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 Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ]

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Bélial
Brigand
Brigand
Bélial


Profil Psy : Fou mais réfléchit
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MessageSujet: Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ]   Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ] EmptyDim 5 Juin 2011 - 23:44

- Présentation du joueur IRL -

Prénom : Alexandra
Age : 22 ans
Sexe : Femme/Okama
Comment avez vous connu le forum : Google
Combien d'heures vous vous connectez par jour : j’en sais foutre rien !
Tes Mangas préférés : j’en ai pas vraiment de préféré …
Ton personnage préféré dans One Piece : Sanji o/
Ce qui t'as motivé à venir : l’ennuie ?
Tes expériences dans le domaine du Rp/JdR : Joker, j’ai jamais compté
Hobbys : le volley (sur la plage c’est mieux) et écrire
Autre(s) : c’est toi l’autre !

- Présentation du personnage -



• Nom & Prenom : Bélial, mais son nom, c’était quelque chose comme … « Lapussel » ? Je n’en suis pas sûre, mais c’était rien de très flamboyant …

• Surnom : L’immortel oublié

• Age : 56 ans

• Race : Vieux heu, humain !

• Camp : Pirate serait plus judicieux

• Orientation psychologique : Indifférent

• Métier/Spécialité : Charpentier de formation

• Pouvoir demandé : [FDD inventé, pas dans la liste =/ ] La bague du troll : un anneau de bronze imprégné du fruit du démon zoan du troll. Bélial joue avec comme un familier qui peut se ranger autour du doigt en toute discrétion.
En forme troll, il mesure près de trois mètre de haut et son intelligence ne dépasse pas celle de l’escargot lancé à pleine vitesse (il bave d’ailleurs autant l’un que l’autre) mais sa force brute est redoutable. Il a la peau gris-verte, le crâne lisse et la barbe longue, il est affligé d’un gros nez et d’une dent sur deux dans la bouche. Il n’est vraiment pas beau à voir et son odeur peut être considérée comme une arme. Le cou rentré entre les épaules, ses bras et ses mains sont si imposante qu’il touche le sol sans se baisser. Il est bedonnant, tout juste un pagne entre les jambes.
Il dispose d’une vague forme hybride, plutôt une version de poche en faite. Il ne dépasse plus les quatre-vingts centimètres de haut. Il est toujours aussi moche est sent toujours aussi fort, mais ses muscles le rendent plus vif et moins puissant.

• Rêve(s)/But(s) du personnage : Des femmes, de la bière et de l’or nom de dieu !

• Code présentation:



[b]◘ Description Physique :


Entre la masse et l’expérience, qu’est-ce qui coque le plus chez lui ?
Si on parle de son âge, à nos yeux saute alors la longue barbe blanche qui va jusqu’à chatouiller son nombril ou sa chevelure broussailleuse tout aussi immaculé. Enfin blanc, lorsqu’il sort de sa douche mensuel, sinon, c’est plutôt une couleur gris sale qui recouvre la plupart de son visage. Le reste étant couvert de ride, seul sont regard ambré, semblable à de l’or perce à travers cette laideur somme toute relative.
Si l’on prend en compte sa carrure, c’est tout son corps qui respire la puissance que l’on ne peut s’empêcher de voir. Il mesure un mètre quatre-vingts pour quatre-vingts cinq kilogrammes de muscle pure. Chaque parcelle de son corps peut se révéler comme une arme potentielle. Il est cependant loin d’être un vulgaire tas de muscles puisqu’il à entrainé son corps pour être tranchant et pas seulement puissant. Un corps et des capacités physiques qui feraient rougir les dieux de la guerre.

Sur son corps, sinon, aucune fioriture, quelques tresses dans les cheveux pour un côté plus pratique. Seule une hydre gravée en motif tribal dans son dos. Comme une marque de famille qui cri à ceux qui le regarde « coupe moi une tête et essaye de faire face au deux suivantes ». Un mélange d’arrogance, d’égocentrisme et de vérité.
Son style vestimentaire et tout ce qu’il y a de plus basique, un pantalon noirci par l’âge et la crasse, il parait qu’il le lave lorsqu’il passe sous la douche. Ses bras son également couvert de cuire d’une grande résistance, son seul atout pour faire face équitablement à un homme armé. Il porte bien un vieux couteau mal aiguisé à la ceinture, mais en générale, il se bas avec ce qu’il y a à porté de main, sinon, il reste ses poings.

Un roi des morts, un empereur des bas fonds, un monarque déchu … Voilà vaguement l’idée générale qu’il donne donc. Il suffirait d’insister sur sa puanteur de troll et son apparence incommodante pour le faire passer pour un clochard, mais un rien inexplicable le fait transpirer une toute puissance gênante, une prestance divine. Il inspire tout simplement respect et angoisse comme un dragon inspire émerveillement et effroi.

◘ Caractère & morale :

C’est un home assez lunatique avec ses tendances de vieillard. Il n’en reste pas moins digne de ce qu’il inspire.

Ses humeurs changeantes peuvent lui donner des allures d’un schizophrène capricieux. D’un regard, il prend aléatoirement des attitudes qui auront souvent tendance à repousser. Hautain, enfantin, colérique, désinvolte, sa palette n’a pas de limites. En règle générale, il est tout bonnement con.
C’est en effet un égoïste invétéré, tout est pour lui, tout lui est destiné. Si il veut, il prend, si il ne veut pas, ça n’a simplement pas le mérite d’exister. Inutile de dire qu’il n’est pas bon de se mettre en travers de son chemin.
Il n’est pourtant pas un imbécile. Il agit souvent comme un stupide, mais il réfléchit à deux fois si ce qu’il veut n’est pas encore à sa porté. Il peut mettre astucieusement de nombreux moyen pour y parvenir, il sait se montrer patient. Ce sont des choses qui reste très rare à voir, car il sait quand même se contenter de peu, mais il faut craindre se moment où il se fait tel une ombre muette pour réfléchir ou qu’il écoute qu’il écoute gentiment un bon conseil. Ce n’est ni anodin, ni de bonne augure.

Pour le reste, il est assez bonhomme. Il ne fait finalement que taquiner son entourage et sait répondre d’autre taquin dans son genre. Malgré sa misanthropie, il reste un bon allié. Il a déjà était dit qu’il se contentait de peu, quelques dorures pour les couleurs, une bière pour son gosier et une belle femme (ou un gentil garçon Rolling Eyes ) pour le reste.

Un homme donc difficile à cerner, autant pour son entourage que pour son propre narrateur. Il n’en restera pas moins un atout dans les moments cruciaux.

◘ Histoire :

Cinquante six années de vie, trente trois de rêve, vingt d’espoir et trois de cauchemar. Voilà comment Bélial résumé son vécu au travers de l’anneau qu’il tenait entre ses doigts sur un décor de renouveau. C’était l’aube qui terminé une bataille mémorable qui lui value ce rond de bronze gravé du mot « amour » dans différentes langues. Une bague de fiançailles traditionnelles aujourd’hui maudit par l’odeur explicite d’un troll.

Bélial ou le troll ? Le troll ou Bélial ? Un duel ardent entre la bête qui voulait dominer les hommes et l’homme que l’on relaya à l’égale des bêtes. L’immonde se battait avec les troncs, pas plus gros qu’une branche dans sa grosse main verte couvert du sang des villageois, le puant mesuré sa seule chance de victoire au sabre rouillé qu’on lui avait prêté. Poussant leurs hurlements chacun leurs tours, montrant plus de l’instinct d’un démon que d’un être vivant commun, ils se jugèrent ainsi avant de s’élançait l’un vers l’autre. Un combat aux techniques telles que même l’homme de Cro-Magnon n’oserait les utiliser. La forêt tremblait d’un grondement sourd à chacun de leurs chocs, une puissance inhumaine qui eut tôt fait de faire naitre une prairie dans la densité arboricole de la région. La nuit avait bien entamé son déclin lorsque les deux abominations ne trouvèrent rien de mieux que leurs poings pour transcender leurs pseudo-arts.
Posant un genou à terre, le troll s’avoua finalement vaincu alors que l’homme porta le coup de grâce. La bête due alors se réfugiait dans l’anneau de bronze qui faisait partie de lui pour guérir de ses plaies, avouant ainsi son secret. Il n’était qu’un vulgaire zoan mal destiné et devenue fou. A présent mater par Bélial, il n’avait qu’à se résigner à la volonté de son maitre fraichement promu.

Le troll pouvait se réjouir de son jeu destructeur, plongeant cette pauvre petite île dans l’apocalypse. Dire que pas un homme n’avait eut la force de défendre correctement les siens avant l’arrivé trop tardive d’un messie bien noir. Les dieux seuls savent l’origine de la bête, mais le gouvernement n’avait plus qu’à compter une île déserte de plus sur ses cartes. La petite milice de cette bourgade bien tranquille n’eurent pas plus de réussite que les quelques pratiquants d’art martiaux qui pouvait naïvement s’entrainait ici. Le monstre n’avait fait qu’une bouché de ce menu fretin. Le troll, pas plus humain qu’un ours ne put cependant s’échapper de l’île comme les rares opportunistes qui y vivaient et ne put que faire qu’un festin des gibiers qui vivaient sur le mont et dans ses bois. La nature remercia alors le bon geste d’un dieu protecteur qui libéra le dernier prisonnier qui restait enchainait dans les catacombes du village fantôme. Pas un geste anodin de ce dieu pour donner au sauveur de ces contrés hanté la force de faire face à la bête coupable.

Combien de temps avait-il passé là ? Bélial comptât patiemment chaque seconde qu’il passa enchainer dans la boue derrière ces vieux barreaux. Quelque secousse qui desserra les vices du mur ? La rouille nourrit par les effluves marines ? Le manque d’entretien de ses entraves ? Quelque en soit la raison, c’était pour lui l’ironie du destin qui le libéré au plus mauvais moment. Après trente trois années, deux mois, onze jours, cinq heures, deux minutes et cinquante sept secondes, le voilà de nouveau libre. Le temps de milles et un rêves à apprendre la patience et l’immobilité. Tant de temps qui paraissait aux centuple à ses sens, visité tout juste une fois par jour pour le nourrir, mise à part ce dernier mois. Un paquet de trois siècles d’expérience en tête qui ne demandait plus qu’un peu de pratique. Il avait perdu fois en l’homme et comptai bien devenir un dieu parmi les mortels.

Tout ce qu’il avait vécu et tout ce qu’il voulut vivre s’envolerait dans le temps ne faisant de lui pas plus un homme qu’un dieu. Un vers peut être ? Non, plutôt un sacré diable affamé de revanche. Il ne se souvenait plus vraiment de ce qu’il faisait dans ce trou, mais le jour où il en sortirait, il ferait un beau carnage avec ce qu’il trouverait. Pactisant tour à tour avec les insectes, les rats, même la pierre et le fer, il ne voulait pas vendre une âme qu’il n’avait plus aux démons supérieurs, trop intelligent pour acheter du vent. Dans les délires qui le rongeaient, il se souvenait avoir la visite de lutin de l’enfer qui le harcelait alors que lui riait de leurs visites. Avec cette anecdote qu’il aime raconter, Bélial se targuait d’avoir gagné une guerre psychologique avec les plus sournoise des créatures infernales. La peur ne faisait plus partie de son langage, mais s’immiscer dans l’esprit des princes des morts.

La peur, oui, voilà un sentiment qui le caractérisait jadis. La peur de mourir et rejoindre l’enfer lorsqu’il regardait ses mains taché du sang de son amie. Une belle gamine, belle et gentille comme on n’en fait plus. Ils avaient tout deux juste vingt ans et elle portait leur enfant, quatre mois déjà passé dans son ventre. Et de sa gorge coulait à présent un sang synonyme de mort. Un coup suicidaire pour l’esprit du tout jeune homme. Une dispute trop houleuse, des colères qui auraient dût rester bénignes, une assiette qui vole, un couteau dans la main, une vie qui s’éteint. Ils n’étaient sans doute pas prêts pour cet évènement, avec un peu de recul, c’est toute une accumulation d’angoisse qui explosa dans ce geste interdit.
Le garçon coupa l’annulaire de sa défunte promise pour récupérer la bague de fiançailles pour la posé sur son front avant de fermer les yeux de la morte. Laissant coulait ses larmes à cette endroit, il signait sa honte et son désarroi, dernière preuve d’un esprit sain.
Il n’avait plus qu’à s’enfuir pour réchapper à son châtiment, gardant sur lui l’arme du crime et attrapant un sabre sur le mur pour se défendre. Il partie se réfugier dans la forêt, là où les bêtes le ferait moins souffrir que les hommes pour ce qu’il avait fait. Il ne put cependant fuir sa conscience qui allait plus vite que tout. Il se consumait de l’intérieur d’un feu aussi fort que celui des enfers. Plus d’espoir, de dignité, de liberté pour lui qui ne valait pas mieux que les monstres qui se terraient en enfer. Le seul détail qui séparait ces choses de lui, c’était sa peur. Il ne se sentait pas de taille à supporter la moindre raillerie, le moindre jugement, aussi juste soit-il. Il signerait lui-même pour sa propre mort lors de son procès, mais ce n’était pas à lui de faire ce choix.
Peu à peu, il eut l’impression que le royaume des morts s’installait dans cette jungle. Aveuglait pas sa folie naissante, il tuer tout ce qui s’approchait de lui, ne faisant plus la différence entre un innocent écureuil, un monstre sortit de son esprit malade, ou bien ses amis et collègues qui venait pour essayer de le raisonner.
Reconnu alors danger public, des chasseurs furent embaucher, puis une prime lui fut affliger pour le voir mort ou vif. On lui prêta alors les fils d’un pantin savamment manipulé par le roi des enfers. Quelques prêtres tentèrent même leurs chances sans succès. La force du dégénéré allait croissante, n’ayant plus d’égal que sa propre folie. Trois longues années de terreur pour l’île où beaucoup perdirent la vie dans ce défit pour le bien, avant que le gros des troupes n’interviennent enfin. Un haut gradé de la marine en eut marre et vu son escadron se faire décimer par Bélial avant que lui-même ne fasse parler sa force. L’homme en blanc connue de dure moment dans ce combat, mais il se vit finalement vainqueur d’un fou qui finit par s’épuiser l’esprit.
Bélial ne fut pas conscient à son procès et n’apprit la sentence qu’une semaine plus tard, enchainer dans le trou le plus perdu et dégradant que l’on puisse imaginer. Il devra vivre ici comme un cafard et devra apprendre la solitude des familles détruites par ses actes avant de mourir écartelé dans le meilleur des cas lorsque les parents de sa première victime mourront.
Bélial sombra dans les larmes pendant deux jours puis dans le rire pendant quatre jours avant de se calmer et s’isoler dans le silence la plus total, en attendant son heure. Lui, l’homme devenu le plus fou de tous, expérimentant la condamnation la moins humaine de toute. Lui qui était un ci gentil garçon.

Né sous la bienveillance d’un père charpentier qui voulait voir son fils reprendre dans ses traces. Il avait aussi une mère douce et juste qui n’avait jamais manqué d’attention. Il voulait construire des bateaux, fonder une famille, avoir des amis qu’il aimerait. Il voulait une vie paisible sans histoire. La chance lui souriait par ses dons précoces et la rencontre de sa seconde moitié. Il n’hésita pas à réclamer la main de sa promise à un beau père un peu grincheux qui céda sous l’insistance d’un jeune homme fougueux. La mère du garçon lui fit confiance, lui confiant la bague de bronze que les ainés de leurs familles devaient transmettre à l’élue de leurs petits cœurs.

De belles coutumes, de beau jeunes gens, de belles vies et de belle destinée. Qui finalement débutent, finissent et recommence d’un coup de sang …

• Exemple de post RP :

Epilogue

A l’aube de sa nouvelle vie, Bélial était vide d’envie. Maintenant libre, il aurait dut perdre la vie de manière atroce si sa mémoire était encore bonne, mais qui restait-t-il pour appliquer pareil châtiment ? Il ne pensa pas tout de suite qu’il pouvait tout simplement vivre, le premier marine venue, aussi faible soit-il, aurait fait l’affaire. Le vieil homme s’était bien défoulé dans sa lutte contre le troll, comme une dernière volonté avant la mise à mort, il aurait sans doute dût le comprendre comme une épreuve avec à la clef, une grâce divine.
Il passa quelques heures, l’esprit creux, avant de commencer à réfléchir. Un premier sourire derrière son visage velu et son ventre gronda, comme ayant compris avant lui qu’il avait le droit de se rassasier jusqu’à ce que sa panse éclate s’il le voulait. Ayant oublié ce qu’était un vrai repas, il attrapa n’importe tout ce qui lui tomba sous la main pour le gobait. Il commença par des écorces et de la boue dont la couleur ressemblait vaguement à ce qu’on lui servait dans sa cellule. Il se tenta ensuite à quelque verdure. A mesure qu’il prenait conscience de sa liberté, il retrouva des envies, comme des vagues souvenirs qu’il voulait rafraichir : le gout d’une viande saignante, d’un poisson fumé, d’un alcool brute. Cependant, il n’y avait plus de tel délice sur cette île qui avait connue l’apocalypse d’un troll fou.

Tout ce qu’il put trouver dans la montagne, fut une source d’eau fraiche. Une aubaine. Il en bu des litres à chaque gorgé comme voulant l’asséché sans plus attendre. Complètement repus, il lâchât un digne d’un hurlement de lion qui fit trembler toute l’île. Avide d’en ingurgité toujours plus, il continua à manger comme un porc jusqu’à vider le trop plein de son estomac. Il vomit en souriant, pensant qu’il ne connaitrait plus cette joie d’atteindre la limite de son estomac. Puis il éclata de rire. Il avait bien repris ses esprits à présent et pouvait penser avec autre chose que son ventre.
Il longea le ruisseau en suivant le courant de l’eau pour atteindre une cascade et un petit lac. Trop petit pour le comparer même à une baignoire en fait, mais c’était suffisent pour Bélial. Il voulait juste rincer un peu sa peau et ses vêtements avant d’aller plus loin. Il ne prit pas la peine de se déshabiller d’ailleurs et se contenta de rester debout, sous la chute d’eau pendant quelques instants. Il avait l’impression de n’y être resté que quelques minutes, mais ce genre de plaisir retrouver durèrent plusieurs heures en réalité.

Il reprit sa marche pour trouver la plage. Le sel qui titillait ses narines sonnait comme le chant de sirène qui l’envoute et l’appel. Il lui fallait un bateau ! Tout de suite ! Il ne sait pas pourquoi, il pouvait très bien se contenter de cette île déserte encore quelques temps, il n’avait pas non plus très envie de rencontrer du monde ou découvrir de nouveau paysage. En fait, il avait juste l’impression d’être encore dans les profondeurs de l’enfer duquel on ne sort que par la mer pure et innocente.
Il avait passé près de vingt années de sa vie à étudier le bois et sa flottaison, c’était la déformation professionnelle que de vouloir construire un bateau sans même en chercher un. Il n’était pourtant pas loin du seul port de l’île, à une heure de marche, tout au plus, mais il ne parvenait pas encore à penser correctement. Il pensa un radeau en quelques instant, la conception était son poing fort, et, seul, enchainé à un mur, il avait aussi eut le temps d’imaginer les plans des plus grands et beau galion que le monde puisse connaitre.

Il n’eut pas trop de mal à récupéré le bois de la coque et les feuilles de la voile, mais il se trouva rapidement à court d’outils et de dextérité pour bien faire. Il se rendait compte que toutes ses années sans bouger l’avaient lourdement encrassé. En se défoulant instinctivement contre un troll, il avait remit en marche les moteurs de la puissance, mais il n’avait pas encore récupéré la motricité de ses doigts.
L’anneau de bronze qu’il avait enfilé se mit alors à luire. Puis, s’évaporant dans une fumée verdâtre, il se reforma sous la forme d’un petit être informe. Ce dernier poussa un cri à la fois bestial et aigu avant de faire les travaux sur lequel butait le charpentier. En voilà une jolie main d’œuvre, pensa l’homme. Le maitre et son second, un couple tout juste formé qui s’entendait plutôt bien dès le début. Il faut avouer que beaucoup de chose les rapprocher. C’est donc dans un langage muet que les deux ouvriers purent venir à bout de leur chantier qui les mènerait hors de cette île.
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MessageSujet: Re: Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ]   Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ] EmptyLun 6 Juin 2011 - 14:27

Bonjour,

Voilà, ja tout fini !

Pour le FDD, il est dans aucune liste et je comprends foutrement rien à l'attribution des niveaux, alors je vous laisse jugez ^^"

Merci o/
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Cyanure
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MessageSujet: Re: Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ]   Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ] EmptyMar 7 Juin 2011 - 19:45

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MessageSujet: Re: Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ]   Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ] EmptySam 11 Juin 2011 - 21:35

J'aimerais une définition complete du fruit du troll.
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MessageSujet: Re: Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ]   Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ] EmptyDim 12 Juin 2011 - 1:49

Bah heu ... c'est zoan, je peut dire quoi de plus que ce que j'ai déjà dit ? Il y a un défaut majeur, une qualité majeur, une description de la forme "animale" ... certain zoan se contente du nom de l'animal pour description ....
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MessageSujet: Re: Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ]   Bélial ... Bélial ? OMFG ! [ sang pour sang ! ] EmptyDim 12 Juin 2011 - 12:38

J'ai la taille et la force ouai ^^",mais je vois pas trop quel type de troll tu choisis physiquement, cornes? crocs? sabots?

EDIT : j'ai confondus troll avec autre chose désolé

Donc je valide
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