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 The biggest one! [DC, finie]

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3 participants
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Zebura Gouki
Pirate en devenir
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Zebura Gouki


Profil Psy : Mauvais et combattif en sont les maîtres mots
Nombre de messages : 84
Age : 30
Fruit du Démon : Mouhahahaha!

[Feuille de personnage]
• Renommée: 850
• Wanted: 20.000.000
• Grade dans la Marine: /

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MessageSujet: The biggest one! [DC, finie]   The biggest one! [DC, finie] EmptyVen 4 Fév 2011 - 19:00

Kazuki m'a dit que je pouvais Razz

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : Voir sur Rasiel, à la limite comme ça date je me pique d’un rappel Razz Je me nomme Florent
Age : 17 printemps
Homme/Femme/Okama : Homme
Comment avez vous connu le forum :J’étais parti avec quelques amis pour faire une sorte de mini équipage, j’avais disparu et j’étais revenu grâce à Mikan et Kazuma
Combien d'heures vous vous connectez par jour :’A dépend. Le week-end, il m’arrive d’être dispo presque toute la journée, ainsi que le mercredi aprèm, et la semaine ça varie, certains soirs je ne connecte pas, d’autres je me connecte
Tes Mangas préférés :Berserk> All, suivi de One Piece, Naruto, Bleach, Reborn, FMA, Bakuman, Psyren, Toriko, Soul Eater.. Niveau Seinen, j’apprécie Gantz et Ubel Blatt… High school of the Dead est également classe !
Ton personnage préféré dans One Piece :Je les aime tous ! Mais en ce moment, je trouve Sanji classe (Bouc oblige !) et aussi Zoro (borgne oblige !)
Ce qui t'as motivé à venir :Bah, One Piece c’est quand même un univers énorme, qui est propice au RP
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR :Je rp depuis quelques années, j’ai repris y’a quelques mois après une coupure d’un an, et je trouve que mon style a mûri, donc c’est tout bénèf’
Hobbys : Geeker obviously (The Witcher, ça c’est du jeu !), lire (mangas ou autre), sortir avec des potes quand il fait pas trop froid (pas comme en ce moment >_<), ne rien faire
Autre(s) :Enjoy !

- Présentation du personnage -



• Nom & Prenom : Zebura Gouki

• Surnom (facultatif) :Epicurean Emperor

• Age : 28 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Un très grand homme

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Résolument mauvais !

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : De part son cruel manque de réflexion, il ne peut pas assumer d’obligations compliquées comme médecin, cartographe ou navigateur. Il est donc canonnier (faire tout péter, c’est drôle !)

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : [Merci de regarder la liste des FDD/Armes disponibles avant de demander. Vous pouvez proposer un FDD ou une arme qui n'est pas dans la liste, mais faites-nous en une description détaillée]
Numa numa no Mi (Logia des marécages) : Permet de changer son corps en marécage, et d’en générer. Le marécage possède une grande capacité de succion, et Gouki peut ainsi stocker des objets/personnes dans son corps.(fruit de Cariboo pour les intéressés)

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Goûter à tous les mets du monde !

• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] :



[b]◘ Description Physique :
[Minimum 5 lignes]
« You’re weaker and smaller than me. You don’t deserve to live ! »

La première chose qui frappe lorsque l’on voit notre homme, c’est que c’est une force de la nature. Mesurant deux mètres quarante, pour une masse de trois-cents kilogrammes tout en muscles, il est véritablement de la race des grands. De plus, son apparence générale corrobore parfaitement avec la première impression : un monstre dans un corps d’être humain.

Tout d’abord, notre homme a des cheveux pourpres, d’un rouge tendant vers le bordeaux, et sa coiffure est plutôt classique : sur le sommet de son crâne, ses cheveux sont ébouriffés et coiffés en pointe, tandis que sur l’arrière, ils sont plutôt plaqués contre son crâne, reposant contre son cou bovin, tels pourraient le faire ceux d’un Yakuza. Toutefois, quelques épis se rebellent et s’écartent de la masse, notamment au niveau de sa tempe gauche, ainsi que sur les côtés de son cou. Son front est marqué d’impressionnantes rides verticales, ou peut-être sont ce des sillons, nul ne saurait le dire. Quelles qu’elles soient, ces marques surmontent d’épais sourcils sombres, et épais est un euphémisme. Ses yeux à la pupille sombres sont étroits, et cernés de noirs, mais par des cernes trop marquées pour être réelles : certaines sources racontent que Gouki se les fait avec du maquillage pour impressionner, mais personne n’a pu le prouver. Son nez aquilin est épais et carré, massif comme le reste de son corps (et donc il ne choque pas). Sa dentition rappelle celle d’un animal, en cela que ses dents sont carrées et solides, avec des canines pointues. Un autre aspect remarquable est le fait qu’il lui manque un morceau de la joue gauche, comme arraché par le coup de griffe de quelque monstrueuse bête. Ainsi, il semble toujours avoir un sourire malsain, et ses gencives d’un rose délicat sont visibles. Enfin, son menton est carré et tranchant, comme le reste de ses traits d’ailleurs.

Si l’on descend, pour s’intéresser au corps de notre héros, on constate, comme je l’ai dit plus haut, un cou d’une épaisseur qui ferait pâlir les plus grands culturistes. Quand je vous dis que Gouki est massif (de fleurs !)… Son torse, aux pectoraux et aux abdominaux nettement visibles, est parsemé de cicatrices, minimes pour la plupart, vestiges sans doute d’une vie entière passée à combattre. Ses bras sont couverts des mêmes motifs, et ils sont tout aussi musclés. Croyez-moi, vous n’aimeriez pas recevoir un de ses coups de poings…

Les jambes de notre héros sont, comme on peut s’y attendre, musclées, mais plus encore que ses bras. En conséquence, il a des cuisses et des mollets deux voire trois fois aussi larges que ceux de Chun Li (et dieu sait si elle en a !), et des pieds imposants, à faire pâlir d’envie un Hobbit ! Ses jambes sont également parsemées de quelques cicatrices, mais en proportion moindre que ses bras tout de même.
Au niveau vestimentaire, notre héros n’est pas très difficile à habiller. Un simple caleçon couvrant ses parties intimes lui suffirait, s’il s’écoutait. Toutefois, il y a des règles telles que la décence, entre autres, qui lui ont causées quelques problèmes. Il a retenu la leçon, et porte le plus souvent des shorts XXXXL, qui sont tout de même un peu moulants, et une chemise aux motifs quelconques, ouverte car il ne peut la fermer, obviously.

◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]
« My opinion ? Everyone should die but me! »

Voilà qui donne le ton! Gouki est un homme, un dur, un tatoué ! Il méprise et critique avec virulence les gens qu’il considère comme faibles : ce sont, pas forcément dans l’ordre, les plus petits que lui, les plus faibles que lui, les vieux, les femmes, les enfants, les animaux mignons, les perdants, les ivrognes, et j’en oublie sûrement, étant donné qu’il est dur de plaire à notre homme. En effet, le pirate est hautain et très sûr de lui, à un point tel qu’il en devient haïssable, impitoyable, et peu affable, pour continuer les adjectifs en able, et opérer une transition !

En effet, Gouki est peu affable : certains disent que c’est parce qu’il est trop primitif pour parler, que nenni ! Simplement, il ne s’embarrasse pas d’employer la parole là où la force suffi amplement. Si vous lui demandez votre chemin, et que vous n’éveillez pas son intérêt, il vous ignorera. Si vous insistez, alors il s’énervera et je n’aimerais pas être à votre place ! Par contre, si vous éveillez son intérêt, alors il vous attaquera, sans se poser de questions, sans vous en poser non plus. Ce qui nous amène au prochain point important.

Gouki est un bourrin, qui ne réfléchit pas. Un mur lui bouche la route, avec une grille à quelques mètres ? Il passe en force par le mur. Il ne s’embarrasse pas de fioritures, et tue ce qui le gêne, ou le détruit, au choix. La stratégie, il ne connaît pas, sauf s’il tombe sur vraiment plus fort que lui, ce qui ne lui est pas encore arrivé. N’allez pas croire qu’il soit stupide, il est simplement brut de décoffrage, presque animal. Et un sacré prédateur s’il en est. Chez lui, tout est brutal, des envies, jusqu’aux côtés les plus élémentaires de l’âme humaine.

Chez lui, tout est poussé à l’excès : la faim, la soif, par exemple. Il est difficile de le rassasier, ou de contenter sa soif, et il finira rarement bourré : son volume corporel étant ce qu’il est, l’alcool ne l’affecte pas des masses. Mais certains désirs plus primaires sont bestiaux eux aussi chez lui : pour tout ce qui tient du sexe, il est également un animal. En véritable pirate, il n’hésite pas à violer les femmes qu’il croise [NDLR : J’édulcorerais tous cela, ne vous inquiétez pas]. De même, il ne s’occupe pas des convenances et, quand quelque chose ou quelqu’un l’intéresse, il pille et viole, n’en déplaise. C’est ce qui fait sa dangerosité : son absence de réflexion : on ne peut jamais savoir ce qu’il faut faire pour échapper à son courroux…

◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]
« You want to know how dit it begin ? I won’t tell you!”

Et bien moi, je vais vous le dire, ne vous en faites pas. Tout a commencé sur une petite île de South Blue, du nom de Zatcoatl. La particularité de cette île étant qu’elle est composée majoritairement d’une jungle dense et touffue, où vivent de nombreuses espèces rares, ainsi que des autochtones très primitifs. Rien de comparable à la diversité de Grand Line, mais tout de même c’est plutôt pas mal pour une Blue ! Donc, tout commença là-bas. Un couple d’explorateurs, des illuminés en quête d’espèces pas encore découvertes (alors que l’île entière avait été explorée), dont la femme était enceinte, poursuivaient leur quête du Graal, donc. Un jour de printemps (d’après les dates, dans cette jungle il faisait toujours chaud et humide), elle donna naissance à un petit garçon, mais hélas, pendant une promenade d’exploration, les parents imprudents finirent dans l’estomac d’un prédateur particulièrement retors, le Tigre Baron. Et donc, le petit d’homme se retrouva tout seul. Ses pleurs finirent par attirer les prédateurs, mais aussi un indigène. Alors que notre futur héros allait finir dans l’estomac d’un Léopard doré, l’indigène se dressa vaillamment devant le petit corps, et tua le félon félin. Puis, il souleva le petit, et l’emmena jusqu’à son village : il venait de perdre un bébé récemment, et sa femme serait sans doute contente. Comme tous les indigènes, il était nu, et c’était un homme grand et solide, à la peau hâlée et sale, un bandeau de feuilles sur son front maintenant ses longs cheveux loin de ses yeux. Le bébé devint donc le fils de cet indigène et de sa femme.

Les débuts furent surprenants (le bébé était pâle et propre, comparé à tous ces indigènes !), mais il fut élevé tel un véritable autochtone : il était déjà, toutefois, plus grand que ses camarades. Son père savait qu’il en ferait un grand guerrier. Il n’alla pas à l’école, mais son père lui enseigna les rudiments de la chasse : lorsqu’il atteignit ses 7 ans, déjà grand et solide, il savait différencier les plantes venimeuses des comestibles, les prédateurs des herbivores, il connaissait l’endroit où se situaient les meilleurs terrains de chasse… Formé comme il l’était, son père pensait le soumettre au test du Chaparnac : la première chasse d’un jeune homme. Habituellement, cela se faisait lorsque le petit atteignait ses dix ans, mais son père le sentait prêt. Le Conseil accepta, bien qu’au départ réticent, et l’enfant fut donc lâché dans la jungle, avec une seule consigne : il ne pourrait rentrer au village qu’avec une proie de bonne taille. Il était nu et désarmé, c’est maintenant que la vraie vie commençait. Alors, usant de son instinct de survie, l’enfant se tailla une lance, avec une branche souple mais solide, à laquelle il attacha un silex taillé. Puis, la chasse débuta. L’enfant voulut d’abord chasser un Tigre baron (la vie est bien faite : sans le savoir, il vengerait ses parents) mais se ravisa : trop de.. quelque chose se dégageait de cette espèce. Alors, il se rabattit sur un Saurien Galalla : un crocodile miniature vivant dans les marais. Pendant des jours, il campa sous la boue, guettant le retour de la proie repérée. Hélas, elle ne revint jamais : il ne le savait pas, mais elle avait fini dans l’estomac d’un Griffeur. L’enfant se rabattit donc sur un Griffeur, et quitta les marécages, couvert de boue séchée sur tout le corps, à l’exception des yeux et du nez.

Il arriva ensuite au terrier du Griffeur, devant lequel il posa un piège : un tapis de feuilles recouvrant une fosse engluée par un mélange d’os broyés et de salive de crapaud des marais (une recette que son père lui avait enseignée.) Il ne craignait pas d’être surpris : il savait que les Griffeurs s’absentaient longtemps du terrier, et les traces de celui-ci étaient fraîches. Puis, il s’installa dans un amas buissonnant non loin, et attendit, des jours et des jours. Il ne les comptait pas, mais lorsqu’enfin le Griffeur pointa le bout de son long museau, cela faisait deux mois que l’enfant avait quitté le village. Enfin, le canidé aux longues griffes arriva, et dès qu’il posa le pied sur le camouflage, il tomba au fond de la fosse. Heureux, faisant fi de toute prudence, l’enfant courut vers la fosse, tenant sa lance pour achever sa proie. Cependant, il avait sous-estimé la longueur d’une griffe : l’animal lui en envoya un coup, que l’enfant parvînt à esquiver, pas assez vite toutefois, la griffe arracha une partie de sa joue gauche, révélant sa gencive. Le sang gicla, la douleur fusa, mais l’enfant ne se formalisa pas, et planta sa lance dans le crâne du Griffeur. Puis, il tomba à genoux, le rouge gouttant depuis son visage. Il ramassa hâtivement quelques feuilles, les pressa contre sa blessure, et les fit tenir en nouant par-dessus un bandeau composée de feuilles filiformes. Puis, il planta sa lance dans le corps du Griffeur, et le remonta, comme on remonterait une baleine harponnée. Il traîna le corps jusqu’au village, indifférent à sa blessure qui le brûlait atrocement, supportant la pluie et la chaleur. Une fois arrivé, il s’écroula.

Lorsqu’il se réveilla, il était sur une couchette, sa blessure couverte des meilleures feuilles médicinales, et ses parents à côté de lui. Son père lui tapota la tête, et le félicita (dans le langage autochtone, bien sûr). Sa mère le serra dans ses bras : elle s’était fait un sang d’encre pour lui. Son père lui avait expliqué que sa cérémonie de passage à l’âge adulte aurait lieu le soir même. Et effectivement, l’enfant passa à l’âge adulte : il reçut un prénom, Gouki (signifiant « le balafré » en langage autochtone) et un nom, Zebura (nom du Griffeur en langage autochtone). Désormais, il était un homme, il pouvait participer aux chasses avec les hommes. Et c’est ce qu’il fit. Plusieurs années s’écoulèrent, et Gouki continuait de grandir et de forcir, devenant peu à peu l’un des plus forts villageois, et progressivement le plus grand. A dix-sept ans, il culminait déjà à un mètre quatre-vingt quinze. Son corps était couvert de cicatrices, issues de blessures plus ou moins grosses infligées par ses proies. Il était également un bon vivant : avec la variété de la faune et la flore, il pouvait se vanter d’avoir une vaste palette de goûts. Toutefois, fait étrange, alors qu’il avait dix-huit ans, il se lassa. Peut-être avait-il tout goûté, peut-être que son sang se rappela de la civilisation, mais il décida de quitter sa famille. Après une discussion avec le Conseil et son père, Gouki partit à l’aventure, pour découvrir le monde. Il ne parlait pas le langage de la civilisation, mais qu’importe : avec sa force, il pensait pouvoir tout réussir !

Son premier point d’arrêt fut le comptoir portuaire, seule marque de la civilisation sur l’île. Je vous laisse imaginer le scandale : un homme, grand et plutôt musclé, qui débarque nu… Avec de nombreux efforts de la part des autorités, il fut coincé en cellule, et toute sa force ne put la démolir. Après avoir subi un sermon (qu’il ne comprit pas), les responsables de son enfermement comprirent qu’il était un « sauvage ». Ils amenèrent dont un anthropologue, qui servit d’interprète et, fasciné par Gouki, décida de l’emmener, pour lui apprendre sa langue, et s’en servir d’objet d’étude. Gouki dut suivre, contre son gré, le vieil homme, à l’air un peu fou avec ses lunettes rondes et ses blancs cheveux ébouriffés. Notre héros finit donc dans le manoir de l’homme, où tous ses désirs étaient satisfaits, mais où il subit également un rigoureux apprentissage. Après quelques années, alors que Gouki avait vingt-deux ans, qu’il culminait à deux mètres vingt, pour deux cents cinquante kilos de muscle (il continuait de s’entraîner chaque jour, persuadé qu’il lui faudrait à nouveau chasser, et il avait un métabolisme qui croissait rapidement). Effectivement, cela lui fut utile : lassé d’être cloisonné (il n’avait pas quitté sa famille pour finir chez un vieux fou !) il décida de partir, réaliser son rêve : goûter toute la nourriture du monde ! Cependant, l’anthropologue ne l’entendait pas de cette oreille : pas question que son objet d’étude s’en aille ! Alors que Gouki, son sac sur l’épaule, s’apprêtait à quitter le manoir, l’anthropologue l’arrêta, accompagné d’hommes en armes (sa milice, ses travaux lui avaient apporté la richesse et la célébrité, et il souhaitait être protégé). Gouki était heureux : l’action lui manquait.

Bien que désarmé, il était plus fort que ces hommes, qui se reposaient plus sur l’intimidation que l’action : les bras se cassèrent, les jambes se tordirent, le sang gicla, et bientôt, Gouki domina une masse de blessés, un sourire fou aux lèvres : combattre de vrais humains apportait tellement plus de frissons que chasser ! Il quitta le manoir, couvert de sang, mais heureux : il avait trouvé une nouvelle occupation. Il s’empara du navire du vieil anthropologue, soumit l’équipage à ses désirs en tuant deux ou trois membres, puis se fit conduire le long du vaste monde. Dès qu’une île l’intéressait, il s’y arrêtait, goûtait les spécialités, défiait les hommes, éventuellement réalisait la parade amoureuse avec les femmes (en effet, les autochtones étaient très directs : une femme vous plaît, vous vous unissez à elle !). Il écuma les îles de South Blue. D’après la société, il était considéré comme un pirate, mais lui se nommait « Bon vivant », son troisième mot préféré, derrière « combat » et « nourriture ». Puis, il se rendit sur les hautes mers, trouvant par la force de nouveaux bateaux (en effet, dès qu’ils le pouvaient, ses « équipages » l’abandonnaient, mais ne parlaient pas à la Marine par peur de représailles du « Sauvage »). Cela fait cinq ans que ce manège dure, et il a entendu parler de Grand Line, où se trouve apparemment une diversité incroyable : il souhaite aller là-bas, pour goûter tous les ingrédients qui peuvent manquer à sa culture, et tuer des gens toujours plus forts ! Mais pour cela, il allait lui falloir trouver un « vrai » équipage…



• Exemple de post RP : [Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues] Pas utile pour un DC
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MessageSujet: Re: The biggest one! [DC, finie]   The biggest one! [DC, finie] EmptyDim 6 Fév 2011 - 11:55

J'ai rajouté le code présentation, étant donné que c'est obligatoire, je pense donc que ma présentation est achevée!
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Kazuki
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MessageSujet: Re: The biggest one! [DC, finie]   The biggest one! [DC, finie] EmptyDim 6 Fév 2011 - 12:44

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Ma Chao
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MessageSujet: Re: The biggest one! [DC, finie]   The biggest one! [DC, finie] EmptyMar 8 Fév 2011 - 21:38

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MessageSujet: Re: The biggest one! [DC, finie]   The biggest one! [DC, finie] Empty

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