L'apparence physique est la première impression que vous donnez aux personnes qui vous entourent. Le physique correspond à vos idées propres. Rebelle, serait le mot qui qualifierait le mieux notre héroïne, si on peut l'appeler ainsi …
Commençons par le commencement. Elle porte l’illustre nom de Yoko Alafrenbouaz, un nom de riche vous en conviendrez, hors elle n’est pas si riche que ça, au contraire, elle est même plutôt sans le moindre sous quelques fois… Mais pour en revenir à sa description.. Yoko Alafrenbouaz est une jeune femme de 1mètres73 et pèse 55 kilos. Cette femme, à la peau ambrée, est une adepte du combat comme le prouve sa musculature, très légèrement dessinée. Elle combat régulièrement après des virées au bar, son lieu d'attache fétiche. Sa morphologie semble n'être jamais destinée à changer, elle est comme ça, elle ne bougera plus d'un poil. Ses bras ainsi que ses jambes sont tout à fait normaux : musclés, mais sans plus. Ses membres et son corps sont dotés d'une très grande souplesse. Yoko est souple au point de faire un grand écart dans les airs lors d'un saut majestueux. Cette fille manie son corps au-delà de l'extrême, c'est une véritable acrobate. Elle a également un tatouage dessiné sur la fesse droite. Les S couchés représentent des vagues. Au centre se trouve un soleil bordé par des ailes. Ce tatouage désigne la liberté.
Maintenant on va décrire son visage ou plutôt le détailler. Yoko a un visage d'ange, caché sous le maquillage qu'elle dépose généralement outrancièrement tous les matins. Ses deux yeux de couleur doré, cerclés de noir, sont très peu communs en ce monde. Son nez, légèrement retroussé... Passons à sa bouche, une bouche pulpeuse. Un lège rouge à lèvre de rouge claire est déposé sur ses lèvres de la même couleur que sa chevelure, qui lui tombe sur le visage. En parlant de cheveux, à ce niveau la, la jeune femme est unique en son genre, la chevelure de notre jeune héroïne est de couleur rouge se qui est très rare. Ses cheveux sont coiffés de façon à faire une longue queue de cheval, avec des mèche qui lui cache souvent la vue, mais cela lui donne un style naturel, ce style qui lui va à merveille.
Enfin nous allons passer au côté vestimentaire de notre jeune Yoko. Commençons par le haut de son corps. Sur le haut de sa tête, Yoko y installe souvent des lunettes orange. Ces lunettes, lui sont utiles lorsqu'elle utilise son fusil sniper ou encore les capacités de son fruit du démon. Utiliser une telle arme sans protection pour ses jolies petit yeux risquerai en effet de l'aveugler par moments. Elle accroche à son oreille gauche trois boucles d'oreille en or. Descendons un petit peu. Yoko porte un bikini noir avec pour motif de petite flamme rouge mettant en évidence sa poitrine plus que généreuse. Ce bikini laisse le bas de son ventre à l'air libre. On peut donc apercevoir un piercing situé au niveau du nombril. Par-dessus le bikini elle porte un manteau marron beige. Le manteau en lui-même est assez basique et assez long, mais aux niveaux des manches assez court, laissant ses avant-bras nus. Sur ses avant bras, des gros bracelets de couleurs noir avec plusieurs petite perles doré. Maintenant passons aux mains de notre héroïne. Sur ses deux mains elle porte des gants noire laissant ses doigts à l'air libre. Yoko est une folle de bijoux ! Descendons encore plus bas. En guise de bas elle porte un mini-short de couleur noire, qui grâce à une ceinture de couleur argenté avec des pics, à boucle argenté sied parfaitement à son corps. Elle porte également des collants de couleur violet et ses pieds sont enfouis dans des bottes à tallons blanche avec des motifs rouge.
Description Psychologique :
[i]
L'esprit est ce qui définie au mieux une personne, ce qui explique ses actes, qui donne un sens à toutes choses... Extraverti, introverti, maladroit, doué, tous ces traits caractéristiques font d'une personne ce qu'elle est, chacun se cherche puis se découvre... Telle est l'obligation pour vivre.
Dans certain endroit culturel comme les bibliothèques où les salles de classes, le sérieux, la rigueur, la concentration sont des qualités que les personnes côtoyant ces lieux doivent avoir. Et bien ce petit bout d'choux qu'est Yoko c'est complètement l'opposé. C'est un peu comme comparer un chat et un chien, encore là on pourrait trouver des similitudes. Cette jeune femme indomptable et totalement ..... Comment dire, déganté excentrique et amoureux de la vie, Yoko est une grosse fêtarde d'une bonne humeur constante et d'une envie de découvrir de nouvelles choses sans limite. La curiosité est un vilain défaut disent certaine personnes, et bien elle a comprit pourquoi ce dicton s'applique la plus part du temps. elle c'est mise plusieurs fois dans des positions plus que délicates. La jeunesse est le moment où le caractère d'une personne se forge, et pour ce qui est de la jeunesse de cette débrouillarde de Yoko elle n'a pas été de tout repos. Ses ennuis à répétition ont fait de lui une jeune femme de caractère et plutôt de caractère bien trempé si vous voyez se que je veux dire. Yoko Alafrenbouaz est le genre de femme à partir au quart de tour, elle s'énerve rapidement. La jeune fille aux cheveux rougeâtre a horreur qu'on la traite de petite. Malgré ses airs de jeune adolescente vagabond elle sait être sérieux et attentionné même si cela reste très très rare... Grand sensible cependant, elle ne lui arrivera jamais de tuer des innocents, de les exploiter comme le font certains "pirates", elle c'est toujours juré d'aider les gens dans le besoin et de ne punir que les "méchants"... Pour cela Yoko est une pirate hors normes... Bien qu'elle soit pirate, elle n'a rien contre la Marine, après tout ils font leur boulot, cependant la jeune femme considère comme son ennemi celui qu'il oserait l'attaquer, son bateau, elle, ou encore un de ses proches...
______■ ■Histoire__
Une Unification :
Le mariage de la famille « Koyo. » remonte à 19ans avant la naissance de notre héroïne. Un jour où la fureur et les larmes des dieux tombaient en abondance sur les Mers Bleue, un mariage allait débuter sur une petite ile paisible du nom de Fushia Town. Cette ile pacifique où tous est paisible, une ile où il n’y a pas de place pour la guerre, Fushia Town est une île paradisiaque une des plus belles îles du monde avec ses plages de sable fin et son eau bleu turquoise. Elle abrite quelques criques bien camouflées et un climat très humide et fleurie. William Koyo ainsi que Anne Batté, un couple tout à fait banal allait se marier sous la pluie causé par les dieux en personnes, un moment inoubliable pour toutes les personnes présente si tenté y en avait il. Cette célébration où il n’y avait aucun témoin, juste l’homme qui allait célébrer ce mariage, un prêtre d'une cinquantaine d'année remplit de bonté et d'honneur à l'idée de marier ces deux âmes et d'empocher un petit butin. L’homme de foie était en plein récital de la sainte bible. Le temps semblait long aux deux amants quand au bout d’une bonne quinzaine de minutes le prêtre passa au moment clef de tout bon mariage, la phrase culte qui met un terme au moment sacré d’un mariage, qui soude deux personnes ensemble pour l'éternité et devant l'être supérieur qu'est le dieu. En s’adressant à William Koyo, il reprit son souffle et lui laissa le plaisir d'entendre la douceur phrase que tout marié redoute à quelques secondes du oui artificiel: «Veux-tu prendre cette femme pour épouse légitime, et vivre avec elle selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, la consoleras-tu, l'honoreras-tu, dans la maladie, comme dans la santé, et renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?» Voila ce qui sortait de la bouche de la personne qui dévouait sa propre vie à dieux son père, puis d’un ton très gêné, timide, William laissa échapper un petit oui de sa bouche. A ce moment même les petites et magnifiques joues de Anne Batté prirent un teint rougeâtre, elle aussi était gêné et confuse heureuse que son homme ai répondu favorablement. Le prêtre pencha sa tête en direction de l’heureuse élue citant un autre petit paragraphe de sa bible, «Consens-tu à prendre cet homme pour époux légitime, à vivre avec lui selon la loi de Dieu, dans le saint état du mariage? L'aimeras-tu, le consoleras-tu, l'honoreras-tu, le garderas-tu, dans la maladie comme dans la santé, et, renonçant à toute autre union, lui resteras-tu fidèle jusqu'à la mort?» La jeune femme ce mit à sourire bêtement puis elle regarda son mari droit dans les yeux en disant ce oui que tout le monde connait mais obligatoire pour seller sa vie avec son être aimé, «Oui je le veux…» Le couple s’échangea les bagues, ainsi le prêtre continua de réciter la bible les yeux et les bras vers le ciel, «dieux éternel, créateur et conservateur de toute l'humanité, dispensateur de toute grâce spirituelle, auteur même de la vie éternelle, bénis tes serviteurs, cet homme et cette femme que nous bénissons en ton nom; qu'ils puissent, sans défaillance, accomplir et garder le vœu et l'engagement qu'ils viennent d'échanger mutuellement et dont cet anneau, donné et accepté, est le symbole et le gage, qu'ils demeurent toujours ensemble, dans la paix et l'amour, parfaits, et qu'ils vivent selon tes lois. Amen». Temps de parole pour unir deux personnes et leurs souhaiter de vivre heureux et de s'en sortir, pourquoi les gens croient en ces choses là? Personne ne serait le dire mais tout ceci fait tenir l'humanité. La pluie continuait de s’abattre sur l’île paradisiaque où le mariage se déroulait, mais ce moment magique entre l’époux et l’épouse allait prendre fin, le jeune homme et la jeune femme ce rapprochaient l'un de l'autre. Leurs cœur battait une douce mélodie, une mélodie liant le plaisir et la passion, ils s’enlacèrent collant leurs douces lèvres les unes contre les autres. Un long et magnifique baiser qui signifiait leur amour clôtura ce mariage, la pluie dégoulinait le long de leurs corps rendant ce moment beaucoup plus magique pour ce couple qui venait de s’unir pour toujours. Le baiser finit ils s'enfuirent mains dans la mains loin de ce lieu en direction de leur maison où ils pourraient passer un moment très intime…Arrivé chez eux William attrapa sa femme par les jambes puis il la porta, il montait les escaliers, puis marchait dans un long couloir pour se rendre dans la chambre. La maison était chaude et sentait bon, on pouvait sentir tellement de bonne humeur qu'on pourrait se laisser tenter et s'endormir sur le sol. Arrivé dans la chambre, il jeta sa femme sur son lit puis quelque seconde plus tard alla la rejoindre…Il frôla le corps de sa femme avec sa main sensuellement, déposant ses lèvres sur le cou d'Anne pour lui faire de petit bisous tendrement et la faire frissonner de ce plaisir intense de la première nuit. Part la suite il l’embrassa langoureusement, Anne se laissait faire elle aimait plus que tout que son homme fasse tout le travail…Tout cela ne dura pas longtemps, la nuit commencé à tomber dru en ce soir de pleine lune rendant de plus en plus romantique cette nuit plutôt mouvementée pour ce couple. William voulait passer aux choses sérieuse, par contre Anne n’était pas prête elle ne se sentait pas du tout prête, comme tout homme en ce temps il força un peu la chose l'obligeant à laisser son corps à son mari. William fit l’amour à sa femme toute la nuit, la jeune femme s’endormit au côté de son homme qui lui aussi en fit de même. Le lendemain un rayon de soleil traversa la pièce, atterrissant en plein sur le couple qui dormait causa le réveil de Madame Anne Koyo, oui après le mariage cette jeune femme venait de perdre son nom de jeune fille…A peine réveillé elle décida de descendre à la cuisine préparer le petit déjeuné pour son mari. Elle arriva dans la cuisine, ouvrit le frigo d'un geste vif et pressé, attrapa du lait puis referma le frigo pour ensuite prendre un bol qui se trouvait dans un des placards au dessus de sa tête. Elle versa tendrement le lait dans le bol, puis elle posa le bol sur la table. Elle préparait le petit déjeuner de façon à ce que le premier petit déjeuné avec son homme soit parfait. William se réveilla 10 minutes après sa femme, il se leva du lit en caleçon puis il descendit l’escalier pour se rendre dans la même pièce que sa bien aimée. Arrivé dans la cuisine il fit un câlin matinal à sa femme puis déjeuna. Après le petit déjeuné William parti sans dire un mot à sa femme, il se rendit au quai Fushia Town où un bateau l’attendait, plus précisément un navire pirate. Ce navire pirate avait accosté sur cette île pour une seule raison, le capitaine de ce navire n’était autre que William Koyo. La jeune marier ne savait pas encore que son mari n’allait plus jamais revenir chez elle…Cela faisait déjà un jour qu’il n’était pas revenu, Anne Koyocommençait à s’inquiéter, mais elle ne le montrait pas…Puis une semaine défila sans son mari, la elle commençait à s’inquiéter surtout qu’il ne l’avait jamais laissé seule, la jeune Anne ce rendait au village Fushia Town pour demander à tous les villageois s’ils n’avaient pas aperçus William, mais les villageois n’avaient aucune réponse positifs à lui donner, la jeune femme qui se trouvait en plein milieux d’une ruelle tomba sur ses genoux en larme. Elle ne pouvait pas s’imaginer que son mari l’avait abandonné peu de temps après leur mariage, cela ne pouvait pas être possible pour elle de s’imaginer une telle hypothèse qui était pourtant bien réelle. Une vielle femme qui passait par là0 s’approcha d’Anne pour voir ce qui n’allait pas chez la jeune marié. La belle et habituellement douce Anne la refoula, elle ne voulait aucune aide, elle n’arrivait pas à voir la réalité en face. Mais cette senior se sentait plus que mal à l’aise, elle attrapa Anne à l’aide de ses petits bras fébriles et la colla contre sa poitrine. Anne pleurait toutes les larmes de son corps. Toute cette histoire dura une bonne demi heure, la vielle dame qui se nommait Jeanne décida de ramener la marié déchut chez elle pour l’aider à ce remettre en forme suite au départ de l'homme de la maison. Arrivé chez elle Jeanne prépara le repas du soir pendant qu'Anne profita du moment pour dévoiler tous ce qu’elle avait sur le cœur, dévoiler la haine qu’elle éprouvait en vers cet homme qui venait de l’abandonner sans même un mot…Jeanne écoutait attentivement tous ce que la pauvre femme lui narrait, elle ne lui répondait pas, elle laissait la jeune femme tout dévoiler ce qui lui brisait le cœur. Les jours passèrent, les semaines aussi, Anne restait vivre chez la vielle Jeanne, il y avait une relation très familiale entre ces deux femmes, comme une relation mère et fille. Jusqu’aux jours où le ventre d’Anne commencé a grossir… Oui…Le soir où ce Diable de William fit l’amour à notre jeune mère n'était pas sans but… Il l'avait fait pour assouvir ses envies mais aussi pour perpétuer sa ligné. En effet Anne était tombé enceinte, lui apportant joie et bonheur que toute femme rêve d’avoir une fois dans a vie. Le moment d’Anne était arrivé, elle allait accoucher! Un seul problème subsistait, dans un petit village les médecins se font rare…La vieille femme l'aida comme elle put pour mettre au monde sa progéniture. Après de longues heure de cris et de douleurs, un enfant naquis, Jeanne annonça à la mère que c’était un petit garçon. Sur le visage d’Anne un sourire se dessina, difficilement elle épela un prénom, Y.O.K.O Voila comment le jeune garçon allait s’appeler…Le temps de contempler son fils lui permit de remplir son cœur de joie avant de laisser Hadès l'emporter et ne plus jamais la rendre au monde des vivants... Après qu'Anne se soit rendu dans un autre monde qui ce nome le « Paradis » Jeanne attrapa Mary et la déposa sur son lit qui se trouvait à l’étage. Cinq ans étaient passé depuis la mort d’Anne et l’abandon de William, le corps d’Anne fut enterré dans le cimetière du village à côté de la chapelle où ironiquement elle s'était marié. Jeanne y déposait des fleures tous les matins…Maintenant que nous connaissons la triste fin de la mère passons un peu du côté de Yoko Koyo, cette jeune fille avait maintenant 5 ans. C’était un Lundi ou peut être un mardi, un jour de rentré de classe, la jeune Yoko qui rangeait toutes ses affaires dans son petit cartable rectangulaire de couleur marron empoignait son sac et prenait le chemin qui l’amenait à sa petite école. Le chemin où la chaussé était toute déformé par la pluie s’était transformé en un tas de boue encore toute fraiche, Yoko essayait d’esquiver en sautillant toute cette boue que les autres enfants de son âge se donnaient à cœur joie pour y sauter dedans, quoi de plus normal pour un enfant de 5 ans…Yoko trébucha, s’écrasant sur le sol. Se relevant sans même pleurer elle attrapa son sac, sur son visage une stupeur, une surprise se fendit, on pouvait voir qu’elle n'était pas comme à son habitude, mais pourquoi ? La raison était simple, il y avait un bébé castors la devant ses yeux, un castors de couleur marron, ce qui fit fondre notre jeune Mary, c’était une première pour elle, une sensation de plaisir l'envahit, elle découvrait le bonheur. C’était une drôle de sensation, elle ressentait de l’amour en vers ce castors, chose qu’elle n’avait jamais ressentit. Elle décida de prendre le castors dans ses bras et d'aller en cours avec, en souriant elle arrivait devant la salle de cours le castors dans les bras elle était heureuse pour une fois ! Mais toute bonne chose à une fin malheureusement…La professeur demanda à plusieurs reprise de laisser le castors dehors mais Yoko n’était pas de cet avis elle ne lâchait pas l’affaire, puis la ce fut la goutte qui fit déborder le vase, l'institutrice se nommant Madame Heisenberg, fit une chose dont elle regrettera jusqu'à la fin de ses jours, elle donna une gifle à Yoko. La jeune fille toujours le castors dans les bras se retourna et claqua la porte de toute ses forces, elle se mit alors à courir le plus rapidement possible le castors toujours dans les bras, elle le serrait contre sa petite poitrine. Le castors lui était heureux, il était aux anges lui qui n'avait connu que misère et brimade de la part des autres élèves… La petite Yoko Koyo ne savait pas où se rendre, elle n’avait pas vraiment d’ami(e)s avec qui parler…Donc elle se rendit sur la plage paradisiaque de Fushia Town, cette plage ou les grains de sables sont si fin que le sable est douillet, quand on s’allonge sur la plage nous avons l’impression d’être allongé sur les nuages de skypia…
Arrivé la bas Yoko déposa le chiot par terre et alla s’allonger sur la plage. Le castors s’approcha de notre héroïne pour titiller le nez de la jeune fille qui était en osmose avec l’animal. Elle venait de trouver son ami en qui elle pouvait avoir totalement confiance, cet ami elle l’avait cherché pendant 4 ans…Les deux amis s’amusaient ensemble pendant une bonne petite heure, un magnifique couché de soleil se reflétait sur la mer bleue turquoise et s'offrit au «couple». La jeune Yoko s’arrêta de s’amuser pour admirer ce couché de soleil, mais quelque chose perturba son admiration envers cet être divin qui chauffait le monde de sa puissance solaire. Deux navires étaient en train de ce tirer dessus, des boulets de canon s’écrasaient sur chaque navires, ils explosaient les un après les autres ce qui faisait un bruit étrange encore inconnue de notre petite mouflette lui procurant des sensations nouvelles. Les yeux de notre jeune Yoko étaient maintenant rivé sur les deux navires qui se faisaient la vengeance, cela n’avait pas trop l’impression de la déranger, à vrais dire elle avait plutôt l’air d’aimer cela…Au bout d’une heure d’admiration sur ces deux , un des deux coula ce qui fit un gros 'PLOUF' , il raisonna dans toute l’ile, même les villageois encore en train de travailler dans les champs pouvaient entendre ce bruit. Yoko restait là regardant les débris du navire se répandre de partout dans la mer, mais mystérieusement un débris du navire ou plutôt un coffre s’échoua sur la plage, un coffre de couleur marron avec les coins en or massif.
Yoko curieuse et enfantine s’approcha du coffre le sourire aux lèvres pensant qu’il serrait remplis de pièces d’or, elle ouvrit le coffre et la dégouté elle le referma aussi tôt…Ce coffre contenait un Fruit, un simple fruit noire…Répugné par sa découverte Yoko s’allongea sur le sable fin qui la portait doucement, au bout de 5 minutes de réflexion elle se rappela d’un livre qu’elle avait lue au par avant, un livre qui parlait de ces mystérieux fruit démoniaque, des fruits qui une fois mangé par un être humain donnait un pouvoir hors du commun à cette même personne. Rapidement la jeune Yoko se leva et elle rouvrit le coffre contenant pour le coup un trésor inestimable après mure réflexion. Yoko attrapa le fruit démoniaque que le coffre contenait, elle le secoua dans tous les sens pour voir ce qu’il y a de si sur naturel dans ce genre de fruit légendaire. Mais à première vue les fruits dis «démoniaque» n’ont pas grand-chose de différent avec les fruits comme les pommes et j’en passe. Elle regarda le castors et d’un coup croqua le fruit du démon, au moment où elle prit la première bouchée sur son visage on pouvait voir du dégout profond comme une enfant goutant pour la première fois à des endives cuites. Le fruit était très amère voilà pourquoi elle était dégouté… Après avoir mangé tout le fruit elle donna un coup de pied dans le coffre qui valdingua plus loin et se mit à chercher ce qu’il avait bien pu changer en elle…
Une heure de recherche intensive plus tard après moult tentatives, moult questions elle n’avait pas encore trouvé la chose qui la rendez unique…Encore plus dégouté du fait que pour elle la légende des fruit du démon était complètement erroné, elle attrapa le castors et décida de rentrer chez elle…Ou plutôt de rentrer chez la vielle Jeanne…Yoko considérait Jeanne comme sa grand-mère, n’ayant pas connue sa mère ni son lâche de père, sur le trajet Yoko n’arrêtait pas de ce poser de nombreuses question au sujet du fruit démoniaque qu’elle avait mangé plus tôt dans la soirée. Plus tard, disons une heure après avoir mangé le fruit démoniaque, la jeune fillette arriva enfin devant la maison de la vielle personne qui s’occupait d’elle. Elle se trouvait maintenant devant la grand porte noire qui servait de porte d’entrée du logement de Jeanne. Arrivé devant cette dernière Yoko la poussa avec l’aide de son pied droit, la porte claqua contre un mur laissant place à la fillette qui continua sa course en direction de sa chambre. Une fois arrivé dans sa chambre elle déposa le castors sous son lit puis elle s’allongea sur celui ci. La vielle dame qui servait de grand-mère à Yoko se précipita dans la chambre de la fillette pour lui poser des questions. Les questions que toute personne un peu intentionné se posait quand une petite fille disparaissait plusieurs heure était en rapport avec ce qui c’était passé en cours la journée, Yoko ne répondait pas elle ne voulait pas parler, et ce qu'elle avait bien put faire…Elle voulait juste s’amuser avec son castors son seul véritable ami...trente minutes plus tard après la gueulante de la vieille Jeanne, Yoko attrapa le castors de sous son lit pour jouer avec, le lit se transforma en terrain de jeux, elle se sentait à l'aise avec le petit rongeur. Mais ce fut l’heure de dormir le lendemain matin elle devait allez en classe, retourner voir ses soit disant camarades…Elle trouva le sommeil rapidement, la noirceur de la nuit laissa place à la lumière du soleil.
Les jours, les semaines, les mois, les années défilées. Notre jeune Yoko avait belle et bien grandis, elle avait maintenant dix-huit ans, l’âge de la majorité elle était maintenant une adulte…Yoko avait attendu se moment toute son enfance, depuis que Jeanne lui a raconté l’histoire de ses parents, la jeune femme c’était mis en tête de retrouver son père et de régler ça une bonne fois pour toute, elle renia son nom de famille pour un pseudo-nom qui lui allait à merveille « Alafrenbouaz ». Elle décida un beau matin de mettre les voiles, la jeune femme prit se qu’elle avait de plus chère (son fusil à lunette fait de ses propres mains, deux révolvers) et andiamo ! Elle était partie pour une grande et fougueuse aventure…