Céréza Estacado AKA La faiseuse (Finie)

Invité

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : Lucas
Age : 21 ans
Homme/Femme/Okama : homme
Comment avez-vous connu le forum : google
Combien d'heures vous vous connectez par jour : toute la journée pendant les week-end et 4 heures uniquement pendant les heures de bahut
Tes Mangas préférés : One piece *.*
Ton personnage préféré dans One Piece : Boa Hancock, Nico Robine
Ce qui t'as motivé à venir :
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : 5 ans
Hobbys :
Autre(s) :

- Présentation du personnage -

Céréza Estacado AKA La faiseuse (Finie) Sans_t10

• Nom & Prenom : Céréza Estacado

• Surnom (facultatif) : La faiseuse

• Age : 30 ans

• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humaine

• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : civil

• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : neutre-mauvais, chaotique,

• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Créatrice d’inventions technologique avancée / commerçante

• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : Horu Horu No Mie : (Paramécia des hormones) Ce fruit fait de l'utilisateur une sorte d'ingénieur du corps humains qui lui permet de booster les capacités physiques ou de le rendre moins performantes. Mais, il lui permet aussi jouer avec l'aspect extérieur des gens ainsi que le sien. Il peut donc faire grandir ou rétrécir une personne, faire changer de sexe, leur donner un regain d'énergie et même changer leur couleur de peau, de cheveux ou des yeux.

• Rêve(s)/But(s) du personnage : développer un empire commercial florissant et tentaculaire / vivre dans la luxure absolue.

• Code présentation [OBLIGATOIRE !!!!] à mettre entre balises [/hide][hide]

◘ Description Physique : .

Céréza Estacado AKA La faiseuse (Finie) Bible_10

Céréza fait partie des rares femmes binoclardes à hériter d’une beauté somptueuse, presque caricaturale de la femme fatale façon dark mistress. Mais ce qui frappe au premier regard sur elle c’est son imposante chevelure fine et soyeuse noir d’ébène dressée en chignon strict enroulé par un ruban rouge et orné par une longue chaîne en or qui se termine par une descente au niveau de ses hanches, ondulant aisément dans les airs sans pour autant friser. Ses yeux en amandes gris accentuent son air austère, surplombé par des lunettes de secrétaire reposant négligemment sur son nez en trompette. Ses lèvres pulpeuses et sensuelles se fondent parfaitement avec sa peau douce et lisse comme un pétale de rose, d’une teinture légèrement pâle qui peut facilement virer aux rouges tomates lorsqu’elle se met en colère. La seule tare visible sur son visage est un petit grain de beauté noir bien placé en bas à droite de ses lèvres, si bien que personne n’y prête attention. Céréza a un penchant pour les sucettes, il n’est pas rare de la croiser avec une sucette qu’elle lèche distraitement entre ses doigts fins. Des sourcils fins parfaire son joli minois aux traits fins, soutenu par un cou gracile. Sa voix chaude et suave provoque un frisson de plaisir parcourir l’échine de ses interlocuteurs masculins et captivent leurs attentions sur elle.

Son corps est si bien modelé qu’elle n’a pas besoin de le mettre en valeur, même avec une tenue ample style junkie, il serait facile de discerner ses formes généreuses qui ont de quoi fantasmer la gente masculine de façon vertigineuse. Son corps est enchâssé dans une séduisante combinaison surmoulante et luisante, à mi-chemin du cuir et du latex, ce qui met en avant ses formes exquises tout en laissant entrevoir un dos charnu, assortie avec de longs gants blanc remontant jusqu'à ses avant-bras. La partie supérieure de son corps expose une poitrine opulente et imposante, dresser tels des obus prêts à éclater sur les regards pervers des hommes. Un étrange gousset sans chaine en or massif, orné de pierres précieuses, s’accroche sur son buste grâce à un système d’adhésion venant de sa conception.

Elle s’achève par un ventre plat et une belle taille de guêpe proportionnelle à son gabarit. La partie inférieure se poursuit par un postérieur bien bombé et ferme qui rebondit facilement au rythme de sa démarche féline, révélant une gestuelle prête a faire baver le loup de Tex Avery. Ses jambes galbées donnent une impression de « tout en longueur » dont la combinaison laisse entrevoir la raie de ses fesses. Ainsi qu’une paire de talons aiguilles noirs.

La belle brune est une amatrice de vêtements dît « ultra-moulant », en dehors de sa combinaison elle porte souvent une robe courte ou bien un ensemble mini jupe et top sans manche. Néanmoins il n’est pas rare qu’elle porte une tenue de secrétaire lorsqu’elle travaille ou quand elle se balade en ville. Autrement elle porte très rarement voir jamais de vêtements tel que les jeans, les robes et autres fringues en dentelle qu’elle trouve inconfortable. Ayant des tendances naturistes, elle ne porte jamais de sous-vêtements sous ses fringues sans ressentir la moindre gêne, allant même jusqu'à se balader sans rien sur soi, bien qu’elle le fasse seulement dans une île déserte ou bien en pleine mer. Comme elle n’est pas du genre agressif, elle ne porte jamais d’arme sur elle en ville. Mais lorsqu’il s’agit de se battre pour X raisons, elle utilise des technologies futuristes de sa conception pour se défendre.

◘ Caractère & morale :

Céréza Estacado AKA La faiseuse (Finie) P10

Céréza fait partie de ces enfants prodiges capables de résoudre des calculs et autres problèmes mathématiques et physiques dans un délai très court, en plus d’être capables d’élaborer des plans de construction mécanique méticuleux et cartésiens. Les activités physiques comme les entrainements aux arts martiaux ne font pas partie de ses passe-temps préférer, favorisant plus le travail de l’esprit que celui du corps, ce qui veut dire qu’elle est tout sauf une combattante.

L’ambition et l’avarice régissent sa personnalité qui tranche avec ses atouts physiques. Pour elle, le bien et le mal ne sont que des forces cosmiques régulant l’ordre et le chaos de la réalité. Elle peut très bien aider les marines que les pirates et les révolutionnaires sans être du côté de tel faction, ce qui fait qu'elle se voit totalement neutre là-dessus. Sa devise : « Orbo ab chaos » (l’ordre né du chaos). Ce qui motive la brunette par-dessus tout ? L’argent bien entendu. L’argent c’est le pouvoir, le nerf de la guerre et ça la jeune brunette la bien compris. C’est pourquoi elle cherche à le canaliser parfaitement à l’aide de son génie technologique associé à son talent pour le commerce. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, l’inventrice est également attirée pour l’aventure et la découverte de nouveaux horizons. Mais c’est surtout pour découvrir de nouveaux matériaux exploitables et d’étendre son influence sur les îles qui la motive le plus. Elle ne porte aucun intérêt pour le One pièce et elle n’est pas prête à s’y intéresser de sitôt. On peut donc dire que Céréza reflète bien « l’image caricaturale » du patron capitaliste qui souhaite avoir le monopole du marché. Déterminer, elle est prête a tout pour réussir une affaire, même si cela doit mettre en jeu des vies humaines. Peut importe que ce soit homme, femme ou enfant, l'argent passe avant toute chose.

En dehors de ses activités commerciales, c’est une hédoniste jusqu’au bout des ongles doublés d’une matérialiste, elle est très friande aux plaisirs de la chair qu’elle assouvit généralement avec des esclaves sexuelles acheter au marché noir. Dans l'esprit de Céréza, la fin justifie les moyens. Rien ne compte plus à ses yeux que l'avancement de ses recherches. Elle considère toute autre personne qu’elle comme un de ses pions ou un outil pour quelques desseins que ce soit. Certains de ses ennemis peuvent se trouver qualifiés au plus fâcheux contre temps car rien ne doit se mettre en travers de sa route. Étant une personne logique et rationnelle, Dieu, les esprits ainsi que les légendes ne sont que divagations des faibles d’esprit vivant dans l’obscurantisme. Quant à l’honneur, cela n’est rien de plus qu’un concept stupide de l’homme pour lui permettre de justifier n’importe quel acte lorsque celui-ci n’a pas d’argument.

Éloquente et charismatique, elle sait s’exprimer avec des mots assez personnels qui rompent avec la banalité et sait s’imposer autrement que par la force brute. Mais c’est dans les affaires commerciales et la négociation que son éloquence atteint son paroxysme : elle trouve toujours le moyen de séduire ses clients par des offres alléchantes tout en sachant les convaincre grâce à une maitrise parfaite de la réthorie. Elle ne mâche jamais ses mots et va toujours droit au but lors d’une conversation, Faisant d’elle une redoutable magnat des affaires. Elle sait se montrer discrète en évitant les sujets brulants en plus de savoir garder son sang-froid lorsqu’une conversation commence à dégénérer.

C’est une fine manipulatrice qui aime influencer les autres pour faire le travail à sa place ou provoquer de manière insidieuse des évènements dont elle seul connaît l’issue. La belle brune est une femme social qui sait se montrer courtoise et user des politesses comme le ferait une lady du 19ème siècles. Cette caractéristique se ressent au niveau de son vocabulaire. Malgré cela, elle montre souvent une attitude incongrue et impoli (se gratter les fesses, roter, péter) lors des moments intime, dont elle est fière. Céréza passe également pour quelqu’un apprenant de ses erreurs, car apprendre est chez elle une seconde nature depuis qu’elle est enfant. A l’inverse de ceux qui l’entoure dans son domaine d’activité, nulle étroitesse d’esprit mais bien une ouverture

C’est également une grande spécialiste de la corruption qui se débrouille à merveille pour dénicher des représentants de la justice véreux afin de les soudoyer pour qu’ils ferment les yeux sur les activités illicites de La faiseuse. Car oui, son entreprise commerciale n’est que l’arbre qui cache la forêt : elle travaille parallèlement en collaboration avec la mafia locale et autre organisation du crime organisé implanter dans les blues. En leur fournissant des technologies avancées capables d’assurer leurs affaires, elle touche une part de leurs profits qui sont parfaitement blanchis, pour une rentrée d’argent facile.

Bien que les défauts de Céréza soient nombreux, celle-ci comporte tout de même des avantages. En effet, malgré son caractère individualiste et égoïste surdimensionné, elle sait rendre un service à quelqu’un qui l’aurait aidé à se sortir d’une situation tendue. Mais c’est uniquement pour rembourser une dette, qu’elle soit morale ou physique, alors ne vous attendez pas à ce que cela soit fait de bonne volonté. Certes, il y a des exceptions qui se présentent, mais elles sont assez rares et dépendent en fonction de la situation. Toutefois ce n’est pas une femme rustre pour autant, car elle aime tisser des relations solides avec des clients qu’elle juge digne de confiance, rien qu’en lisant dans le regard de son interlocuteur.

◘ Histoire :

Chapitre I : Une rude vie de paysanne

Céréza Estacado est la fille unique d’un couple de modestes paysans vivant dans un petit village paumé de Trickbast, issu d’un père de grande taille, et à la carrure robuste, ressemblant beaucoup à un Canadien avec sa barbe et à sa chevelure hirsute et d’une mère avec le corps et le physique d’une Monica Belluci. Céréza faisait partie de ses enfants qui ont des parents aimables qui tiennent à cœur leurs progénitures, même avec leurs modeste revenues ils ne se plaignaient pas de leurs positions sociales. Ce qui n’était pas le cas pour notre petite Céréza qui nourrissait des rêves ambitieux de richesse à un âge si tôt. Elle ne se voyait pas vivre le restant de ses jours à exercer des activités pénibles et rétrogradant tel que s’occuper du bétail avec des moyens dérisoires et du champ de cannes à sucre toutes les quatre heures du matin. À ces heures-ci, elle avait toujours la tête dans le guidon qui persistait même durant la journée, jusqu'à boucler sa journée en allant se jeter sur son lit comme une masse, prête à être bercé par les bras de Morphée. Oui ! Céréza était une grosse feignasse, c’était le cas à dire. Mais il y a un don inné que mère nature lui avait octroyé à sa naissance, qui la démarquait des autres enfants de son âge : son génie.

Âgée de cinq ans seulement, elle savait résoudre des équations mathématiques complexes qu'elle se posait sous les yeux ébaillie de ses géniteurs, alors qu'ils n'ont jamais vu leur fille mettre le nez sur un quelconque livre scolaire ou de science. Quelques années plus tard dans le milieu scolaire, elle surclassait ses élèves avec une facilité inhumaine, en particulier dans les maths et la physique. Malgré sa curiosité grandissante et son envie d'apprendre davantage sur le monde qui l'entoure, Il faut préciser aussi que la Céréza d'autant n'était pas la femme calculatrice et immorale d'aujourd'hui. La jeune fille fut bercer par le vieux cliché qu'utilisait le gouvernement mondial comme quoi les pirates c'était les méchant pas beau qui tuaient et pillaient les villages par plaisir et les marines étaient les gentilles qui personnifiaient le bien et la justice. Il en découla une fille douce et aimable qui vivait avec cette vision binaire du monde.

À quatorze ans, son esprit inventif lui permit à élaborer des schémas de construction d'invention permettant de faciliter le travail à la ferme, invention qu'elle réalisa grâce aux bois et aux cordes récolter par son père qui s'en servait pour quelques bricoles. Allant même jusqu'à récupérer des débris métalliques nécessaires ont ses inventions dans la décharge publique la plus proche. Associer aux charbons récupérer dans de la cheminer du salon, elle élabora des machines « steam » telles qu'un tracteur, un laboureur mécanisé, des systèmes d'ouverture et de fermeture automatique des portes et autres inventions du même genre. Très vite, la vie à la campagne devint moins dure, les récoltes furent plus abondantes qu'avant et permit à Céréza de bénéficier des heures de repos supplémentaire. Ses parents étaient fiers de leurs petits prodiges.

Très vite, les voisins furent impressionnés par les machines de Céréza et encore plus lorsqu'ils apprenaient que ce fut une petite fille qui en était la créatrice. À ce moment-là, l'idée d'ouvrir un commerce très rentable se présentait sous ses yeux, n'hésitant pas demander l'autorisation à ses parents qui refusèrent sur le coup. Certes ils reconnaissaient le bienfait de ses inventions, mais il n'était pas question que leur fille devient une bourgeoise. Ses géniteurs étaient de véritable cul terreux pure souche dont ils montraient une certaine fierté. Ce fut très frustrant pour l'enfant prodige qui accueillit la réponse avec une moue désapprouvant avant d'aller se calmer les nerfs dans sa chambre.

Ce n'est que quatre ans plus tard, âgés de dix-huit ans, que Céréza fut admise dans l''une des université la plus prestigieuse de Marie Joa, construite pour former les futures têtes pensantes du gouvernement : la M.I.S (Marijoa Institution of Science). Cette institution était notamment connue pour être très sélective dans ses procédures de recrutement, sélectionnant la crème de la crème parmi les candidats, avec la possibilité de bénéficier d'une bourse d'études très généreuse aux meilleurs d'entre eux. Céréza faisait partie des heureux élus. Des règles très strictes régissaient l'établissement et tous les élèves étaient parfaitement cadrés. Pour eux le gouvernement mondial était parfait, les pirates étaient les méchants et les marines les gentils, la propagande officielle que Céréza mangeait habituellement depuis son enfance. Ceux qui oseraient ce rebellé se faisaient tuer discrètement par le CP9. Son génie lui permit de raccourcir ses années d'étude intensive et de réussir les tests avant tout le monde avec mention « très bien », impressionnant les juristes de cet exploit.

Elle fut immédiatement mutée dans l’un des plus grands centres de recherche militaire de Grand Line, cela excita chez Céréza un sentiment de fierté et d‘enthousiasme qu’elle avait du mal à contrôle. En effet, elle allait dans « la mer de tous les périples » qu’elle avait tant entendu parler dans son enfance, ce fut un rêve d’enfant qui se réalisait. Sa vie en tant qu’officier-scientifique du gouvernement commença.

[center]Chapitre II : Une illusion qui s’effondre

Une semaine après son transfert, elle fut encadrée dans une équipe de scientifique dont leur but principal était d'améliorer l'armement militaire et d'en concevoir des nouvelles. Durant son service, Céréza a apporté de vastes améliorations sur les armes à feu pour les rendre plus puissantes et précises tout en réduisant leurs poids pour assurer une excellente mobilité aux soldats. Elle développa également des armes biologiques qui assurèrent une victoire décisive au 20ème régiment de la marine en train de se faire laminer par des pirates plus nombreux qu'eux et mieux organiser. Ses travaux lui permirent de gravir la hiérarchie de l'équipe en devenant chef d'équipe et qui lui valut d'être surnommée « la faiseuse ».

Mais elle exerça son rôle de chef d'équipe pendant deux mois seulement, avant d'être transféré dans un laboratoire militaire assez particulier sur une ïle déserte dans les blues, par ses supérieurs, afin d'utiliser son savoir pour améliorer la technologie du gouvernement mondial, dont le tristement célèbre Pacifista qu'elle s'intéressa de prêt. Céréza fut promu de nouveau chef d'équipe à son nouveau poste, apportant de nouvelles innovations technologiques qui fascinèrent son entourage. Notamment sur la mise en place d'un système d'armement basé sur des torpilles qu'elle avait présentées comme un prototype, mais les supérieurs de Céréza ne voulait pas prendre de risque à jeter de l'argent en l'air pour une invention qui n'était pas sur de marcher. C'est à ce moment-là qu'elle flasha très vite sur Hiro Nomura, un collègue de travail qu'elle appréciait beaucoup pour sa beauté et son intelligence. Hélas, sa timidité l'empêcher de lui avouer ses sentiments pour lui. Au lieu de ça elle était perturbée de sa présence chaque fois qu'il travaillait près d'elle (comme pour Hinata lors qu'elle est prête de Naruto).

Jusqu'au jour où elle se jeta au bain en allant lui avouer ses sentiments pour lui, au cours d'une pause. Malheureusement il était trop tard pour le faire, car lorsqu'elle se dirigea vers le dortoir d'Hiro, elle croisa ses collègues bloquer l'entrée de son dortoir. Quand elle aperçut ce qu'il regardait, elle s'effondra sur ses genoux et se mit à sangloter, les mains sur son visage en larmes : L'homme de sa vie venait de se faire tuer de sang-froid. Un trou béant s'était formé au niveau de son crâne, laissant entrevoir son cerveau qui ne laissa pas Céréza indifférente. Malheureusement elle n'avait pas eu le temps de digérer la nouvelle, les soldats évacuèrent immédiatement les scientifiques du dortoir avec leurs crosses. Le jour suivant, tout le monde reprit leurs travaux en essayant d'oublier tant bien que mal cette tragédie, sauf pour Céréza qui refusait d'oublier cette histoire de meurtre assez louche. Le directeur du centre avait annoncé qu'il fut assassiné par Goro Mishima, un révolutionnaire primé de 150 millions de bérrys, la belle brune n'en croyait pas un mot. Marineford est de loin l'un des QG les mieux garder du monde et même si le meurtrier était détenteur d'un fruit du démon, il est impossible qu'il se soit faufilé dans le centre de recherche et d'en ressortir en catimini.

C'est pourquoi elle décida, en pleine nuit, de ce faufiler dans l'ancien dortoir d'Hiro pour l'inspecter les lieux de plus prêts. Équipée d'une lampe de torche, elle fouilla minutieusement la pièce pour trouver un quelconque indice laissé par son petit ami décéder, sans succès. Mais lorsqu'elle posa son postérieur sur le lit pour mieux réfléchir, elle entendit un léger froissement de papier qui attira son attention. En soulevant le matelas elle trouva un journal intime qu'elle s'empara de sa main libre puis l'ouvrir discrètement, ses yeux s'écarquilla à mesure qu'elle lisait le petit bouquin.

Elle appris qu'Hiro était un fervent admirateur des idées révolutionnaires qui avait fait ses études et accepté de travailler ici pour en apprendre plus sur la technologie du gouvernement. Mais ajoutant également qu'il était surveillé par le CP9, une organisation d'assassin au service du gouvernement mondial et qu'il était leurs cibles, car il était un des rares révolutionnaires à avoir infiltré le V.I.S pour y décrocher un diplôme afin d'arriver jusqu'ici. Il précisa qu'il faisait partie d'un équipage révolutionnaire nommé « les Reds Stars ». La dernière page du carnet comporta un poème d'amour dédié à Céréza qui ne put s'empêcher de verser une larme sur la page. Des photos étaient accrochées sur la couverture du carnet, révélant des images qui affichèrent une expression des plus choquantes sur le visage de Céréza : elle vit des civils dont des femmes et des enfants défiguraient ou déformer, dont le visage reflétait le summum de l'agonie, victimes par les armes biologiques qu'elle avait créées pour aider le 20ème régiment à lutter contre les pirates qui les surmenaient. Comment pouvait-elle le savoir ? Par l'aspect des carcasses d'obus qu'elle reconnaissait derrière les victimes......

Cette révélation à donner l'effet d'une supernova dans son esprit, elle avait du mal à croire que le gouvernement mondial avait menti en disant que c'était pour soi-disant lutter contre les pirates alors qu'elles furent utilisées pour éliminer des pauvres civils innocents qui se révoltaient de l'injustice. Tout n'était que mensonge ! L'image que se donne le gouvernement mondial n'est rien de plus qu'un masque qui cache sa vraie nature : celui d'un gouvernement tyrannique et immonde. La désillusion fut brutale pour la jeune femme dont elle avait vécu jusqu’ici avec cette idée en tête. Ce sont tristesse et désespoir qui se lurent dans ses yeux, humides, rouges d'égarement, de rancoeur et de dégout, ainsi qu'une rage meurtrière qui rongeait son coeur meurtri. Elle n'avait qu'une idée en tête à présent : démissionner....et faire payer pour cette abomination sans nom.

Elle détruisit tous les plans de constructions qu'elle avait réalisées ici puis démissionna deux jours plus tard et retourna sur son île natale. Le jour suivant son départ, on informa à la une des journaux informa qu'une terrible explosion aurait ravagé le centre de recherche de Marineford, ne comptant aucun survivant précédant l'attaque. Ce fut son cadeau d'adieu laissé au gouvernement mondial pour ce qu'il lui avait fait gober depuis son enfance. À partir de maintenant, Céréza se joint au côté des révolutionnaires, prête à faire gouter au gouvernement ses propres armes. La graine de l'immoralité et du matérialisme était plantée, bien qu'elle soit encore latente.

Chapitre III : Une transformation morale qui tourne mal

Deux mois et demi seulement après son départ et âge de vingt-cinq ans, Céréza venait de rejoindre un équipage révolutionnaire qu'elle croisa par hasard, dans un bar miteux de Shell Town. Connue dans les blues pour avoir dévasté d'innombrables postes de commandement de la marine, les reds stars recrutèrent Céréza après leur avoir montré une démonstration de quelques inventions fabriquée et sa connaissance avec Hiro Nomura qui ne manqua pas d'impressionner le capitaine de l'équipage, Érik Rosenberg. Ce fils rebelle issu d'une famille de noble était un stratège chevronné qui savait faire pencher la balance à son avantage lors des raids lancés sur des postes de commande marine. Doublé d'un orateur accompli qui savait captiver l'attention des autres sur lui par un charisme qui lui est propre. Il disposait également d'une richesse astronomique qu'il avait volée à sa famille avant de quitter son milieu aisé, qu'il s'est servi pour acquérir un imposant cuirassées armer jusqu'aux dents, construit dans les quais de Water Seven.

Tout comme lorsqu'elle travaillait au sein de Marineford, Céréza améliora l'armement de son équipage et développa de nouvelles armes offensives en avance sur leurs temps, dans un atelier dédié spécialement à elle avec tout l'équipement et outil nécessaire pour ses travaux. Le génie technologique de Céréza associer à celui d'Érik en matière de stratégie militaire conférait une invincibilité absolue à l'équipage sur leurs ennemies, succédant victoire par victoire. Au cours des fêtes organisées sur le navire pendant la nuit, Érik se rapprochait de ses camarades et s'amusait avec eux sans distinction hiérarchique entre lui et ses sous-fifres, une porte ouverte pour Céréza d'en apprendre plus sur son art de l'éloquence qui la fascinait au plus haut point. Chose que le capitaine accepta sans la moindre hésitation, car après tout, c'était en partie grâce à elle que l'équipage fut doté d'une technologie assez avancée par rapport aux autres. Bien qu'elle ne fût pas taillée pour le combat rapproché, il fallait impérativement qu'elle sache se battre afin qu'elle ne passe pas pour un parasite. Même si elle rendait un grand service en améliorant leurs arsenaux, il fallait quand même qu'elle sache se battre le jour où elle se fera attaquer par un marine sans le soutien d'un camarade.

Au fil des années, Céréza perfectionna son charisme rapidement, grâce au soutien de son capitaine, si bien qu’elle arriva à fasciner l’équipage par ses discours captivants sur le combat pour la liberté qui avait su embraser le brasier de joie qui animait l’équipage. Chose étonnante, elle commença même à ressentir des sentiments pour Érik, comme pour Hiro, à mesure qu’elle passa plus de temps avec lui en toute intimité, ils devinrent très vite amoureux l’un de l’autre avant de finir par tremper le biscuit dans le pot (si vous voyez ce que je veux dire ^^). La belle brune passa les meilleurs moments de sa vie, qui resteront graver dans sa mémoire à jamais.

Mais à mesure qu'elle vivait auprès de lui, le caractère d'Érik muta pour devenir un capitaine plus strict et intransigeant envers Céréza. Il exigea à l'inventrice de redoubler d'effort au développement de ses armes destructrices. Confuse et inquiète, celle-ci ne comprenait pas son comportement qui ne lui ressemblait pas, pourquoi est-ce qu'il la malmener comme ça ? Ce point était à éclaircir d'urgence. Un soir alors que tout le monde dormait, Céréza venait de mettre au point un appareil ressemblant à un haut-parleur, permettant d'écouter les conversations sur de longues distances, qu'elle testa dans la cuisine, car la cabine du capitaine se trouvait au-dessus de la pièce. C'est là qu'elle entendit une conversation avec Len Kishitani son second, c'était le seul membre de l'équipage qui ne s'intégrait pas avec les autres pour son caractère solitaire et pas très social, personne ne faisait attention à lui. Leurs discussions porter sur le plan d'attaque visant à prendre le contrôle d'un QG de la marine, situé à un endroit stratégique, cette nouvelle esquissa un sourire à Céréza. Qui ne dura qu'un instant lorsque Len questionna Érik sur ses projets mit en place une fois toutes les îles des blues réalisés. Le capitaine lâcha un rire méprisable avant de les lui révéler, ce qui tétanisa le prodige de l'équipage.

C'est là qu'elle apprit qu'Érik n'était pas le libérateur doux et aimable qu'elle croyait connaître, car depuis qu'il avait créé son équipage il n'a cessé de jouer son rôle de pseudo-révolutionnaire pour rassembler les indigner du gouvernement et s'en servir comme pion afin d'arriver à son véritable but : Dominer les blues tels que le ferait un despote. Vous ne pouvez imaginer un instant le choc monumental que Céréza venait de subir, elle crut un instant qu'il disait ça pour plaisanter puisqu'il le faisait souvent auprès de ses camarades, hélas il n'en fut ainsi. Il détailla ses projets loin d'être catholique, tel que soumettre la population sous une dictature de la pensée, plus impitoyable que le gouvernement lui-même. Pour lui les habitants, tout comme l'équipage qu'il avait recruté, n'étaient que des boeufs stupides et des révolutionnaires ignares. Il ne s'est même pas caché à révéler son point de vue sur Céréza à son second, comme un excellent pion qui faisait avancer ses plans a pas de géant. Sa dernière révélation fut celle d'éliminer Céréza durant son sommeil et de jeter son corps aux fonds des mers, une fois son objectif atteint. La belle brune en était bouche bée. L'une des bonnes raisons était pour lui avoir enseigné son art du charisme qui fut le seul moyen de mettre son pion préférer hors de tout soupçon. En contrepartie, il en avait d'elle quelqu'un de très influençable, plus que lui-même. Pour lui elle représenter un danger potentielle à ne pas sous-estimer, avouant qu'il en avait même peur d'elle, qu'elle était un monstre dans le corps d'une femme séduisante. Il acheva ses paroles venimeuses en citant son ancien pion préférer, Hiro Nomura, comme un abrutie ayant pris des risques inutiles pour s'emparer d'une technologie dont il n'avait aucune chance d'acquérir, mais que sa détermination borner l'avait encouragé à aller jusqu'au bout pour une idée de libération à la con, comme Céréza.

Que dire de Céréza qui se dirigeait dans sa chambre, les yeux vides de toute expression ? Arriver sur place, elle s'installa sur son lit, le regard rivé sur le sol miteux du navire. Son univers s'écroula comme un jeu de cartes, teinté par la tristesse, la rage et la confusion qui s'entrechoquèrent dans son esprit. Ses yeux étaient vides de toute émotion ou de sentiment. Si le drame de Marineford fut l'effet d'une supernova dans sa tête, celui qu'elle vivait actuellement fut l'équivalent d'un millier de big bang. Tout ce qu'elle avait cru durant toutes ses années à bord de l'équipage n'était qu'illusion, tout comme les moments intimes passés avec Érik. Elle se remémorait toutes les années passées à bord ainsi qu'en tant scientifique de Marineford, comme quand on lit un livre. Elle ne savait plus en quoi elle devait croire, ni sur quelle vérité elle devait se poser puisque tout était faux depuis le début. Sa remise en question aura duré six heures auxquels elle restera enfermer dans son dortoir. Lorsqu'elle quitta sa chambre, ce n'était plus la Céréza habituelle, son regard dégagea une froideur à faire glacer de peur la mort en personne avec une pointe de malveillance qui brillait dans ses pupilles.

Elle prit ses affaires ainsi que tout ce qu’elle pouvait emporter avec elle, amorça une bombe parmi tant d’autres stockés dans la cale du navire, puis elle quitta le navire en montant sur une barque motorisée. Venant de sa conception. Un révolutionnaire qui logeait sur le mât et qui était encore éveillé remarqua Céréza en train de partir. À sa grande surprise, il tenta d’alerter l’équipage en sonnant une cloche prête de lui, mais ce fut une terrible explosion qui s’en chargea. L’inventrice s’éloigna du navire à mesure que l’eau de mer submergeait déjà la cale et deux étages du bateau, sans prendre la peine de contempler son ancien équipage brulé dans le panache de flammes orangées qui dévorait la totalité du navire. Elle ne ressentit ni chaud ni froid pour ses anciens camarades qui agonisait sous les morsures des flammes, l’ancienne Céréza était morte avec les Reds stars, engendrant une autre Céréza qui n’avait plus rien d’humain en termes de moralité. Elle ne voyait plus le bien et le mal de la même façon et des projets ambitieux venait de germer dans son esprit transformé……

Chapitre IV : Le début d’un empire marchand

Après quatre ans passés dans un équipage révolutionnaire, la belle brune venait de commença une nouvelle vie à Liberty City, île réputée comme étant le paradis du crime organisé et d'une économie souterraine florissante, l'endroit idéal pour réaliser son rêve d'enfance : implanter son commerce. Hélas elle n'avait pas les moyens d'ouvrir un commerce avec ses 20 000 berrys sur elle, c'est pourquoi elle intégra la mafia locale sans aucune difficulté, grâce à ses atouts féminins et par son charisme. La main noire s'était taillé une sinistre réputation dans l'île pour ses bénéfices opulents grâce à sa contrebande fiable et ses relations stables avec les autres mafias des blues. Il en résulta d'une mafia très puissante et influente, avec des marines corrompus à sa botte y compris quelques officiers supérieurs véreux. Le génie de Céréza permit d'accroitre l'influence de la mafia locale en renforçant la sécurité du trafic d'armes et d'esclaves sur les autres blues. Certes, il y avait des moments ou cela échouait, mais ses erreurs ne furent pour elle des leçons dont elle tira des enseignements précieux qui aiguisèrent davantage son génie technologique et permirent une garantie absolue sur la contrebande. Ce qui lui valut tout le respect du chef du parrain ainsi que des autres gros bonnets à son service, en plus d'être payé grassement. Elle finit par se tailler une réputation de « génie démoniaque » pour ses inventions sortant de l'ordinaire auprès de la populace et pour son talent à manipuler les gens si facilement. Cette confiance du parrain permit également à Céréza d'apprendre l'art du business auprès de lui, car c'était un véritable mégalodon dans ce domaine et la belle brune voulait aussi devenir un prédateur des affaires.

Puis vint le jour où le parrain décéda suite à un arrêt cardiaque dans son harem, entrainant l'effondrement de la mafia local malgré les efforts constants de son héritier. Heureusement pour Céréza, alors âgée de 30 ans, elle avait déjà sa propre entreprise, un cadeau de l'ancien parrain pour ses loyaux services envers lui, ce fut la seule personne au monde qu'elle regretta amèrement la mort. Les affaires marcher super bien de son côté tandis que celles de son ancienne mafia se dégradaient. Ce fut lorsqu'ils atteignirent le seuil critique que Céréza proposa au faible héritier de la mafia local une collaboration permanente avec son entreprise, en proposant de lui fournir le matériel nécessaire pour leurs activités illicites en échange d'une part de leurs profits, soit 60 % de leurs revenues, et de lui conférer l'immunité judiciaire auprès du faible effectif de marines corrompues qu'il leurs restaient. C'était à prendre ou à laisser et le pauvre mafieux fut contraint d'accepter : elle venait d'accomplir son premier partenariat. Leurs affaires reprirent du poil de la bête et purent regagner leurs puissances d'antan grâce à Céréza qui s'occupait de la grosse partie du travail. Mais la belle brune avait de vastes ambitions pharaoniques qui ne pouvaient se réaliser qu'en voyageant à travers le monde, à la conquête de nouvelle richesse et d'étendre son influence au-delà des blues.......

on attend la suite!

Invité

C'est bon j'ai finie !

J'ai profité de mes moments libres comme j'ai pu pour finir ma fiche. Ma vie IRL m'a empêché de la finir plus tôt et comme je suis quelqu'un de très patient, je ne me bouscule pas trop. Wink

Tout de suite vu la liste d'exemple que tu donnes avec ton fruit.

J'suis pas emballé du tout :/.

Surtout avec le principe de base qui était de pas comprendre les inventions mais de tout de même être en mesure d'en créer.

Invité

Ok alors j'ai enlever la partie auquel elle comprend pour ne laisser que celle ou elle développe ses invention Smile

A moins bien entendue que je précise que les inventions les plus futuriste pourront être créer lorsque Céréza sera haut niveau ? (exemple : rang 6-8 par la )

Ben même si les limites seraient à définir en Fiche technique je peux deja dire que

camouflages optiques, nanotechnologies, vêtements construits au niveau moléculaire,

ça ne passerait pas simplement parce que c'est un niveau de technologie qui lui même dépends d'outils à inventer avant etc...
Et vu que le fruit ne permet pas la compréhension des concepts, il ne permet pas de d'imaginer l'outils qui donnerait le moyen de développer à ce niveau de précision.

Après pour la fiche. C'est plutôt bien écrit, ça se laisse lire mais t'aurais quand même put mentionner quelques défauts dans le mentale, ça donnerait un poil plus de profondeur à un perso qui montre que tu la veux "parfaite" m'enfin, personne te force.

L'histoire malheureusement va dans ce sens à rabattre que le perso est une méga-génie tout le temps. Et ça...mouai...franchement bof. Surtout pour les inventions type arme biologique qu'elle invente sans son fruit (et je rappel que le fruit ne permet pas de comprendre le fonctionnement des choses.).

Citation :: Ce n'est que quatre ans plus tard, âgés de dix-huit ans, que Céréza fut admise dans l'université la plus prestigieuse de Marie Joa, construite par le Docteur Végapunk en personne pour former les futures têtes pensantes du gouvernement : la V.I.S (Végapunk's Institution of Science). Cette institution était notamment connue pour être très sélective dans ses procédures de recrutement, sélectionnant la crème de la crème parmi les candidats, avec la possibilité de bénéficier d'une bourse d'études très généreuse aux meilleurs d'entre eux. Céréza faisait partie des heureux élus. Des règles très strictes régissaient l'établissement et tous les élèves étaient parfaitement cadrés. Pour eux le gouvernement mondial était parfait, les pirates étaient les méchants et les marines les gentils, la propagande officielle que Céréza mangeait habituellement depuis son enfance. Ceux qui oseraient ce rebellé se faisaient tuer discrètement par le CP9. Son génie lui permit de raccourcir ses années d'étude intensive et de réussir les tests avant tout le monde avec mention « très bien », impressionnant les juristes de cet exploit.

deja ça non. On a aucune information sur Vegapunk et extrapoler sur son caractère (vouloir fonder une université) ou autre on va eviter, rien que pour ne pas se manger un retour de flamme avec de nouvelles informations dans le manga.
Donc ce passage et tout ce qui en découle est a modifier (ce qui fait pas mal de choses).

Aussi, attaquer Marinford, même de l'intérieur, ton personnage n'aurait franchement pas eu de moyen de s'enfuir vivant de là, je rappel que l'état-major est constitué de gens...plus que compétent.

Donc, y a un peu de boulot à fournir pour corriger l'histoire, tant que tu y est, une bonne quantité (pas trop, mais pas peu au point que ça soit négligeable non plus) de fautes d'accords traînent un peu partout sur la fiche.

Invité

Mmmhm...Okay, je vais corriger tout ça.

un mois plus tard, on en est où?

Bon, sujet clos et à la poubelle!

» FT d'Amy (finie)
» Ray Griffon [Finie]
» Léo Kazakshin [Finie!]
» Kal Therz [FINIE]
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