- Présentation du joueur IRL -
Prénom : Gwendoline
Age : 11 ans
Homme/Femme/Okama : Femme
Comment avez vous connu le forum : Tout à fait par hasard, en soulevant une frite..x)
Combien d'heures vous vous connectez par jour : Euh...Si je dis beaucoup beaucoup, ça compte en heures ? é_è
Tes Mangas préférés : One Piece, Black Butler, Fairy Tail, Docteur Gray-Man, Fruits Basket. XD
Ton personnage préféré dans One Piece : Shanks :p
Ce qui t'as motivé à venir : L'envie...de rp, tout simplement !
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Je suis actuellement sur deux forums rpg Hunger Games, un autre qu'on pourrait qualifier de pseudo-rpg...Et puis voilà ><
Hobbys : La lecture, l'écriture :p
Autre(s) : Je suis un lapin-poulpe au service d'une certaine Nawel-Eleanor.
- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Haylen Brooklyn
• Surnom (facultatif) : Brooke
• Age : 17 ans
• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain
• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Musicienne :p
• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : ~~Inventé !~~
Fruit du Cheval de trait, Zoan, Niveau 2 : Permet à son utilisateur de se transformer en cheval de trait ou forme hybride.
(on m'a dit que mettre ici l'arme que je souhaiterais prendre aussi)
Arc taillé par Brooke elle-même. Il n'est pas de très bonne qualité mais lui est efficace pour ses attaques.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Créer la plus belle mélodie du monde, renfermant en elle la tristesse, la mélancolie, mais aussi la joie et le bonheur de vivre.
• Code présentation :
• En cas de recyclage de fiche, totale ou partielle veuillez poster l'url de ce forum et la mettre entre les balises, ainsi que d'ajouter "Shazoo" a votre signature sur ce forum. - Code:
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: ◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]Marrons. Chocolats. Noisettes. Oui, ce sont les couleurs réunies des yeux de Brooklyn. Délicats et sensibles, ils dégagent une aura forte. Soleil. Maïs. Blé. Or. Oui, ce sont les couleurs réunies des cheveux mi-longs de Brooklyn.
Un petit nez retroussé, une peau de porcelaine trop blanche, des dents parfaitement placées...Tout pour plaire, cette jeune fille a tout de joli.
Silhouette fine qui ferait enrager toutes les filles, jambes de gazelle, et un petit ruban bleu toujours attaché à ses cheveux. Et pour combler le tout, une assez forte poitrine pour bien se faire arracher les yeux dès une sortie avec des filles rancunières envers dame Nature....Bref, tout ça avec un sourire éclatant, elle est pas belle la vie ?
Brooke peut être traitée de dévergondée. Souvent. Elle, elle dit juste qu'elle aime bien porter des mini-jupes. Au ras des fesses, certes, mais c'est un peu le principe de ce type de jupes.
Pour finir, elle met toujours des t-shirts normaux, allant néanmoins avec les bas qu'elle porte. Elle n'aime pas porter des talons.
◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]Brooklyn...Enfin Brooke. C'est le calme assuré. Dans son esprit, seuls ses amis comptent. Ca pourrait être simple comme ça, en fait, mais c'est beaucoup plus compliqué.
Ses amis comptent beaucoup, oui...Mais son rêve aussi. Et si les deux ne vont pas ensemble, elle n'hésitera pas à se séparer de ceux à qui elle tient. Brooke est une personne très réservée, qui ne se confie qu'à ses vrais amis.
Je vous dit tout ça, mais elle est très déterminée. Tout ce calme ne veux pas dire qu'elle est saoulante à mort, au contraire. Elle aime bien plaisanter et s'amuser, sans pour autant être trop bruyante. D'ailleurs, la jeune fille aime bien les combats, mais les vrais, pas contre ce qu'elle appelle des "mauviettes". Très contradictoire la jolie blonde hein ? C'est normal, elle n'a que dix sept ans, elle est encore en plein dans sa crise d'adolescente.
On ne peut pas parler de Brooke sans parler de musique. Elle a hérité de la magnifique voix de sa mère et cette dernière lui a appris jusqu'à sa mort comment jouer du piano, son instrument favori. Elle sait aussi jouer du violon, de la flûte et de la guitare.
◘ Histoire : [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]Je n'avais que sept ans. Uniquement sept ans durant lesquels j'ai vécu à bord d'un grand navire. Mon père en était le valeureux capitaine, ma mère la belle musicienne. J'étais parfaitement heureuse ; tout l'équipage de ces pirates m'aimait, et je les adorais aussi. Lors des attaques, maman me mettait à la cave et m'interdisais d'en sortir. Moi, pendant ce temps, je m'amusais avec les jolies poupées que l'on m'avait acheté.
De temps en temps, elle m'apprenait quelques airs de piano, et on m'a rapidement découvert un talent de chanteuse et de musicienne.
Je n'avais que sept ans. Cette fois-ci, le bateau fut attaqué par toute une armada de la Marine. La procédure habituelle ; ma mère m'amena dans la cave, m'interdisant d'en sortir. J'ai joué avec ce que je trouvais dedans ; avec cette salle, j'avais construit toute une chambre, car une guerre pouvait durer plusieurs heures. Puis je me suis demandée si je pouvais sortir. Normalement, quelqu'un venait me chercher. Mais je voulais voir ce combat. Je voulais voir papa, couvert du sang sale de ses ennemis, hurler de gloire qu'ils avaient gagné ! Alors j'ai escaladé les marches grinçantes.
Ce que j'ai vu me traumatise encore dix ans après. Un corps de soldat, puis un autre. Tous. Tués dans cette guerre. Y compris ma mère et mon père. Je n'ai pas vu leur cadavre dans la masse mais je l'ai su grâce au visage satisfait de cet homme de la Marine. Alors je me suis effondrée, dans tous les sens du terme. En pleurs, je martelais le bois de mes petits poings. Et cet homme s'approcha. Il me parla, me dit qu'il devait faire son boulot. Je l'ai frappé, et il s'est contenté de sourire. Je n'avais jamais vu de tel rictus, un mélange de compassion et d'envie de rire. Il m'a alors proposé de devenir sa fille, ce à quoi j'ai rétorqué que mon père était capitaine de ce navire et qu'il allait venir me sauver d'une minute à l'autre...Mais moi même je n'y croyais pas. Alors, j'ai fini par accepter son offre. Il a donc caché aux autorités que j'étais la fille génétique d'un pirate et a pris...Sept années de congés. Sept années durant lesquelles il a terminé mon éducation, entraînée au combat.
Puis, à mes 14 ans, il a repris du service en tant que Marine. Et quand je lui ai dis que je voulais devenir pirate...Il a rétorqué que tant que je restais sa fille, tout irait pour le mieux. Sa fille. Je ne l'avais jamais réellement considéré comme un père, juste comme mon maître, mon mentor. Mais il était vrai que la maison dans laquelle nous habitions paraissait un peu vide...
Puis un beau jour elle est arrivée. Je ne la reconnaissais pas, et pourtant j'ordonnais à ma mémoire d'obéir ! Mais rien. Et elle m'a annoncé qu'elle était ma nouvelle soeur. Je n'ai compris sa phrase que quand ma voisine est apparue et m'a expliqué que mon père adoptif voulait qu'on me surveille.
Toute cette famille adoptive m'a chamboulée. Je vivais bien ! Papa m'envoyait des sommes d'argents chaque mois pour que je puisse me nourrir, acheter de nouveaux vêtements, ect ect...Pourquoi avait-il besoin de m'envoyer une nounou ?
J'ai pété les plombs et j'ai hurlé. Tout ce désespoir qui m'envahissait depuis si longtemps. J'avais accepté d'avoir un père adoptif juste pour compenser mes parents qu'il avait lui-même tué et ce sans jamais rechigner. Malgré ma tristesse je restais joyeuse de l'extérieur. Et toute cette colère accumulée est sortie.
Je suis partie en courant et ai marché très longtemps. A chaque pas je sentais mon coeur battre dans mes jambes. A chaque foulée je me sentais mieux, éloignée de ce village. Et je les ai vus. Sûrement un tour de mon imagination, oui. Mais tous les deux, ma mère aux cheveux si dorés, si ondulés, aux yeux tellement bienveillants...Et mon père, le vrai, le vaillant, le brave, au regard si pétillant. Il a suffit que je cligne des yeux pour qu'ils s'en aillent. Mais ce jour là j'ai compris que je ne pouvais pas en vouloir éternellement à une personne ayant commis une faute.
• Exemple de post RP : [Un post Rp est l'exemple-même d'un message de base que vous pourriez poster sur ce forum. Soyez imaginatif, parlez de n'importe quel sujet, cette partie nous sert à juger la qualité de vos posts Rp - 15 lignes minimum sans dialogues]Je cours. Mes jambes me font affreusement mal, j'ai des points de côté à peu près partout sur le buste, je suis morte de faim et de fatigue...Mais je cours. Je cavale après une maigre bête rousse, et ma petite taille ne m'y aide pas. Voilà à quoi j'en suis réduite. A poursuivre un écureuil pour revendre sa peau et manger le peu de viande qu'il contient. Au lieu de réviser.
Haha, la bonne blague. Moi, réviser...Peu envisageable. Je n'ai jamais aimé l'école, donc les devoirs, je les laisse derrière moi. Non, moi je me contente d'aller chercher un peu de bois dans la forêt pour nous réchauffer. Pathétique. Mais c'est tout ce que je peux faire.
Essoufflée, je bondis sur l'animal...Et le manque de quelques centimètres. Rageusement, je mords dans les épines de pin et frappe mon poing sur le sol meuble. Puis je me mets sur le dos et fixe le ciel aux teintes roses et orangées. Bientôt, le soleil sera couché, et je devrais être en train de dormir. Mais cette fois je n'en ai pas envie. Malgré la fatigue, malgré la faim, j'ai envie de revenir avec un repas ce soir. Non, en vérité mes causes sont beaucoup moins nobles ; j'ai envie de braver l'interdit, de ne plus sentir ce sentiment d'impuissance. Mais si je ne rentre pas, on risque de me le faire payer. Pire, on risque de le faire payer à ma famille. Comme si la mort d'Elie n'était pas suffisante !
Cette pensée me répugne. Son visage effrayé, détraqué par la peur, me glace le sang. Je l'entends me maudire et je bouche mes oreilles avant de me recroqueviller sur moi-même, tremblante. Je suis seule, il fera bientôt nuit, et c'est bête à dire mais j'ai peur. Je ne veux pas qu'on me les retire...Je ne veux pas qu'ils meurent, même si ce n'est pas par ma faute. Mais je sais que les gens meurent rapidement, de faim, de soif ou de folie. Ou bien tués par des Pacificateurs. Nouveau sentiment d'impuissance, qui termine de m'achever. Je l'entends. Son cri de douleur quand il a planté l'épée dans ses côtes, remuant la plaie pour son plaisir personnel. Ses pleurs quand il l'a laissée seule dans cette forêt, sachant qu'elle mourrait tôt ou tard. Ce qui engendre des larmes. Larmes qui roulent le long de mes joues et qui refusent de s'arrêter. Je sanglote. Elie...J'étais plus proche d'elle que n'importe qui, sûrement grâce à notre âge. Je tenais tellement à elle...Tellement...
Je rampe jusqu'à un arbre et plante mes doigts dans son écorce. J'ai envie de l'arracher, comme j'ai envie d'arracher le coeur de celui qui lui a fait ça. Tout le monde a beau dire que c'est de la faute du Capitole, c'est lui qui l'a tuée. Il y était contraint, oui. Mais il aurait pu simplement...La tuer en douceur...
Je suis toujours en train de méditer quand j'entends un bruit dans les fourrés. Je prends peur et grimpe rapidement à l'arbre. Si c'est un Pacificateur, je suis morte.