Mateus "M.A.D" Archibald Demetrius {Terminé}

Prénom : Kévin
Age : 19
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum : TopSite
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Aléatoire
Tes Mangas préférés : One Piece
Ton personnage préféré dans One Piece : Trafalgar Law & Marco
Ce qui t'a motivé à venir : Je cherche une nouvelle expérience de rôle play One Piece…
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : 3 ans de Rôle Play sur un forum Fire Emblem & 2 ans sur un autre forum One Piece (toujours actif, je vais sur ma 3 ème année)
Hobbys : Jeux Videos, Cinéma, Lecture, Théâtre, Rôle Play, Philosophie …
Autre(s) :

- Présentation du personnage -

• Nom & Prenom :
Demetrius Archibald Mateus

• Surnom (facultatif) :
M.A.D

• Age :
26

• Race :
Humain

• Camp :
Pirate

• Orientation psychologique : Neutre-Neutre

• Métier/Spécialité : Archéologue (Spécialiste des Fruits du Démon) / Cuisinier (Glacier)

• Pouvoir demandé :
Hoo Hoo No Mie (Zoan légendaire) : permet de se transformer en Phénix, ou en forme Hybride. (Niveau 9)

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Aucun

• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] :


◘ Description Physique :

Ah ah ! Mateus Archibald Demetrius, dit le M.A.D un sacré personnage haut en couleur, non je ne dis pas sa pour la couleur de sa peau voyez plutôt :

Mateus est un homme de taille raisonnable 1m 70… oui bon petite taille (sans conter sa coupe de cheveux, je vous vois déjà venir) très exactement, oui nous avons mis la main sur son carnet de santé, plutôt bien proportionné musclé ni trop ni pas assez. Il a la particularité d’être noir mais est ce vraiment une particularité dans ce monde qui est empli d’homme poisson aux couleurs diverses, de géant, de long bras, d’humain ect… Il n’est pas d’une couleur noir telle une merguez qu’on aurait oubliée sur la grille de barbecue mais plutôt une jolie couleur chocolat au lait.
Le visage de Mateus ne s’oublie pas, une barbe plus ou moins bien taillé selon son humeur qui remonte jusque sous le nez, des lèvres pulpeuses entouré de cette barbe… un nez assez fin pour une personne avec de telles origines, je ne vous parlerais pas de ses yeux perpétuellement cacher derrière des lunettes de soleil… bon aller ok un petit peu. Ceux qui disent avoir vu les yeux de Mateus sont mort… non sans déconner c’est tout ce que je peux vous dire sur ces parties de son corps qui servent à voir… Bon et bien niveau visage je pense que l’on peut dire que l’on a fait le tour hormis peut être les oreilles qui sont sommes toutes banales bien qu’il porte un diamant sur l’oreille droite…

Ses bras son parsemé de tatouage aux significations toutes plus délirantes les unes que les autres et si ont essayait de trouver une harmonie dans ces diverses explications on y verrais que dalle mes amis… Certainement que Mateus saurait vous expliquer mais même la je ne suis pas sur que vous comprendriez…

Il est temps de parler fringues, oh qu’est ce qu’il aime sa les fringues ce petit Mateus… partons d’en bas pour finir vers le haut si vous le voulez bien :
Archi comme parfois on le surnomme en faisant le rapprochement avec son deuxième prénom aime la sape et il le montre en tout premier lieu avec une paire de boots* en daim gris montante assortie d’un pantalon en toile ample d’un gris plus foncé tirant parfois sur le bleu… pour tenir un falzar comme celui la il faut une ceinture et monsieur ne fait pas dans la demi mesure prétextant l’originalité il a apposé un foulard* filigrané d’or (a la manière dont faisaient les samurai pour faire tenir leur futal)…

Le gaillard aime le luxe mais parfois la simplicité ne paye pas de mine c’est pourquoi il porte un simple t-shirt noir à motif ice-cream (ce qui est important pour Mateus) assez ample en guise de haut mais l’amour des vêtements reprenant le dessus notre petit gars à une veste fétiche… C’est une veste qu’il a lui même modifié faites en cuir d’éléphant très résistant elle serre à la fois d’accessoire de mode et d’armure légère. Cette veste est un véritable trésor lorsqu’il la acheté elle était un perfecto mais Mateus détestant cacher trop ses tatouages préféra lui couper les manches d’un gris bleuté cette veste est magnifique… elle possède aussi des liserais filigrané d’or tout comme le foulard-ceinture…

Parlant de foulard ce n’est pas fini car les accessoires d’Archi font partit intégrante de sa garde robe et il en porte quelques un :
Avant tout les lunettes qui cachent ses yeux - dont je vous avais tant parlé - une belle grosse paire de lunette de soleil noir qui ont en guise de touche fantaisie deux petits champignons le premier rouge sur la lunette droite et le second vert sur la lunette gauche. Un autre foulard accessoirise la tenue de l’homme celui ci entoure totalement le cou de son porteur, et sous ce foulard à motif se trouve un bandana noir à motif blanc… En ce qui concerne les bijoux Mateus en porte deux une montre en argent offerte par son oncle il y a bien longtemps au poignet droit puis la bouclé d’oreille installé elle aussi droite dont j’avais fait mention plus haut. Enfin il porte aussi deux gants celui de la main droite est rouge et la gauche est blanche en réalité ce ne sont pas que des accessoires de mode il lui servent aussi au combat vous comprendrez certainement plus tard.

Et enfin nous finiront sur ce qui fait la fierté que dis je la religion de Mateus sa coupe afro noir très bien proportionné contrairement à sa barbe il prend un malin plaisir à la taillé tout les matins pour qu’elle soit parfaite tout les jours lorsqu’il rate ce rituel il est de mauvaise humeur toute la journée voir parfois pour la semaine…

◘ Caractère & morale :

Attendez vous à un grand fatras de caractéristique spécial chez ce petit gars de 26 ans, il a tout simplement un mental hors norme inqualifiable que dis-je ? MYSTIQUE

Mateus libre dans sa tête, derrière sa fenêtre… oh oui vraiment libre dans sa tête notre petit gars venant du désert est un homme disons charmant c’est à dire qu’il peut être fort sympathique si votre tête lui reviens bien. Il à un critère de sélection très particuliers en ce qui concerne ses fréquentations il leur pose une question au hasard et si la réponse lui convient il devient instantanément l’ami de cette personne et semble la connaître depuis des années… Aller savoir le pourquoi du comment ? Comment réfléchit-il ? Qui y a-t-il à l’intérieur de son esprit si spécial pour qu’il puisse choisir ses amis de cette façon ? Cela restera sans doute un mystère cependant sachez que jusqu’ici le peu qui ont répondu correctement à ses questions ou plutôt qui y ont répondu à sa convenance ce sont avéré des amis fidèles jusqu’au bout…
Mateus à ce petit je ne sais quoi de spécial, quelques choses qu’il fait qu’on à envie de le connaître de lui parler de le rencontrer, d’en faire un ami ou même un ennemi mais on sait juste qu’on à envie de faire partie de sa vie en bien ou en mal…

Totalement délirant ce magnat des affaires comme il aime à s’appeler à soit de multiples personnalité soit une profonde tendance à être fantasque, lunatique et même capricieux… Dans le genre fantaisiste on ne fait pas mieux il s’exprime par énigme, blagues, vanne, calembour, charade, proverbe, citations et autre phrase stupide… Rare sont ceux qui peuvent décrypter la subtilité de ses expressions et de son langage, il y a toujours quelques choses de caché derrière chaque mot chaque phrase… un message…
Il a de rare moment de total conscience des autres, de… « Lucidité » dirons nous même si le terme n’est pas tout à fait approprié. Lors de ces moments qui sont plutôt défini en règle générale des moments : critiques (ou il s’agit de faire preuve de discernement), des négociations - d’argent - (dans ses affaires), et quelques autres moments particuliers…

Parlons de ses rapports avec le sexe opposé, bien des femmes l’ont fui non pas qu’il soit quelqu’un de moche mais plutôt parce qu’il est un chouia trop extravagant… l’extravagance fait assez peur en générale…
Mais rien n’arrête notre petit gars à la coupe afro, cela ne l’empêche pas de tenter sa chance avec chaque femme à son gout (à condition qu’elle réponde correctement à sa question). Il les aime ni grandes ni petite ni grosse ni maigre ni pulpeuse ni plate, en réalité ils les aiment plus ou moins toutes même certaines qui en rebuteraient plus d’un « … du moment que j’ai autant envie d’elles que d’une glace c’est qu’elles sont faites pour moi » dit-il souvent avec humour, enfin humour sa reste à voir avec ce taré…

Pourquoi ne pas parler de sa première passion les glaces, voyez vous le petit viens d’un pays faits de désert chaud ou l’on ne peut voir à perte de vue que du sable… même le matériau principal de construction des bâtiments des rares villes de ce pays est le sable… Alors lorsqu’on vit dans un tel pays quoi de plus normal de retrouver cette envie, cette passion que dis-je cette passion des glaces… Allant de l’ice-cream au sorbet en passant par la granita, tout ce qui est glacé et qui peut être qualifié de douceur (douceur glacé) est pour lui un véritable bonheur… Lors de son enfance c’était un rêve de pouvoir en déguster, maintenant qu’il est adulte c’est un plaisir sans limite et à l’heure de sa mort il en mangera une et ce sera une apothéose…

Passons maintenant à sa seconde passion l’archéologie, sachez que pour un enfant du désert à part faire des châteaux de sables sec qui ne tiennent pas la route et creuser il n’y a pas grand chose à faire… Mateus comprenant vite qu’en creusant il avait des chances de trouver quelques choses d’intéressant et qu’en construisant des châteaux miniature balayé en un clin d’œil par le vent il avait plus de chance de trouver la déception, il décida de creuser… Ainsi il découvrit bien des trésors ne valant pas grand chose aux yeux des autres mais à ses yeux c’étaient des cadeaux du ciel, ils étaient… inestimable.

Et enfin nous finirons sur quelques choses de primordial aux yeux d’Archi… les animaux sans eux il ne conçoit pas la vie. Il dit souvent : « Nous sommes les animaux de mère nature, les animaux sont les nôtres. Mère nature nous aimes, aimons les nôtres. » En effet sa passion animal s’étend à la nature en générale mais une vraie passion une vraie alchimie entre les animaux et Mateus c’est créer au fil des années de sa vie. Il semble les comprendre tout comme eux semblent le comprendre, il ne se sent jamais aussi bien que quand il est en contact avec ses animaux ou des animaux en règle générale…
C’est ainsi qu’il en est venu à posséder Semen un jeune chimpanzé & Vivit une femelle serpent corail plus précisément un spécimen de type « Micrurus lemniscatus diutius »… Il partage une relation particulière avec ses deux amis, ils sont ses confidents, Mateus peut parfois leur parler pendant des heures… attention Semen & Vivit ne sont pas des animaux parlant ou quoi que ce soit d’autres juste des animaux comme tout un chacun cependant ils ont un amis humain… un vrai. Parfois le petit gars leur demande même des conseils, sans parler ils se comprennent et s’accorde tout les trois sur une décision. Au delà de ses amis, confidents ainsi que conseiller Mateus en à fait des partenaires de combat idéal, leur compréhension est tellement profonde qu’il suffit d’un geste pour que Vivit ou bien Semen attaque l’ennemi… Un code entre eux leur permet de savoir à quel moment passer à l’action Mateus tend une main vers la cible si c’est le gant rouge Vivit se lance si c’est le blanc Semen virevolte pour défendre ses amis… Voilà la relation qu’il arrive à entretenir avec ses amis… voilà à quel point ils les aiment…


◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]
Il était une fois, oui une fois n’est pas coutume je décide de commencer par un cliché…

Chapitre Premier : Il était une fois une naissance…

Donc il était une fois un jeune couple de tourtereau nommé Archibald & Yona, l’homme (Archibald) était un homme du nord ou plus précisément un marchand du nord et pour être encore plus précis un marchand de bijoux et autres trésors précieux en tout genre du nord. C’est lors d’un de ses voyages que Archibald le marchand de bijoux et de trésors précieux en tout genre du nord rencontra Yona…
Yona qui était elle une femme du sud à la couleur de peau noir ébène, une femme des sables comme on aime les appelés étaient la chamane de sa tribu dans le village de « Machu Pichu »… Il était d’usage que les chamanes fassent vœux de célibats, ils étaient d’ailleurs éduqués dans ce sens dès que leur pouvoir se révélait.

Lors de la période des commerces, des milliers de convoi de marchand passait par la « Grand Route des Sables » près des villages et des tribus avec lequel il fessait du troc et dans certaines villes plus grandes dans lesquelles il faisait des affaires disons plus intéressantes…
C’est dans ces conditions que Archibald et Yona se rencontrèrent au moment de repartir Archibald appris de la bouche de sa douce amie ce que la nature avait décider de leur faire don… Après une longue discussion les deux amoureux prirent une décision, ce jour la le jour du départ Yona accompagna le marchand jusqu’à « Sitativaus »… elle était la plus grande ville des environs mais surtout la jeune chamane y avait une amie…

Cette amie était une femme non pas âgée mais plutôt entre deux âges, rare sont ceux qui arrivaient à lui donner un âge véritable en réalité mais disons que physiquement et selon les gens elles faisaient entre 30 et 50 ans… elle répondait au nom de Kùruna Taido…
Considéré comme une excentrique elle et toute sa famille qui se composait seulement de deux avec sa fille… était plus ou moins rejeté par la population de « Sitativaus ».
Leur maison était complètement excentrée par rapport au reste de la ville, et les deux amants ainsi que Kùruna pouvait parler tranquillement sans avoir peur d’être épié. Yona expliqua dans son intégralité la situation, l’histoire d’amour entre Archibald et elle ne devait pas durer… le marchand devait retourner au pays et elle même n’avait pas le droit de construire une famille. Le seul hic est l’enfant car oui vous l’aurez compris Yona était enceinte… et si cela s’apprenait elle serait enterré vivante dans les dunes… hors comment caché une grossesse au village ou tout le monde venait la consulter pour des prédictions ou bien des maladies. C’est Kùruna qui eu l’idée d’héberger la jeune futur maman jusqu’à l’accouchement, elle enverrait « Ekisentorikku » sa fille au village pour annoncer la maladie subite et contagieuse de Yona. Expliquant de ce fait qu’elle resterait à la ville chez Kùruna qui était prête à l’aider du mieux possible.
C’est ainsi que rassuré le marchand quitta l’amour de sa vie contraint de voyager pour vivre mais chaque année il promit de repasser voir son enfant à naître… Yona elle accoucha mais malheureusement dans ce pays reculé peu de médecin compétent était en mesure d’accoucher convenablement et la malheureuse mourut des suites d’une infection seulement 1 mois après la naissance de son fils qu’elle nomma… Mateus Archibald Demetrius…

Chapitre Second : Doux rêve glacé

Le petit Mateus fut bien sur éduquer par Kùruna l’excentrique, et son enfance en fut quelques peu amusante… Chaque jour avec cette femme était un jour de paradis, elle vous étonnais toujours, plus on la connais plus on n’a l’impression de ne connaître qu’une infime partie d’elle. Beaucoup pense que Mateus est aujourd’hui un homme à part, un homme fou à cause de l’éducation de cette femme… bien sur cela à du jouer mais connaissant très bien Kùruna ainsi que Mateus je doute que cela en soi la véritable raison.
Quoi qu’il en soi Mateus vécu heureux, chaque année son père Archibald lui rendait visite, donc bien qu’il grandit sans lui il obtint tout de même une présence paternelle rare mais régulière. Malgré tout on ne peut pas être un garçon tout à fait équilibrer sans la présence fréquente d’une figure paternelle, vivre avec une femme complètement dingo et sa fille qui l’est encore plus sa ne vous rends pas très net…

Nous retrouvons le petit Mateus à l’entrée d’une boutique, la plus grande boutique de la ville… « Ama-sa ».
Alors âgé de 5 ans, le petit gars accompagné de Eki (Ekisentorikku) elle âgé de 15 ans qu’il considère comme sa grande sœur… bave devant les enfants sortant de la boutique leur langue léchant de grande glace de toutes les couleurs. Dans sa bouche le jeune fils d’Archibald imagine le gout des glaces, fraises, citron, vanille ou oh oui… chocolat… Il regarde d’un regard triste Eki qui lui répond du même regard triste et de ses quelques mots tout doucement :

On ne peut pas tu le sais…

De petites larmes scintillantes au soleil coule sur les joues couleur chocolat au lait de notre gentil petit bonhomme qui ne rêve que de sa depuis des mois, en effet cela fait bientôt 4 mois qu’au détour d’une rue, il découvrit cette boutique en revenant de faire les courses avec Kùruna… Celle ci vit bien que le petit garçon en bavait d’envie mais elle lui expliqua que l’argent manquait en ce moment et qu’ils ne pouvaient ce permettre ce genre de petite fantaisie. Mateus voulant montrer qu’il était un grand et qu’il comprenait fit mine d’accepter sans broncher mais depuis chaque jour à la même heure, c’est à dire à la sortie de l’école il regardait les enfants qui avait les moyens sortir déguster leur glace au soleil avant qu’elle ne fonde. Chaque fois, il regardait Eki avec ce petit regard attristé n’ont pas qu’il tentait de l’amadouer mais il trouvait toujours un peu de réconfort auprès d’elle quand elle le prenait dans ses bras ce qu’elle fit encore une fois aujourd’hui…

Après cela les enfants rentrèrent à la maison, pour préparé le dîner avec leur tutrice… Ils appréciaient tout trois grandement ces moments de famille, qu’il chérissait profondément. Le repas aussi était très apprécié surtout de Mateus qui louait chaque soir les qualités de cuisinière de Kùruna et Eki… lui lorsqu’il les aidais n’était bon qu’à éplucher et couper les légumes.
Une fois le repas terminer il fut temps de se coucher, Kùruna envoya ses deux amours d’enfants se préparer pour la nuit tandis qu’elle finit d’écrire une lettre à l’intention d’Archibald. Lui intimant de venir avec l’un de ses amis glaciers pour faire une surprise au petit, elle espérait que l’ami d’Archibald se montrait généreux.
Eki et son petit frère après s’être brosser les dents et mis en pyjama se couchèrent tout les deux dans leur lit, Mateus dans les bras de sa grande sœur comme tout les soirs. Leur mère montât enfin, leur faire le bisous du soir puis le raconta une histoire de révolte courageuse d’une population de protecteur de la nature contre des méchants magnats des affaires qui polluaient la terre avec toute leurs usines.
Le fils d’Archibald Demetrius le marchand de bijoux et d’autres trésors précieux du nord, s’endormit bien vite dans les bras aimant de sa sœur Eki… débuta alors un rêve peu habituel :

‘’ Mateus était seul devant un immense portail fait d’or massif, il semblait marcher sur un sol fait de nuages. Il voulut ouvrir, le portail pour accéder à ce qu’il y avait derrière mais celui ci ne bougea pas d’un pouce. Sans doute fermer mais comment entrer dans ce cas… le petit leva les yeux au ciel comme si qu’il trouverait une réponse, la graver dans l’or en gros était écris « Ama-sa ». Le petit gars n’en croyait pas ses yeux la boutique de glace… il fallait absolument qu’il entre, il tenta tout escalade du portail, il tenta de creuser dans le nuage pour passer par dessous et essaya même de passer entre les barreaux impossible rien n’y faisait.
Puis il entendit quelqu’un le siffler un petit bonhomme, vêtu d’un anorak marron avec de la fourrure sur le bout des manches et la capuche. Mais qui était ce petit bonhomme encore plus petit que Mateus ?

Viens, viens… viens te dis-je. Passe par la porte de derrière pour entrer dans ton paradis…

Le petit garçon couleur chocolat au lait tellement attirer par l’odeur de glace qui venait maintenant lui chatouiller les narines suivit le petit bonhomme en anorak. Celui-ci fit bien ce qu’il dit il lui montra la porte de derrière et le fit même entrer… le paradis…

Mateus se mit a courir dans tout les sens, sautant dans les différentes cuve de glace au gout tous incroyable, il n’en croyait pas ses yeux ni ses papilles… Se délectant de chaque coup de langue passer sur toute ces glaces, des ice-cream, des sorbets, des granitas… et un millier d’autres… ‘’

C’était fini il s’était réveiller c’était le matin, l’heure de l’école…

Chapitre Troisième : Sœur aimante & réciprocité

Ce matin le réveil fut difficile pour le petit Mateus, son corps transpirant d’excitation se refroidis lorsqu’il prit conscience que le rêve était terminé qu’il était l’heure de se lever maintenant. Cela faisait presque 2 mois qu’à présent il faisait le même rêve chaque nuit qui se transformait en cauchemar au moment du réveil…

Eki elle ne cessait de le consoler, de tout faire pour chasser les envies de glaces de son jeune frère adoptif… elle souffrait tout autant que lui de ce désespoir intense. Leur relation à tout deux était fusionnelle il se comprenait quasiment à chaque regard, à chaque expression de visage… et tel des jumeaux il semblait connecté l’un à l’autre si bien que lorsque l’un d’eux souffraient l’autre endurant les mêmes souffrances voir parfois plus intensément. La grande fille qu’était Ekisentorikku, montrait du courage devant son petit frère qui bien sur n’était pas dupe mais bien trop jeune pour faire fit de sa douleur morale.
Un jour Eki pris sa mère à partit pour lui demander, si elle l’autoriserait à travailler un peu pour avoir de quoi acheter des glaces à Mateus celle-ci accepta. Les seules conditions furent de trouver un travail en dehors des heures d’école, honorable et honnêtes… « … les jeunes filles qui tapinent pour un peu d’argent courent trop les rues de nos jours c’est bien malheureux… »disait-elle.

Eki trouva bien vite un travail de stagiaire palefrenier aux écuries des quartiers ouest. Le titre de stagiaire palefrenier était plus pour les papiers administratif que pour la réelle fonction qu’occupait Ekisentorikku, le terme bonne à tout faire conviendrais mieux : ramassage de foin, nettoyage des boxes, ramassage de fumier/ crottin… voilà ce que faisait réellement Eki, tout le côté intéressant de ce travail avait été enlever elle n’était jamais en contact avec les animaux et n’apprenais jamais à les soigner. De plus elle gagnait seulement 10 berrys par mois, un salaire de misère pour un travail de bouseux tel était la règle ici. Mais le jeune fille décider à offrir au moins une glace à son petit frère adoré tiendrais le mois et avec les 10 berrys elle lui offrirait une glace puis s’en offrirait une pour la déguster à ses côtés.

Tout les soirs Eki, sortaient de l’école raccompagnait son petit frère à la maison et retraversait toute la ville pour se rendre à son travail qui durait au bas mots 4 bonnes heures voir 5. Puis rentrait épuisé, alors que son petit frère dormait déjà, elle faisait ses devoirs embrassait sa mère puis allaient se coucher… en générale 6 heures plus tard elle était debout pour repartir pour une journée à l’école. Mais la petite était épuiser et à l’aube du 23ème jour elle ne pouvait plus son corps lui fit faux bond… diagnostique : surmenage tension élevé. La fièvre Eki ne cessait de marmonner dans son sommeil « Mateus… glaces… mois… boulot… berrys… ».

Kùruna semblait inquiète à point tel qu’on aurait dit qu’elle n’avait jamais été inquiète de sa vie et que d’un coup d’un seul toutes les inquiétudes qu’elle aurait dut avoir était remonté en elle. Mateus n’allait plus à l’école sans la compagnie d’Eki, car l’argent manquait et Kùruna devait faire tourner sa petite herboristerie. Malgré ses connaissances l’herboriste-voyante avait du mal à faire chuter la fièvre de sa fille aimée, à son grand désespoir.

Le petit Mateus lui pour la première fois se disait que c’est lui qui devait être fort pour sa sœur, et il la couvrait de toute l’attention possible. Ne quittant son chevet qu’en de rare occasion d’envie pressante, il était un vrai modèle de dévouement envers elle tant et si bien qu’il en oublia ses cauchemars qui cessèrent. Les glaces étaient loin derrière lui, tout ce qui lui importait était le rétablissement de son ainée. Intérieurement il souffrait profondément de l’état physique et mentale très faible de sa grande sœur mais il n’en montrait rien raccrocher à l’idée qu’elle irait mieux.

Au grand bonheur de chacun, la jeune Ekisentorikku fut remise d’aplomb après 3 semaines de convalescence. Elle repris les cours petit à petit et lorsque fut passé un bon mois, Kùruna autorisa sa fille à aller au travail. Mais lorsque celle-ci vint se présenter son patron, lui lança qu’il ne la paierait pas car elle avait déserté le travail sans même prévenir. Eki s’emporta en vociférant que sa mère lui avait envoyé une lettre, qu’il lui devait au moins 23 jours de salaires. Mais celui-ci fut catégorique et refusa le paiement de sa dette envers la jeune fille, rentrant dépité chez elle… Eki fit un résumer détaillé de son altercation avec le patron des écuries, et il fut malheureusement décidé que l’histoire s’arrêterait la. Faute de moyen Kùruna ne pouvait attaquer en justice l’affreux bonhomme des écuries…

Tout ce travail pour rien, ainsi va la vie… mais la roue tourne…

Chapitre Quatrième : Noble rencontre

Un bond dans le temps de quatres ans est nécessaire pour vous comptez la suite de l’histoire du jeune Mateus Archibald Demetrius… alors âgé de 9 ans à l’époque il fit une rencontre déterminante pour le reste de sa vie. Un jeune garçon âgé d’a peine plus de 2 ans que notre petit gaillard nommé Arthorus Maximilian, fils de noble commerçant spécialisé dans le textile la jeune rencontre de Mateus vivait dans les quartiers riches de Sitativaus. C’est au détour d’une énième virée en ville avec sa sœur Eki que le petit homme couleur chocolat au lait rencontra ce jeune homme.
C’est en se dirigeant vers Ama-sa la fameuse boutique de glace - qu’aujourd‘hui Mateus considérait avec envie mais non plus avec tristesse (il avait grandi le petit homme de 5 ans et maintenant il comprenait que son rêve n’était pas irréalisable… faire preuve de patience tel était sa devise à présent) – qu’ils rencontrèrent Arthorus. C’est le jeune noble qui les héla au loin, pour leur faire signe d’approcher, ils se présentèrent tout 3 chacun leur tour puis le jeune garçon fils du commerçant Maximilian engagea la conversation. Il expliqua qu’il avait vu de nombreuses fois ses deux interlocuteurs devant la boutique Ama-sa mais ne les avais jamais vu entrer pour acheter une glace. C’est selon ses dires la raison pour laquelle Arthorus aurait souhaiter les rencontrer, ainsi dont il les aurait attendu ici sachant qu’ils y passeraient…

Mateus semblait apprécié le jeune homme, mais Ekisentorikku se méfiait profondément de ce jeune noble. Il faut dire qu’ils s’étaient déjà rencontrer auparavant, en réalité Eki était sortit avec le grand frère d’Arthorus il fut un temps. Lors de cette courte période dont ni Kùruna ni même Mateus n’eurent vent, les deux jeunes gens c’étaient aimé mais très vite leur relation s’était dégradé tant et si bien qu’Eki pris la décision de rompre avec son petit ami. Par pur esprit de vengeance le jeune homme qui à l’époque se baladait en compagnie de son jeune frère ainsi que de sa bande d’amis avait humilié publiquement la jeune adolescente.
Je vous épargnerais l’humiliation subi tellement elle est horrible depuis tout le monde la regarde différemment mais aucun ne lui parle de sa car chacun sait à quelle point elle en a souffert.
Après tout une après midi passé en la compagnie de son nouvel ami, le petit gars rentra en compagnie de sa sœur à la maison. Une fois bien à l’abris des oreilles indiscrètes Eki sermonna son frère stipulant qu’il valait mieux éviter ce genre de personne, bien que Mateus ne comprenait pas il accepta sans sourciller dans le seule souci de contenter sa sœur qui semblait profondément sincère…

Cependant dans les mois qui suivirent et suite à plusieurs nouvel rencontre le petit gars qui venait d’atteindre les 10 ans et le droit de se balader seul en ville pris d’une envie de se faire des amis sortit pour la première fois sans sa sœur ou bien Kùruna dans le but de trainer avec Arthorus.
Bien sur le noble et ses compagnons de galère accueillirent à bras ouvert le fils d’Archibald Demetrius… faisant de lui un des leurs. Depuis chaque soir, après l’école avant de rentrer il passait quelques heures avec ses nouveaux amis, ce qui n’était pas du tout du gout de sa sœur. Mais pour une fois Mateus ne s’en souciait pas trop euphorique d’avoir découvert ce « nouveau mode de vie » en quelques sortes, il se plaisait avec Arthorus et ses amis ainsi dont il comptais bien continuer à les voir...

Chapitre Cinquième : Marché de dupe

Un jour de sortit de classe Mateus 12 ans, se vit interpeller par son ami Arthorus 14 ans, celui ci semblait très préoccupé et naturellement le jeune fils adoptif de Kùruna demanda des explications… Son ami lui racontât donc ce qui le rendait si nerveux et préoccuper. Les raisons s’avérèrent particulièrement problématique le père d’Arthorus commerçant de sang noble et très riche semblait avoir d’assez gros problèmes d’argent pour la première fois de sa vie. Les Maximilian allait sans doute devoir vendre tout leur bien si l’on ne remédiait pas au problème rapidement, en réalité Arthorus venait quérir de l’aide non seulement pour son père ainsi que sa famille mais aussi pour lui… en effet la perte de tout leur bien les reléguerait au rang des citoyens lambda. Intolérable pour les Maximilian qui depuis de nombreuses génération pour ainsi dire depuis la création de leur lignée étaient de sang noble, cependant Mateus se demandait comment il pourrait les aider étant bien plus pauvre qu’ils ne seront même en cas de faillite. Arthorus semblait avoir sa petite idée sur la façon de les aider mais Mateus était très perplexe, l’idée ne lui plaisait pas du tout.

Ce soir la au moment du coucher, il eu une longue discussion avec sa sœur et sa mère adoptives sur le bien et le mal, ils avaient tout trois pris l’habitude de discuter des choses qui les tracassais dès que le problème se présentait. Cette fois ci le petit gars ne voulait pas aborder le sujet de façon direct mais souhaitait connaître le sentiment sur un tel acte. Il inventa donc une histoire sur un gamin un peu plus vieux que lui qui était bien sur imaginaire qui se laisserait entrainer dans la délinquance pour aider l’un de ses amis. Kùruna douce et compréhensive argumenta sur l’amitié expliquant que ce sentiment d’amitié ne devait pas être une excuse pour tout. Un acte de délinquance quel que soit son niveau de gravité semblait être irrévocablement mal, cependant plus Eki, sa mère et lui en parlait plus il se disait que le mot mal n’avait aucun sens. Après tout ne faut-il pas un juste équilibre un peu de mal ne peut que renforcer le bien et le bien lui même peu donner un coup de pouce au mal ainsi de suite… c’était une boucle un équilibre parfait semblait nécessaire. Dans ce cas serais-ce si mal d’accepter la proposition d’Arthorus ?

La nuit fut courte pour Mateus qui cherchait en vain à raisonner à fin de prendre une décision quant à la demande de son ami. Jusqu’au moment où il se présenta devant lui la semaine suivante à la sortie de l’école il ne savait toujours pas ce qu’il répondrait ayant retourné le sujet dans tout les sens. Lorsqu’Arthorus posa la question aucun mot ne sortit de la bouche de notre jeune préadolescent seulement un hochement de tête négatif… Arthorus semblait déçu et pour cause sans son ami il avait du mal à s’imaginer réalisant ce qu’il entreprenait de faire mais il tenta d’abattre une dernière carte. Aussi vicieux qu’il était il trouva un argument quasi imparable pour Mateus, lui expliquant que son père était le propriétaire d’Ama-sa depuis très peu de temps. Allant même jusqu’à lui faire miroiter une formation de glacier si il l’aidait, le fils d’Archibald n’en revenait pas. Son rêve serait très facilement réalisable si il obtenait un poste chez Ama-sa, malgré tout il hésitait encore. Puis au bout de 5 minutes d’argumentaire musclé entre les deux jeunes gens Mateus céda et accepta de faire l’irréparable.

3H 30 du matin en pleine nuit, Mateus Archibald Demetrius, Arthorus Maximilian & son frère ainée Maximus Maximilian se trouvait devant la maison du riche commerçant en soie Phileas Kinu. Chacun savait ce qu’il avait à faire, Arthorus ouvrait les grilles à l’aide de son découpe boulon, Maximus s’occupait de faire le guet et Mateus lui était censé avec l’aide de son meilleur ami transporter le butin dans des sacs renforcés. Une fois à l’intérieur de la maison il n’était donc plus que deux, avançant à pas lent et mesuré pour éviter le moindre bruit espérant ne réveiller personne.
Phileas était le principal rival de Mr. Maximilian, étant tout deux spécialisé dans le domaine du textile bien qu’ils investissent dans bon nombre d’autres activités tel que l’immobilier, le commerce d’épice et les glaciers dans le cas de Maximilian.
Nos jeunes délinquants comptaient voler sciemment l’argent du rival de leur père avec l’aide de Mateus pour à la fois remettre les affaires des Maximilian sur de bons rails mais aussi pour porter un grand coup à la bourse de Mr. Kinu. Je disais donc que les deux jeunes complices avançaient à tâtons n’ayant pas du tout envie de réveillez la maisonnée ou pire attirer les gardes jusqu’à eux… en parlant de garde voici leur loge. Il semble jouer aux cartes bien sagement et c’est à quatre pattes qu’Arthorus ainsi que son complice passe devant la loge sans se faire repérer. Le jeune noble connais bien les lieux pour y être venu plusieurs fois avec son père en dîner d’affaire, malgré leur rivalité ils ont ou plutôt avaient besoin l’un de l’autre pour perduré. Je dis avaient car Mr. Kinu semble avoir un commerce de plus en plus florissant une augmentation de son profit qui tombe approximativement au moment de la chute du commerçant Maximilian… triste coïncidence.

Arriver devant le coffre, les deux comparses commencent à ouvrir le coffre avec le code qu’ils avaient obtenus grâce à Maximus. Le jeune et fort gaillard s’était entiché de la jeune fille de Phileas, elle tellement naïve et amoureuse lui donna le code sans discuter. Le coffre s’ouvre aucune alarme bien sur, enfin des coffres remplis de berrys sonnant et trébuchant… enfin ils imaginent ce serais bête de les faire sonner et trébucher maintenant ce qui attirerait les gardes.
Remplissant les sacs énormes avec tout les coffres sans ce soucier de plutôt les vidés grands bien leur face au moins comme sa c’est plus discret sans bruit, une fois tout embarquer dans les sacs il fut temps de partir. Mais malheureusement Mateus entendit un craquement sonore le craquement d’une lourde porte de coffre fort qui se referme, deux ou trois bip bip bip indiquant qu’Arthorus avait de nouveau composé le code. Puis l’alarme très bruyante qui se met à sonner, on entend les bruits de pas d’un jeune voleur qui vient de piégé son meilleur ami détalé comme un lapin dans les couloirs de la maison. Puis maintenant c’est ceux des gardes qu’on entend…

Mateus n’a toujours pas pipé mot, il était bouche bé il aurait pu crier à son « ami » de revenir mais il savait cette tentative vaine… il était piégé on l’avait trahit purement et simplement…

Chapitre Sixième : Sombre & douloureux

Nous sommes maintenant, quelques heures plus tard, Mateus assis sur une chaise en métal à moitié nu simplement vêtu d’un débardeur blanc et d’un slip kangourou… (Oui Kùruna trouvait sa très beau chez un homme). Actuellement le jeune garçon était semi conscient il entendait plus ou moins ce qui ce disait autour de lui et avait des flashes d’images lorsqu’il trouvait la force d’ouvrir ses paupières. De ce qu’il comprenait, il était dans une salle vide à l’exception de la chaise sur laquelle il était assis, de deux hommes discutant devant lui et bien entendu de lui même. Les deux hommes habillés tout deux en costumes pourpre d’après l’un des flashes de Mateus semblait discuter du sort du préado. L’un d’eux semblait en désaccord avec le premier prétextant que le petit n’était qu’un enfant, que ce que… ce que le maître… oui maître c’était bien le mot employé par l’homme. Donc « que ce que le maître faisait subir à ce jeune garçon était inhumain, un troisième homme sortit de l’ombre lui ne portait aucun vêtement sur le torse mais un short pourpre et de l’électroplaste sur les poings. A ce moment Mateus sombrât dans l’inconscience puis à son réveil certainement quelques secondes ou minutes plus tard l’homme qui avait pris sa défense était par terre la mâchoire cassé et semblait recracher du sang. Ses yeux était braqué sur le petit, quant à l’homme au short il se relevait du corps entrain de lutter pour survivre. Mateus réussi à le regarder une trantaine de secondes avant de sombrer à nouveau dans le noir. Un nouveau flash puis la vision d’horreur de l’homme qui rendait son dernier soupir avec des yeux verts qui se révulsèrent tandis qu’une larme coulait le long de sa joue. Maintenant mort l’homme avait toujours le regard qui était maintenant vide fixé sur Mateus.

Maddy ! Maddy ! Maddy ! Petit Mad ! Réveil toi !

Galcé ! Immensément froid ! Dent qui claque, Mateus tremblait il avait froid on venait de lui jeté un seau d’eau glacé. Gelé… il était totalement gelé, et en face de lui se trouvait l’homme au short le sourire au lèvre. Pourquoi l’appelait-il Maddy ou qu’avait-il dit déjà Mad ?

M… A… D, MAD ce qui signifie dans notre langue « Fou »… C’est amusant c’est ainsi que tu risque de ressortir d’ici totalement… FOU !!!

Il avait un rire incroyablement inhumain, presque diabolique :

C’est moi qui l’est trouvé ! M pour Mateus, A pour Archibald et enfin D pour Demetrius ! Ah ah ah, c’est marrant, non ?!

De nouveau le noir total, quant est ce que ça allait se terminer, Mateus espérait toujours avoir à faire à un cauchemar… malheureusement la vérité était tout autre… de nouveau le froid de l’eau sur son corps. L’homme short pourpre encore devant lui cette fois ci il installait des pansements reliés à des câbles sur la poitrine et les abdos du petit gars. Maddy comme l’autre l’appelait suivit du regard le chemin que formaient les câbles sur le sol, ils étaient reliés à une grosse boîte en fer, à première vu. Sur la boîte on pouvait voir une aiguille mais de la ou il était le fils de commerçant ne pouvait voir ce qu’elle indiquait. Son corps fut soudain pris de spasme violent, une douleur intolérable se propageât dans tout son corps principalement dans le cœur et les muscles. Mateus voulait crier mais rien ne sortit comme si qu’on lui avait retiré l’usage de la parole il ne put donc que produire un rictus de visage très explicite quant à ce qu’il ressentait.
Après une bonne demi heure de torture électrique on lui posa des questions auxquels Mateus ne comprenait rien comme : « Qui est ton employeur ? Pourquoi ta-t-on engager pour voler les biens de Mr. Kinu ? » ou encore « Qui était ton complice ? Ce coup aurait-il été monté par Mr. Maximilian ? » En réalité Mateus aurait sans doute pu répondre à ses questions si il n’était pas si faible mais pour l’heure son esprit vagabondait de souvenir en souvenir. Il pensait beaucoup à sa sœur et aussi à Kùruna… il revoyait leur longue soirée de discussion puis leur moment passer à préparer les repas. Il s’était plongé inconsciemment dans un état de pur béatitude tant et si bien qu’il ne ressentait plus la douleur des tortures, il en était totalement conscient. On le molestait à coup de poing, de batte de baseball et même quelques coups de couteaux à des points non vitaux bien sur… Le short pourpre lui avait envoyé un nombre incalculable de décharge électrique faisant des pauses pour le soigner et lui parler mais aucun de ses mots n’atteignaient Mateus. Short pourpre ne comprenait pas il était atterrer personne ne lui avais résister à ce point jusqu’à aujourd’hui, cela faisait maintenant une semaine de torture incessante pourtant le petit n’avait pas décrocher un mot ni même un cri.

Un jour Mateus vit revenir short pourpre avec un œil au beurre noir et quand il se retourna il avait des marques de lacérations dans le dos comme si on l’avait fouetté. Comme sa le bourreau devint la victime le temps de quelques coups de fouets, sans doute son manque de résultat avait-il été puni. Et lorsque le short vit son petit MAD sourire très significativement il perdit patience et le rossa durant une bonne heure avant que MAD ne retombe dans l’inconscience total…

Lors de cette inconscience Maddy compris une chose, le mal n’existait pas, il ne fait que tenter d’exister au dépend du bien. Le bien existe mais si il n’existait pas c’est lui qui tenterait d’exister au dépend du mal. Ou bien est ce l’inverse ? L’esprit de Mateus commençait à dérailler, peut être short pourpre n’avait-il pas tord… il allait sans doute ressortir plus MAD que Mateus …


Chapitre Septième : Le destin fait parfois bien les choses…

Cela faisait maintenant plus de 4 ans que Mateus était retenu dans une cellule et chaque semaine on le tortura à nouveau moins qu’avant car cela coutait cher de payer un homme à plein temps pour torturer une seul personne. Mateus ou plutôt MAD maintenant avait depuis longtemps perdu la raison enfin beaucoup des gardiens le croyaient car depuis 4 ans qu’il était la ce gosse n’avait pas pipé mot du tout. Il semblait toujours agar sans aucune expression et aujourd’hui était le jour de sa libération ou plutôt une sorte de libération il allait être vendu comme esclave pour tout vous dire.

Et deviner quoi c’est un certain Mr. Maximilian qui acheta le jeune esclave de 16 ans pour une modique somme de 50 berrys. Le pauvre garçon ne valant pas beaucoup plus maintenant qu’il n’était plus qu’un légume. Maximilian l’avait acheté car il avait besoin d’un commis dans sa boutique de glace et on lui avait assuré que le jeune garçon saurait parfaitement exécuter une tâche répétitive. Il lui ferait donc faire toutes les corvées les plus répétitives et ennuyeuses que les employés lambda rechignaient à faire. MAD n’avait rien dit sur le chemin de la villa de Maximilian pendant tout ce temps le commerçant lui avait parlé de son futur travaille chez Ama-sa. Bien qu’ayant l’air totalement agar à ce moment la Maddy était totalement concentré et lucide, il écoutait avec intérêt derrière ce masque sans expression qu’était son visage.

Il s’avéra être un excellent employé, il ne parlait toujours pas mais écoutait avec attention les précieux enseignement du maître glacier d’Ama-sa. Malgré son envie de goûter à tout MAD n’avait pas le droit de toucher à la glace d’ailleurs le seul à en avoir le droit était le maître. Sachant pertinemment que le jour ou il s’aventurait à montrer qu’il n’était pas si fou qu’il n’en avait l’air on le remettrais en prison pour le torturer pour savoir ce qui c’était passé cette nuit la il préféra ne pas commettre d’imprudence.
MAD n’avait toujours pas croiser Arthorus ni même Maximus au bout d’un an de travail chez Ama-sa, lorsqu’il fut un jour seul avec le propriétaire Mr. Maximilian il eu la surprise de le voir ce confier à lui. Le pensant totalement fou et incapable de comprendre ce qu’il disait le commerçant avait décidé de faire de Mateus son confident. Après tout quoi de mieux comme confident qu’une légume qui ne parle pas… C’est ainsi que MAD appris qu’Arthorus était mort dans un accident maritime alors qu’il convoyait l’un des navires marchand de son père il y a un an. Une triste histoire, malgré tout les ressentiments que Maddy avait contre son ex ami il fut intérieurement attristé par la nouvelle. Par contre Maximus lui avait monté son affaire d’escargophone à LogueTown sur East Blue. Bien sur il avait un partenariat avec son père, et avait dont profiter de l’argent de son géniteur pour débuter et paraît-il que cela faisait un an qu’il prospérait…


Chapitre Huitième : La limite du bien et du mal existe-t-elle ?

Avançons dans le temps à l’époque ou Mateus était maintenant parfaitement capable de réaliser des milliers de parfums de glaces différentes. Comment était ce possible alors qu’il n’avait pas le droit de gouter les glaces et de les faires lui même ? Eh bien il avait finalement fini par révéler à une personne son secret, comment il avait fait pour survivre à la torture et surtout par la même occasion montrer que sa folie n’était pas vraiment si grave que tout le monde ne le pensait. Maître Hyòga le glacier, était une personne de confiance et avait donc en secret inculquer à Mateus l’art des maîtres glaciers.

C’est au jour de ces 19 ans qu’en secret MAD appris de la bouche de son maître qu’il pouvait dors et déjà ce donner le titre de maître glacier. Maître Hyòga n’avait plus rien à lui apprendre. Il remercie grandement son maître mais cela voulais dire qu’il était temps pour Mateus de franchir un cap dans sa vie il ne pouvait plus jouer les esclaves débiles bien gentiment. Il était temps qu’ils reconquièrent sa liberté, et pour cela il lui fallait se venger de plusieurs personnes…


La villa était calme endormit, pas un bruit dans les couloirs Mateus était habillé dans sa tenu d’esclave une boule à glace dans les mains, celle ci à été affuté durant des heures en cachette, les bords sont tranchant comme des rasoirs.
Maximilian dors paisiblement dans son lit, sa femme à ses côtés dort sur son torse, MAD sort une seringue, qu’il s’est procuré plus tôt dans la journée, de son vêtement elle contient un puissant anesthésiant aux propriétés « comateuse » si je puis dire. Ce produit plonge dans un coma de plusieurs heures la victime puis supprime totalement la moindre douleur. Il l’enfonce rapidement dans la tempe du commerçant puis injectent le produit celui ci ce réveil voit Mateus puis plonge dans un sommeil comateux. Il n’a pas eu le temps de faire un seul bruit, maintenant Maddy réfléchis. Le bien le mal, il n’a toujours pas la réponse mais il estime qu’il a le droit de faire sa pour le bien de son esprit… enfin il l’espère…
Avec une précision de chirurgien il déloge à l’aide de sa boule à glace affuté les deux globes oculaire de celui qui la acheté, celui qui indirectement à causé les 4 années de souffrance les plus horribles de sa vie. L’homme n’a rien sentit, le produit est puissant…

Nous retrouvons Mateus à la cuisine les deux globes oculaires en sa possession, il les installe dans une coupe à glace, prépare un coulis de fruit rouges succulent puis en arrose les yeux de Maximilian. Un peu de chantilly faites maison, puis quelques granulés sucrés qui font penser à des bonbons en touche finale. Une la coupe installé sur un plateau il remonte à l’étage pour installer celui-ci sur la table de chevet du commerçant en textile, avec un petit mot :

« « L'ignorance est la mère de tous les crimes. Un crime est, avant tout, un manque de raisonnement »

Ps : Mais moi j’y est réfléchi… »

Chapitre Neuvième : Résumer bien court d’une vie bien remplie…

Maintenant je vous invite à faire un sacré bon dans le temps, Mateus à 25 ans, beaucoup de chose lui sont arrivé depuis ce crime prémédité. Il ne c’est jamais fait chopper, Maximilian à son réveil avait bien sur ressentit la douleur de la perte de ses yeux et avait tenter de trouver le fautif. Mais malgré l’évidence de la mystérieuse disparition de Mateus juste après ce tragique incident il en conclut que l’esclave c’était enfui, il était pour lui inconcevable que ce simple d’esprit est pu être l’auteur de ce crime. Un crime trop sophistiqué trop réfléchi pour ce légume, seul Maître Hyòga avait compris mais il n’en fit pas part et déposa sa démission un mois plus tard. On n’entendit plus parler de lui…

Quant à MAD il vécu pendant un temps de petit vol, d’argent sans gravité avec la chance de ne jamais se faire arrêter ni même de jamais être reconnu comme le coupable de ces vols. Il voyageait pour s’éloigner au plus loin de sa vie d’avant, Kùruna était décéder depuis quelques années au moment du meurtre morte de chagrin à ce qu’on lui avait dit. Et suite à la mort de sa mère Ekisentorikku aurait fui elle aussi cette ville, certains pensaient qu’elle était partit à la recherche de son petit frère dans le vaste monde. Cela n’avait pas étonné Mateus d’apprendre qu’aucune d’elle n’avait jamais su ce qu’il était advenu de lui. Il ne tenta pas de chercher Eki, il savait que temps qu’il ne la reverrait pas tout deux survivrais à tout et n’importe quoi, il préféra laisser faire le destin…
Par contre il y en a un que MAD avait cherché durant des années sans la moindre piste… Mr. Kinu il semblait s’être volatilisé dans la nature après le crime de Mateus, avait-il sentit le danger approcher ? Qui sait ?

Nous le retrouvons donc sur son navire glacier, et oui car le petit gars à monté le « Fune Bōrukureijī » plus communément appelé « Navire de la boule folle »… C’est un navire de glace ambulant ou Mateus Archibald Demetrius travail seul, il est reconnu pour être l’un des meilleurs glaciers des Blues… Les vols qu’il a perpétrer étant jeune lui ont permis d’économiser assez pour se faire fabriquer sa, mais aujourd’hui les affaires sont en baisse… Avec cette maudite vague de piraterie ! C’est pour cette raison que cela fait maintenant quelques années à dire vrai 2 ans, que Mateus étudie l’archéologie et plus précisément les fruits du démon… il lisait actuellement un livre intitulé :
« Archéologie, réponse au mystère des fruits du démon… »

MAD trouvait sa très intéressant, il en avait lu des centaines sur le sujet depuis 2 ans ce qui faisait plus ou moins office de cours par correspondance...


Chapitre Dixième : Anecdotes & Renseignements


Revenons quelques années plus tôt...


A l’aube de ses 20 ans, à l’époque encore petit voleur de bas étages Mateus se trouve sur l’île de Natural Soul dont je tairais la localisation… En période creuse ce que Mateus appel les périodes à cette époque sont les moments de sa vie ou il n’avait rien même le vol n’avait pas réussi à le faire manger à sa faim. En somme Maddy avait le ventre vide depuis plusieurs jours, et c’est sur cette île déserte que les brigands avec lesquels il avait embarqué quelques jours plutôt l’avaient largué au large de ses côtes…
Depuis des jours et des nuits entières Mateus parcourait l’île sans trouver la moindre plante, le moindre fruit ou même la moindre graine comestible. Tout ce qu’il avait croiser c’était des animaux au début il avait essayer de résister à l’envie d’en chasser un car comme Kùruna le disait toujours lorsqu’il était petit garçon : « Nous sommes les animaux de mère nature, les animaux sont les nôtres. Mère nature nous aimes, aimons les nôtres. » de ce fait le petit gars rechignait à tuer un animal même pour manger. Cependant étant donné qu’il était sur le point de mourir, il fini par se résigner et avait repérer les traces d’un animal qui d’après les marques devaient être de catégorie porcine, peut être un sanglier ou un cochon sauvage…
C’est dans l’espoir de manger quelques choses de consistant que Mateus s’improvisa chasseur, pistant l’animal sur des kilomètres à travers l’île, lorsqu’enfin il tomba sur une minuscule clairière qui menait sur une grotte de taille moyenne. Le gaillard avait eu raison, on pouvait voir une femelle sanglier « la laie » se rappelait-il en repensant à ses cours de biologie ainsi que ses petits dans la clairière elle venait de le voir et commençait à frotter du pied contre le sol… En voyant les petits et leurs mère prêt à les défendre le spectacle fit sourire Mateus et il se résolu à rebrousser chemin cependant la laie avait elle résolu de l’attaquer et chargeât. Pas assez rapide Maddy se fit encorner par la maman en colère, il tomba au sol pour se retrouver piétiner par un sanglier femelle dans toute sa fureur. Il tomba dans l’inconscience juste au moment ou la laie et ses petits détalais…

Lorsqu’il se réveilla, il vit à ses côtés un singe à ce moment il n’aurais su dire de qu’elle race mais c’était un chimpanzé, un jeune chimpanzé au bas mot pas plus de 3 ans… Il avait des fruits dans les mains, le jeune homme se demandait ou est ce que le singe les avait trouvé mais ne rechigna pas quand celui ci les lui tendit. Tel un goinfre Mateus se jeta sur la nourriture, réveillant ainsi la douleur de la blessure ouverte infligé par la laie, ce qui l’amena à se poser une autre question depuis combien de temps était-il inconscient et surtout comment panser cette plaie car plus il restait dans cette état plus il approchait de la mort…

Au petit jour, Mateus c’était panser à l’aide de feuille de bananier et de quelques liane, bien serré autour de sa taille il pouvait partir en compagnie de son nouvel ami le singe se dégoter de quoi construire un radeau, le petit singe l’approvisionnait en eau lorsque c’était nécessaire… incroyable comme ce jeune animal comprenait instinctivement les besoins de l’humain…
Au bout d’une semaine, le radeau était prêt et Mateus vint pour dire au revoir à son petit singe adoré mais celui-ci au moment des adieux… refusa de lâcher notre jeune aventurier. C’est ainsi qu’ils partirent tout deux sur leur petit radeau, MAD se souvenant de ses leçons d’histoire le nomma Semen « Descendant »…

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Lors de l’année de ses 23 ans Mateus Archibald Demetrius, accosta avec le « Navire de la boulle folle » sur l’île des esclaves une île connu et reconnu pour ses esclaves des Blues après Shabondy qui était situer sur une autre mer… Pas le choix il devait trouver des vivres pour lui et Semen, ici on vendait des esclaves humains comme animal. Bien qu’à chaque stand de ventes d’esclaves Maddy était scandalisé, il se fit violence pour éviter les ennuis ce n’était pas le moment de se battre bien qu’il fut accompagné de Semen et de sa batte de baseball…
Les deux comparses se mirent donc en quête d’une boutique de nourriture pour eux ainsi que pour remplir les stocks d’ingrédients pour les glaces de Mateus… Ils trouvèrent une épicerie qui n’en revenait de se voir vendre tout ce lait, l’homme remercia profondément Maddy pour son geste expliquant que pour lui cela signifiait au moins une semaine en étant sur de manger à sa faim. Le glacier ne put s’empêcher de penser que les temps était dur vraiment très dur pour un débordement de joie tel que celui-ci… bien sur dans cette épicerie ils trouvèrent aussi des vivre pour eux.

Il était temps de repartir, n’ayant aucune envie de s’éterniser ici ils pressèrent tout deux le pas essayant de ne pas regarder les esclaves au regard miné par le chagrin… mais alors qu’ils passèrent tout deux près d’un stand animal. Un serpent très coloré sembla regarder le singe et son compagnon avec une curiosité non dissimulé. On pouvait lire dans ses yeux comme une jalousie envers le singe, Mateus remarqua ceci et fut attirer par le serpent. Le vendeur lui aussi avait remarqué quelques choses, l’intérêt d’un client pour l’une de ses marchandises. Il s’empressa de vanter les mérites de son serpent expliquant qu’il était très venimeux et vivace, un serpent de première qualité tant pour sa peau que pour son venin…
Cela n’intéressais pas MAD qui l’acheta sans hésité, en réalité il l’avait dors et déjà acheter dès qu’il l’avait vu, le marchand lui proposa une boîte translucide pour la transporter car c’était une femelle prénommé Vivit d’après le vendeur… mais Maddy refusa sur que le serpent ne le mordrais pas…

Et effectivement le serpent repartit à son cou sans le moindre signe d’agressivité, elle se lova entre son épaule et son cou pour ne plus partir jusqu’à leur départ… un nouveau compagnon animal pour notre glacier et une vie qui continu…

• Exemple de post RP :

Une île ! Une grande île ! Certainement avec un port, qui dit port dit passant qui dit passant dit client, il était temps de relancer les affaires ! Semen l’avais compris et ululais gaiement en faisant la fête à son ami Mateus… Vivit elle était très calme comme à son habitude, un vrai modèle de quiétude.
Maddy et son compagnon primate jouait ensemble à se foutre des claques, ils adoraient jouer à ce jeu c’est celui qui abdiquait que l’on pouvait considérer comme perdant. La plus part du temps c’est Semen qui gagnait depuis leur rencontre il avait bien grandi et avait atteint sa taille adulte 1m 71 et oui un centimètre plus grand que son ami glacier. Quant à Vivit elle avait atteint la taille respectable pour un serpent de son espèce d’1m 29, jamais elle n’avait mordu notre jeune aventurier, Semen ou même quiconque sans en avoir une bonne raison. Quoi qu’il en soit le chimpanzé gagnait bien souvent car mine de rien un singe c’est plutôt costaud, Mateus ressortait souvent de leur petit jeu avec les joues en feu.

Voilà qu’ils approchaient des quais il était temps que le maître glacier manœuvre le Navire de la boule folle pour accoster sur le port. Une fois la petit navire glacier ambulant bien amarrer, Mateus pris la décision d’enfin poser le pied sur le quai mais fut interpellé bien vite par un employé portuaire. Celui ci lui expliqua qu’il fallait payé 3 berrys de stationnement dans le port puis de signer de son nom dans le registre… Avec un regard plein de malice MAD ne répondit pas, sortit 3 berrys de sa poche, signa le registre au nom de « Gibbs Joshamee » puis subtilisa habillement la bourse de l’employé. Avant de partir l’homme recommanda à Mateus de faire attention car l’île était souvent infestée de pirate, ce qui poussa le glacier à prendre sa batte pour l’accrocher dans son dos.

Maintenant c’était parti pour visiter la ville, une bien jolie et charmante ville, elle semblait animée. On y voyait des saltimbanques entrain de jongler certains avec le feu d’autres avec des couteaux… au détour d’une petite place un attroupement c’était formé. La foule formait un cercle qui entourait quelques choses qui projetait des flammes en l’air mais Maddy ne pouvait rien voir trop de monde bouchait son champ de vision. Pris d’un irrésistible envie de voir le spectacle, il demanda à travers le regard si il pouvait et Semen le fit monter sur ses épaules ainsi l’aventurier pu apprécié le spectacle d’un cracheur de feu très habille… 40 … 41 … 42 … 43 secondes il avait réussi à cracher le feu 43 secondes sans s’arrêter impressionnant. Mateus était fasciné par le feu, et alors que la nuit était tombée depuis longtemps et que le cracheur de feu rangeait ses affaires les trois compagnons s’approchèrent de lui. Le public était quasiment dispersé et les envies primaires et enfantines de Maddy le poussèrent à payer le cracheur de feu pour qu’il crache une dernière fois devant lui. Celui-ci accepta avec plaisir et tout deux finirent dans une taverne ou le cracheur expliqua la technique à notre jeune curieux. Ravi de cette rencontre il partit se coucher le sourire au lèvre après avoir louer une chambre.

Une douce musique aux oreilles de MAD vient le réveiller, la musique d’une ville qui s’anime au petit matin, on entend les maraîchers qui installe leur produit bien en évidence sur les stands. Puis une odeur de brioche chaudement sortit du four provient des cuisines de la taverne, ce qui lui met l’eau à la bouche. Vivit le chatouille avec sa langue fourchu dans le creux entre son cou et son épaule, puis Semen lui fout une grosse tarte bien amical dans le dos, Maddy se lève rapide comme l’éclair et attrape dans ses bras musclé le chimpanzé qui semble rire à sa façon. Ils descendent en bas pour prendre un petit déjeuner, la femelle serpent corail toujours autour du cou de son ami puis Semen à leur côté. Après une courte discussion avec le tavernier qui leur donne un plat avec une cruche de lait et un bon nombre de tranche de brioche en échange de quelques berrys pris dans la bourse voler la veille. Le repas se passe en silence Mateus n’aime pas parler au réveil tant qu’il n’a rien dans l’estomac, puis une fois fini et après avoir remercier le tavernier pour ce petit déjeuner délicieux ils sortirent faire un tour au marché.

Dehors c’est un vrai enchantement, une petite foule commence à déambuler dans les allées du marché, sa hèle à tout les coins, les gens semblent bien se connaître ici. Et puis sa na pas l’air infesté de pirate ou de criminel ici bizarre pourquoi l’employé aurait-il avertit le petit glaicer pour rien ?
A la vitesse de l’éclair un jeune homme passa devant Mateus en le bousculant fortement celui ci sentit que le coureur lui avait voler sa bourse et se mit donc à le poursuivre. S’excusant à chaque personne bousculer, il se fraya vite un chemin vers le jeune homme qui était coincé au milieu d’une partie de la foule particulièrement dense. Une fois rattraper il lui agrippa l’épaule, celui-ci apeuré par la perspective de se faire attraper définitivement tenta de lancer un crochet du droit mais Mateus le stoppa de sa main. Le glacier somma le garçon de lui rendre sa bourse, devant les yeux curieux des passants qui avait fait place net autour des deux opposants. Le jeune homme clama haut et fort son innocence mais Maddy n’en démordait pas, et lui asséna un coup de poing sur le pif.

"Aime la vérité, mais pardonne à l'erreur."

Le jeune homme avoua et rendit la bourse devant les yeux de tous, mais lorsque MAD se retourna pour partir il entendit les cris d’horreur de la foule, un bruit de lame. Se retournant très vite tout en dégainant la batte de son dos, Mateus eu juste le temps de voir le couteaux dans la main du voleur puis lui asséna un violent coup dans le poignet. La lame vola pour se planter quelques centimètres plus loin dans la terre meuble…

" Le pire de certaines haines, c'est qu'elles sont si viles et rampantes qu'il faut se baisser pour les combattre. "

Le maître glacier se baissa pour mettre son visage au niveau du jeune homme, il était à semi allongé sur le sol le poigné plaquer contre le sol, Mateus abattit durement sa batte sur le poignet du jeune homme qui se brisa provoquant des cris de souffrance de la part du criminel :

Ceci sera ta pénitence et ta honte pour ton crime… Bonne journée !!! Chiwihiii !! Ah ! Ah ! Ah !

Puis il parti sans se retourner en compagnie de Semen et Vivit…


Ps: J'ai du faire en deux post car sa me coupais le texte

Je dirais valider en rang 2 avec le fdd!

Merci Aquila, petit Up pour ne pas qu'on m'oublie ^^

je seconde mon collègue.^^