaine ou il devin l’un des plus habiles, peu importe le moyen ou le subterfuge, s’en était presque rendu un jeu pour lui, inventer de nouvelle cachette ou de nouveau parcourt et toute cette activité physique lui permettait de bien bouger pour être dans une force maximale, ses progrès au combat ne cessaient jamais d’augmenter et tout le monde au sein de l’église était fier de lui.

Toucher par l’âge adulte, c'est-à-dire dix-huit ans, Adams était mieux que jamais, sa vie se déroulait à la perfection, mais le vice et les charmes du plaisir s’approchaient tranquillement de lui. Par une belle soirée ou il occupait le confessionnal à la place du prêtre d’origine, une jolie jeune femme avec de magnifiques cheveux dorés vint s’asseoir près de lui, le doux parfum qu’elle dégageait ravivait les sens du jeune homme qui tombât raide sou le charme de la demoiselle, séparer par un minuscule grillage laissant entrapercevoir quelques formes et couleur. Adams tentait de cacher son excitation en restant calme. Elle se mit soudain à lui parler de sa douce voix cristalline, lui racontant sa journée dans les moindres détails, le jeune homme ne fessait que l’écouter comme il écoutait la plus douce des musique, quand elle le surprit en lui révélant qu’elle ne venait jamais se confesser, mais qu’à la vue d’Adams elle s’était empressée d’y bondir, gêner par la situation elle allait partir quand il ouvrit le grillage et lui dit doucement << non reste, parle-moi encore. >> Elle s’appelait élise et durant une heure, elle lui parla de sa journée, quand vint la fin de la séance, le prêtre était de retour, mais elle tenait vraiment à lui parler plus longtemps et lui donna donc rendez-vous à minuit derrière l’église, il accepta et succomba à la tentation. À minuit moins dix, il attendait la femme près d’une fontaine, des gens se rendraient compte de sa disparition, mais après tout il ne fessait qu’aider une croyante.

Élise arriva à l’heure convenue et ils commencèrent à parler, la jeune fille était hors d’elle, car elle avait surpris son petit copain avec deux autres filles pour la seule et unique raison qu’elle ne voulait pas plus que de l’amitié avant le mariage, une vraie pratiquante dévouer se fessait trahir par un homme ingrat et stupide, Adams du réconforté la jeune fille, mais elle était vraiment dans une passe difficile, avec beaucoup d’influence elle réussit à faire sortir Adams de son territoire pour aller faire une promenade dans les ruelles de la ville. Après quelques heures de conversation, la jeune fille disait se sentir mieux, mais elle ne voulait pas rentrer, elle désirait aller dans une petite boutique qui en fait se retrouvait être un bar. N’ayant pas droit de consommer, le jeune homme refusait les verres offerts par élise, mais au bout d’une vingtaine de minutes sous l’acclamation de tous les gens présents, il but pour la première fois de sa vie, se qu’on appelle du saké. Au bout de la nuit et au début du jour suivant, Adams ressortait les poches vides du bar en compagnie d’Élise la jolie blonde qu’il venait d’embrasser, sur une table, le sol et accoter contre une porte. Il disait être l’homme le plus heureux du monde, mais ça ne pouvait pas toujours bien aller, une fois sortie la blonde poussa l’homme affaibli par l’alcool, il se releva avec difficulté pour se faire planter un poignard dans le ventre juste en dessous des côtes. La jolie femme était en réalité une prostituer engager par une dizaine de garçons, ceux-là mêmes qu’il avait déjà remis à leur place un nombre incalculable de fois par le passer, que se soit par les poings ou par la fuite, il les avait humiliés un nombre incalculable de fois et son châtiment arrivait, dieux en avait voulu ainsi.

Adams se réveilla avec un corps tout endolori, il venait d’encaisser la plus grande perte de sa vie, d’un coter il avait la gueule de bois du au mélange de plusieurs alcools assez puissants, il y avait aussi tout les bleus dus au nombreux coup de pied réparti sur son corps et enfin le coup de poignard dans son ventre. C’était son premier réveil depuis le guet-apens, une pièce bizarre avec de rugueux murs de pierre, de faibles bougies et un vieil homme, sa vision était flou du au trop grand effort, le jeune homme se recouchât en voulant demander à son sauveur qui il était, mais la fatigue gagna une bataille de plus. Entre le premier et deuxième réveil avec de la conscience, le croyant c’était réveiller une dizaine de fois sans jamais avoir la force de se relever définitivement, la douleur se dissipait tranquillement et sa vision n’était plus flou, l’homme était toujours présent à ces coté. Il s’était occupé du jeune homme à la perfection, des bandages propres de l’eau de la nourriture, il avait tout préparé. Le vieillard se retourna enfin et engagea une brève conversation avec Adams qui eut du mal à le reconnaître au début.

- Fais attention, tu es encore sous l’effet de mes plantes. Ton corps va avoir de la difficulté à réagir correctement.
- Merci, dieux vous sera reconnaissant de m’avoir aider. Combien de temps c’est écoulé?
- Depuis le couteau, deux jours. La lame était recouverte d’une toxine paralysante.
- Quel est votre nom?
- Je me nomme Duby, ancien médecin sur un navire. Je suis présentement à la retraite. Toi?
- Je suis Adams Grant, religieux fils de dieux.
- Alors, repose-toi bien, Adams Grant fils de dieux.

Le vieux Duby retourna préparer ces mélanges en laissant de nouveau le jeune homme seul. Une fois complètement guéri, Adams devrait retourner à l’église, il prit bien soin je remercier le vieillard en s’assurent qu’il ne pouvait rien faire pour le remercier, il apprit de lui que le navire dont il parlait était en fait un navire-pirate sous le commandement d’un grand homme. Cette donnée de plus le surpris au plus haut point, car pour lui être pirate c’était être diabolique, mais en fait ça ne voulait pas plus dire diabolique qu’autres choses. Le vieil homme appris donc au croyant que les pirates n’étaient que des hommes normaux, avec plus de volonté et d’ambition, leur but étant souvent bien différent on ne savait jamais sur se qu’on tomberait avec eux.

Toujours étonner des dires de l’ancêtre c’est avec respect qu’il rompit la conversation pour partir à toute hâte vers le lieu sacré. Une fois sur place il passa l’arche pour pénétrer la bâtisse, le prêtre supérieur ainsi qu’Anne l’équivalent de sa mère adoptive l’attendait. Le jeune aurait bien aimé leur raconter la situation mes les mêmes brigands qui l’avait souler et attaquer quelques jours plutôt était déjà passer raconter leur version, l’accord était bien clair et Adams devrait tenir sa parole en arrêtant de se battre et de s’entrainer. L’injustice frappa le garçon encore plus fort que lors du complot, de toutes ses forces il criait ou s’engueulait avec le prêtre pour défendre son parti, si bien qu’il appela deux moines en suspend, ils étaient tous deux les plus forts maitres du jeune garçon et était présent au cas ou la situation ne venait qu’à se détériorer, ils le prirent chacun par un bras le forçant à s’agenouiller et le prêtre s’avança avec un couteau de cérémonie dont la lame était rougie par le feu de la punition. Le prêtre malheureux de devoir en arriver la appliqua la lame brulante sur la peau du jeune garçon pour y incruster le symbole de la religion. Adams criait de toutes ces forces et on aurait pu croire en un exorcisme, même Anne ne fit rien, elle laissait tranquillement les larmes couler comme des rivières sur ces joues en essayant de détourner le regard de son pseudo fils. Par la suite les deux moines raccompagnèrent le jeune garçon dans sont appartement en compagnie d’Anne et les laissai seul en espérant que la femme serait assez forte pour lui faire comprendre la graviter de la situation.

Frustrer par la situation, il était assis sur son lit à faire provision des écrits saints les plus importants en sa procession, Anne le regardait faire sans dire un mot, elle était assez intelligente pour comprendre qu’une fois de plus la religion avait trahi l’un de ces plus fidèles servants. Son sac bien rempli de touts ses parchemins le jeune homme regardait maintenant ça mère, il la remercia pour tout en lui fessant bien comprendre qu’il partait, qu’elle n’y pouvait rien, qu’il deviendrait plus fort et qu’il reviendrait la délivrer de se donjon. Elle le prit tendrement dans ces bras en lui disant à quel point elle l’aimait puis soudain nerveuse, elle le pris par la main puis commença à le trainer de force en lui disant qu’elle savait par ou il partirait. Rendu dans les catacombes elle lui présenta un grand homme, forgeront de métier il l’avait déjà aperçu dans les environ. Anne lui parla un instant sans qu’Adams ne puisse comprendre puis lui fit signe d’approcher, elle lui tendit une bourse contenant de petites croix d’or tremper dans de l’eau bénite et une chaine qu’elle gardait toujours dans son cou, une chaine qu’il avait toujours trouvé magnifique, plaquer d’or et de petite pierre rouge. Se bijoux était le seul bien matériel de sa mère et elle venait de lui donner, des larmes de joie coulaient à sont tour sur ces joues. Le forgeron s’avança en lui montrant un paquet recouvert de tissu, il en déroula un morceau juste assez grand pour apercevoir le manche magnifique d’un sabre gravé par des symboles religieux. C’était le dernier cadeau qu’il recevait, il s’en équipa rapidement pour suivre sa mère dans les couloirs étroits des catacombes. Ils débouchaient tous deux sur le rivage d’une jolie plage abandonner où un vieux bateau était encré, sans dire un seul mot les deux personnes remplies d’amour et de compassion l’un envers l’autre se quittaient, c’était le triste au revoir sur son ancienne vie, maintenant il partait vers la grande aventure dont il rêvait. Il se dirait maintenant pirate, à la recherche de la liberté.

North Blue – Sibery Town – Le recrutement débute

Il y à quelques jours, j’ai égoïstement mangé un fruit du démon afin d’augmenter ma puissance personnelle, depuis, j’ai été banni de mon unité avec pour nouvelle mission ayant pour but de me fonder un nouvel équipage, qui prêtera serment auprès de la loi. J’ai donc décidé de prendre l’un des bateaux mis à ma disposition, un joli navire commander par quelque bleu, des moussaillons avec du potentiel mal utiliser, parmi eux il n’y avait encore personne pouvant me prêter main-forte pour un éventuel affront, un simple cuistot, un vigile et quelques autre pour s’occuper des voile et autre chose qui me dépassait grandement, une situation bien embarrassante pouvait subvenir n’importe quand et je devais donc remédier à la situation. Avec peu de jugement j’ordonnai à mon nouvel équipage de mettre les voiles vers une ile dont j’avais récemment entendu parler, Sibery Town un glacier dépourvu de végétation avec de probables petites colonies de personnes assez résistantes au froid, moi même j’étais avant assez sensible à la chaleur ambiante, mais probablement dut au fruit que j’avais avalé, je n’éprouvais plus cette sensibilité au froid. J’ignore encore le pouvoir que j’aie obtenu, tout ce que je sais c’était que je l’avais bel et bien mangé.

Jasperait trouver quelque membre pour mon équipage, en premier un homme capable de me divertir au moindre moment, un gars drôle avec des chansons et des tours de magie, un ingénieur assez bizarre disposant de multiples ressources militaire et navale, suivi d’une jolie fille bien foutu, celle-là était plus qu’importante, un homme poisson super puissant sous l’eau et puis probablement un autre utilisateur de fruit du démon pour diversifier un peu et rajouter un peu de puissance, pour le reste ça viendra.

Une fois le pied-à-terre, ou je devrai dire sur la glace, j’ordonnais au personnel de m’attendre sur le bateau, je n’avais pas besoin d’eux pour faire mon recrutement et puis ils n’arrêtaient pas de se plaindre de la température. Avec un simple manteau de plus, je partais donc vers l’inconnu en espérant ne pas me perdre sur cet immense morceau de glace. Après quelques minutes de marche à travers le fort vent de cette ile hivernale un instinct se réveilla en moi, j’avais envie d’aller plus vite, sur ce j’écoutais mon intuition et couru vers la douce senteur que je percevais au loin, un arôme de poisson, fraichement sorti de son habitat naturel. Avant même que je n’en prenne conscience, mes jambes munies d’une force nouvelle et revigorante m’avaient apporté directement à la bonne place, un petit village à l’allure accueillant parsemé d’igloo, de petites maisons faites de cubes de glace. Quelque personne ce promenait par si par la trainant parfois une petite barque ou divers objet, j’observais les gens effectuer leur besogne habituelle quand mes pansée furent déranger par de jeunes enfants qui criait.

- Un monstre! Aaaaaaaaa Au secours aider nous!

D’instinct je me retournai vivement pour scruter l’horizon, mais étrangement rien, de qui parlait-il ? En me retournant de nouveau vers le village je fus surpris d’apercevoir une dizaine de personnes toute de sexe masculin qui étrangement me fixait avec leurs lances d’os pointé sur moi, c’est précisément à se moment que je réalisai le pouvoir incroyable que je venais d’obtenir, mes mains ou plutôt mes pattes était poilu et noir ! Des griffes, une queue, mais j’étais devenue un chat géant?! En fait ce n’était pas tout à fait un chat, j’était devenue une panthère noir et ne voulant pas effrayer ces hommes je repris ma forme normale, la transformation n’était pas bien difficile, mais il suffisait de savoir que je pouvais le faire…

Aussitôt mon apparence revenue, je remarquais le visage des gens qui m’entourait, ils changeaient de plus en plus, passant de la crainte à la surprise, une fois plus alaise avec mon apparence normale je m’empressais de leur expliquer en leur montrant la preuve que j’appartenais bien à la Marine, ils comprirent vite et retournèrent à leur besogne sans même me répondre, un peuple vraiment bizarre.

J’étais de nouveau seul dans une contrée éloigner, aucune de mes expériences passées ne pouvait me donner le moindre indice sur la suite des événements. Vagabondant dans les environ du petit village de glace. Pour me donner des repères et faire un petit repérage des lieux, je découvris une boutique générale vendant de gros poissons frais, quelques crustacés plus ou moins communs ainsi que du matériel pour survivre à une expédition en mer. Plus haut dans la rue je découvris un vieux puis gelé, des bancs, mais qu’est-ce que je foutais dans un village aussi normal? Ayant perdu tout espoir envers cette contré aussi morte que froide, le jeune sergent commençait à marcher dans la direction opposer toujours sans agitation, l’air était lourd personne ne s’intéressait à lui et rien ne retenait son attention, après une dizaine de mètres plus loin Miro entendit un cri un hurlement désespérer émanant d’une femme, sur le coup le jeune homme ne fit que tendre l’oreille puis une petite lumière s’alluma dans son crâne, il représentait la loi et la justice!

D’un bond plus que surhumain, miro s’élança une fois de plus sous l’influence de la magie. Différente de sa première transformation, celle-ci n’était que partielle, il disposait encore de sa forme humaine à quelques différences près, beaucoup plus grand qu’à la normale son corps était aussi parsemé de poils, un duvet noir des plus sombre, ces membres étaient plus longs et plus puissants tout en gardant la facilité qu’il possédait même sous sa forme humaine. Une grande queue de fauve fouettant l’air dans son bond, maintenant sur le toit de l’une des maisonnettes de glace la panthère scrutait l’horizon et trouva sans difficulté la femme en détresse. Ses pieds maintenant pourvus de grandes griffes lui permettaient de bien tenir sur la surface glissante, son instinct le guidait, mais la maladresse et la puissance émanant de ce nouveau corps ne lui permettaient pas autant de liberté qu’il l’aurait voulu.

Rendu au coté de la femme en état de choc il rassembla les quelques renseignements suffisants à lui redonner espoir envers le petit monticule de glace aux beaux milieux de l’océan, un homme plein de rage avait menacer d’un couteau la pauvre femme qui ne fessait qu’être à la mauvaise place au mauvais moment. L’odeur de l’homme, très présente sur le corps de la jeune agressée facilitait la tâche à l’homme-animal, il puisa la force nécessaire dans ces jambes pour rebondir et de toit en toit il atteignit le brigand, un male dans la quarantaine, cheveux en bataille rattacher en une queue de cheval. Une grande cicatrice recouvrait son front. Il devait appartenir au village ou être un brigand de passage, mais avait l’air d’avoir quelques méfaits à son actif, le suspect venait retrouver deux autres hommes du même groupe d’âge, l’un d’eux était tatoué et l’autre fumait un mégot de cigarette.

Spoiler:

Trois hommes qui riait grossièrement, celui qui sans le savoir était poursuivi rapportait dans un sac, les effets personnels de la dame, tout fier de lui il montrait son butait aux deux autres. Quel personnage ignoble, vivre du malheur des autres, c’était une vie misérable et malhonnête! Toujours bien dissimuler Miro analysait ces proies, il avait bien la ferme intention de leur reprendre se qu’il venait de volé et d’arrêter ces bandits. Côté armes, le plus gros des trois disposait d’un katana tout rouiller à la ceinture, le grand à la cigarette tenait une grande lance dont la pointe semblait faite d’os et le tatoué avait en main un outil de jardinage servant à labourer la terre, il ne serait probablement donc pas difficile à mettre hors d’état de nuire.

Sautant toujours sous sa forme hybride, Miro s’élançait sur les trois hommes, au moment où il arrivait pour saisir le manche de ces deux armes il s’aperçut d’un petit détail qui le dérangeait un peu, ses ongles étaient remplacés par de grandes griffes l’obligeant à se battre avec ces poings. Heureusement pour l’homme bête ses nouvelles griffes étaient longues, semblait aussi dur que la pierre et coupante que ces lames, d’un coup vertical partant de bas en haut il introduit ces puissantes armes dans la chaire du gros brigand. Un gigantesque rugissement pour se donner la force dont il avait besoin lui suffit à propulser son adversaire quelques mètres plus loin, l’atterrissage fut vif et brutal. Maintenant face aux deux autres hommes apeurer par l’étrange créature, miro se dressa de tout son long pour surpasser le plus grand de ses ennemis d’environ une tête et demi, le combat serait facile même à un contre trois. Le plus petit au corps parsemé de tatouage partit vite en direction de son chef qui se tenait le ventre en gémissant, celui à la lance n’hésitât pas une seconde à pointer son arme en direction du fauve, le chef une fois relever criait des insultes à l’égard du Marine, le jeune lui offrit des pansements, mais il refusa d’un geste puissant contrôler par tout la fureur qui émanait de son être, depuis qu’il avait mangé son fruit le jeune soldat ressentait les émotions de ces semblable par l’odeur qu’ils dégageaient.

Dégainant son vieux sabre rouiller de son étui de bois l’homme furieux fonça les deux mains jointes sur le manche, le coup visait le cœur de Miro, mais celui-ci maintenant doté de sens et faculté surdéveloppés à comparer d’un humain normal évita avec faciliter l’attaque maladroite, sur un petit rire heureux il joua des pieds pour faire un jolie croche-pied qui avec l’aide d’une petite poussée dans le dos fit mordre la poussière à l’homme, ces deux compagnons complètement étonner par la tournure des événements se raire à leur tour sur l’homme au manteau blanc. Voulant éviter la situation plus que dangereuse miro s’accroupit un peu sur ses jambes pour bondir de nouveau quand il se fit agripper les chevilles par l’homme humilier une seconde plus tôt, dans un vrai étau il ne disposait pas assez de force pour trainer le gros dans son saut et décida de bloquer du mieux possible les deux attaques qui fonçais sur lui.

D’une main, il bloqua l’attaque la plus dangereuse et à sa grande surprise il n’eut pas besoin de plus de force, l’autre allait enfoncer son outil de jardinage dans ces côtes, un coup plutôt facile à éviter compte tenu de son agilité, il aurait réussi si au moment ou il allait esquiver il n’aurait pas reçu un grand coup de poing dans le dos. L’outil pour creuser la terre bien enfoncer entre deux des os de sa cage thoracique le fessaient maintenant voire flou, miro faillit s’écrouler sur le sol, mais pris son courage à deux mains pour repousser les deux assaillants, ceux si repousser à une distance d’environ un bon mètre. Le tout se passait extrêmement vite et le combat a un contre trois n’était pas vraiment ça spécialité, le jeune soldat se défit de l’emprise du gros brigand pour lui assener un coup de talon au visage, inconscient celui-là ne le dérangerait plus. Plus que deux maintenant, sans dire le moindre mot ou son le Marine serra ses dents de fauve pour retirer d’une seule main l’objet enfoncer dans sa chair, de l’autre main il déchirait son grand chandail noir et ne résista pas bien longtemps sous la force du monstre. Son grand corps parsemé de multiples cicatrices n’était pas dégoutant, mais rajoutait un effet effrayant des plus frappants, il donnait l’impression d’avoir servi de cobaye ou d’avoir été complètement découper en rondelle. Miro utilisa le fin tissu pour recouvrir sa blessure qui étrangement ne le fessait que peux souffrir. Une fois le pansement improviser bien en place, il cassa l’arme au manche de bois de ses mains, l’arme séparer en deux lui servirait de projectiles, ambidextre depuis fort longtemps la difficulté n’était pas dans le lancé ou la force qu’il devait mettre non plus, mais bien dans la précision de ses deux coups, il ne devait pas tuer ces adversaires, mais simplement les mettre hors d’état de nuire. Le plus grand des deux restant reçu le manche de bois directement dans le visage, la force utiliser le fit basculer vers l’arrière, l’homme fauve profita de l’effet de surprise qu’il venait de créé chez le tatouer pour courir dans sa direction et lui enfoncer le bout de métal déjà souiller de sang dans la cuisse gauche, laissant sa cible se tenir la jambe de douleur l’animal bondit sur le plus grand, le seul restant. Un grand coup de griffe lacérant la chaire de son torse lui fit perdre connaissance. Les trois ennemis sur le sol miro repris sa forme humaine, mauvaise idée, le froid frappait durement son torse dénudé du à la parte de son chandail, une chance qu’il lui restait son blouson couleur de neige, tranquillement afin de ne pas réactiver le saignement miro attachant les deux plus petits bandits quand un grand bruit sourd se fit entendre et raisonna dans tout son corps, tranquillement le Marine perdit ces forces et tomba sur ces genoux, en se retournant il aperçu le gros homme un pistolet à charge unique à la main.

Heureusement pour lui la balle ne s’était pas plantée dans sa tête ou son cœur, mais dans son épaule gauche, l’instinct animal en lui repris immédiatement le dessus à se moment précis et sous sa forme hybride, la bête se rendit tranquillement jusqu’à l’homme en grognant les yeux révulser sous l’effet de la folie, d’un coup il aurait pu arracher l’épaule au complet, mais résista à l’envie et lui cassa la clavicule de sa mâchoire puissante, cette fois il ne se relèverait pas.

De multiples efforts, de la sueur et quelques troubles de la vue plus loin, Miro était revenue dans la ville, le plus léger des trois hommes sur son épaule droite, les deux autres attacher ensemble se fessant trainer sur le sol, quelques traces de sang parsemaient la route immaculée qu’il avait empruntée jusqu’ici et au bout de ses moyens l’homme représentant la justice s’écroula devant une foule de villageois qui subjuguer devant le héros revenu avec les trois brigands et en plus, au bonheur de la femme agresser environ quarante-cinq minutes plus tôt tout les bien dérober était rendu avec l’homme maintenant inconscient laisser aux soins des inconnus.