- Présentation du joueur IRL -
Age : 15 ans
Homme/Femme/Okama :Homme
Comment avez vous connu le forum : Via google : "One piece forum RP"
Combien d'heures vous vous connectez par jour : ça dépend des jours: Des coups d’œil pendant la semaine -checker les nouveautés, lire les RPs ...- Disponible le Week-end; Totalement libre pour les vacances...(Marocain donc nos périodes de vacances diffèrent^^).
Tes Mangas préférés : Je me contente de One piece et Naruto.
Ton personnage préféré dans One Piece : Akagami No Shanks!!
Ce qui t'a motivé à venir : Le concept du jeu me manque, de plus, en tant que fan de OP, j'aimerais bien essayer le RP-OP. Le niveau du forum aussi m'a motivé à venir!!
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Euh...Pas grand chose, je me suis inscris sur quelques forums, y joués quelques mois, pas plus.;
Hobbys : Il y'a d'abord la lecture...Puis....Mangas!!!
Autre(s) :Sur ce, je ne vois pas quoi ajouter.
- Présentation du personnage -
• Nom & Prenom : Decribe A. Rihaku
• Surnom (facultatif) : Je laisserais le monde définir mon surnom
• Age : 21 ans
• Race (Humain, Homme-poisson, Ange, Géant) : Humain
• Camp (Pirate, Marine, Chasseur de Primes, Révolutionnaire, Civil, etc.) : Pirate
• Orientation psychologique (bon, mauvais, indifférent, ...) : Bon loyal
• Métier/Spécialité (obligatoire pour les pirates et les civils, facultatif pour les autres) : Scientifique de premier ordre, médecin chirurgien.
• Pouvoir demandé (Fruit du Démon, Arme d'Exception, Techniques Spéciales comme le Rokushiki ou le Fishman Karaté) : J'aimerais le [Kikai Kikai no mi] niveau 8 : (Paramécia de la mécanique) permet de transformer son propre corps en machine, afin de mériter bien plus le nom de cyborg, capable de modifier ses globules rouges et blancs en nano-machines; de transformer sa peau en métal ou les vaisseaux sanguins en circuits de transmission par exemple.
• Rêve(s)/But(s) du personnage : Découvrir le mécanisme des fruits du démon.
• Code présentation : [Dans la description, j'ai tout mis au passé, pour éviter les incohérences d'inattention]
◘ Description Physique : [Minimum 5 lignes]Sur une certaine colline, non loin d’un certain village, se tenait une incertaine silhouette. D’une exquise posture, son dos, sa tête, et ses jambes étaient en parfait alignement. Elle se tenait d’une façon digne d’un martyr. D’un chef et d’une autorité fermes et clairs, son aura dégageait une impression mélangeant la sûreté et l’intimidation. Mais qui était bien cette personne ? Se demandait notre pauvre spectateur, en bas de cette témoigne colline. Un haut gradé de la marine ? Un écumeur des mers sanguinaire ? Ou simplement un citoyen de grand cœur ? Ce mystère ne s’étala pas de sitôt. Puisque la personne en question commençait à descendre cette même colline. Sa marche était royale, même si on ne voyait que les mouvements noircis par les ombres. Il avançait calmement, un pas, un deuxième, un troisième. Cette cadence était, semblait-il, régulière. Notre spectateur n’avait jamais encore vu une telle façon de marcher. Il nous jura plus tard, que les gestes de notre mystérieuse silhouette étaient parfaitement contrôlés. Cette dernière commençait à s’éteindre, et la personne qui la constituait commençait à germer sous les rayons lumineux. On apercevait, d’abord, de quoi il était botté : Une paire de chaussures, visiblement confectionnées à Shell Town, c’était la déduction de notre spectateur. Sa couleur marron mêlée à la verdure des dernières touches étaient la preuve formelle que cette paire sortait tout droit d’un des magasins de Shell Town.
Plus la personne avançait, et plus ses membres inférieurs se clarifiaient, et plus l’intimidation de notre spectateur diminuait : Un classique pantalon noir troué par le fil du temps, retenu de la gravité par une ceinture, à point de vue, mélancolique par le non-entretien de son porteur. Cette basse partie reflétait l’image d’un vulgaire voyou. Un côtoyeur de bars, certainement. Mais cette contradiction n’était point raisonnable : La façon dont cet individu marchait était tout sauf celle d’un homme sortit droit d’un bar.
Son avancement vers notre spectateur continuait, à présent, c’est tout son torse qui est visible : Il ne portait rien en dessus, rien, sauf un collier le long de son cou. Ses bras étaient énorme, cette qualité se voyait non seulement par leurs tailles, mais aussi par les cicatrices qui descendaient jusqu’aux mains. Ces dernières étaient, seulement, bizarrement, propres.
Sa musculature rejeta violemment l’hypothèse de notre spectateur : Elle montrait clairement que cet homme n’est pas un de ces faibles qui ne font que fréquenter les bars. Et il n’était sûrement pas un de voyous squattant les égouts à longueur de journée. Ses abdominaux semblaient être bien travaillés, de même pour son torse : Adroit et développé, tel l’allure d’un athlète. De même pour ses bras, pleines de cicatrices, retraçant la vie de ce mystérieux personnage, nichaient ses membres du dessus. Mais ce qui amplifiait le mystère, c’était ce tatouage en pleine poitrine : D.
Oui, mesdames et messieurs, un grand D se tenait en plein milieu de sa poitrine. Tatoué en vert, virant au bleu, il donnait une vague impression à notre cher spectateur que cet homme était un « autre » porteur de cette fameuse initiale : D.
Ses épaules, comme mentionnés plus haut, étaient bel et bien alignés avec le reste de son corps, et leurs solidité tenait aisément la dernière partie non encore divulguée dans cette description : La tête du mystérieux personnage.
Son cou, portait un collier. Pas cher, ni extraordinaire, juste un collier. Notre spectateur, sûrement intelligent pour ses déductions, savait que notre personnage n’était pas un amateur de bijoux. Mais l’objet qui entourait son cou avait un usage aussi clair que futile : Cacher les horribles traces qui y rôdaient.
Cet ensemble de cicatrices, de rides et de marques, divulguaient à grand monde les combats qu’il mena, et l’entraînement qu’il reçut.
Notre spectateur, à l’instant où les rayons de soleil dévoilaient la totalité de notre personnage, respira d’un profond souffle. De soulagement, peut-être ? On ne le saura jamais. Mais ce qui est visible, c’est que la mystérieuse silhouette d’autrefois, n’était que l’homme qui accosta ce matin même au port de cette île. On savait qu’il était inoffensif, non pas par ses gestes, lui qui est resté silencieux jusqu’à ce moment, mais par les traits de son visage.
Decribe A. Rihaku, c’était son nom, avait un visage qui ne s’oublie pas facilement : Son front était large, laissant assez d’espace entre les cheveux et les yeux. Ces dernières, noircies comme les ténèbres, allaient parfaitement à un homme sans peur ; Apparemment, son champ de vision était normal, ni gêné, ni large. Elles étaient coupées par un long nez, principale entrée d’inspiration et d’expiration profondes. Ces gestes gonflaient ses poumons, et élargissait le sourire qu’il offrait à notre spectateur, qui ressent de plus en plus de sûreté. On voyait ses dents : Blanches. Rihaku s’occupait bien d’eux. Elles amplifiaient l’intensité de ce sourire reflétant la confiance et la gentillesse de cet homme. Son menton, ses oreilles, et ses joues, ne donnèrent aucune impression, tellement ils étaient normaux. Quant à ses oreilles, elles étaient longues et fines, notre spectateur, faisant toujours preuve d’intelligence, en déduit qu’il avait une ouïe au dessus de la moyenne.
Sa chevelure montait jusqu’à quelques centimètres. Blanchies par nature, et pâlies par les rayons de soleil, les brins la composant, épaisses et résistantes au vent, complétaient le physique de notre fameuse silhouette, alias notre personnage, alias Decribe A. Rihaku.
Notre personnage lui demandait, afin de nous aider dans notre quête sur la connaissance de ce personnage, calmement : « Qui êtes-vous ? »
Le sourire de notre homme s’élargissait d’un coup.
« Mon nom est Decribe A. Rihaku, et je suis médecin. D’habitude, je porte quelque chose pour masquer les horribles cicatrices de mon torse. Mais j’ai perdu mon manteau noir hier, dans la taverne d’une autre île. Pourriez-vous m’en trouver un autre, mon cher ?»
Ah ! Le puzzle est enfin résolu ! Notre cher médecin porte au dessus, un long manteau noir !
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◘ Caractère & morale : [Minimum 5 lignes]Malgré son apparence, reflétant l’image du pirate gentleman, 2 mots qui sans doute, ne vont jamais être acceptés dans la mentalité mondiale, et ses préoccupations, comme passer la journée entière dans la taverne du coin, à faire la coure à la demoiselle n’ayant que la courtise comme activité, Rihaku est quelqu’un de très cultivé. Eduqué d’une façon digne d’un noble dans le dojo familial, et, par le choix du destin, ayant vécu 5ans auprès de son mentor loufoque, il testa dans sa très jeune enfance le fait d’être dans deux classes extrêmes. Il prit l’habitude de se laver les mains d’ici, et de se chamailler avec le 1er venu de là. Il apprit à remercier et à objecter ici, et à cracher et insulter là. Cet équilibre donné entre les 2 milieux contradictoires qu’il côtoya bâtit un pirate au caractère unique. Une personnalité qui passe ses journées, d’une aura sérieuse et combattive, à chercher comment avancer dans ses objectifs, qui l’intéressent plus que tout, et errant ses nuits entre tavernes et motels, cherchant l’élue de la soirée. Mesdames et messieurs, je voulais dire par élue, la prostituée du coin. Vous l’auriez sans doute deviné chez ce pirate, Rihaku était munit d’une perversité sans limites ! Outre ses raisons de vivre, il parlait tout le temps de tâter, mâter, et caresser. Bien sûr, pas au point de suffoquer de sang comme certains, mais assez pour le rendre ivre de joie à la vue d’une splendide courbature.
Mesdames et messieurs, l’un des défauts ultimes de Rihaku sont les femmes : « Ah les femmes ! disait-il, plus elles sont molles, mieux c’est ! » Il les traitait comme des objets. Pire que ça, comme des créatures crées seulement pour assouvir la soif des comme lui. Il en résulte qu’il ne croit pas à l’amour. Ces étranges sensations envers une femme ? Bien sûr que je les ressens ! Seulement, je suis un homme fait pour conquérir les mers, et non pour rester sagement auprès d’une femme !
Mais, sa cruauté envers « cette espèce », les appelait-il, n’était pas aussi profonde que cela. Il ne croyait peut-être qu’à leurs physique, mais il savait ce qu’une femme pourrait réaliser, il mettait une autre de ses qualités, au dessus de son infernal défaut : Le respect. Rihaku respectait tout le monde. Au sommet de la liste, on trouve les deux personnes ayant investit corps et âmes pour le former, son père et son professeur. Après, on trouve ses alliés, même s’il n’en a pas encore eu, Rihaku se disait tout le temps qu’il éprouverait un énorme respect pour les nakamas qu’il aurait.
Cependant, ce mélange ne résumait pas tellement son caractère. Hormis ces habitudes malsaines mais délicieuses qui le hantaient, et les multitudes qualités le qualifiant des autres. Rihaku était, avant tout, médecin. Et il avait en lui la délicatesse et la courtoisie que ne l’on apprend que dans les livres d’anatomie. Ensuite, c’est sa détermination et son placement des rêves comme raison de vivre qui le faisaient sortir du lot. Profaner le mystère des fruits du démon était un rêve non réalisé, et surtout, mystérieux. Il ne savait pas par où commencer, il ne savait pas quoi faire, et c’est ce qui rendait cet objectif plus passionnant que tout.
Oui ! Il trouverait le mécanisme de ces fruits, et rien ne l’arrêterait, assurait-il. Dans ses discours, principalement rédigés pour séduire les femmes, on pouvait clairement voir à quel point ce domaine l’intéressait. Des théories, des hypothèses, il en a rédigé des centaines, allant de la modification au niveau atomique à la sorcellerie qui reste à découvrir, en passant par la farfelue théorie du big-bang (Je ne dirais rien maintenant sur ce sujet, mes amis). Mais il était prêt à tout pour y arriver, pour découvrir la vraie réponse de la quête éternelle qu’a lancé !
Ce monde était pour lui, le parfait champ pour déborder son caractère. Il grandit dans un environnement où il n’était question que d’utopie : De rêves, de passions, mais aussi de justice, et de fraternité. Il décida le ferme choix de vivre sa vie avec ces propos, en naviguant sur les mers, d’île en île, essayant de changer le monde à sa façon. Mon rêve, est de découvrir le mécanisme des fruits du démon, mais mon objectif, en tant qu’humain, est de modeler ce monde à ma façon, croyait-il.
◘ Histoire : (Je m'excuse pour les fautes d'accord et d'inattention, espérons juste qu'elles ne vous gâcheront pas la lecture. [30 lignes minimum - les dialogues ne comptent pas dans le nombre de ligne]-Le 23 Janvier 1983, Shell Town, East Blue. En ce mois d’hiver, la tempête faisait des ravages, les magasins qui formaient le commerce de la ville étaient tous fermés, les rideaux, sous l’énorme pression qu’exerçait le vent, claquaient violemment. Les nobles qui vivaient sur place dégustaient leurs dîners, pendant que les parents pauvres hésitaient entre sacrifier leurs portions pour leurs enfants, ou sauver leurs peaux.
Dans le dojo qui siégeait en maître dans le récif nord de la ville, précisément dans le compartiment des femmes, Decribe A. Mina était en train de donner tout ce qu’elle a pour mettre au monde un nouveau né. Les sages-femmes autour d’elles l’aidaient, la future-mère criait de toutes ses forces, des cris que personne hors du dojo n’entendit car la tempête était plus forte que tout.
L’accouchement dura plusieurs heures, et Mina souffrait de chaque seconde qui passait, tout en gardant la tête en haut, en pensant au grand homme que deviendra son fils : Son père, Decribe A. Tif, chef de la famille Decribe, optait pour un grand grade de la marine ; Il était plein d’ambitions car personne auparavant n’a réussi à atteindre un aussi haut grade dans la famille : Des lieutenants, des colonels parents, on en trouve un peu partout sur Grande Line, mais le père espérait mieux : Vice amiral du quartier général, ou mieux : Amiral en chef de la Marine ! Après tout, personne ne doit sous-estimer la force du destin, pensait ce dernier. Garp, Dragon, Luffy, Roger, tous ces noms de l’ancienne ère sont sortis de nulle part, et ont cru en leurs rêves et leurs passions pour aboutir à leurs voulu.
2 heures du matin, des pleurs se faisaient entendre le long du corridor du dojo Decribe : Le dernier descendant de la famille est enfin né !!
« Comme on s’y attendait, Mina, c’est un garçon !! S’exclama l’une des sages-femmes.»
La mère prit son fils entre ses bras, le dorlotant avec amour et attention, le nomma :
]« Rihaku, j’ai toujours aimé ce nom : Il s’appelle Rihaku, et il sera un grand homme !! »
-5 ans plus tard, Shell Town, East Blue.
C’est finalement le printemps à Shell Town ! On entendait de loin le commerce du centre-ville qui reprenait d’un coup après la dure tempête que l’hiver dernier a amené. Le claquement des marteaux des forgerons se mêlait aux cris des plus vifs marchands. Les petits enfants jouaient à différents jeux le long du marché : Les plus garnements d’entre eux s’amusaient à chiper le doux pain du grand pâtissier, qui se faisait une grande joie de les suivre en menaçant. Les officiers de la marine siégeant dans le coin, contemplaient tranquillement ce gai spectacle, même les nobles, souvent enfermés dans leurs châteaux, sortaient prendre part à cette grande ambiance pleine de vie et de satisfaction ; en bref, tout le monde profitait de ce jour parfait à Shell Town.
Non ! Pas tout le monde ! Dans un familier dojo en bas de la ville, plus précisément dans une salle où est marqué « Entraînement », s’entraînait rigoureusement le jeune Rihaku.
A cet âge-là, il ne mesurait que 1m20, sa chevelure avait légèrement poussé, on spéculait déjà sur sa future coupe de cheveux : Ce sera du blanc arriéré ! Il portait un équipement de combat délicatement préparé pour les jeunes combattants de son âge, il se battait de toutes ses forces contre son entraîneur qui n’est nul autre que Tif, son père. Ce dernier décida plus tôt de faire de son petit un batailleur de premier ordre, « une force brute qui grimpera les grades de la marine », répétait-il assez souvent. Il lui enseigna quelques techniques basiques, comme l’art de donner des coups de poings, d’esquiver, mais aussi des apprentissages mentaux, afin d’affiner son équilibre. Il ne cessa de fourrer à Rihaku, jour et nuit, l’importance de certaines valeurs, comme la liberté, les passions, et la confiance en soi. Ce dernier, d’une façon aussi naturelle que normale, se contentait d’écouter et d’appliquer ; Ses uniques soucis étaient d’achever un entraînement pour passer au suivant : Il doit devenir assez fort pour réaliser le rêve de son père en devenant un haut gradé du quartier général.
Lors d’un déjeuner, alors qu’ils mangeaient tranquillement, Rihaku, Mina, et Tif. Le jeune garçon demandait d’un air naïf :
« -Père, pourquoi est-ce que je dois devenir un marine ?
-Hein ? Mais pourquoi poser une telle question ? Ne t’ais-je toujours pas dis qu’être marine signifie être un homme, un VRAI !
-…D’accord ! Je vais faire de mon mieux pour réaliser ce but, Père ! »
Oui, il se contentait d’écouter, et d’appliquer, jusqu’au jour où Tif jugea son fils assez grand pour se promener tout seul en ville...
5ans plus tard, Rihaku fêta ses 10ans, dans la famille Decribe, toute personne ayant atteint ce jeune âge était parfaitement apte à se débrouiller toute seule dans les ruelles de Shell Town, qui n’était pas aussi dangereuse que les autres îles. En effet, le jeune garçon était devenu fort, depuis le temps : A présent, le temps des coups de poings fut dépassé, il savait comment mixer entre vitesse et puissance, mais d’après son père, le niveau attendu était encore loin, très loin de ce qu’il devrait atteindre.
Mais Rihaku s’en foutait, il n’avait qu’une chose en tête lors de sa 1ère sortie : Visiter pour la première fois la ville tout seul !
Sa perception du monde était si vide que le moindre détail ne lui échappa pas : il était plein de joie et de satisfaction rien qu’à la vue des interactions entre marchands, habitants, vagabonds, marines, nobles, et autres. Il questionnait ceci, demandait cela, sa curiosité était si grande que ses pas le menait jusqu’à une sinistre bâtisse, loin du village, d’où sortait par la cheminée des gaz colorées et mélangées, et où est écrit sur une pancarte non loin de la propriété « Vive la science ! ». La curiosité de Rihaku le démangea, à tel point qu’il prit son courage à deux mains, et, oubliant les bonnes manières, ouvrit brutalement la porte, il ignorait à cet instant que ce geste était le premier point décisif dans sa vie.
Après avoir ouvert la porte, Rihaku entra dans la sinistre bâtisse : Il s’agissait d’un hall calme, au premier coin, se trouvait une table de bois avec une chaise, à gauche, était entreposé une énorme bibliothèque, la façon dont les livres étaient rangés n’étaient pas de main aléatoire, mais ce qui intriguait Rihaku, ce fut ce squelette humain, qui se tenait là-bas, au fond, à côté d’une plateforme où était posés des instruments digne d’un alchimiste : n’importe quel enfant ayant un minimum de sens de résonnement en déduirait que la maison en question était habité. Le jeune garçon avança un peu plus, il se dirigea vers la table, il découvrit plus tard l’existence d’un livre où est écrit : « Les bases de la médecine, par Archimède D. Pantagone », jamais il n’entendit ce nom ; Ce n’était bien sûr pas un de ces héros de la marine que son père a évoqué maintes fois dans une de ces séances d’entraînement, et ce n’était pas aussi un de ces charmants grand « Superstar » que sa mère aime tant en parler. Par chance, Rihaku savait lire, et sa curiosité fut si profonde qu’il se lançait à lire ce livre.
«Organes, Os, Corps humain, Biologie cellulaire, Anatomie » son cerveau subit après les premières minutes de la lecture un flash complet : Jamais de sa vie il ne reçut une si grande quantité d’informations, aussi complexes qu’incompréhensibles, mais Rihaku savait à quoi il avait à faire, il s’agissait d’un livre de médecine, et la médecine, c’est ce qui permet aux gens de se soigner lors des combats…Cette définition était assez convaincante pour l’amener à lire l’entière dédicace écrite dans la 1ère page.
« Cher lecteur, chère lectrice, ce livre est dédié à tous ceux qui veulent apprendre à devenir médecin, ici vous trouverez toutes les connaissances nécessaires pour vous former, et ce, selon votre degré d’attention et de motivation, en un temps record, qui peut diminuer jusqu’à 5ans ! Ici j’ai regroupé toutes mes recherches, en adoptant une démarche à la fois simple et amusante, qui permettra à n’importe quel passionné de la médecine, de devenir un excellent médecin ! »
« -HALTE-LA !!! »
Une voix haute et aigu coupa ce long moment de réflexion de Rihaku, il entendit ces mots surgir de l’entrée de la maison, le garçon se retourna, la salive à la gorge, tremblant de peur, cherchant les excuses à dire, justifiant sa présence dans une propriété privé :
« Je…Je suis désolé, monsieur, je ne savais pas que… »
En se retournant, Rihaku aperçut clairement le physique de la voix. Un homme de grande taille se tenait, d’une façon aussi droite qu’un humain peut l’être, ses cheveux, de couleur verte, étaient hasardement mal coiffés, il portait un tablier blanc, avec un short rose en motifs jaunes et bleues…Ce fut un bizarroïde comme on ne voit presque jamais.
Sous cette grande surprise, le jeune garçon jeta le livre par terre. L’homme en question perdit toute attention vers ce petit intrus et courra ramasser le livre par terre, comme s’il y accordait une importance phénoménale.
« MON LIVRE ! criait-il.
- Ce livre est à vous, monsieur ? Demanda poliment le jeune Decribe.
- Qu’est-ce que ça vas te faire, de savoir si c’est mon livre ou pas ? Répondit l’homme en caressant ce dernier. Et puis d’abord, qui es-tu ?
-Mon nom est Decribe A. Rihaku, et j’ai 10ans.
-Decribe ? Alors comme ça tu appartiens à ces extrémistes d’en bas ? Et que viens-tu faire ici ?
-Je me baladais tranquillement dans les environs quand votre maison attira mon attention, une fois dedans, j’ai commencé à lire votre livre. Expliquait le jeune garçon. Apparemment, il se moquait de ces propos, il n’avait qu’une chose en tête : Acquérir le savoir contenu dans ce fameux livre.
-Ne sois pas ridicule, mon garçon ; Une cervelle vide comme toi ne peut s’intéresser à ce genre de choses, je t’ordonne de…
« La cervelle vide » lui coupa la parole :
-Mais je suis sérieux, Docteur !! Votre livre m’a intéressé ! Bien plus que ça, il m’a captivé !! Je suis très impressionné par la science que vous appelez médecine ! JE VEUX SAVOIR comment le corps humain fonctionne, JE VEUX EN SAVOIR plus sur ce que vous appelez « cellule », JE VEUX DEVENIR UN MEDECIN !! »
Archimède D. Pantagone fut surpris suite à ces paroles. De toute sa vie, il ne rencontra personne de son calibre intellectuel. De toute sa vie, il fut rejeté, il fut soumis à des moqueries incessantes, il fut traité de fou, de charlatan, de sorcier…Mais jamais personne ne l’a traité de docteur. A cet instant, se tenait devant lui un jeune garçon de 10ans, un Decribe, un fier combattant qui n’a rien à voir avec la science, mais voilà que ce même petit lui demandait avec rigueur et acharnement ce que personne au monde ne lui a jamais demandé : « être son disciple ».
« Rihaku, Decribe A. Rihaku…C’est bien cela ton nom ? »
Le petit mimait avec grande peur ces mots
-O...Ou…Oui, c’est bien moi.
-J’espère que tu es sérieux, dans tes paroles, parce que je n’apprécie guère ce genre de plaisanterie, mon garçon.
-J…Je le suis, Docteur !
-Alors dans ce cas, j’accepte cordialement de faire de toi mon élève ! «
Cette discussion était le début de l’une des plus chaleureuses relations qui peuvent exister.
Cela fait maintenant 2 mois que Rihaku suit ses cours de médecine auprès d’Archimède ; Ces études étaient d’une extrême difficulté. Pour un garçon de 10ans, c’était parfaitement normal. De plus, son professeur était grandement impressionné par sa capacité à assimiler les informations. Il était persuadé que l’être qu’il formait n’était pas quelqu’un d’ordinaire : Au delà sa force physique acquise grâce à l’entraînement de son père, son quotient intellectuel était naturellement plus élevé que la moyenne. Ce qui permit un apprentissage non seulement clos à la médecine, mais ouvert sur d’autres disciplines, comme la géométrie, ou l’analyse, ou encore l’astronomie. Le professeur jugeait que 5ans sont suffisants pour faire de lui un excellent médecin, mais Rihaku se cultivait secrètement : Ses parents n’étaient pas au courant de la chose. Il était évident que la formation durerait un peu plus longtemps : 12ans était l’estimation du professeur.
Un jour, alors qu’il donnait un cours sur les sciences humaines, il demanda brièvement à son disciple :
« -Mon cher Rihaku : Quel est ton rêve ?
-Mon rêve ? Je veux devenir un fier marine, comme mon père l’exige !
-Un marine ? Mais ça n’a rien de fier d’être marine ! »
Cette réplique commença alors une très intéressante conversation entre les 2.
« -Qu’est-ce que vous dites, Docteur ? Il n’y a rien au monde qu’une personne ramenant justice et liberté à ce monde dépourvu de toutes valeurs ! Lança Rihaku, munit d’une sûreté et d’une confiance en soi acquise non seulement par le fil des ans, ou les leçons de moral que lui donnait se père quotidiennement, mais aussi par son professeur lui-même, qui n’hésitait pas à bâtir la personnalité de son élève. Un marine est un soldat sans peur ! Un marine est une personne qui se met toujours du côté du droit, de la justice !
-Cette argumentation est correcte, mon jeune ami. Un marine doit avant tout faire régner la justice dans ce monde, mais le gouvernement mondial actuel ne fait que se cacher derrière cette étiquette.
-Qu’est-ce qui vous fais dire une chose pareille ? N’est-il pas visible que cette île est devenue paisible grâce au travail de la marine ?
-Mon garçon, un marine « croît » faire régner la justice en éliminant ce qu’il pense s’agir du « mal », mais…Ne t’ai-je pas enseigné qu’il n’existe pas de justice absolue ? Ne t’ai-je pas enseigné que seul celui qui est en position de force, le détenteur du pouvoir, définit sa propre justice ?
-Docteur, ne mélangez pas philosophie et politique. Ce que vous dites est absurde, je ne vois aucun mal que peut faire une compagne militaire planétaire, recrutant des gens du monde entier, qui, de plus de son organisation suprême, est entièrement au service humain !
-Que l’esprit de la science m’aide à convaincre ce jeune garçon de mes propos ! Essayons autre chose : Que penses-tu de la piraterie ?
-La piraterie est un crime ! Tout pirate mérite la potence !
-Et puis-je te demander pourquoi ?
-Pour les crimes qu’il a commis : Vols, Meurtres, Attaques de gens innocents !
-Cela est vrai, mais ces gens là, qui pillent et volent comme tu dis, ne sont pas plus que des vulgaires bandits : Être pirate n’est pas un crime, la piraterie, c’est la liberté ![/color]
-Que des balivernes ! Il est vrai que la liberté est une raison d’être, mais pas au point de déchaîner l’instinct animal qui est en soi au prix des innocents !
-Ecoute-moi, jeune garçon ! Dans ce monde, il n’existe pas de justice absolue ! Le gouvernement mondial lui-même est corrompu ! La chose la plus correcte qu’il faut faire est de définir ses propres convictions, définir ses passions, ses rêves, ses principes, les choses qu’il faut faire, les choses qu’il faut encourager, les choses qu’il faut combattre, les gens qu’on doit aider, les gens qu’on doit éliminer, et après avoir définit ta flambante personnalité : Réalises tes rêves ! N’hésite pas à prendre les mers pour le faire ! Hisse le pavillon de tes convictions ! La piraterie n’est pas un crime, la piraterie, c’est tout ça, la piraterie, c’est la liberté !
Rihaku resta bouche bée, ces expressions et ces paroles étaient tout sauf fausses : Le système des 7 grands corsaires ne révélait par clairement la corruption de ce gouvernement ? N’a-t-on pas déjà entendu parler des pauvres innocents qui furent emmenés à Enies Lobby pour ne jamais les revoir ? NON ! Tout ça n’est que des balivernes ! La marine peut faire des erreurs, mais pas au point de se retourner sur ses propres principes !
Rihaku était confus, pour la 1ère fois de sa vie, il réfléchissait sérieusement à la question : Pourquoi voulait-il tant devenir marine ? Après tout, il ne l’a jamais voulu de son plein gré ; c’est son père qui rêvait à sa place.
Après la fin de ce cours exceptionnel, le jeune médecin retourna chez lui, songeant et retournant le problème maintes fois : Définir sa personnalité, définir ses rêves et partir en mer les réaliser ! Cette idée était non seulement passionnante, mais juste.
La nuit, il se remémora les dernières paroles entendus par son maître le jour même : ‘La piraterie n’est pas un crime, la piraterie, c’est la liberté !’
Et s’il devenait pirate ? Et s’il prenait la mer lui aussi ? Cette idée vague et floue commença à germer dans son subconscient. Dès lors, il s’amusa à s’imaginer de la sorte. Decribe A. Rihaku, le Supernova, avec son fidèle équipage, semant la terreur et le trouve sur Grande Line. Decribe A. Rihaku, le plus grand chirurgien pirate que ce monde ait connu. Decribe A. Rihaku, l’un des 4 Yonkou, renversant le système des 7 grands corsaires de ses propres mains, ce système qu’il a tant haï. Decribe A. Rihaku, LE ROI DES PIRATES !
A cette dernière idée, il ressentit un frisson comme jamais. Le roi des pirates ? N’est-il pas allé un peu trop loin dans ses rêves ? Cette pensée était pour lui comme un réveil. Un premier point qui signalait le départ d’un rêve. Roi des pirates ? Cela servirait à quoi, d’acquérir la fortune, la gloire, et le pouvoir. Rihaku doutait du comble que ramènerai cet aboutissement. Il abandonna alors l’idée de monter un équipage et d’en être le capitaine.
Mais alors, quel sera ton rêve, jeune médecin ? Il songea au départ à un accomplissement qui révolutionnera le monde actuel. Ensuite, il nota que son objectif devra être en rapport avec ses talents. Il sera médecin, et en tant que pirate, il se verra être sûrement médecin de bord d’un quelconque équipage. Il ajouta aussi à son raisonnement que son objectif doit être purement scientifique : Une découverte ? Un exploit ? Une prouesse ? Là, sa décision était de comprendre un des mécanismes encore mystérieux par dame Nature.
Plusieurs jours passèrent, avec la même cadence : s’entraîner ici et apprendre là. Son père, haussant la barre jour après jour, ne se rendit pas encore compte des nouvelles pensées de son fils. Ce dernier, ne songeait qu’à trouver la combine parfaite qui tracera le chemin de sa vie : Son objectif.
Il demanda au professeur un conseil, son premier réflexe fut de continuer l’un de ses travaux, après sa mort. Rihaku refusa, voulant écumer les mers pour venir à bout de son rêve. Un jour, se baladant dans la bibliothèque de son mentor, il tomba sur un livre jamais remarqué auparavant : « L’encyclopédie des fruits du démon ». Ivre de curiosité, le garçon aux cheveux blancs n’hésita pas à le feuilleter. Ce choix fut le second point décisif de sa vie.
« Cette encyclopédie recense la quasi-totalité des fruits du démon que le monde ait connu jusqu’à présent. » Les fruits du démon ? Bien sûr, Rihaku en sait quelque chose, sur ces maudits pouvoirs annulant la faculté de nager pour quiconque les mangeant. Mais, en feuilletant ce livre, il se rendit compte que son savoir sur ce domaine était si péjoratif et erroné qu’il prit le temps de le lire en entier ! Les pouvoirs donnés par le fruit du démon ne sont pas uniquement surnaturels, se disait-il, ils révélaient de la divinité suprême ! Un homme en feu, en caoutchouc, en magma, en glace, en eau, en vent…Un homme contrôlant son corps, modifiant son poids, créant des explosions avec ses crottes, un homme aux 1001 visages, un homme contrôlant le climat…Rihaku affirmait, non, il assurait, que ces pouvoirs valent bien le prix de nager. Comme tout être humain ayant pour la première fois lu l’encyclopédie, Rihaku rêvassait toute l’après-midi, sur le comble que ça le ferait une fois après avoir mangé un fruit du démon. « Le pirate que je serais dominera les mers à une vitesse hors du commun ! ». Et ce n’est qu’après cette rêvasserie que le tic du scientifique qui était en lui se réveilla !
Des fruits donnant des pouvoirs surnaturels à leurs mangeurs ? Mais comment est-ce possible ? Pour quelqu’un ayant un minimum de savoir sur le fonctionnement atomique, comme l’était notre jeune médecin, saurait que c’est absurde...Mais voilà que ces fruits aux pouvoirs magiques existent vraiment. Ce mystère démangea la cervelle de notre héros. Il demanda d’abord à Archimède, qui ria d’un bon coup, en répondant que cette question trame dans l’esprit de tous les scientifiques, sans que personne n’ose y répondre, tellement c’est vague et difficile. Cette réponse ne suffisait pas à Rihaku, l’abandon et la peur de la vérité sont les pires ennemis d’un scientifique, encore plus, d’un médecin ! Ce mécanisme DOIT être trouvé ! Vous cherchez une motivation ? Rien que le fait de comprendre comment ces pouvoirs sont donnés peut offrir des tas de possibilités au monde actuel, allant de contourner le problème de l’eau jusqu’à créer et développer ses propres pouvoirs ! Cette découverte, une fois réalisé, achèvera le monde actuel, pour commencer un nouveau monde, un monde sans handicap, sans maladies…Encore plus important que ça, les humains n’auront plus de raisons pour se battre, car chacun ayant trouvé son comble personnel avec ces fruits, les guerres disparaîtront alors pour de bon ! Plus de haine, plus de tristesse, plus de douleur !
C’est avec cette pensée que Rihaku, jeune alors de 16ans, déclara au grand monde, que son rêve est de trouver le mécanisme des fruits du démon. Certains le félicitèrent pour cette initiative, d’autres se moquèrent de lui. Quant à son père, à la fois déçu par le chemin qu’à prit son fils, mais aussi fier de ses convictions qui ne pourrait qu’améliorer ce monde, refusa au début l’idée d’abandonner l’objectif d’être marine, mais accepta un investissement pour la science. Rihaku ne lui dit cependant pas ses pensées sur la piraterie, songeant au flétrissement de leur relation père-fils.
Cependant, il ne commença pas ses recherches tout de suite, se disant, qu’une si lourde tâche demande une si lourde préparation, il continua de ce fait sa routine, qui, sûrement, améliora ses capacités physiques, mentales et combattives. Le voilà, maintenant, l’un des plus forts garçons de son village, intellectuellement, grâce à son savoir en médecine, et physiquement, comme tout Decribe digne de ce nom.
5 ans de préparation passèrent, Rihaku a 21ans, l’âge requit pour achever ses études médicinales. Le rêveur est maintenant devenu docteur. Le docteur est maintenant devenu pirate. Le pirate prit maintenant les mers, vers sa quête. Notre docteur aux cheveux blancs s’empara d’un des bateaux de sa famille : Un petit navire avec une calle, une cabine et un pont. Suffisant pour 2, 3 au maximum, il lui servirait temporairement le temps de tracer le plan qu’il suivrait. Il ne sait pas par où commencer, ni comment faire, mais il sait qu’il y arrivera, un jour ou l’autre.
• Exemple de post RP : Sur la mer d’East Blue, quelque part près de Shell Town, cette ville tant réputée pour son commerce, ses activités, mais aussi pour son titre de l’une des îles sous les ordres de la marine. Le climat des alentours est réputé pour être variable à tout moment, on se croirait parfois, sans abuser, sur Grande Line. Mais, bizarrement, la mer aujourd’hui était calme. Certes, il y’avait des vagues et des courants, mais elle était relativement calme. Cela fait maintenant une journée que le bateau de Rihaku errait dans les mers, à la recherche de sa première île.
Mais il n’était pas pressé. Outre ses provisions dans la calle, il n’était pas impatient de faire une escale. C’était sûrement parce qu’il n’a aucun plan actuellement en tête. En ce moment même, le scientifique était dans sa cabine, réfléchissant à un début vers sa quête, qui, apparemment, sera très longue. Il se clarifia les idées, avant de commencer un nouveau raisonnement d’une façon scientifique : Posons des hypothèses, des théories…NON ! Il est beaucoup trop tôt pour en arriver là. La chose la plus sage serait de trouver des compagnons de route, des gens qui l’aideront à avancer dans sa quête, des nakamas ! Ensuite, après avoir trouvé un bon équipage, il serait préférable de consulter les recherches d’un scientifique ayant déjà eu cette idée, afin de ne pas refaire le même travail. Cependant, une idée germa tranquillement dans l’esprit du scientifique : Lui qui cherchait à résoudre l’énigme des fruits du démon, pourquoi ne pas en acquérir le pouvoir ? Il ajouta de ce fait une nouvelle tâche à accomplir dans sa liste : Manger un fruit du démon.
Ces heures de réflexion passées dans sa cabine le firent sortir prendre un peu d’air, sur l’étroit pont du navire. Il contempla l’étendue de la mer d’East Blue ; A présent, son passé est laissé derrière lui, plein de préparation et de rêverie, et son futur s’étend devant lui, plein de mystères et d’inconnu. Que lui réserve-t-il ? Des nakamas comme on n’en trouve pas, peut-être ? Ou une renommée incroyable, Rihaku, le pirate-médecin, la nouvelle révélation du monde ? « Ah ! Laissons ces futilités, après tout, c’est le destin qui décide ce genre de choses ! »
Des nuages suspects commencèrent à se former, le plus ignorant des forbans en déduirait qu’une grosse tempête se prépare. Rihaku installa les précautions à prendre, il se dit qu’il serait temps de choisir une destination : Il avait une carte d’East Blue, non complexe, comme celle des navigateurs professionnels, mais assez simple pour qu’un médecin sache se diriger sur une mer aussi aisée qu’East Blue. Hum….Logue Town, peut-être ? La cité où tout a commencé sonnait un bon début pour l’aventure de notre médecin, il prit alors le cap vers sa nouvelle destination : Logue Town.