Ciro Sergent
Profil Psy : Bon-Neutre Nombre de messages : 16 Fruit du Démon : Aucun
[Feuille de personnage] • Renommée: 0 • Wanted: 0 • Grade dans la Marine: /
| Sujet: Présentation de Ciro [100% - En attente de validation] Jeu 15 Mar 2012 - 19:03 | |
| - Présentation du joueur IRL - Prénom : Camil Age : 16 ans Homme/Femme/Okama : Homme Comment avez vous connu le forum : Par google Combien d'heures vous vous connectez par jour : Rarement en semaine, nettement plus les week-ends Tes Mangas préférés : Naruto Shippu', Death Note, OP Ton personnage préféré dans One Piece : Sanji Ce qui t'as motivé à venir : L'envie de créer de zéro un personnage voguant dans l'incroyable monde de OP Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Quelques faibles expériences mais je suis aussi là pour apprendre. Hobbys : Basket, NBA, mangas Autre(s) : / - Présentation du personnage - • Nom & Prenom : Ciro • Surnom (facultatif) :• Age : 22 ans • Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain • Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Marine • Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon-Neutre • Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Épéiste à une lame. • Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Aucun dans l'immédiat • Rêve(s)/But(s) du personnage :S'imposer comme un escrimeur particulièrement doué et avoir un impact au niveau de la justice mondiale. • Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] à mettre entre balises, vous trouverez ce code très facilement si vous lisez toutes les règles du forum où il se cache) : ◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]Ciro, jeune homme de 22 ans, est plutôt maigrichon pour son âge. En effet ne pesant que 75kg pour 1m78, il n’a pas l’air très costaud au premier abord. Ses larges cheveux bruns en bataille lui donnent l’allure d’un paysan venant tout juste de se réveiller. Malheureusement pour lui, ils sont impossibles à coiffer et à force d’essayer en vain, il a finit par abandonner. Au niveau de son visage, l’homme est banal : ni trop moche, ni trop beau. Il n’a pas de cicatrices et possède un nez dont la longueur est normale. Les seuls inconvénients sur un plan purement esthétique sont les deux valises qu’il porte sous ses yeux. Quelques poils sur le menton lui donnent encore l’aspect d’un adolescent dont la puberté ne serait pas arrivée à terme. Ciro porte une paire de boucles d’oreilles bleues ciels s’harmonisant parfaitement à son teint. Au niveau vestimentaire, il est habillé de façon très rural et simplet, une petite veste rouge bordeaux avec un tee-shirt blanc cassé en dessous. Un short noir se terminant au dessus des genoux et une paire de scandales, appelé également Geta, viennent parfaire le style du protagoniste. Une chose importante encore n’a pas été énoncée : le sabre qu’il porte en bandoulière grâce à un bout de tissu vert émeraude. La poignet de l’arme est d’une blancheur écarlate orné à ses extrémités d’un métal marron décrivant deux pointes. Le fourreau de l’arme est, quant à lui, des plus basiques. Il est brun avec des rayures plus foncées de la couleur. ◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]Il faut tout d'abord savoir que notre jeune adulte n'est absolument pas du genre chiant. Il se définit lui-même comme quelqu'un d'ouvert socialement, capable de discuter avec la première personne venue, capable de déconner quand il le faut, mais aussi capable de garder son calme (heureusement) quand la situation l'impose. Mis à part cet aspect assez imposant de sa personnalité, il vous sera possible de le voir dépenser son argent à tout-va. C'est vrai, l'argent est fait pour être dépensé et pour profiter non ? Pourquoi s'en priver ? Avec ses coéquipiers et ses amis, Ciro n'est pas du genre à les laisser dans la merde et tient énormément à la solidarité entre êtres humains (et vivants) qu'il qualifie lui-même comme « valeur maîtresse de l'humanité ». Faut dire que cet homme est un grand philosophe dans l'âme, préférant une bonne séance de méditation sur le sens de la vie à un combat acharné : ce n'est pas trop le genre à se battre pour un rien. Néanmoins, quand il y va, il charbonne dur. Son courage et sa volonté sont inégalables devant l'ennemi même si sa maladresse l'handicape assez souvent... Comme énoncé précédemment, Ciro est plutôt du genre à méditer si bien qu'au fil de ses réflexions, il a pu créer sa doctrine inspirée sur de nombreuses autres. A son sens, la Justice permet d'unir les hommes entre eux et pour ce faire, il faut que la Justice soit équitable envers tous, mais surtout, que la Marine et les forbans, pirates et autres hommes opposés à ces idéaux de Justice se luttent une lutte interminable. En effet, il est essentiel d'assurer un combat sans fin entre quelques hommes pour garder la paix dans quelques contrées. Ca peut sembler fou, mais si une des forces et avantagé ou handicapé, le monde plongera dans le chaos comme ça a déjà été le cas.◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]I. Une enfance des plus difficiles - Laissez-moi ! s’écria Ciro lorsque deux petits enfants âgés à peine de neuf ans chacun l’empoignèrent. Il n’eut pas le temps de protester de nouveau, le gamin aux cheveux blonds venait d’envoyer son poing droit en plein dans le nez de Ciro.
- Si tu ne nous ramènes pas l’argent demain, ça te fera encore plus mal, compris ?! expliqua d’une voix lente et posée l’autre bambin, brun celui-ci avant de tourner les talons avec son ami et de quitter notre victime.
C’était comme ça depuis plus de deux semaines. A la sortie de l’école, Ciro était la cible des principaux gredins en quête d’argent. Jusqu’à maintenant, il avait toujours su éviter les coups avec des promesses futiles mais cette fois-ci, les deux voyous ont perdus patience. Résultat, ses deux narines ruisselait de sang sur le pavé au sol. Baissant la tête le jeune garçon entreprit le chemin de sa maison. Comment allait-il se justifier auprès de ses parents ? Il n’y a pas de doute, si jamais ils l’apprenaient, ça allait faire du grabuge inutilement. De nature assez téméraire, son père possédait sa petite boulangerie qu’il tenait avec sa femme et à laquelle il souhaitait un grand avenir dans les mains du protagoniste lors du lègue de celle-ci. Seulement, le bambin ne l’entendait pas de cette oreille et refusait catégoriquement de vivre la vie promit par ses parents, si bien, qu’il aspirait à une liberté totale. Il rêvait de prendre la mer, de voguer sur les vagues, d’affronter des tempêtes et de recevoir sur sa peau les rayons chauds du Soleil au zénith. Malheureusement, il n’avait jamais eu le courage d’avouer son ambition à ses géniteurs et à dire vrai, ce dernier détestait la violence, or pour survivre, et il l’avait appris à ses tords, il fallait être le plus fort ou du moins savoir se battre. Autant dire qu’il était très mal parti. Quelques minutes plus tard, il poussa avec anxiété la porte avec la paume de sa main droite. La boulangerie était encore ouverte et sa mère comptait rapidement la monnaie derrière le comptoir. Dès qu’elle vue son bébé avec du sang séché sur son tee-shirt et la partie inférieure de son visage, elle se précipita vers lui et s’agenouilla rapidement afin de regarder l’importance de la blessure. Après un piètre diagnostic, le nez était intact, pas de quoi s’en faire. Elle alla chercher un petit chiffon ainsi qu’un bol d’eau et commença le nettoyage de la face de son garçon tout en le questionnant sur ses agresseurs. Ciro était décidé, il ne parlerait pas et répondit aux nombreuses questions de sa mère par un long silence. Après un sermon interminable et une fois le visage de la pleurnicheuse nettoyé, elle lui annonça qu’elle aurait une discussion avec son père. Tandis qu’il ne l’écoutait qu’à moitié, il se dirigea vers l’arrière boutique où se situait sa chambre avant de s’écrouler sur son lit.
La vie à Shell Town n’était vraiment pas facile…
II. La vie du garçon change radicalement
Le lendemain matin, alors que Ciro se dirigeait vers la sortie de la boulangerie, son père arriva par derrière et posa lentement sa main droite sur l’épaule de son fils. Il lui expliqua rapidement que son manque de courage était naturel pour son âge mais qu’il lui fallait apprendre, apprendre à se défendre avant de pouvoir vivre au mieux durant son existence. C’est ainsi que quelques minutes plus tard les deux se retrouvèrent devant l’école d’escrime de Maître Iramoto, la seule de tout Shell Town. Une longue cour s’ouvrait face aux deux hommes. Des roses blanches, roses et rouge jonchaient les extrémités droites et gauches de la cour. Un dojo construit exclusivement en bois se tenait au bout de l’allée. La porte de ce lieu était ouverte et un grand homme avec un kimono se tenait debout, bien droit, en regardant au loin. Son regard semblait se poser sur le père et son fils mais ce dernier se rendit compte que le maître regardait en réalité les hautes tours de la ville moderne. Cet Eden contrastait particulièrement avec l’ambiance générale de la ville où il n’y avait aucune verdure, cette école, elle, était fleurie et vous pouviez ressentir une partie de la nature vous pénétrer. Bien sur, un tel havre de paix était très souvent mal vu par un grand nombre d’habitants et c’est pourquoi Iramoto-sensei vivait exilé de la société. Le père serra vigoureusement la main de l’homme devant lui et lui expliqua sa situation ainsi que celle de son fils. Ciro, lors de cette longue entrevue, fixa son regard sur l’épée à la ceinture de son futur enseignant. Il fut subjugué par cette arme de qualité, d’un blanc pure. Le manche de celle-ci était d’un noir tiré tout droit des ténèbres. Ce contraste fut majestueux, divin. L’art à l’état pur. Alors que les deux adultes avait fini leur conversation, Ciro revint rapidement à la réalité lorsque son père lui tapota son épaule gauche l’incitant à entrer dans le dojo. Ses derniers mots fut les suivants :
- Devient un homme, mon fils et prend soin de toi.
III. Apprentissage avec le maître Iramoto
Depuis ce jour béni, Ciro commença son apprentissage au maniement d’un sabre. Il n’était pas le plus doué de sa classe mais de très loin le plus feignant. En effet, c’était le seul à rechigner lorsque les affrontements avec des bouts de bois avaient lieu. A son sens, la violence n’avait pas de réel intérêt. Un matin lorsque toute la classe dû faire cette dite leçon, notre jeune protagoniste resta encore une fois dans son coin favori, en dehors des tatamis. Iramoto-sensei ayant remarqué cet isolement, s’approcha de l’enfant et posa un genou au sol.
- Pourquoi ne te bats-tu pas Ciro ?
- Bof… ce n’est pas trop pour moi la bagarre, grommela l’enfant d’une voix faible.
- Tu ne souhaites pas défendre les personnes que tu aimes ?
- Elles sont capables de se défendre seules.
- Saches quelque chose Ciro, tu dois défendre tes amis, ta famille afin de respecter la parité de la nature. Je vais t’expliquer quelque chose : Vois-tu, dans ce monde, tous les hommes ont un but, un rêve auquel ils aspirent. Qu’ils soient mauvais ou bons, ils influent sur l’équilibre mondial. Sur cette Terre, il y aura toujours deux camps possibles sans réel « bien » ou « mal », simplement des points de vus différents. Seulement, il faut respecter cet équilibre et veiller à garder les mêmes forces de part et d’autres des camps. Il y a quelques années, un pirate devenu très fort à bouleversé l’ordre mondial. Cela a provoqué un chaos sans précédent avec des centaines et des milliers de morts. Actuellement, le calme est revenu mais la Marine a encore un handicap sur les révolutionnaires et les pirates. Saches cela et fais en conséquence.
- Toute cette histoire… C’était incroyable ! s’exclama Ciro
Après ce long discours, maître Iramoto tendit sa main droite en direction de l’enfant et l’aida à se relever. Il l’a saisit et se dirigea en direction d’un des bouts de bois encore au sol sans propriétaire.
Dès lors, Ciro ne cessa de s’entrainer difficilement chaque jour afin de pouvoir peser dans la balance de « l’ordre mondial ».
IV. Onze ans plus tard...
Onze années s’étaient écoulées. Onze longues années… Ciro avait complètement changé. Il avait à présent 20 ans et pouvait s’engager dans la Marine. Ayant été demandé des informations sur les éventuelles intégrations à la base de l’île, il avait rencontré un sergent avec lequel il avait sympathisé. Ce dernier lui avait indiqué toutes les formalités à remplir et à rendre à la base afin de pouvoir rentrer dans les forces de la base. C’était une matinée de pluie comme il en afflue sur Shell Town. Tandis que notre jeune héros devenu vaillant et fort préparait un sac contenant toutes ses affaires dans une arrière-salle du dojo, Iramoto-sensei entra dans sa chambre et le regarda avec un léger sourire en coin. Le visage du maître avait très peu vieillit et ses yeux fixait à présent l’élève qu’il avait formé, l’élève qui avait réussit à le dépasser. Durant toutes ces années d’entrainement, il avait appris toutes les bases du combat à l’épée à son apprenti. Celui-ci, progressant à vue d’œil était parvenu à maîtriser ces techniques et avait même développé son propre style de combat : un combat basé sur l'agilité des mouvements et la souplesse. Mais tout ces grands gestes exécutés en duel n'étaient pas fait pour faire joli, loin de là. Ciro l’avait fait, il avait surpassé son mentor. Une fois le rangement terminé, il se retourna vers son maître et lui sourit largement en lui exposant ses dents blanches. Les mots n’étaient pas assez forts pour exprimer ce qu’il ressentait et il savait qu’il valait mieux ne rien dire. Des adieux auraient été de trop. Il mit son sac à son dos et passa lentement à côté d’Iramoto puis sortit du dojo et se dirigea vers la sortie de la cour. D’anciens souvenirs ressurgirent à ses yeux : les jeux entrent élèves, les combats, les rires, les pleures. Malheureusement, tout ça était fini, il lui fallait prendre son envol. Il ne lança pas un seul regard en arrière et s’engagea sur le trottoir en direction de la base Marine. Le jeune protagoniste eut une soudaine pensée pour ses parents et se remémora une éprouvante situation à laquelle il du faire face : la révélation de son projet d’avenir à ses parents. Seigneur, qu’est-ce fut dur pour lui lorsqu’il prononça la fameuse phrase qui résonnait comme le signal d’assaut d’une bataille. « Papa, Maman, je veux être un officier de la Marine ». A l’écoute de ces syllabes, ses deux parents le regardèrent droit dans les yeux avant de se lancer dans de futiles monologues. Mais la décision de Ciro était prise, il réalisera son rêve et maintiendra l’équilibre mondial. Plongé dans ses pensées, il avait déjà parcouru les ¾ du chemin. Le grand QG se faisait voir au loin entre deux immenses tours. On pouvait apercevoir les lettres composant le mot M-A-R-I-N-E en gros sur la façade du bâtiment. Un énorme drapeau relié au toit par un mat virevoltait dans les airs donnant vie à la mouette dessiné dessus. Ciro pénétra dans l’immeuble et se rendit directement vers l’accueil ou un très jeune soldat était occupé à trier quelques papiers. A présent, devant cet homme, notre jeune héros passa machinalement sa main droite dans ses cheveux en bataille avant de poser un petit papier sur le comptoir et d’engager la conversation :
- Bonjour, je viens intégrer la Marine. J’ai une lettre de recommandation du Sergent Yrota, dit-il d’une voix anormalement fébrile
- Bi…en, bégaya le jeune moussaillon avant de s’emparer du morceau de papier et de le lire attentivement. Ca ma..ma…marche.
Il ouvra rapidement un tiroir avec sa main droite et se saisit d’une clé à l’intérieur avant de la tendre à Ciro.
- Chambre 2..2..06. Un briefin…in…ing aura lieu demain…main..main matin. Ne soyez pas en re…re…retard.
Le jeune héros prit la clé et s’engagea dans un long couloir commençant à droite du guichet et qui donnait vers un escalier. Enfin ! Son périple commençait ! ...• Exemple de post RP : … Sauf que ce périple devint rapidement cauchemar. En effet, deux années sous les ordres de la Marine s’étaient écoulées et le seul combat que Ciro ait mené fut contre les tâches sur le carrelage avec comme seule arme un balai-frottoir. Autant dire que tous les rêves du jeune homme étaient encore très loin d’être accomplis. Un matin comme les autres commença. La sonnerie du QG retentit : c'était le réveil pour tout le monde. Ciro frotta rapidement ses deux yeux de ses grandes mains et sautilla hors de son lit. C'est reparti pour une journée de nettoyage. Il enfila ses vêtements et vérifia l'état de sa lame entreposée dans un coin de sa minuscule chambre. Il la tira avec sa main droite puis, avec minutie, la rangea. Elle était intacte. Notre jeune héros ou plutôt homme de ménage se dirigea vers la porte, sorti puis verrouilla la serrure de celle-ci grâce à une petite clé argentée. Il se dirigea ensuite vers le réfectoire où il avait le droit à un petit-déjeuner équilibré. Plusieurs hommes passèrent dans les mêmes couloirs que lui et se dirigèrent tous vers le même endroit. Les murs de ces corridors étaient sobres, d'un blanc cassé et délavé, sans motif ni ornements. Après deux ou trois croisements où Ciro avait pris à droite, puis à gauche, il poussa une des deux portes ballantes et pénétra dans le réfectoire avant de se diriger vers la file d'attente. La salle était assez grande et spacieuse. Munie d'une vue impeccable sur le reste de l'île, des tables étaient toutes très bien alignés de sortes qu'elles formaient un quadrillage. Quatre chaises maximum entouraient ces tables. Au fond à droite de la salle, on pouvait voir une longue file d'attente de plusieurs dizaines de marins attendant avec impatience qu'on leur sert leurs petits-déjeuners. Un grand homme avec un filet sur la tête faisait le service accompagné d'une longue louche en acier inoxydable. Lorsque ce fut le tour de Ciro, celui-ci salua brièvement le chef cuistot avant de demander le même repas que d'habitude : un verre de lait. Une fois le verre prit dans une main, il alla s'asseoir à une table où il n'y avait personne et regarda la ville avec rêverie. Le sergent Yrota vint s'asseoir à côté de lui tout en fixant d'un regard amical et amusé le verre porté au lèvres du protagoniste.
- Ciro, j’ai une grande nouvelle. Il est temps pour toi d’effectuer ta première mission. On a un vol à résoudre dans la ville, une vieille femme s’est fait volé son sac à main avec plusieurs objets de valeurs importantes dedans. Retrouve ce gars et ramène-le ici. Bon, je suis d’accord, ce n’est pas encore une grande quête mais il faut bien commencer par quelque chose, hein ?
- Ca me va Sergent, ça me va. Il ressemble à quoi votre bonhomme ?
- Il a une taille moyenne, un visage et des habits plutôt ordinaires.
Ciro regarda lentement Yrota avant de répliquer :
- Et euh… il y a d’autres indications sur lui ?
- Ouais, il vit s’est enfuit vers le quartier pauvre et il a une cicatrice à l’œil gauche, dit le sergent Yrota
- D’accord je m’y mets tout de suite sergent !
Après avoir engloutit rapidement son verre de lait, Ciro se leva d’un geste bref et courut vers la sortie du réfectoire. Direction : le quartier pauvre !
Dernière édition par Ciro le Dim 18 Mar 2012 - 15:42, édité 2 fois | |
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