Bien le bonjour la Vie =D [Terminé]

Sujet: Bien le bonjour la Vie =D [Terminé] Dim 31 Jan 2010 - 12:50

Voici le modèle de présentation que vous devez respecter. Nous laissons libre court à votre imagination pour embellir la présentation. Un belle présentation aura les faveurs du staff, ne l'oubliez pas :

~~~~~~~~~~Présentation du joueur ~~~~~~~~~~
Prénom: ********
Age: 19 ans presque
Sexe: Masculin
Comment avez vous connu le forum? Je connaissais avant
Combien d'heures vous vous connectez par jour? Beaucoup
Tes Mangas préférés: Beaucoup aussi
Ton pirate préféré dans One Piece : Ace
Hobbys: RP
Autre: Le Haki des séducteurs ? Utile si on se fait sermonner xD

~~~~~~~~~~Présentation du personnage ~~~~~~~~~~

Nom & Prénom : Nottingham & Donald W.

Pseudonyme : Donald Duck

Age : 20 ans

Race : Homme

Occupation : Marine

Rang Spécial : ( facultatif ) ( Corsaire, Empereur, Amiral, CP9, Bon Marine, Mauvais Marine )

Métier : /

Portrait physiologique d’un être à part entière :

L’attrait pour un visage plus blafard que tous les autres :

Il porte l’illustre nom de Donald W. Nottingham, un nom de riche vous en conviendrez, hors il n’est pas si riche que ça, au contraire, il est même plutôt sans le sous quelques fois, il adore s’acheter des libres vous comprenez… Mais pour en revenir à sa description, laissez moi vous dire qu’il n’est pas très grand par la taille, mais surtout par la pensée, c’est un grand penseur en effet oui… Il ne mesure environ un mètre soixante-dix, donc pas de quoi casser quatre pattes à un canard, vous en conviendrez j’en suis sur… Donc, voilà, pour ce qui est de son beau visage, assez morne et plutôt rigolo par moment, il sort de l’ordinaire. En effet car quand il sourit, nous avons plutôt la sinistre impression qu’il sombre dans la folie pure, hors ce n’est pas du tout le cas et il est sans cesse mal jugé ce pauvre Donald, déjà que dans les bureau de la Marine c’est pas la joie tous les jours, si on commence à le juger là ça va plus aller… Ses yeux sont aussi marrons que la peau d’un mustang pur jus, et ce n’est pas tout vous savez ! Ah Ah ! Aussi j’allais oublier de le mentionner ça, il a la capacité aussi bien spéciale que très écoeurante de les faire tourner… C’est répugnant et immonde hein ? Mais non, ce n’est juste qu’une petite impression de rien du tout je vous assure, vraiment, ce n’est rien. Sa peau est blanche, mais pas comme la neige attention, blafard certes mais pas cadavérique quoi, il y a un minimum… Hum… Je vous ai déjà parlé de sa coiffure ? Non ? ah, autant pour moi mes amis, donc c’est à peu près ce qu’il y a de plus normal chez lui, donc ses jolis cheveux sont marrons tout comme ses yeux de merlan fris toujours soigneusement peignés pour quand même ressembler à quelque chose quand Dolnald se rend au travail, sinon « ça va pas le faire » comme il dit souvent, et oui il adore placer cette réplique quand t’il en a la possibilité… PAM ! Franchement ça va pas le faire les amis… Oui il n’y a que lui qui trouve ça marrant en effet.

Hum, il s’habille, se vêtir c’est un valeur sure !

Hum hum, oui il est un peu dérangé sur les bords mais cela ne l’empêche en rien de s’habiller comme un prince car il attache une certaine importance à cela dans le monde du travail, on plus envie de s’adresser à lui que quand il s’habille décontracté en lisant un livre installé confortablement dans son fauteuil devant le feu de la cheminée. Donc, il porte un costume deux pièces noir très léger, portant une magnifique chemise couleur blanc cassé toujours sans tâches toujours accompagnée de l’inconditionnelle cravate noire tirant sur le rouge foncé avec le très célèbre nœud Windsor, et ça « ça le fait » et oui ça revient fréquemment je vous le dit d’avance ah ah… Donald porte une paire de chaussures assez commune à vrai dire, toute simple : noires laquées avec de simples lacets. Et n’allez surtout pas vous imaginez qu’il les a payé une fortune, en fait ce sont des vêtements bons marchés mais personnes au travail ne doit en être informé alors chhuuuuttttttt, ce sera notre petit secret ^^. Autres détails à signaler, Monsieur Nottingham ne porte pas de montre et n’en a jamais porté d’ailleurs, au même titre que les bagues et les autres bijoux ou encore toutes les formes de piercings/tatouages, il trouve cela vachement ringard à vrai dire !

Une morphologie assez conventionnelle je pense :

Comme je vous l’ai fait savoir précédemment, il mesure un mètre soixante-dix, mais se n’est pas tout heureusement, il pèse entre soixante et soixante-cinq kilos, un bon rapport taille/poids donc. En le regardant de près, rien ne cloche, en effet, aucune cicatrice apparente sur le corps ou autres détails disgracieux du même style. Notre petit Donald est lui du gros macho sportif athlétique, il est aussi bien lui des matelots rustres et imbus de leur petite personne. Sa musculature n’est pas très développée, sauf au niveau de l’abdomen. Et oui, il a de grosses tablettes de chocolat quand même, ça fait beaucoup de jaloux ça aussi ah ah ! Il chausse du quarante deux, donc il n’as pas des pattes de fourmis et encore moins des chaussures de clown, juste dans la moyenne de la population quoi. Il n’est pas très fort non plus, pour ne pas dire totalement dépourvu de force. D’ailleurs il ne se bat pratiquement jamais. Il connaît juste les bases de quelques arts martiaux qu’il peut apprendre en lisant ses quantités impressionnantes de livres de toutes tailles. Mais en dehors de ça, rien ne le démarquait des autres Marines, hélas. Pourquoi pas de gros biscotauds ? Et tout simplement parce que Donald n’aime pas et aussi parce qu’il avait l’immense flemmardise d’aller dans les centre de musculation qu’offraient les bases militaires, le mordu de littérature préférait de loin être plongé des heures durant dans les ouvrages de grands auteurs, ou encore de ses contemporains. Oui, vous l’avez bien compris c’est un antisportif, mais pourquoi des abdominaux alors tu te moques du nous ou quoi ? Non ! Car étant plus jeune, le jeune Nottingham portant fièrement le W. de son père lisait dos au sol et se relevait souvent pour regarder l’heure et donc de par le fait… Il faisait de l’exercice involontairement. Oups, un détail comme un autre, Mister Duck de son petit surnom n’est pas très résistant et tombe souvent malade, il attrape des rhumes pratiquement sans arrêt et sa voix est presque toujours déformée. Donc voilà, je pense avoir tout dis en ce qui concerne son aspect, maintenant je vais pouvoir et en détails entendons-nous bien, vous le décrire psychologiquement et cela ne sera pas très difficile.

Sujet: Re: Bien le bonjour la Vie =D [Terminé] Dim 31 Jan 2010 - 12:51

Et maintenant, passons à son portrait psychologique, parce qu’il le vaut bien :

Avant toute chose, mieux vaut procéder par ordre car c’est assez fourbi, bah oui il est complexe le Duck là… Vilain petit canard et donc nous allons d’abord aborder ses hobbys :

Son premier hobby n’est autre que la lecture, vous l’aurez bien deviné je pense :

La lecture est son moyen d’évasion, elle le transporte loin des nombreux tumultes qui régissent sa vie au quotidien, sans elle il sombrerait soit dans le chaos, soit dans la folie, c’est pour vous dire si c’est important… En effet, il lit des livres depuis plus que dix ans maintenant, aussi bien des ouvrages sur l’histoire du monde, des romans ou encore des bouquins remplis de recettes culinaires en tout genre, même des livres sur la médecine pourtant très dur à acquérir, il a du lire sur cet espace de temps, à peu près cinq cent livres différents, mais il lui arrive fréquemment de relire certaines qu’il trouve particulièrement passionnant encore, encore et encore sans s’en lasser un seul instant. Il est comme ça Donald, il ne fait pas attention aux détails non plus, j’entends pas là si le livre est abîmé, sale, mal imprimé ou encore mal relié. Même si les critiques virulentes de certaines œuvres ne leurs sont pas favorables, il les lis avec la plus grande attention quand même, pour lui chaque livre mérite qu’on le lise au moins une fois ne serait-ce que par respect envers la personne qui à suée sang et eau pour l’achever du mieux qu’elle pouvait. D’ailleurs, sa chambre et même son domicile tout entier regorge de livres rangés soigneusement par ordre alphabétique ou encore par date d’impression et il va même jusqu'aux maisons d’éditions. Il est tellement féru de littérature qu’il prend au moins un livre avec lui quand il part de chez lui, toujours et il est également accompagné d’un petit carnet noir et rouge qu’il rouge toujours dans sa poche intérieure droite dans lequel Donald note tout un tas de choses diverses et variées, et vous comprendrez pourquoi très bientôt ah ah ! Et donc, nous allons pouvoir attaquer le deuxième et pas un des moindres vous savez…

Ensuite lui vint l’écriture :

Bien sur, en lisant tout le temps, Donald était évidemment normal que la plume commence peu à peu le démanger. Et une fois, juste comme ça, en regardant par la fenêtre de son bureau, il pris une feuille blanche et un stylo… Il ne savait plus arrêter d’écrire à la fin et passa une journée à écrire toutes sortes de petites nouvelles et autres récits courts, et oui il avait pas mal d’inspiration avec tout ce que Duck avait pu lire jusqu’à présent le bougre ! Chez lui d’ailleurs, il passe au moins une heure et trente minutes chaque jour à l’écriture de son autobiographie et prie chaque jour que Dieu fait pour qu’il puisse un jour la terminer. Vous vous rappelez, tantôt je vous ai brièvement parlé d’un petit carnet vert non ? Et bien c’est là-dedans qu’il note toutes ses idées quand il en a et qu’il n’est pas à son domicile, c’était très pratique comme astuce il fallait bien l’avouer vous ne trouvez pas ? « ça le fait » dit-il quand il termine une de ses nombreuses petites histoires, comme toujours d’ailleurs, cette réplique revient sans cesse. « ça le fait » dit-il quand il termine une de ses nombreuses petites histoires, comme toujours d’ailleurs, cette réplique revient sans cesse. Je crois que je viens de terminer, il n’a pas d’autres passion dans la vie…

Et maintenant, voyons un peu comment il conçoit la vie et quelle est sa façon de la vivre :

Nottingham le bon considère que tous les Hommes sont égaux, aussi bien les pirates que les marines, tous le monde est sur le même pied d’égalité et à le droit de mener une vie paisible, enfin c’est de cette manière utopique qu’il voit les choses, pourtant il ne se voile pas la face et c’est ça qui est très compliqué à comprendre chez lui. Doté d’un grand sens de l’honneur, il ne frapperait jamais un adversaire dans le dos quel qu’il soit, c’est une manière très lâche de l’emporter sur quelqu’un pour lui. Et je pense que tout le monde aussi sera d’accord sur ce point là non ? Mais sa vision de la vie ne se réduit pas qu’à cela, il aime voudrait également que les marines puissant boire autant que les pirates, vivre dans la joie et la bonne humeur. Oui on peut affirmer que c’est cela ça vision de rêve, mais hélas ce n’est ni plus ni moins qu’une chimère après laquelle cela ne sert à rien de courir… Et c’est donc chaque jour qu’il s’applique du mieux qu’il peu à vivre la vie qui lui fut offerte un jour bénit par ses deux parents récemment disparus en mer sur un bateau de plaisance. Devinez un peu quelle est la raison de son entrée dans la marine ? Et bien il espère aussi retrouver un jour ses parents égarés sur le vaste océan du monde. Et aussi, chaque moment de notre existence vaut la peine d’être vécu, j’en suis fortement convaincu…

Il aime…

Tout ce que la vie à a lui offrir de bon et d’amusant, il sait profiter de la moindre chose qui lui est offerte, aussi infime soit-elle, et c’est ça qui rend cet illustre et farouche personnage intriguant et attirant croyez moi, car on ne cesse jamais de le découvrir, même lui ne sait pas encore totalement découvert, tout du moins je pense. La littérature et la lecture ah ah, bien entendu hein mes petits. Il apprécie tout autant les longues discussions, les débats, et les nombreux procès, il est toujours présent, prenant des notes, cherchant l’intrigue d’une nouvelle aventure, un récit policier ou autre. Donald est une personne assez maniaque et aime l’ordre, la discipline dans certaines situations aussi. Il adore la musique Jazz, Donald se relaxe en l’écoutant pendant des heures, il possède d’ailleurs ce merveilleux instrument et en joue dans ses moments perdus, ou bien quand il pense fort à ses parents disparus du jour au lendemain. Se prélasser au lit pendant des heures sans rien faire d’autre, oui c’est l’une de ses activités favorites également, mais se n’est pas un paresseux pour autant hein ! Il sait se tenir un minimum en société. Les pièces de théâtres le fascine, car pour lui, le jeu des acteurs est incroyablement respecté au pied de la lettre, pourtant cela se révèle être d’une grande complexité pour les non initiés, c’est en particulier pour ça que les arts d’expression l’intrigue et le font se remettre en question, il adore cette sensation. Il se passionne pour toute les formes de religions et leurs différentes branches, en particulier celles du christianisme, fort nombreuses, il les met en commun, les compare, et bien d’autres choses encore… L’horticulture, il vient de la découvrir, il s’est acheté quelques ouvrages de référence traitant en long et en large du sujet. Ducky adore les théorèmes des grands mathématiciens du rang de Descartes et Pythagore.

Hélas, on ne peut pas tout aimer dans la vie, c’est impossible…

Donald à toujours eut en horreur les massacres gratuit de certains pirates, prêt à tout pour parvenir à leurs fins, de tels actes sont jugés par lui comme était ignobles. L’érudit déteste aussi porter un jugement sur les gens, bien que pour certaines choses c’est différent. Oui, pourquoi ? Car personne ne peut oser se prendre pour Dieu et cataloguer tout le monde sans avoir aucun scrupules ni remords. L’inconditionnel du français correct ne supporte pas non plus le mensonge, les gens usant fréquemment du « silence qualifié » et toutes les autres manœuvres frauduleuses avec intention de lucre, vous savez ? Les malversations par rapport à sur le dos d’un petit orphelinat ? Ce genre de truc insultant là ouais… L’hypocrisie, la jalousie, la perfidie et autre déchèterie de ce style ne lui plaise guère bien entendu. C’est à peu près tout, mais bon l’être humain n’est ni bon ni mauvais, il fait juste tout pour survivre dans le monde hostile dans lequel il se trouve, c’est ainsi et ce sera comme ça pendant encore très longtemps. Et aussi, une chose peut-être totalement futile, mais il ne songe pas un seul instant à partager sa vie avec quelqu’un, il est beaucoup trop occupé pour cela, il ne conçoit pas cette idée à l’heure actuelle.

Et la cuisine dans tout ça hein ? à table !!!!

Oui, Donald W. Nottingham est aussi très friand de la bonne cuisine, des broonies préparés avec amour et tendresse, du délicieux hachis Parmentier. Les crèmes glacées aromatisées à l’orange sanguine et au citron aussi sont au rendez-vous accompagnées des viandes cuites à point. La boisson, Donald aime particulièrement le thé à l’eucalyptus, qui selon lui a des propriétés curatives contre son rhume chronique. Le poisson grillé aussi fait parti de ses nombreux plats favoris. Les madeleines saupoudrées de cannelle aussi. Et après chaque repas, il mange quelques morceaux de sa tarte aux groseilles, c’est sacré pour lui et peut-être même une institution…

Fruit du Démon :

Niveau 1 : Unlucky Unlucky No Mie : (Paramécie de la malchance) Toutes les personnes étant autour de ce fruit deviennent malchanceux quand ils sont dans le rayon d’action. (Cela touche aussi l'utilisateur). => 1m50 le rayon d'action ^^, c'est mieux je pense.

Techniques Spéciales : Soru ! *bruits de téléportations* puis j'esquive, Soru ! *bruit de téléportations* ( tout ça en ayant la classe bien sur ! ), xD Je rigole Nan, plus sérieusement j'en ai aucune idée x)

Histoire :

Une vie, un récit, une histoire :

La naissance :

Je m’essaye à la première personne pour voir ce que cela peut donner.

Je naquis pour le plus grand bonheur de mes parents sur Nadadas Island, une île située sur la cinquième voie de la route de tous les périls, vous voyez à peu près où c’est non ? Parfait dans ce cas, je vais pouvoir continuer mon récit tranquillement. Pour quiconque n’ayant jamais eu la chance d’avoir un enfant, la sensation que mes géniteurs eurent à ce moment là était indescriptible, impossible à imaginer selon moi. Je fus la plus belle chose qu’il leur arriva dans leur vie, avant, quand il n’étais que deux dans leur maison sans vie, l’ambiance était triste, mon père allait travailler à l’usine de fabrication d’armes à feu le matin, ma mère l’attendait impatiemment le soir, lui préparant de bons petits plats pour le récompenser de son dur labeur. Mais une fois arrivé, je fus, immédiatement l’objet de toute leur attention, au sein de la famille, j’étais le cadeau de Dieu pour eux. Et bien sur, je n’en avais aucunement conscience à ce moment là. Devinez quoi mes amis, ce n’est pas une nouveauté chez les nouveau nés mais bon, j’étais choyé comme pas deux, câliner comme un petit lapin, j’étais bercé toutes les nuits par ma mère, si belle, si sensible, si dévouée pour les deux hommes de sa vie. J’étais bien à ce moment là, et aussi je me sentais très protégé, par ce roc, ce géant inébranlable, ce mur protecteur que représentait mon père, ils étaient sans cesse à mes côtés, toujours présents au moindre de mes cris, au moindre de mes pleurs, au moindre de mes rires. Je me souviens également de cette douce chaleur qui m’enveloppait quand ma très chère mère me portait dans ses bras, je riais, niaisement et naïvement d’ailleurs, comme tous les bébés du reste vous en conviendrez aussi je suppose. Je suppose bien ? Soit, mais ce n’est pas tout, car je me rappelle également de ce jeu, jouer à « dada » avec mon père, j’étais sur ses genoux, je rebondissait et lui chantait, mais ce qui est étrange, c’est que ce jeu pourtant si bête et si enfantin m’amusait.

Vers mes sept ans…

Tout se passa comme cela jusqu’à mes sept ans, mon époque de naïveté était bel et bien terminé, mais ne croyez surtout pas qu’à partir de ce moment là, j’ai commencé à voir la voir d’une toute autre manière hein, mes impressions ne changent pas du jour au lendemain comme cela ne vous méprenez pas là-dessus. A cet âge là, on ne pense pas trop à l’avenir, on est plutôt occupé à jouer aux petites voitures avec ses amis dans la rue devant chez soi, du moins c’est ce que je pense. Moi je n’ai jamais eu d’ami, je ne sortais jamais de chez moi pour tout vous dire, je n’ai jamais la chance de jouer avec des enfants de mon âge, c’est cruel dans un sens… C’est d’ailleurs à sept ans que ma maladie est apparue, mes rhumes chroniques là vous vous souvenez ? Au début, ma mère sur-protectrice était toute affolée, elle ne savait pas quoi faire pour me venir en aide, hors ce n’était rien du tout un rhume mais comprenez là, dans le fond j’étais son seul enfant et me perdre signifierait perdre une partie d’elle et ça, c’était parfaitement inconcevable. Et ce fut comme cela pour tout, si bien qu’elle décida un jour ne pas me laisser sortir en dehors de notre petit jardin, cruelle décision, ne la jugez pas à tord, ce n’était qu’une mère, trop inquiète cependant. Donc, quand je me rendais à l’école… Non, quand elle m’emmenait à l’école plutôt, pour ne pas que je m’égare du chemin, elle venait sans cesse avec moi et elle venait même me chercher à la fin des cours. Donc devinez ce que je faisais durant le temps que j’étais chez moi ? J’étudiais, je ne savais faire que ça, étudier, lire mes carnets encore et encore si bien que je les connaissait de A jusque Z, jusque dans la détérioration de la reliure, si ils étaient mélangés dans vingt mille identiques, je les retrouverai sans le moindre problème, je vous l’affirme, vous mes amis qui me lisez en ce moment. De ce fait j’étais toujours le premier de classe, même les professeurs étaient étonnés que me notes ne baissent jamais et que je connaisse la matière que nous devions aborder à l’avance, au début ce fut assez déroutant pour ces derniers, mais un jour je les demandai en privé pour leur expliquer l’état de ma situation, là, ils purent enfin comprendre et critiquer les méthodes de ma mère, je ne pouvais pas les blâmer pour ça car c’était on ne peut plus normal. Mon père quant à lui ne savait pas s’y opposer, et il n’était pratiquement pas au courant du fait qu’il travaillait presque tout le temps pour subvenir à nos besoins quotidiens. Jusque là, tout était encore parfaitement supportable, sauf le jour où ma pauvre maman trouva l’idée de me faire suivre des cours par correspondance. Là ce fut le bouquet, la cerise sur le gâteau comme on dit souvent hein… Je ne sortais plus que dans l’espace de quatre mètres sur quatre qui nous servait de jardin, mais devinez quoi, les cours par correspondance, j’adorais ça au final car je n’avais même plus à me déplacer, c’était génial comme idée quoi qu’un peu barbare vis-à-vis de mon bien être en tant qu’enfant mais bon, la fin justifie les moyen comme cette femme un peu déroutée disait (ma mère si vous n’avez pas saisi mais j’en doute). Mais mon père dans tout ça ? Vous vous dites sûrement, et bien il paraissait dur à certains moments, mais il essayait à chaque fois qu’il rentrait épuisé de son travail, de persuader sa femme que je n’était pas fait en chocolat, que je devais sortir de cette bulle et m’extérioriser, sinon à l’âge adulte, je serai une larve dans le monde hostile qu’est… L’extérieur, mais ma mère hystérique par moment ne l’écoutait même plus et restait butée sur ce qu’elle avait en tête. C’est triste comme vie de famille. Ce fut comme cela pendant trois longues et interminables années avant que je ne trouve quelque chose qui me passionne réellement, une chose à laquelle je pourrai me rattacher lors des moments difficiles et qui ne me trahirait jamais.

Dix ans, une nouvelle passion…

Oui, en effet comme je vous l’ai fait savoir plus haut dans mon récit, je me suis découvert une passion qui m’aida à tenir bon jusqu’au bout, c'est-à-dire jusqu’à ce que j’atteigne l’âge de ma majorité. Ce hobby pour ainsi dire n’était autre que la lecture, oui en effet et devinez qui m’aida à la découvrir ? Mon illustre père, mon modèle de droiture, il donna à de ces nombreux ouvrages, « Une vie de pirate » écrite par un pirate authentique mais je ne sais plus qui, sûrement quelqu’un de connu à l’époque. J’étais tout heureux, mon père aussi, me voir partager la même passion que lui pour la littérature était le deuxième plus beau cadeau qu’on lui aie offert après ma naissance bien entendu. Avec lui, dans notre petite bibliothèque, nous pouvions rester des heures sans nous parler, sans nous regarder, nos auras suffisaient à nous relier voyez vous, c’est difficile à expliquer comme fait je pense, mais franchement je ne vous mens pas là-dessus, car cela serait mal venu de ma part. Je lisais à force, aussi bien de longs romans que de petites nouvelles. Je suis passé par tous les genres de littérature possible, j’ai commencé par le dramatique, pour passer ensuite dans le style romantique, mais celui-ci me passionnait le moins paradoxalement à mon père. La tragédie, qu’il ne faut pas confondre avec le dramatique, le comique, qui est mon préféré je dois bien l’avouer, et oui j’aime rire… Étonnant non ? Notre complicité se renforçait tous les jours, en particulier quand nous sortions en cachette, lorsque maman se rendait chez des amies et qu’elle nous laissait tous les deux. Où allions nous me demanderez vous, aux séances de dédicaces de grands auteurs qui se déroulaient dans les grandes bibliothèques de la ville dans laquelle nous habitions. L’excuse que mon père employait chaque fois que ma mère demandait pourquoi il y avait deux livres dédicacés et non pas un seul est qu’il en ramenait un pour moi, totalement faux mais crédible. Vous savez, cette petite vie bien tranquille, j’aurais aimé la mener le reste de mon existence, vraiment… Mais il y a certaines choses qui nous en empêchent, comme la disparition de certains proches, des obligations de la vie, c'est-à-dire fonde rune famille, trouver un travail pour vivre décemment, trouver un domicile se chauffer et se laver, enfin ce genre de petites contraintes quoi, et moi, actuellement, j’ai préféré fuir ces contraintes, comme un…Lâche, mais nous avons, chacun notre propre manière de vivre. Pensez ce que vous voulez, je sais que ce n’est peut-être pas la bonne solution, mais c’est comme ça, j’assume mon choix et je n’ai aucun regret.

Quinze ans, une adolescence, une identité…

Oui, comme vous vous en doutez, j’ai eu aussi quinze ans, mais je n’ai pas eu d’adolescence… Comment ? Il est fou ce type ! Non non je vous assure, mais vous allez comprendre très vite. En fait comme je suivais toujours mes cours de correspondance, je ne sortais pas, surtout que à un moment, vers treize ans, mon rhume se transforma en grippe, ma mère failli en mourir vous voyez… Donc elle redoubla de prudence en ne me laissant sortir que deux heures par jour dans le jardin… Non effectivement je n’ai pas pu connaître de premier amour, de premier baiser et tout ce qui s’en suis. J’ai passé mon adolescence dans ma maison, pour tout vous dire, les saisons ne signifient plus rien pour moi… Je n’ai jamais pu faire de bonhomme de neige à cause de ma santé, je n’ai jamais pu faire de sport l’été, et c’est d’ailleurs à cause de cela que je suis devenu un antisportif, mais je ne m’en plains pas du tout, au contraire, quand je vois certaines personnes courir comme des dératés je suis bien heureux de rester tranquille. Et aussi étrange que cela puisse paraître mes amis, je n’en ai pas souffert, non je ne suis pas un monstre, mais les livres m’ont aidé à imaginer ce que c’était, en lisant des histoires romantiques et autres, j’arrivais à me situer. Mon père était vraiment triste au vu de la situation et comment elle avait dégénéré. Il voyait ma très chère mère se détruire, ça lui ruinait aussi la santé. Et pendant quatre ans, je lisais, je lisais de tout, des théorèmes mathématiques, des scénarios de pièces de théâtres, mes livres d’école, français, histoire et la géographie. J’allais même jusqu’à feuilleter les ouvrages qui traitaient de la cuisine que possédait ma maman. Un taré ? Non, je dis passionné. Mais ne vous trompez surtout pas, nous recevions de la visite, beaucoup en réalité, nos voisins, notre famille, dont ma tante un peu agoraphobe, syndrome familial sans doute… Je me mettais aussi à la fenêtre de ma chambre qui donnait sur la rue, en cachette je discutais avec les passant qui me connaissaient très bien à force, ils savaient pour moi et ma famille. Durant toutes ces années, ma chambre à du être agrandie pour pouvoir contenir tous mes bouquins, car notre modeste bibliothèque n’était pas assez spacieuse. Quand nous sortions avec mon père également, nous allions aux concerts de Jazz, d’où je revenais heureux comme un enfant et son nounours préféré. Pour mon dix-huitième anniversaire, mon père m’offrit un merveilleux cadeau… Des leçons de saxophone avec un grand nom du Jazz, très connu sur ma petite île. Et d’ailleurs, sans me vanter, à l’heure actuelle je me débrouille assez bien. J’ai parfaitement assimilé les bases, forcément ah ah ! Je n’avais que ça à faire de toute manière…

Le choc…

C’était un Samedi, le deuxième du moi de Février… Mes parents étaient partis trois jours avant en croisière grâce à une tombola qui fut organisée dans mon village. Oui, comme vous vous en doutez sûrement, je sors dehors maintenant, je peux car ma très chère mère réalisa qu’elle m’avait fait beaucoup de mal en plus de dix ans, je ne lui en veut pas, ce n’est qu’une mère voulant protéger ce qu’elle a de plus précieux au monde. Mais ne croyez pas que je me suis fais des amis, non aucun car je suis resté cloisonné chez moi la plus part du temps, sauf pour assister aux concerts et aux dédicaces avec mon père, qui fut toujours présent à mes côtés dans les moments difficiles. Pourquoi « Le choc… » comme titre de ce dernier paragraphe ? C’est simple. Mes parents tardaient à rentrer, en effet, quatre jours qu’ils devraient être là normalement, mais rien. Moi naïvement, je pensais qu’ils étaient partis s’amuser ailleurs quelques jours de plus mais non… Il y avait une vieille pendule encore en état de marche au dessus de notre porte, il était 23h54, je m’en rappelle très bien, je fus réveillé en pleine nuit par des « toc toc », quelqu’un frappait ardemment à ma porte. A 23h55, j’ouvris, et la deux membres de la Marine deux sergents apparemment, l’un deux, le plus vieux et plus expérimenté prit la parole d’une voix solennelle, ce qu’il me dit, je m’en rappellerai jusqu’à ma mort : « Monsieur Nottingham Junior ? » Je lui répondit d’un simple « oui », il répliqua ensuite : « Je suis conscient que c’est dur à admettre, mais le bateau *Black Sunday* où se trouvaient Mr&Mme Nottingham, vos parents n’est pas revenu au port, nous l’avons cherché sans succès. Désolé du dérangement, et toutes nos condoléances, au revoir… ». Il avait été froid et direct avec moi, son collègue n’osa pas me regarder dans les yeux, lui avait lu son papier, il venait de m’annoncer la disparition tragique de mes parents, j’étais déboussolé, j’hurlais au désespoir, je retournais tout furieusement dans la maison, j’arrachais frénétiquement mes vêtements, je pleurais, je sanglotais comme un enfant. Les ustensiles de cuisines avaient valsés dans les murs, des livres étaient étalés au sol, je me cognait la tête au sol en pleurant, j’avais peur, j’avais mal, je souffrais, mais personne n’étais là pour Donald, personne pour le consoler, personne pour le protéger, rien. Mon front saignait, mes larmes ne cessaient de couler, j’étais dans un état lamentable, un faible. Mais à 23h55, quelque chose se brisa en moi, j’ai pu le sentir. C’est à ce moment précis que j’ai pu réaliser à quel point la vie pouvait se montrer cruelle envers certains, j’avais sous-estimé la vie, elle rie encore de moi maintenant. Au moment où j’écris, je suis entrain de tâcher les feuilles de ce cahier de mes larmes, aujourd’hui j’ai vingt ans, cela fait un an que je suis entré au sein de la Marine non pas par conviction, mais car c’était le seul moyen de les retrouver, je cours vainement après une chimère… Ne me jugez pas trop vite s’il vous plaît, et surtout ne faites pas les mêmes erreurs que moi.

Donald W. Nottingham

En cours de rédaction...

Rêve / But : Être validé sur https://onepiecerpg.forums-actifs.net/
Plus sérieusement, son véritable but dans la vie est de retrouver ses parents...

Fruit du Démon : Niveau 1 : Unlucky Unlucky No Mie : (Paramécie de la malchance) Toutes les personnes étant autour de ce fruit deviennent malchanceux quand ils sont dans le rayon d’action. (Cela touche aussi l'utilisateur). => 1m50 le rayon d'action ^^, c'est mieux je pense.

=> J'accepte la définition, déjà

Je tiens à dire que pour cette présentation et le peu que j'ai lu, on peut t'accorder beaucoup plus haut comme lvl. On attends la suite.

Post RP :

Une journée de malchance, dur dur…

Coucou ! C’est moi le Narrateur, oui si vous vous souvenez pas je suis la voix off vous ayant dépeint Donald physiquement et mentalement… Bon, maintenant que vous venez de percuter on va pouvoir entrer dans le vif du sujet… Oui, je vais vous décrire une journée « à la Donald » ça va le faire comme il à l’habitude de le dire hein ? Bien…

C’est le matin, les oiseaux chantent sur le rebord de la fenêtre de la maison de Donald en rythme, en effet il n’a pas investi dans un réveil matin, les oiseaux suffisent amplement à le réveiller en douceur tous les matins. Aujourd’hui, le marine était en congé et donc avait décidé de se prélasser chez lui comme un pacha, ce qui ne lui était pas arrivé depuis un certain temps. Il y a quelques temps, Donald avait fait le marché et eu un fruit étrange dans son panier, on ne sait pas pourquoi. Mais il le mangea comme si de rien était, et du jour au lendemain il était constamment accablé par la malchance vous voyez… Il mangea par accident le Unlucky Unlucky no mie, le fruit du démon avec pour caractéristique la paramécie de la malchance qui n’était pas très avantageux, de plus il ne savait pas contrôler son fruit, et donc la malchance émanait tout le temps à un mètre cinquante de lui. Donald ne fut vraiment pas gâté sur ce coup là, mais ne vous en faites pas pour lui, maintenant il contrôle plus ou moins bien cette capacité fort impopulaire. Au bureau, notre savant fut l’objet de nombreuses interrogations et de blâmes, suite à ce qu’il provoquait, et même quand se n’était pas de sa faute, la responsabilité, c’était toujours pour la pomme de Donald. Donc, dix heures, parfait Donald se lève mais toujours tête en l’air au réveil, il se prend le lustre assez bas, et retombe sur son oreiller douillé avec une grosse marque rouge sur le front, et un mal de tête passager. Ensuite il déjeune bien tranquillement, jusqu’à ce que comme à chaque fois, il renverse son lait sur lui, Donald joue de malchance le pauvre… Il y en a terre, ce dernier se lève brusquement, trébuche sur le lait, s’accroche à la nappe verte clair de sa table à manger et fout tout à terre, sa journée commence mais « ça va le faire » selon lui toujours.

Il se lèvre laborieusement, nettoie tout du mieux qu’il peut et fonce à la salle de bains, pour se laver évidemment, bande de sales va, je vous vois venir hein ! Ensuite, contrairement à se que vous pensez, il ne lui ai jamais arrivé d’accident. Oh ! Comment cela se peut-il ? Et bien pour la simple et bonne raison qu’il avait cloué trois fers à cheval sur la porte de la pièce, oui il était très prudent maintenant ce type, car les accidents graves sont vites arrivés. Une fois habillé et tout propre, il sort de la salle de bain, se dirige vers son divan rouge, s’assi, prend un livre, et commence à le lire, puis les autres suivent également. Voilà, à peu près une de ses journées de congés.

Désolé j'avais vraiment plus d'idées là xD, mais j'espère que cela vous suffira pour me valider.

BONNE LECTURE

Validé, attends une deuxième validation.

J'aimerai savoir un truc avant, il me semblait que tu voulais pas le grade le plus haut possible. Tu peux me confirmer avant de valider ?

Non, je voulais pas genre être amiral le plus boosté.

Met moi le grade que selon toi je mérite véritablement ^^

Je valide

Merci, mais bon

Le fruit, le grade etc tu ne donnes pas encore ?

» [Non terminé] Bonjour! Je vais essaier...
» Lady Lenore : L'Histoire d'Un Talent [ Terminé, bien évidemment ] [Deuxième Validation S.V.P.]
» Il en reste ? Bon... Tuons-les.
» Kanhoji Angre
» Un petit bonjour !!