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 Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé]

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Godwrath D. Alexander
Sam
6 participants
AuteurMessage
Sam
Ecumeur des flots
Ecumeur des flots
Sam


Profil Psy : Un Gros Bourrin Sympathique
Nombre de messages : 135
Age : 35
Fruit du Démon : Grand line. Voie 4

[Feuille de personnage]
• Renommée: 1940
• Wanted: 76 000 000
• Grade dans la Marine: /

Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé] Empty
MessageSujet: Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé]   Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé] EmptySam 17 Avr 2010 - 18:40


Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé] Texthu

Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé] Samm



  • Nom & Prenom : Sam Goss
  • Pseudonyme : The Badass Lumberjack
  • Age : 31
  • Race : Humain
  • Fruit du Démon : Neko Neko no mie (lion) [niveau 5]
  • Rêve / But : Découvrir la plus solide variété de bois et la réduire en cures-dents afin de prouver qu’il est bien le plus grand bûcheron au monde. Rafler au passage le titre de plus grand bagarreur.
  • Occupation : Pirate
  • Métier : Bucheron / charpentier




Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé] Eeole


  • Physique :

    Le fait que les gens aux proportions habituelles aient à s’adresser au nombril de Sam lorsque celui-ci est debout à coté d’eux, ce n’est finalement pas si important que ça. Très jeune, déjà, il émanait de notre ami Bûcheron une impression de puissance à l’état brut. Alors qu’il n’en était encore qu’à l’âge où le tracas quotidiens des gamins normaux convergent autours de l’arrivée de nouveaux chicots dans le coin de la bouche, Sam lui, se servait d’une tétine où de toute autre masse contondante –in potencia- pour démonter méthodiquement son berceau avant d’aller entamer le reste du mobilier auquel il avait accès. Tenez le donc pour dit : la taille ne fait rien. Enfin si, bien sur ; elle aide.
    Ne nous arrêtons pas en si bon chemin. La proportion verticale étonnante de Sam est une chose, le fait que les deux autres dimensions suivent derrière en est une autre. Car oui, le bonhomme est aussi grand qu’il est large et épais. Sur une métaphorique perspective en X Y Z, Sam serait une ligne parfaitement droite et constante. Ses proportions sont, dans l’ensemble assez correctes et, sans être une grosse barrique sur patte, ce n’est pas non plus un bout de ficelle. Lui se juge à 300 kilos près d’un maigrichon, les gens en général, l’estiment à un demi-éléphant d’un éléphant complet. Du reste, son physique reflète assez bien son hygiène de vie. Le bonhomme a de l’embonpoint et un buffet bien garnit. Son allure générale laisse à penser –à juste titre- qu’il est friand de viande rouge saucée à bloque et son ventre à bière porte bien son nom. De manière générale, la silhouette de Sam impose le respect où à la rigueur une certaine magnanimité forcée. Il serait réducteur de le comparer à de simples bodybuilders testostéronés à outrance étant donné que son corps est un mélange parfaitement dosé de muscles et de graisse. En outre, Sam fume et picole respectivement comme un pompier et un … autre pompier alcoolo, ce qui, tout le monde le sait, laisse des traces d’un point de vue diététique. Dans l’ensemble donc, Sam a la parfaite silhouette du bon vivant qui s’assume.
    A ce stade du portrait, tout le monde pourra prétendre avoir cerné le gaillard ne serait-ce que par son allure générale. Eh bien ce qui suit vous confortera dans votre avis.

    L’une des particularités physiques qui fait de Sam quelqu’un de communicatif et donc plus ou moins charismatique, c’est son sourcil. Eh oui, au singulier. Comprenons bien, ce sourcil là est doué de parole … ou tout comme à la rigueur. Lorsqu’il se fronce, le sourcil dit : ‘c’est comme ça et pas autrement’, auquel cas la plupart se pressent à répondre –en fixant le sourcil plus que les yeux callés en dessous du reste- ‘Oui Monsieur’. Et ainsi de suite (ne vous en faites pas, le traducteur français/sourcil, sourcil/français est en chemin). De manière générale, le sourcil à tendance à accompagner toute mimique faciale –joie, colère, effrois (quoique rarement) et tout le tremblement- pour en accentuer le sens.
    Rapport à son mode de vie plutôt animé, Sam à le visage drôlement buriné pour quelqu’un de son âge. Sa peau est parcheminée et cornée en plus d’être parsemée de rides. Sa bouche peut atteindre des proportions insoupçonnées lorsqu’il rie/chante/hurle à gorge déployée. Quelque unes de ses dents sont aux abonnés absents mais il ne s’en soutit guère –tout du moins pas plus que les restantes dont la couleur en dit long sur le sujet-. Sam est, en outre, pourvu d’une magnifique barbe burne et drue, taillées en demi-cercle (car oui, passé un certain stade, on abandonne l’emploi du verbe ‘couper’ au profit de la ‘taille’. Un coupe ongle coupe les ongles, un taille-haie, taille les haies.). Ladite barbe, remontant jusqu’aux oreilles, se fond avec ses cheveux, également taillés en demi cercle, donnant à l’ensemble un aspect de crinière, si tant est que les lions n’aient le monopole de cette appellation. Du reste, Sam jouit d’épaules robustes, chacune d’elle soutenant deux gros jambon comme autant de sac de frappe. Ses mains sont tout bonnement gargantuesques et lui permettent d’agripper n’importe qui par n’importe quelle partie du corps sans trop de gène. A l’image du reste, Sam possède le torse d’une statue grecque –en plus poilu et moins nu-, surplombant un ventre à bière souvent prompt à déborder de ce qui le recouvre.

    Au niveau vestimentaire, Sam n’a jamais vraiment été étouffé par l’originalité. Il se contente d’une énorme chemise rouge carrelée, dans la plus pure tradition bûcheronne, et dont il retourne les manches en diverses occasions (soit : boire, se battre et couper du bois. Les trois activités dont il juge qu’elles méritent de se retrousser les manches) et d’un pantalon épais de toile noir et usé. Il n’est pas adepte des bijouteries et autres véroleries par ailleurs très coûteuses. Et puis, dit il, « c’est pas correct de taper un gars avec une bague. ».



  • Caractère :

    Premièrement, engageons le portrait en annonçant tout de suite la couleur : Sam est un pirate dans l’âme. Quoiqu’il ait toujours montré plus d’affinité avec la terre qu’avec l’eau en général, il n’en reste pas moins un vrai baroudeur des mers. Il aime le rhum, les bonnes bagarres et le pillage. Attention cependant. Sam aime le pillage mais pas forcément l’argent. C’est l’acte dans son essence qui est une fin en soit. Du reste, Sam voit l’argent comme une choppe vide, ou un porte-jarretelles sans rien en dessous. Ce n’est pas le fait d’en avoir qui permet de boire ou de s’amuser avec. Pour cela, il faut évidement un gars derrière le comptoir pour remplir la choppe et/ou une fille pour retirer ses habits. L’argent est un moyen comme un autre de convaincre le type ou la fille de s’exécuter. Du reste, Sam aime évidement chanter/brailler/hurler indiciblement selon son état d’ivresse. Malgré ces pratiques souvent cataloguées, Sam n’est pas un mauvais bougre. Il ne fait jamais rien par méchanceté et ce que l’on pourrait prendre pour de la barbarie parfois, n’est en fait que l’aboutissant d’une vision du monde simpliste et utopique où tout le monde se sert là ou ça lui chante.

    Le doute de soi élevait rarement des objections sous le crâne de Sam. Quand on s’efforce de transporter une jeune vestale qui se débat et un sac de butin d’une main tout en repoussant une douzaine de marines de l’autre, il reste peu de temps pour la réflexion. La sélection naturelle s’arrange pour que les pirates qui se posent à un moment crucial des questions du genre « c’est quoi, mon but dans la vie ? » soient vite privés des deux. De toute manière, Sam, qui à autant de jugeotte qu’un panier de radis, s’est toujours retrouvé immunisé à quelque forme de réflexion poussive que ce soit. Quand il se bat, il n'est pas homme à pinailler sur les détails. Lorsqu'il tombe sur un géant, il tape plus haut que d'ordinaire c'est tout. Et contre un ennemi supérieur en nombre, il se débrouille pour optimiser chacun de ses assauts, par exemple en balançant un gars sur un tas d'autre gars. Sam n'a jamais reculé devant un combat. D'abord parce qu'il en est souvent la cause, et qu'en dépit de ses mauvaises manière, il tient à assumer ses actes et, en quelque sorte, récolter ce qu'il à semé, ensuite parce que, question logistique, il sait que tourner le dos à un ennemis n'a jamais rien apporté de bon, si tant est que les poignards dans l'omoplate soient considérés comme néfaste d'un point de vue médical.
    Sam a aussi ses bons cotés. S’il ne voit aucune raison de vous mettre en pièce à renfort de parpaings, par exemple parce que vous l’empêchiez de se rendre quelque part, c’est un bon compagnon. Il ne s’embarrasse pas trop de questions. En ce qui le concerne, les gens apparaissent et disparaissent. Quand il revoit quelqu’un au bout de cinq ans, il se contente de dire : « Oh, c’est toi. » Jamais il n’ajoutera : « Et comment ça va ? ». L’autre est vivant, il est sur pied, fin de la saga en ce qui le concerne. Du même coup, il n'est que très rarement sujet à la nostalgie et, de manière générale, tout sentiment qui pourrait ébranler sa combativité et sa bonne humeur.
    En matière d’argent, Sam donne la très nette impression que plusieurs millénaires d’évolution constante en matière de propriété fiscale lui sont passés au-dessus de la tête. Au terme de mémorables altercations, il fut prouvé que personne ne pouvait faire entendre à Sam que l’argent pouvait parfois légitimement appartenir à autrui. Une idée qu’il savait évidement exacte en théorie. Les marchands, par exemple, ont toujours de l’argent. Mais lui trouvait anormal que cet argent leur appartienne ; il appartient à qui le leur prend. Les marchands ne le possèdent pas vraiment, ils s’en occupent jusqu’à ce qu’on en ait besoin.
    Sam entre dans la vie des gens comme une planète excentrique dans un système solaire paisible, et on se sentait entraîné pour la simple raison que rien de tel ne se reproduirait jamais plus. Peut-être s’agit-il de ce qu’on appel le charisme. Ca domine son odeur habituelle de chèvre qui vient de manger des asperges au curry. Sam avait toujours tout fait de travers. Il injurie les gens et emploi ce que ses comparses tiennent pour un langage extrêmement injurieux envers les étrangers. Il hurle des mots pour lesquels tout autre que lui –toute personne de taille normale s’entend- se ferait égorger gratis par diverses armes ethniques d’un grand intérêt, et il s’en sortait toujours indemne, en partie parce qu’il n’y voyait manifestement pas malice.
    Malgré les apparences, Sal est un homme remarquablement honnête. Il est tout bonnement incapable de comprend la bravoure superflue. Sont à éviter les phrases toutes faites du genre « Plutôt mourir que trahir la marine » ou « Va-y, essaye toujours ! », à moins de penser vraiment, mais vraiment, ce que l’on dit.
    Outre son honnêteté, Sam est pourvu d'un grand 'sens de l'honneur' -les guillemets sont là pour indiquer qu'il n'a pas manqué de l'agrémenter à sa sauce- dès qu'il s'agit de combattre. Il ne fait appel à son fruit du démon que lorsqu'il est conscient d'un réèl danger ou, à la rigueur pour planter ses griffes dans un tocard qui le mérite bien. N'y voyez pas là une marque de prétention hautaine du genre "Je n'y vais à fond que contre les adversaires qui le méritent". Seulement, Sam est bien conscient que son fruit du démon lui confère une puissance considérable qu'il est malvenue d'utiliser dans un combat amical. Grossièrement, il appellerai ça de la triche. Selon lui, ces fruits du démons sont bien pratique dans certaines situations où il s'agit de sauver sa peau, mais en brave gars, il préfère de loin se battre à la régulière -avec poings dans la tronche, pieds dans l'aine, tables contre le crane et bien d'autres choses à bien d'autres endroits encore- . Et bien qu'il apprécie à l'occasion de tomber sur un autre zoan pour y faire un bras/patte/sabot/tentacule de fer, il exècre ceux qui défouraillent leurs pouvoir pour un ci ou pour un mi. D'ailleurs, il déteste plus que tout les Logia qui, dit-il, ne sont vraiment pas fair-play ni franchement courageux.



  • Histoire :

    Sam Goss the Badass Lumberjack [terminé] Soussam